1.
- Il démontre également les secrets du pèlerinage et les sagesses de chaque action du pèlerin à la Mecque
2.
pèlerin dans le paradis du cœur de Comenius, voit à travers sa fenêtre Christ venir à sa
3.
pas celle du pèlerin de Comenius
4.
Le pèlerin parmi les médecins
5.
Le pèlerin est témoin de la promotion de maîtres et de docteurs
6.
Le pèlerin examine l’ordre religieux Les païens
7.
Le pèlerin observe la religion chrétienne 1
8.
Ceux que le pèlerin n’a pas su rencontrer Aussi je laissai faire
9.
Le pèlerin avec les écrivains de feuilles d’information(les journalistes)
10.
Le pèlerin observe la roue de la fortune En arrivant devant ce beau château, je remarquai, tout d’abord une grande foule, venant de toutes les rues de la ville, qui cherchait à y entrer
11.
Le pèlerin découvre le palais de la sagesse, reine du monde
12.
Le pèlerin jette un coup d’oeil dans les cours secrè-
13.
Le pèlerin retrouve le chemin de retour Le commencement de la conversion est l’oeuvre de Dieu
14.
Le pèlerin entre en liaison avec Christ Même quand nous errons la sagesse de Dieu veille sur nous
15.
Le pèlerin est comme retourné
16.
Le pèlerin observe les chrétiens par rapport à leur état
17.
Le pèlerin contemple la majesté divine Car, vois! en haut se tient Dieu, le Seigneur des multitudes sur son Trône
18.
Tant que je te laisses dans le monde, restes y en tant que pèlerin inconnu, étranger et invité; mais avec moi, tu es un membre de ma maison, car je te garantis le droit à la citoyenneté
19.
À ceux qui n’ont jamais parcouru ces régions, le récit du pèlerin restera éternellement obscur et fantastique
20.
Note 34: (retour) Ophélia décrit le costume d'un pèlerin, lequel, dans les histoires et les chansons du vieux temps, servait souvent de déguisement aux amoureux
21.
—Bon pèlerin, vous faites injure à votre main, qui n'a montré en ceci qu'une dévotion pleine de convenance; car les saints ont des mains que peuvent toucher celles des pèlerins; et joindre les mains est le baiser du pieux voyageur en terre sainte
22.
Tel un pèlerin qui n’en peut plus après de longues excursions, je me suis laissé choir sous un palmier aux larges feuilles et là, la tête fiévreuse et hanté de toutes sortes de noires idées, j’ai attendu en silence que Morphée, qui devait s’attarder dans les villes où l’on ferme le commutateur très tard, vienne par la campagne, et ferme sur sa route ma paupière, pour me laisser jouir au moins de la joie qu’apporte l’inconscience
23.
Nos saints, je me rappelle leurs prières et leurs méditations, ont quelquefois parlé une langue aussi douce, une langue de pèlerin, qui a un bourdon, un chapeau orné de coquillages, et d’anciennes courtoises manières avec la nature, le soleil, l’eau, les oiseaux
24.
Il m'apprit que le Naïb d'Arkiko érigeait en droit l'habitude de prélever sur chaque pèlerin de passage pour Jérusalem une petite somme en argent, et que de plus, si l'un d'eux avait une monture ou une bête de somme, il la lui prenait aussi, sous prétexte qu'il n'en aurait que faire dans un voyage sur mer
25.
– Un pèlerin a, je pense, moins de peine à mourir que nous ?
26.
Le gardien, en tâtonnant, ouvre la petite porte, guide le pèlerin par la manche et lui dit :
27.
– Oh là là ! soupire le pèlerin après un temps
28.
Est-ce que je suis un pèlerin ?
29.
me noble, pèlerin généreux qui se tient en garde contre les tentations des impies, son exigence est celle de l’apôtre qui ne parle qu’au nom du Christ quand il dit : « Que celui qui veut être à moi renonce à lui-même, prenne sa croix et me suive
30.
Et moi, pèlerin agenouillé à l'écart sous les orgues, il me semblait ouïr les anges descendre du ciel mélodieusement
31.
Dès l’entrée, elle remarqua un homme en costume de pèlerin, assis devant une table où l’hôtesse venait de lui servir son repas
32.
Peu après, le pèlerin se leva, paya son modeste écot et sortit de la salle, non sans avoir dirigé un rapide coup d’œil vers l’étrangère assise au coin de l’âtre
33.
J’ai laissé mon cheval à quelque distance, dans une vieille carrière où j’ai pu en toute tranquillité revêtir mon costume de pèlerin
34.
