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    Usar "colonel" en una oración

    colonel oraciones de ejemplo

    colonel


    1. Le Colonel Gungor, commandant de la 58ème Division d’assaut, s’assit près de lui, imité par le Capitaine Montoya et une Centaurienne d’âge mûr nommée Lynn Tsu, qui était jusqu’à récemment gouverneur de Kyoto Alpha et représentait maintenant les réfugiés centauriens à bord


    2. ‘’Dans les cas de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie, la menace est quasi nulle, Colonel


    3. ‘’Je commence à croire que cette option n’est plus notre meilleure option, Colonel


    4. Je veux savoir en temps réel se qui se passe sur cette planète! Colonel Gungor et Major Arntern! Vos troupes fourniront toute aide ou protection requise par les chefs de sections et d’équipes d’exploration


    5. Le Colonel Gungor fit pivoter son siège pour faire face au Commodore Ferguson


    6. Son colonel, autrefois, s'était tué pour une gamine pareille, une figure insignifiante, délicate et modeste, dont un seul regard retournait les coeurs


    7. Elle arrivera vendredi ou samedi ; elle ne peut préciser, le colonel ayant lui-même besoin de la voiture un des deux jours : les Campbell sont assez bons pour la faire conduire jusqu’ici ! C’est ce qu’ils font toujours du reste


    8. Dixon ; il était très naturel qu’il se plût à donner des détails sur sa propriété pendant qu’il faisait sa cour ; Jane avait l’habitude de sortir avec eux, car le colonel et Mme Campbell tenaient essentiellement à ce que leur fille ne sortît pas seule avec M


    9. et Mme Dixon désiraient vivement que Jane accompagnât le colonel et Mme Campbell ; soyez sûre que rien ne pouvait être plus affectueuse et plus pressante que leur double invitation ; M


    10. La petite Jane avait trois ans quand elle perdit sa mère ; elle devint la consolation de sa grand-mère et de sa tante et tout semblait présager qu’elle était fixée à Highbury pour la vie ; mais l’intervention d’un ami de son père modifia sa destinée ; le colonel Campbell tenait en grande estime le lieutenant Fairfax et, de plus, il considérait devoir la vie aux soins dont son compagnon d’armes l’avait entouré pendant les accès d’une fièvre contractée au cours d’une campagne

    11. Il demeura fidèle à la mémoire de son ami et, bien que plusieurs années se fussent écoulées entre la mort du pauvre Fairfax et le retour du colonel en Angleterre, sa reconnaissance n’en fut pas affaiblie : dès son arrivée, il s’occupa de rechercher l’enfant et s’intéressa à elle


    12. Le colonel était marié et avait une fille à peu près de l’âge de Jane ; cette dernière fut invitée à venir passer de longs mois chez les Campbell ; elle était jolie et intelligente et fut prise en affection par toute la famille ; quand Jane eut neuf ans, la grande tendresse que leur fille manifestait pour sa petite compagne et en même temps leur désir de se montrer de véritables amis amenèrent le colonel et Mme Campbell à proposer de prendre la charge entière de l’enfant


    13. L’offre fut acceptée, et depuis cette époque Jane avait fait partie de la famille du colonel Campbell ; elle n’était plus venue chez sa grand-mère qu’en visite de temps en temps


    14. Il fut décidé que l’on ferait d’elle une institutrice ; les quelques milliers de francs qu’elle avait hérités de son père ne pouvaient, en effet, suffire à lui assurer l’indépendance et le colonel Campbell n’était pas lui-même en situation de la lui procurer ; car bien que son revenu provenant de ses appointements et de ses charges fût considérable, il n’avait, d’autre part, qu’une petite fortune personnelle qu’il devait transmettre intacte à sa fille ; mais il espérait qu’en donnant à Jane une éducation soignée, il la mettrait à même de gagner sa vie honorablement


    15. En vivant constamment avec des gens intelligents et cultivés, le cœur et l’intelligence de l’enfant s’étaient affinés ; de plus la résidence du colonel Campbell étant à Londres, tous les talents d’agrément avaient été cultivés sous la direction de maîtres de premier ordre


    16. Le bon sens du colonel et de Mme Campbell ne pouvait pas s’opposer à cette résolution qui leur était pourtant pénible


    17. Jane dit que le colonel Campbell est également un peu sourd ; il s’était figuré que les bains chauds pourraient lui faire du bien, mais l’amélioration n’a pas duré


    18. Le colonel Campbell, vous le savez, est notre ange gardien


    19. Le colonel Campbell est un homme charmant et Mme Campbell, une aimable femme, pleine de cœur ; je les aime tous


    20. – J’ai été aujourd’hui, disait-elle, faire une visite à Mlle Bates et, en entrant dans le salon, mon attention fut immédiatement attirée par l’adjonction au mobilier d’un piano, un magnifique demi-queue ; je me suis empressée de complimenter Mlle Bates ; celle-ci me donna aussitôt toutes les explications possibles : le piano était arrivé la veille de chez Broadwood ; personne ne s’y attendait ; Jane elle-même n’y comprenait rien ; elles sont maintenant persuadées que c’est un cadeau du colonel Campbell

    21. – C’est un piano à queue et le colonel a sans doute estimé que ce serait trop encombrant pour la maison de Mme Bates


    22. Mais le sujet fut aussitôt abordé par les autres : Jane Fairfax ne put dissimuler sa confusion et ce fut en rougissant qu’elle accueillit les félicitations et qu’elle fit allusion à : « mon excellent ami le colonel Campbell »


    23. J’aurais cru que le colonel Campbell eût fait preuve d’un meilleur jugement


    24. Quand vous vous rendrez compte de la place occupée par Jane Fairfax dans la famille du colonel Campbell, vos craintes disparaîtront


