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    Usar "nabab" en una oración

    nabab oraciones de ejemplo

    nabab


    1. —Ah çà! mais c'est donc un nabab que cet homme? Savez-vous ce que valent trois fenêtres comme celles-là pour huit jours de carnaval, et au palais Rospoli, c'est-à-dire dans la plus belle situation du Corso?


    2. de Monte-Cristo, qui n'a d'autre mérite à mes yeux que d'être deux fois riche comme un nabab; mais j'ai passé la parole à mon ami Morcerf; arrangez-vous avec lui, cela ne me regarde plus


    3. —Un nabab ne m'eût certainement pas envoyé une paire de chevaux de trente mille francs, avec quatre diamants aux oreilles, de cinq mille francs chacun


    4. Oui, cela m’indigne, quand je pense aux sommes fantastiques enfermées dans les coffres-forts de ce nabab ! Ah ! si c’était moi !


    5. – Peste, il va devenir le maître de toute la contrée, cet Anglais ! Mlle Trémont fera bien de se mettre aussitôt à la conquête d’un tel nabab !


    6. Imaginez-vous l’écrin d’une sultane apparaissant tout à coup avec ses fulgurations, la cassette d’un nabab s’ouvrant avec de flamboyantes irisations, la splendide moisson des mineurs de Golconde ou de Visapour s’éparpillant soudain en un capricieux ruissellement de feux multicolores, et vous aurez peine à concevoir l’incomparable splendeur du trésor découvert par le gredin, d’une façon si imprévue


    7. » Non pas cette opulence banale des marchands de la Cité enrichis dans le commerce des cuirs, des suifs ou des cotons, mais la folle profusion d’un nabab, seule compatible avec mon envergure


    8. Elle se soigna, comme une courtisane qui veut faire la conquête d’un Nabab, ne négligeant aucun des artifices de la toilette, et rehaussant, par le charme de sa mise, son incomparable beauté


    9. Dans dix ans tu peux revenir en France riche comme un Nabab ! La petite histoire du père Montbriand sera oubliée ; d’ailleurs, si le cœur t’en dit, tu lui restitueras l’infime capital que tu lui as emprunté, un peu de force, il est vrai


    10. Me souvenant que la fortune des Erlemont provenait d’un aïeul qui avait vécu aux Indes avec le titre de nabab, je suppose qu’il avait converti ses immenses richesses en pierres précieuses de toute beauté

    11. – Je suppose également que si les héritiers du nabab Erlemont n’ont jamais parlé des colliers formés avec ces pierres précieuses, c’est pour n’avoir pas à payer les droits de succession ?


    12. Le vieux Sébastien Deschamps avec sa grosse et grasse moitié, la mère Anastasie, ne furent pas les derniers à proclamer bien haut la générosité du nabab Charles Dumontier, la bonne vieille assurant à tout le monde qu’elle avait toujours prédit que Tic Toc deviendrait un grand homme


    13. Les sages trouvaient qu’elle était bien imprudente de se livrer sans plus de garanties, à l’aveuglette, en étourdie, à un inconnu après tout, bien qu’on le dit riche comme un nabab, et qu’il fût beau et galant comme pas un


    14. – À moins que ce ne soit un Russe ou un nabab indien


    15. Le voluptueux sultan tourmenté par l’ennui et le dégoût, la vaporeuse princesse, le nabab vindicatif et féroce, recouvraient l’empire sur eux-mêmes et le repos, à la suite des excursions que les conteurs leur faisaient faire dans le pays des songes et des enchantements


    16. – C’est fort ingénieux, d’autant plus qu’il y a dans le grand salon un témoin désespéré des assiduités du nabab, qui n’a pas perdu un de ses regards ni un de ses gestes


    17. – Osez, il n’a d’yeux que pour le nabab qui danse avec Alberte, et, d’ailleurs, si nous le voyons très bien, il ne peut nous apercevoir


    18. Les uns le prenaient pour un nabab


    19. Je me suis échappé de son château, où il m’a accueilli comme le Messie, car ce nabab a une peur horrible d’abandonner les biens de ce monde, et j’ai pu venir passer quelques heures avec vous


    20. Sans compter les titres des propriétés que ce nabab possède en Amérique

    21. Tout en disant cela de ce ton de brusquerie dédaigneuse qu’elle avait presque toujours lorsqu’elle parlait à l’Irlandais, Félicia travaillait au buste du Nabab qu’elle venait de commencer, posait son modèle, quittait et reprenait l’ébauchoir, essuyait lestement ses doigts à la petite éponge, tandis que la lumière et la tranquillité d’un bel après-midi de dimanche tombaient sur la rotonde vitrée de l’atelier


    22. Elle allait dire : et le Nabab ? mais se contint


    23. » Et son regard se tournait, inquiet et suppliant, du côté du Nabab, comme pour lui demander grâce de toutes ces impertinences paradoxales


