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    républicain frases de exemplo

    républicain


    1. Lui, était républicain; mais il admirait le prince, à cause de son oncle, un homme comme il n'en reviendrait jamais plus


    2. Lui, s'occupait de politique, était républicain, sagement, au nom de la justice et du bonheur de tous


    3. Je sais qu'il s'est déjà compromis, on m'a parlé d'une querelle fâcheuse avec le sous-préfet; enfin, il passe pour républicain, c'est détestable… N'est-ce pas? qu'il soit sage, ou nous le supprimerons, simplement


    4. Ce principe, de sa nature, est essentiellement républicain


    5. D'ailleurs, dans les monarchies, le gouvernement a une force qui lui est propre; il se sert du peuple et ne dépend pas de lui; plus le peuple est grand, plus le prince est fort; mais le gouvernement républicain ne peut opposer à ces dangers que l'appui de la majorité


    6. Il est incontestable, en effet, qu'aux États-Unis le goût et l'usage du gouvernement républicain sont nés dans les communes et au sein des assemblées provinciales


    7. Or, c'est ce même esprit républicain, ce sont ces mœurs et ces habitudes d'un peuple libre qui, après avoir pris naissance et s'être développées dans les divers États, s'appliquent ensuite sans peine à l'ensemble du pays


    8. Les États-Unis garantissent à tous les États de l'Union une forme de gouvernement républicain, et protégeront chacun d'eux contre toute invasion, et aussi contre toute violence intérieure, sur la demande de la législature ou du pouvoir exécutif, si la législature ne peut être convoquée


    9. Malgré cela, Guillotin, le savant, le républicain, le


    10. L’État républicain encourageait sous main les espionnages sacrés de ces moines mendiants et de ces jésuites de la Raison, qui terrorisaient l’armée, l’Université, tous les corps de l’État ; et il ne s’apercevait point qu’en semblant le servir, ils visaient peu à peu à se substituer à lui, et qu’il s’acheminait tout doucement à une théocratie athée, qui n’aurait rien à envier à celle des Jésuites du Paraguay

    11. je suis un vieux républicain


    12. – Mais l’implacable logique de son interlocuteur répliquait au « vieux libre penseur », au « vieux républicain », qu’ « il y avait deux musiques : celle qu’on chantait dans les églises, et celle qu’on chantait ailleurs »


    13. Le régime républicain n’est pas le régime qu’il veut pour la fille aînée de l’Église


    14. Puisque nous en sommes au chapitre des mystificateurs, laissez-moi vous conter l’excellente blague qu’un mien ami, magistrat républicain, aujourd’hui des plus graves, ne put s’empêcher de faire à une bijoutière trop violemment, à son gré, nationaliste


    15. Le docteur Troche avait bien entendu parler des façons très souveraines, de la désinvolture altière du prince de Waldenstein, mais il n’aurait jamais imaginé que lui, vieux praticien bourru, républicain avancé, se laisserait intimider par ce tout jeune homme au point de n’oser lui répondre que son temps n’était pas ainsi à la disposition du seigneur de Croix-Givre


    16. Ce n'était pas tant un républicain qu'un démocrate, et sous ce rapport il offre le plus frappant contraste avec Washington


    17. Rassurez-vous, Madame la comtesse mais songez à ce que le Saint-Père captif a souffert, entendant ce suppôt imposteur le proclamer républicain!


    18. Dubois par le nouveau pouvoir républicain ; le gouverneur de la province et le général commandant les troupes campées autour de la ville, prévenus de son arrivée, l’attendaient à la porte même de la maison, à la tête d’un nombreux et brillant état-major


    19. Hardy, ce manufacturier impie et républicain, bien digne descendant de cette lignée maudite, et qu’il était important d’écarter


    20. Homme du peuple, homme de guerre et d’élan, la chaleureuse cordialité de sa parole appelait la bienveillance et la sympathie ; aussi éclairé qu’intrépide, aussi généreux que sincère, on remarquait surtout en lui une mâle fierté plébéienne ; ainsi que d’autres sont fiers d’une haute naissance, il était fier, lui, de son obscure origine, parce qu’elle était ennoblie par le grand caractère de son père, républicain rigide, intelligent et laborieux artisan, depuis quarante ans l’honneur, l’exemple, la glorification des travailleurs

