skyscraper

skyscraper


    Elige lengua
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget

    Usar "terrien" en una oración

    terrien oraciones de ejemplo

    terrien


    1. Comme tout terrien, que les gens de ce magnifique pays d’asile,


    2. Ton acclimatation ici, cher ami terrien, sera rapide et sans problème


    3. Si un quelconque terrien avait trouvé tout cet or, il aurait pu vivre de cette rente pour toute sa vie en la consacrant aux débauches les plus effrénées


    4. Vous qui êtes un terrien, vous n’ignorez pas que les bas quartiers de vos villes regorgent de pauvres diables, sur lesquels, pour vous débarrasser, j’imagine, vous lâchez la peste et la famine


    5. Il est certain que le terrien que j’étais faisait, dans le rôle de second d’une goélette, assez triste figure


    6. Ainsi chantant notre hymne, nous mettons en strophes égales la grandeur du marin et la bassesse du terrien, tout près de soutenir que ces hommes qui s’agitent ont pêché et vendent leur poisson pour l’amour de l’art


    7. D’une vieille bourse de cuir, le terrien sortait des billets de banque et des pièces d’argent qui allaient rejoindre leurs aînés dans le coffre-fort du notaire


    8. Sans doute son compagnonnage avec Albert Chabrol, parti pour la guerre, avait-il laissé en lui quelque chose qui n’était plus du lige, mais bien de l’affranchi : un frémissement des mains, un cillement rapide quand on parlait d’ailleurs, de l’inconnu ; au lieu du froncement de lèvres défiant qui révèle alors le vrai terrien pour qui tout ce qui est par-delà l’étroit horizon familier est sinon ennemi, du moins suspect


    9. Le terrien était devenu par le cours des choses plus qu’un simple rouage de la machine économique : comme jamais, le nourricier était roi


    10. Le terrien revint en lui et lui rendit le sens d’exister

    11. – Pour ma part je suis très reconnaissant de l’honneur qu’on me fait, grâce à Nicolas Ivanitch, de m’élire juge de paix honoraire ; le devoir de juger les affaires d’un paysan me semble aussi important que tout autre : c’est ma seule façon de m’acquitter envers la société des privilèges dont je jouis comme propriétaire terrien


    12. Les malheurs du pays n’étaient donc pas finis ? Il fallait recommencer à lutter ? Et cette fois, les ennemis étaient du côté qu’on aimait ! Quarante-huit ans passés à dire : « Le temps français, quand reviendra-t-il ? quand serons-nous délivrés ? quand serons-nous parmi ceux qui ont la même âme que nous ? » Voilà que ce long désir était à peine accompli ; les jeunes gens, les jeunes filles et les jeunes femmes attendaient la bienvenue promise avec des cœurs émerveillés ; les anciens continuaient à raconter complaisamment les souvenirs des années d’avant 1870 ; les plus sages reprenaient les impatients : « Tout n’est pas à souhait encore, mais vous verrez bientôt ! » Et maintenant on commençait de voir la persécution de la foi, et le complot contre les enfants ! Expliquer cela ! Empêcher des colères comme celle du Romain, là, tout à l’heure ! Quel crédit trouverait-on, parmi les désabusés ? Lui, le grand curé terrien, l’ancien prisonnier des forteresses allemandes, il pouvait ne pas confondre la France avec ceux qui font les lois, et avec les ministres qui donnent des ordres, mais la plupart des Lorrains penseraient peut-être : « Nos pères nous ont menti ! » Dans sa paroisse, n’en aurait-il pas de ces braves gens, qui allaient être séparés de nous désormais ? Où iraient-ils ? La réponse de Léo le laissait prévoir


    13. Ces pages où il devait consigner au jour le jour les événements, ses émotions, ses impressions, offraient un tel ensemble de calme sérénité que le jeune notaire y retrouvait à chaque ligne la grande âme du vieux terrien lui parlant de l’au-delà de la tombe