Puis sur un ton toujours plus irrité (elle naguère si souriante!): — Si ce n'est pas une honte! quand on songe à ce qu'il gagnait à La Dépêche avec ses articles impies: Et les quelques rotins que lui verse aujourd'hui Le Pèlerin pour ses prônes, il trouve encore moyen d'en laisser les trois quarts aux pauvres
35.
Les renseignements qu'il obtint d'elle, le confus récit qu'elle fit des événements de la nuit, de l'angoisse du "pèlerin" (c'est ainsi qu'elle surnommait Amédée), de ses protestations, de ses larmes, ne pouvaient lui laisser de doutes
36.
Mais pouvais-je lui confier qu'il n'avait pas affaire à un pèlerin ordinaire; révéler ce qui m'amenait dans ce pays?
37.
Ma mère a une de ces roses de Jéricho qu’un pèlerin lui a donnée
38.
Il avait peu d’argent, mais il lui suffisait de mettre le pied sur le sol italien ; là, plus de diligence, le bâton et la besace du pèlerin
39.
Quelque occupation que je choisisse, quand je n’étais pas occupée autour d’elles ou pour elles, il me fallait être toujours comme le pèlerin, la ceinture aux reins, les sandales aux pieds et le bâton à la main ; car, ne point arriver aussitôt que l’on m’appelait, était regardé comme une grave et inexcusable offense, non seulement par mes élèves et par leur mère, mais aussi par les domestiques mêmes, qui arrivaient tout essoufflés me chercher, et me criaient :
40.
« Curieux pèlerin ! » se dit le commandant
41.
Vrai temps de pèlerin : ni pluie, ni vent, ni soleil
42.
Car pèlerin peut s'entendre de deux manières, l'une large et l'autre étroite
43.
Dans le sens large, quiconque se trouve hors de sa patrie est peregrino; dans le sens étroit pèlerin s'entend seulement de celui qui s'en va à la maison de Saint-Jacques[2] et en revient
44.
Ces métairies conservaient leur nom primitif de villæ: c'étaient de grandes fermes occupées par des frères convers et des valets sous la direction d'un religieux qui avait le titre de frère hospitalier, car dans ces villæ comme dans les simples granges isolées même, l'hospitalité était assurée au voyageur attardé; et à cet effet, une lampe brûlait toute la nuit dans une petite niche pratiquée au-dessus ou à côté de la porte de ces bâtiments ruraux, comme un fanal destiné à guider le pèlerin, et à ranimer son courage 88
45.
Ce mouvement d’émotion n’échappa point au pèlerin ; il se releva, et prenant sa lanterne :
46.
Le lendemain, le pèlerin retourne encore à la porte de la maison paternelle en disant :
47.
L’étable, mes amis, était tout illuminée : le pèlerin était mort, était roidi et blanc, entre quatre grands cierges qui brûlaient autour de lui ; la paille où il gisait était étincelante ; les toiles d’araignées, luisantes de rayons, pendaient là-haut des poutres, telles que les courtines d’une chapelle ardente ; les bêtes de l’étable, les mulets et les bœufs, chauvissaient effarés avec de grands yeux pleins de larmes ; un parfum de violette embaumait l’écurie ; et le pauvre pèlerin, la face glorieuse, tenait dans ses mains jointes un papier où était écrit : « Je suis votre fils
48.
Ne me prends pas pour un de ces francs-maçons que tu vois dans le Pèlerin, le nez en banane et le tablier sur le ventre, hé ! Retiens donc bien ce que je vais te dire, ouvre tes oreilles
49.
Pour celui qui connaissait le pèlerin, il était clair qu’il ruminait et combinait de tirer les écrevisses de leur trou, avec la patte d’autrui
50.
Ces âges candides croyaient qu'on pouvait fuir le mal en changeant de lieu, voyager du péché à la sainteté, laisser le diable avec l'habit qu'on dépose pour prendre celui du pèlerin
51.
Béni soit le bon patron qui a écouté la prière de son triste pèlerin
52.
Le baron dit au meunier : – Mon bon ami, par charité, apprenez à un pauvre pèlerin bohémien ce qui se passe ici
53.
Moringer lui dit : – Ami, allez apprendre à votre dame qu’un pèlerin venu de la terre de saint Thomas demande un jour d’hospitalité
54.
Je demande la couche et l’aumône du pèlerin, au nom de saint Thomas, et pour l’âme de Moringer son époux jadis bien-aimé
55.
Le gouverneur va trouver sa dame et lui dit : – Un pèlerin épuisé de fatigue est à la porte du château ; il demande l’hospitalité, et le don des pèlerins au nom de saint Thomas, et pour l’âme de Moringer votre noble époux
56.