    24. Le Nabab est avec elle


    25. Et, sans s’inquiéter autrement de la danseuse qui levait les bras au ciel pour le prendre à témoin de ce qui allait se passer, il se dirigea vers l’atelier ; mais, au lieu d’entrer droit, il entrouvrit la porte doucement, et souleva un coin de tenture par lequel une partie de la pièce, celle où posait précisément le Nabab, devint visible pour lui, quoique à une assez grande distance


    26. » Aussitôt la figure du Nabab, un instant contractée, se détendit


    27. Jenkins venait chercher le Nabab pour le mener aux Tuileries chez le secrétaire et prendre jour


    28. En face d’elle, le large masque du Nabab, avec son nez épaté, sa bouche sensuelle et bonasse, criait de vie et de vérité dans les luisants de l’argile


    29. Le Nabab loua tout le second étage de la maison de la place Vendôme, dont le locataire fut exproprié à des prix de Nabab


    30. Résolu à s’installer, à recevoir, à donner des fêtes, le Nabab avait fait venir sa femme pour la mettre à la tête de la maison ; mais quand il vit débarquer cet étalage d’étoffes criardes, de bijouterie du Palais-Royal, et tout l’attirail bizarre qui suivait, il eut vaguement l’impression d’une reine Pomaré en exil

    31. Le Nabab était consterné


    32. Là, le Nabab se trouvait chez lui


    33. « Ne vous dérangez pas », faisait avec la main le bon Nabab entrant sur la pointe des pieds


    34. Bompain dirigeait leurs études, mais à Paris, le Nabab, tenant à leur donner le bénéfice d’une éducation parisienne, les avait mis dans le pensionnat le plus « chic », le plus cher, au collège Bourdaloue dirigé par de bons pères qui cherchaient moins à instruire leurs élèves qu’à en faire des hommes du monde bien tenus et bien-pensants, et arrivaient à former de petits monstres gourmés et ridicules, dédaigneux du jeu, absolument ignorants, sans rien de spontané ni d’enfantin, et d’une précocité désespérante


    35. Le Nabab en course dans Paris dévalisait pour eux toute une devanture de confiseur qu’il faisait porter au collège avec cet élan de cœur mêlé d’une ostentation de nègre, qui caractérisait tous ses actes


    36. Le Nabab exigeait qu’on ne refusât aucune offrande, et c’était encore un progrès qu’il ne s’en chargeât plus lui-même


    37. Toute l’honnêteté de sa jeunesse se révoltait, il essayait auprès du Nabab des tentatives de réforme


    38. Est-ce que cela ne valait pas quelques millions habilement gaspillés et laissés aux oiseaux sur cette route de la gloire où le Nabab marchait en enfant, sans souci d’être dévoré tout au bout ? Et n’avait-il pas dans ces joies extérieures, ces honneurs, cette considération chèrement achetés, une compensation à tous les déboires de cet Oriental reconquis à la vie européenne, qui voulait un foyer et n’avait qu’un caravansérail, cherchait une femme et ne trouvait qu’une Levantine ?


    39. C’était une estafette de Jenkins apportant une grande nouvelle : le docteur arriverait dans deux heures pour visiter l’asile, avec le Nabab et un monsieur des Tuileries


    40. Il descend avec Jenkins et Jansoulet d’un carrosse superbe, à la livrée rouge et or du Nabab

    41. Le Nabab est livide aussi


    42. Le bon Nabab mêle sa voix à ce concert d’éloges, trouve un mot aimable pour chacun, mais s’étonne un peu tout de même qu’on ne l’ait pas félicité lui aussi, puisqu’on y était


    43. En lisant ces lignes à la première page du Journal Officiel, le matin du 16, le pauvre Nabab eut un éblouissement


    44. Le Nabab fut encore obligé de l’arrêter :


    45. Au déjeuner, le Nabab ne parla de rien, fut aussi gai que de coutume


    46. Dans la soirée, le Nabab avait ouvert un petit portefeuille misérable, écorné aux angles, où depuis dix ans il faisait battre des millions, écrivant dessus en hiéroglyphes connus de lui seul, ses bénéfices et ses dépenses


    47. Et dire que pour opérer cette transformation, pour ramener sur nos fronts la gaieté mère de la concorde, rendre à notre papier sa valeur décuplée, à notre cher gouverneur l’estime et la confiance dont il était si injustement privé, il a suffi d’un homme, de ce richard surnaturel que les cent voix de la renommée désignent sous le nom du Nabab


    48. Hâtons-nous d’ajouter que je n’ai eu besoin de rien de semblable pour attirer l’attention du Nabab


    49. Toutes les craintes s’évanouissent devant le mot à la mode en ce moment dans tous les conseils d’administration, dans toutes les réunions d’actionnaires, à la Bourse, sur les boulevards et partout : « Le Nabab est dans l’affaire


    50. Naturellement, le bey qui se trouvait, paraît-il, à court d’argent de poche, a été très touché de l’empressement du Nabab à l’obliger, et il vient de lui envoyer par Brahim une lettre de remerciement dans laquelle il lui annonce qu’à son prochain voyage à Vichy il passera deux jours chez lui à ce beau château de Saint-Romans, que l’ancien bey, le frère de celui-ci, a déjà honoré de sa visite














































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