    14. Elle était entrée aussitôt, sans se soucier de ma réponse, et resta quelques secondes à m’observer avant d’annoncer que Terrien m’attendait


    15. J’ai rejoint Terrien qui m’attendait effectivement dans la salle, feuilletant Ouest-France, assis à la chaleur d’une flambée


    16. Louise nous servit un turbot délicieux ; elle venait de l’acheter à la criée, m’a précisé Terrien ; quant à lui, il aurait préféré me faire goûter du saint-Pierre, mais on en trouve paraît-il plus rarement


    17. Je restais insatisfait, et même inquiet ; insatisfait de constater que je n’apprendrais rien de plus ce soir sur Terrien – il m’avait consacré deux heures cet après-midi et cela devait suffire à ses yeux –, inquiet tout de même de sa curiosité presque indiscrète pour tout ce qui concernait ma carrière, ma personnalité intellectuelle si l’on veut, jusque dans ses détails les plus insignifiants : quel besoin avait-il donc de ces informations, pourquoi tenait-il à si bien me connaître, moi, dont il avait toujours ignoré l’existence et qui, dans moins de vingt-quatre heures, serais sans doute sorti à tout jamais de sa vie ? Aussi ai-je décliné son offre lorsque, après une excellente salade de fruits magnifiquement décorée par Louise de tranches de kiwi, de cerises confites et de quartiers d’orange qui constituaient une sorte de mosaïque colorée, il m’a proposé de regagner le salon pour terminer cela sur un verre de sa fameuse Fine


    18. J’avais réellement l’intention, comme je l’avais prétexté auprès de Terrien, de me remettre au travail une petite heure avant de me coucher, mais lorsque j’ai ouvert, sur le bureau, la chemise où je serrais toutes mes notes, il m’est apparu que je n’avais tout compte fait rien d’autre à écrire


    19. J’ai d’abord entendu son pas sur le gravier, trop léger pour être celui de Terrien, et j’ai prêté l’oreille


    20. « Je suppose que Monsieur Terrien vous a parlé de moi, cet après midi ? »

    21. Non seulement les genoux de Louise, mais tout ce que Terrien m’avait confié à son propos depuis ce matin m’empêchait d’accorder la concentration souhaitable à la situation présente, j’en étais bien conscient


    22. Etait-elle venue me sonder parce qu’elle soupçonnait Terrien de m’avoir mal disposé à son égard ou y avait-il encore autre chose, dont il aurait pu me parler et qui l’inquiétait ? Mais, si tel avait été le cas, elle aurait dû se trouver rassurée désormais et, du coup, plus rien ne justifiait sa présence dans ma chambre


    23. En même temps j’entendais l’avertissement de Terrien : "Méfiez-vous de Louise


    24. "Vous devriez tenter votre chance", m’avait aussi dit Terrien, et je commençais à trouver qu’il était de bon conseil


    25. » Je lui indiquai la photo sur laquelle Madame Terrien sort une jambe de la voiture tout en inclinant le buste


    26. vous êtes Laure Terrien ? »


    27. Je vais être tout à fait franc avec vous, Louise, je crois que ça vaut mieux : Monsieur Terrien m’a effectivement parlé de vous, de votre


    28. — Monsieur Terrien me l’a prêté, oui


    29. Et comme je tentais de modérer ce nouvel emportement – Terrien, après tout, ne m’avait prêté ce livre qu’à la suite d’un hasard de la conversation, un livre qui n’était rien d’autre qu’une assez fascinante fantaisie métaphysique, sans plus, un brillant échantillon de l’esprit décadent – elle se mit à crier de telle sorte que je la crus au bord des larmes :


    30. Je regardai cette jeune femme, dont je ne savais plus si elle était simplement Louise ou de surcroît Laure Terrien et dont l’étrange beauté, encore décuplée par une intense agitation intérieure, me troublait toujours autant que le premier soir