– Ouvrez la porte, répondit-elle ; que le pèlerin soit le bienvenu au banquet et au lit qu’il demande ; et puisqu’il invoque le nom de mon époux, il aura s’il veut la permission d’habiter ce château pendant un an et un jour
57.
Le jeune époux, assis auprès de sa dame, prend la parole : – Mes braves ménestrels, dit-il, laissez vos harpes ; notre hôte pèlerin doit chanter pour se conformer à l’ancienne coutume, et je le récompenserai de sa complaisance avec un beau vêtement et avec de l’or
58.
La noble dame écoute ce lai mélancolique, et ses larmes coulent sur les malheurs du vieux pèlerin
59.
Il dit ensuite à l’échanson : – Rends-moi un service, et si mes jours heureux reviennent, tu recevras une riche récompense ; rapporte cette coupe à cette fiancée si belle, et réclame de sa courtoisie qu’elle daigne boire au vieux pèlerin
60.
– Madame, dit-il, votre hôte vénérable vous renvoie cette coupe, et réclame de votre courtoisie que vous daigniez boire au vieux pèlerin
61.
Je suis un pèlerin fatigué, affaibli par de longs voyages, j’erre au loin pour faire pénitence de mes péchés
62.
Oh ! ouvrez pour l’amour de Notre-Dame, obtenez la bénédiction du pèlerin
63.
Car lorsque l’aurore brilla sur l’onde de l’Ettrick à travers les vapeurs, elle découvrit un cadavre sans vie parmi les sureaux de la rive : c’était le cadavre du pèlerin
64.
L’aspect général de ces lieux a quelque chose de saisissant ! Le voyageur ou le pèlerin qui passe par là, s’arrête malgré lui, et, plus d’un, après avoir regardé ces ruines quelques instants, tout en adressant une courte prière à l’Éternel, repart ainsi, sans supposer que ces lieux furent témoins d’un drame poignant, qui s’est déroulé là en 1839, le lendemain de la révolution canadienne
65.
Le couvent vient d’être rebâti, en pierre, s’il vous plaît ! dans cet archipel où, sachant mieux qu’ailleurs que l’homme est un pèlerin sur la terre, on ne construit qu’en bois
66.
Il se tenait derrière le pilier, dans son costume des dimanches, et si ému, lui aussi, que les mots ne venaient pas à ses lèvres, et qu’il avait l’air d’un pèlerin devant la ville de son rêve
67.
—J'ai appris l'arrivée d'un bonze pèlerin qui fait des conférences dans la pagode Poutousse, et je me suis levée de bonne heure pour l'entendre; je vais sortir, applique-toi à broder jusqu'à mon retour; à midi je préparerai de quoi apaiser notre faim
68.
Un jour, un pauvre pèlerin, né sur mes bords, et qui revenait de je ne sais quelle entreprise, où la fortune s’était montrée implacablement cruelle pour lui, apercevant la grille dorée tout ouverte de la magnifique demeure de cet orgueilleux avare, y entre : – les Gascons ne doutent de rien !
69.
Le pèlerin monta à cheval avec plus de lenteur, et tendit en partant sa main à Gurth, qui la baisa avec toute la vénération possible
70.
– Sais-tu, mon bon ami Gurth, dit le bouffon, que tu es singulièrement poli et bien plus pieux qu’à l’ordinaire, par cette belle matinée d’été ? Je voudrais être un pèlerin à pieds nus pour profiter de ton zèle et de ta courtoisie peu communs
71.
Le pèlerin, à qui tous les sentiers et toutes les issues du bois paraissaient familiers, prit le devant en suivant les chemins les plus détournés ; ce qui fit naître de nouveau dans l’esprit de l’israélite l’idée qu’on allait le trahir et le livrer à ses ennemis
72.
– Que les roues de leurs chariots soient enlevées, dit le juif, comme celles du pharaon, afin qu’ils avancent lentement ! Mais ne me quittez pas, bon pèlerin ! Songez seulement à ce féroce et sauvage templier, avec ses esclaves sarrasins, qui ne respecteraient ni territoire, ni manoir, ni domaine seigneurial
73.
– Notre route commune, dit le pèlerin, devrait finir ici : car il ne convient pas aux personnes de mon caractère et du tien de voyager ensemble plus longtemps qu’il n’est nécessaire
74.
Ensuite, quel secours pourrais-tu attendre de moi, paisible pèlerin, contre des païens armés ?
75.
– Soit ! dit le pèlerin, nous nous séparerons à Sheffield, et une course d’une demi-heure nous mènera en vue de cette ville
76.