    25. – Le colonel et Mme Campbell doivent rentrer en ville vers le milieu de l’été et j’irai les rejoindre


    26. Il a été acheté à Weymouth et choisi par Mme Dixon ; il y en avait trois autres et ils hésitèrent un peu avant de se décider ; le colonel Campbell était d’avis d’en prendre un de couleur olive


    27. – Ah, mademoiselle Woodhouse ; comme vous êtes bonne ! Vous connaissez la nouvelle, sans doute, et vous venez nous féliciter ! Cette séparation toutefois sera un grand crève-cœur pour nous – essuyant ses larmes – après le long séjour qu’elle vient de faire à la maison ; Jane a une terrible migraine ; elle s’est attelée à sa correspondance toute la matinée : il a fallu écrire si longuement au colonel et à Mme Dixon


    28. J’avais compris que l’on devait attendre le retour du colonel Campbell pour prendre une résolution définitive


    29. Elle n’a pas voulu accepter un refus, car au premier abord, – précisément le jour du déjeuner à Donwell, – Jane était absolument résolue à ne pas accepter cette offre ; comme vous le disiez, elle avait l’intention de ne rien décider avant le retour du colonel Campbell et à aucun prix elle ne voulait s’engager pour le moment ; elle fit part de sa résolution à Mme Elton, mais celle-ci, dont le jugement est infaillible, déclara positivement qu’elle n’écrirait pas ce jour-là pour donner une réponse négative comme Jane le désirait : elle attendait


    30. – Le colonel et Mme Campbell ne seront-ils pas fâchés que Jane ait pris un engagement avant leur retour ?

    31. Ne croyez pas, madame, qu’on ne m’ait pas donné de bons principes ; les amis qui m’ont élevée ne méritent aucun blâme ; toute la responsabilité de mes actes m’incombe tout entière ; malgré l’atténuation que les événements paraissent apporter à ma conduite, je redoute encore aujourd’hui de mettre le colonel Campbell au courant


    32. Je resterai ici tant que le colonel et Mme Campbell ne me rappelleront pas


    33. —Par les voyageurs qui nous ont précédés ; puis les Français, qui occupent la colonie du Sénégal, ont eu forcément des rapports avec les peuplades environnantes ; sous le gouvernement du colonel Faidherbe, des reconnaissances ont été poussées fort avant dans le pays ; des officiers, tels que MM


    34. En 1857, il remontait plus au nord et investissait le fort de Médine, bâti par les Français sur les bords du fleuve ; cet établissement fut défendu par un héros, Paul Holl, qui pendant plusieurs mois, sans nourriture, sans munitions presque, tint jusqu'au moment où le colonel Faidherbe vint le délivrer


    35. On vit là le fringant Bilsby, Tom Hunter, le colonel Blomsberry, le major Elphiston, le général Morgan, et tutti quanti, pour lesquels la fonte de la Columbiad devenait une affaire personnelle


    36. Sans le bras droit de Blomsberry, que le digne colonel avait heureusement conservé, le secrétaire du Gun-Club, comme un nouvel Érostrate, eût trouvé la mort dans les profondeurs de la Columbiad


    37. Maston, le major Elphiston, le général Morgan, le colonel Blomsberry, l'ingénieur Murchison et d'autres membres distingués du célèbre club


    38. Quand j’avais conçu ma blague, je me voyais conduisant un vieux colonel grincheux dans un quartier perdu et dépourvu de communications, situé à au moins une demi-douzaine de lieues de l’endroit où il voulait se rendre, et l’abandonnant là à jurer devant une borne


    39. Dans ces conditions j’aurais pu avoir de l’amusement ou peut-être pas : tout dépendant des circonstances et du colonel


    40. Le colonel Fitzwilliam, qui paraissait une trentaine d’années, n’était pas un bel homme mais il avait une grande distinction dans l’extérieur et dans les manières

    41. Le colonel Fitzwilliam avait engagé la conversation avec toute la facilité et l’aisance d’un homme du monde mais son cousin, après une brève remarque adressée à Mrs


    42. Les habitants du presbytère goûtèrent beaucoup les manières du colonel Fitzwilliam et les dames, en particulier, eurent l’impression que sa présence ajouterait beaucoup à l’intérêt des réceptions de lady Catherine


    43. De toute la semaine précédente, ils avaient très peu vu lady Catherine et sa fille ; le colonel Fitzwilliam était entré plusieurs fois au presbytère, mais on n’avait aperçu Mr


    44. Alors, colonel, que vais-je vous jouer ? Mes doigts attendent vos ordres


    45. – En demanderons-nous la raison à votre cousine ? dit Elizabeth en s’adressant au colonel Fitzwilliam


    46. – Inutile de l’interroger, je puis vous répondre moi-même, dit le colonel ; c’est parce qu’il ne veut pas s’en donner la peine


    47. Que ce fût la proximité du presbytère, l’agrément du chemin qui y conduisait ou des personnes qui l’habitaient, toujours est-il que le colonel Fitzwilliam et Mr


    48. Il était visible que le colonel Fitzwilliam était attiré par la société des trois jeunes femmes


    49. La satisfaction qu’Elizabeth éprouvait à le voir, aussi bien que l’admiration qu’il laissait paraître pour elle, lui rappelaient son ancien favori, George Wickham, et si en les comparant elle trouvait moins de séduction aux manières du colonel Fitzwilliam, elle avait l’impression que, des deux, c’était lui sans doute qui possédait l’esprit le plus cultivé


    50. Parfois, dans les projets d’avenir qu’elle faisait pour son amie, [ 163 ]Charlotte la voyait épousant le colonel Fitzwilliam














































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