    31. Je venais de me rendre compte que j’avais tout intérêt à écouter l’histoire de Louise jusqu’au bout ; c’est elle qui m’apporterait ce que je voulais savoir sur Terrien, il n’y aurait plus qu’à faire, parmi tout ce fatras, un tri très prudent


    32. Décidément Terrien avait raison : Louise était beaucoup plus dangereuse qu’elle ne paraissait


    33. A quoi jouait donc Terrien pour faire part à Louise d’une conversation aussi personnelle ? Puis je me souvins de l’insistance bizarre qu’il avait mise à me faire avouer mon faible – rien que de très naturel, d’ailleurs, c’est pourquoi je ne m’en étais guère défendu


    34. N’était-ce pas lui qui m’avait encouragé, de façon presque grossière, à « tenter ma chance » ? Pourtant ça n’était pas possible, pas possible de la part d’un personnage comme Terrien ; et quand bien même ça l’aurait été, quel intérêt aurait-il trouvé à me manipuler ainsi ? Il ne me connaissait pas, je ne le connaissais pas, qu’est-ce que cela pouvait bien lui apporter ?


    35. J’étais tout de même contrarié que Terrien la sache avec moi, bien que je n’aie rien fait pour cela


    36. Si vous êtes vraiment Laure Terrien – admettons-le –, pour que tout cela soit clair, j’aimerais que vous répondiez seulement à deux questions : d’abord pourquoi tenez-vous le rôle de l’employée ici, du moins depuis mon arrivée, alors que vous prétendez avoir une bonne ? Ensuite, qu’êtes-vous venue chercher auprès de moi ce soir, vous auriez aussi bien pu me parler dans la journée, ce matin par exemple ? Si vous répondiez à ces deux questions, je pourrais peut-être commencer à vous croire


    37. Elle penchait la tête légèrement en avant, de sorte que les cheveux, sur ses joues, évoquaient la vivante image de Madame Terrien sur mon cliché fétiche


    38. Il y avait un tel accent de sincère détresse, dans ces derniers mots, que j’ai douté un instant de Terrien


    39. — Terrien a raison, lui ai-je dit, m’efforçant de dégager ma main qu’elle frottait avec passion contre sa joue, il a raison, vous êtes folle !


    40. Je ne me suis pas demandé, alors, si elle allait rejoindre Terrien ou regagnait sa chambre solitaire

    41. Terrien doit se faire une drôle d’opinion de moi, ai-je pensé, à me voir me lever deux jours de suite aussi tard


    42. Terrien m’attendait dans le séjour sans m’attendre


    43. Je ne saurais dire combien il me coûta d’évoquer Louise ainsi, sur le mode d’une quasi grivoiserie, mais, sur le moment, je ne trouvai pas de plus sûr moyen d’éluder les autres aspects de ma soirée avec elle, des aspects dont je ne tenais pas à discuter avec Terrien


    44. (Les allusions de Louise aux visites de Terrien dans sa chambre ! Dire que je ne leur avais pas accordé le moindre crédit !)


    45. Ce n’est pas tant la révélation elle-même qui m’a laissé stupéfait que l’ironique détachement de Terrien, dont pourtant le regard tendu épiait maintenant ma réaction avec une avidité impatiente


    46. C’est à ce moment-là seulement que j’ai réalisé l’énormité de la situation – Terrien, sa femme, moi –, une situation, quoi que je fasse, à tout jamais irréparable


    47. Terrien se tenait devant la voiture, les mains dans les poches de son velours


    48. Terrien était resté en arrière, comme pour ne pas s’immiscer dans l’éphémère intimité de nos adieux, mais je l’ai soupçonné aussi de vouloir observer à distance la contenance que je saurais adopter en face d’elle


    49. Je me suis avancé vers Terrien qui m’a tendu la main :


    50. Peut-être avais-je promis de l’emmener, c’est possible ; mais à ce moment-là je ne savais pas qu’elle était Laure Terrien




















    Mostrar más ejemplos

    terrien in English

    earthling landlubber