    21. – Pour vous, républicain austère, je le sais, il a perdu tout son prestige, lorsque de premier citoyen d’une république il s’est fait empereur


    22. Que ferions nous de lois, sans religion ? Il nous faut un culte et un culte fait pour le caractère d’un républicain, bien éloigné de jamais pouvoir reprendre celui de Rome


    23. Avant dix ans, au moyen de la religion chrétienne, de sa superstition, de ses préjugés, vos prêtres, malgré leur serment, malgré leur pauvreté, reprendraient sur les âmes l’empire qu’ils avaient envahi ; ils vous réenchaîneraient à des rois, parce que la puissance de ceux-ci étaya toujours celle de l’autre, et votre édifice républicain s’écroulerait, faute de bases


    24. Ce n’est plus ni aux genoux d’un être imaginaire ni à ceux d’un vil imposteur qu’un républicain doit fléchir ; ses uniques dieux doivent être maintenant le courage et la liberté


    25. Jamais l’homme libre ne se courbera près des dieux du christianisme ; jamais ses dogmes, jamais ses rites, ses mystères ou sa morale ne conviendront à un républicain


    26. Oui, détruisons à jamais toute idée de Dieu et faisons des soldats de ses prêtres ; quelques-uns le sont déjà ; qu’ils s’en tiennent à ce métier si noble pour un républicain, mais qu’ils ne nous parlent plus ni de leur être chimérique ni de sa religion fabuleuse, unique objet de nos mépris


    27. Dans six mois, tout sera fini : votre infâme Dieu sera dans le néant ; et cela sans cesser d’être juste, jaloux de l’estime des autres, sans cesser de redouter le glaive des lois et d’être honnête homme, parce qu’on aura senti que le véritable ami de la patrie ne doit point, comme l’esclave des rois, être mené par des chimères ; que ce n’est, en un mot, ni l’espoir frivole d’un monde meilleur ni la crainte de plus grands maux que ceux que nous envoya la nature, qui doivent conduire un républicain, dont le seul guide est la vertu, comme l’unique frein le remords


    28. Après avoir démontré que le théisme ne convient nullement à un gouvernement républicain, il me paraît nécessaire de prouver que les mœurs françaises ne lui conviennent pas davantage


    29. Français, vous êtes trop éclairés pour ne pas sentir qu’un nouveau gouvernement va nécessiter de nouvelles mœurs ; il est impossible que le citoyen d’un État libre se conduise comme l’esclave d’un roi despote ; ces différences de leurs intérêts, de leurs devoirs, de leurs relations entre eux, déterminant essentiellement une manière tout autre de se comporter dans le monde ; une foule de petites erreurs, de petits délits sociaux, considérés comme très essentiels sous le gouvernement des rois, qui devaient exiger d’autant plus qu’ils avaient plus besoin d’imposer des freins pour se rendre respectables ou inabordables à leurs sujets, vont devenir nuls ici ; d’autres forfaits, connus sous les noms de régicide ou de sacrilège, sous un gouvernement qui ne connaît plus ni rois ni religion, doivent s’anéantir de même dans un État républicain


    30. Mais, pour mieux développer mes idées sur un objet aussi essentiel, nous allons classer les différentes actions de la vie de l’homme que l’on était convenu jusqu’à présent de nommer criminelles, et nous les toiserons ensuite aux vrais devoirs d’un républicain

    31. Il ne s’agit pas d’aimer ses semblables comme soi-même, puisque cela est contre toutes les lois de la nature, et que son seul organe doit diriger toutes les actions de notre vie ; il n’est question que d’aimer nos semblables comme des frères, comme des amis que la nature nous donne, et avec lesquels nous devons vivre d’autant mieux dans un État républicain que la disparition des distances doit nécessairement resserrer les liens


    32. Toutes ces actions, considérées comme capitales dans un gouvernement monarchique, sont-elles aussi graves dans un État républicain ? C’est ce que nous allons analyser avec le flambeau de la philosophie, car c’est à sa seule lumière qu’un tel examen doit s’entreprendre


    33. Si nous parcourons l’antiquité, nous verrons le vol permis, récompensé dans toutes les républiques de la Grèce ; Sparte ou Lacédémone le favorisait ouvertement ; quelques autres peuples l’ont regardé comme une vertu guerrière ; il est certain qu’il entretient le courage, la force, l’adresse, toutes les vertus, en un mot, utiles à un gouvernement républicain, et par conséquent au nôtre