La demi-heure se passa dans un silence complet de part et d’autre, le pèlerin dédaignant peut-être d’adresser la parole au juif, hormis dans les cas d’absolue nécessité, et le juif ne présumant pas devoir forcer à la conversation une personne au caractère de laquelle le voyage au saint sépulcre prêtait une sorte de sainteté
77.
Ils s’arrêtèrent sur le sommet d’une petite colline, et le pèlerin, montrant au juif la ville de Sheffield, qui s’étendait sous leurs pieds, lui dit ces mots :
78.
– Je t’ai déjà dit, répondit le pèlerin, que je ne désirais pas de récompense
79.
– Attendez, attendez, dit le juif en saisissant le manteau du pèlerin, je voudrais faire plus que cela, je voudrais faire quelque chose pour vous
80.
Le pèlerin tressaillit, et, se tournant brusquement vers le juif :
81.
Quand il eut fini, il donna le papier, sur lequel il avait tracé des caractères hébraïques, au pèlerin, en lui disant :
82.
– Mais, Isaac, dit le pèlerin en souriant, ne sais-tu pas que, dans ces jeux, les armes et le coursier du chevalier désarçonné sont alloués au vainqueur ? Je puis être malheureux, et perdre ainsi ce que je ne saurais ni rendre ni payer
83.
– Grand merci de ton avis ! dit le pèlerin en souriant ; je profiterai de ta courtoisie, et j’aurai bien du malheur si je ne te fais pas compensation
84.
Hélas ! est-ce que la cotte de mailles rouillée, qui reste suspendue au-dessus de la tombe sombre et poudreuse du guerrier, est-ce que les caractères effacés de l’inscription que le moine ignorant ne lit qu’avec peine au pèlerin curieux, sont des récompenses suffisantes pour le sacrifice de toutes les affections douces, pour une vie passée misérablement à faire des misérables ? La rude poésie d’une bande errante peut-elle vous faire sacrifier l’amour du foyer, la tendre amitié, le repos et le bonheur, pour devenir le héros de ces ballades que les ménestrels vagabonds chantent à des manants ivres, buvant leur ale du soir ?
85.
Pour se dérober au soupçon, il chargea Paolo de lui procurer un habit de pèlerin et, de grand matin, il se mit en route avec les autres
86.
Pendant que toute la communauté serait ainsi occupée de plaisirs, il serait facile à Vivaldi, instruit de tous ces détails et aidé par le frère lai Geronimo, de s’introduire dans la salle sous son habit de pèlerin et de se mêler aux spectateurs
87.
Parmi ceux-ci, Elena remarqua un personnage caché sous son chapeau de pèlerin et qui semblait assister à la fête sans y prendre part
88.
– Un pauvre pèlerin bien fatigué de sa longue marche dans ces rochers Voudriez-vous avoir pitié de lui, et lui permettre de monter pendant quelques instants sur votre cheval ?
89.
– Le pèlerin répond, ma foi, au signalement donné par le père Laroque
90.
Depuis cette époque, il a mené alternativement la vie errante d’un pèlerin et celle d’un ermite, s’imposant les privations les plus sévères, non par principe de dévotion, mais par haine pour le genre humain
91.
J’ai dû attendre la nuit noire pour remonter, en chaussettes, à l’hôtel Lisbonne, j’avais l’air d’un pèlerin, – d’un jeune marin qui avait promis dans un naufrage de porter un cierge, pieds nus ou en bas de laine, à sainte Geneviève
92.
Il y fit rencontre d’un pèlerin, homme d’assez bonne mine, qui, ne le connaissant point pour ce qu’il était, l’aborde avec liberté, et lui demande le chemin de Naples
93.
– Il n’est cependant pas, répondit le pèlerin, couvert de toute la poussière qu’il a fait voler
94.
– Au moins, je suis sûr, dit le pèlerin, de pardonner le mauvais accueil à ceux qui me l’auront fait sans me connaître ; la nuit vient, où est le chemin de Naples ?
95.
» Sur ce propos il descend de cheval, et le voilà côte à côte avec le pèlerin
96.
– J’attends tout des honnêtes gens, reprit le pèlerin, et suis sans appréhension des voleurs
97.
– J’en ai de la joie, reprit le pèlerin ; je ne crains pas les rois ; ce ne sont pas eux qui nous font du mal ; mais, puisque vous l’êtes, je vous félicite de m’avoir rencontré
98.
– Elle est faite, sire, répondit le pèlerin, je la porte avec moi
99.
– Si l’homme peut l’être, répondit le pèlerin : en tout cas, j’ai fait un vœu, c’est de m’aller pendre si j’en trouve un plus heureux que moi
100.
– Si ce mal devait m’arriver, répliqua le pèlerin, je croirais que quelque faquin, plus désœuvré que moi, dût me porter le coup