    34. Nous ne devons certainement pas douter un moment que tout ce qui s’appelle crimes moraux, c’est-à-dire toutes les actions de l’espèce de celles que nous venons de citer, ne soit parfaitement indifférent dans un gouvernement dont le seul devoir consiste à conserver, par tel moyen que ce puisse être, la forme essentielle à son maintien : voilà l’unique morale d’un gouvernement républicain


    35. Les législateurs de la Grèce avaient parfaitement senti l’importante nécessité de gangrener les membres pour que, leur dissolution morale influant sur celle utile à la machine, il en résultât l’insurrection toujours indispensable dans un gouvernement qui, parfaitement heureux comme le gouvernement républicain, doit nécessairement exciter la haine et la jalousie de tout ce qui l’entoure


    36. L’insurrection, pensaient ces sages législateurs, n’est point un état moral ; elle doit être pourtant l’état permanent d’une république ; il serait donc aussi absurde que dangereux d’exiger que ceux qui doivent maintenir le perpétuel ébranlement immoral de la machine fussent eux-mêmes des êtres très moraux, parce que l’état moral d’un homme est un état de paix et de tranquillité, au lieu que son état immoral est un état de mouvement perpétuel qui le rapproche de l’insurrection nécessaire, dans laquelle il faut que le républicain tienne toujours le gouvernement dont il est membre


    37. Lycurgue et Solon, bien pénétrés que les résultats de l’impudeur tiennent le citoyen dans l’état immoral essentiel aux lois du gouvernement républicain, obligèrent les jeunes filles à se montrer nues au théâtre(1)


    38. Comment doit-elle être considérée dans un gouvernement républicain ?


    39. Comment le meurtre doit-il être vu dans un État guerrier et républicain ?


    40. La fierté du républicain demande un peu de férocité ; s’il s’amollit, si son énergie se perd, il sera bientôt subjugué

    41. Une nation qui commence à se gouverner en république ne se soutiendra que par des vertus, parce que, pour arriver au plus, il faut toujours débuter par le moins ; mais une nation déjà vieille et corrompue qui, courageusement, secouera le joug de son gouvernement monarchique pour en adopter un républicain, ne se maintiendra que par beaucoup de crimes ; car elle est déjà dans le crime, et si elle voulait passer du crime à la vertu, c’est-à-dire d’un état violent dans un état doux, elle tomberait dans une inertie dont sa ruine certaine serait bientôt le résultat


    42. Partout enfin on crut avec raison que le meurtrier, c’est-à-dire l’homme qui étouffait sa sensibilité au point de tuer son semblable et de braver la vengeance publique ou particulière, partout, dis-je, on crut qu’un tel homme ne pouvait être que très courageux, et par conséquent très précieux dans un gouvernement guerrier ou républicain


    43. On ne peut nier qu’il ne soit extraordinairement nécessaire, extrêmement politique de mettre une digue à la population dans un gouvernement républicain ; par des vues absolument contraires, il faut l’encourager dans une monarchie ; là, les tyrans n’étant riches qu’en raison du nombre de leurs esclaves, assurément il leur faut des hommes ; mais l’abondance de cette population, n’en doutons, pas, est un vice réel dans un gouvernement républicain


    44. En un mot, le meurtre est une horreur, mais une horreur souvent nécessaire, jamais criminelle, essentielle à tolérer dans un État républicain


    45. Pour mettre un terme à ces pénibles hésitations, plein de confiance dans l’inflexible droiture du caractère de son père, le maréchal alla lui demander conseil ; malheureusement le vieil ouvrier républicain, blessé mortellement pendant l’attaque de la fabrique de M


    46. Severn était républicain


    47. Les mots progrès, progressiste, dont se servent certaines fractions du parti républicain, ont également le don de l’agacer ferme


    48. Cela n’empêche que le sang qui coule aujourd’hui dans nos veines s’est sensiblement refroidi et ne correspond plus au sang chaud et généreux du républicain français


    49. Mais le sergent Monnier, républicain enthousiaste, s’était, à cet égard, chargé de nous instruire


    50. Ô sainte Marianne, moi qui croyais ne plus te voir ! Frédéric, mon enfant, fais-toi républicain !














































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    républicain in English

    death rattle