1.
Avec un torse de femme et un corps d'oiseau
2.
Torse nu, errant dans tes yeux,
3.
L’éclair frappa Sven en pleine poitrine, creusant un trou béant dans son torse et le tuant instantanément
4.
Frappé en pleine poitrine par le rayon, Charles tomba sur le sol, mort, la moitié de son torse calciné et un grand trou noir à la place du cœur
5.
Mais, la partie une fois engagée, Lantier, qui avait un coup de queue extraordinaire, retrouva sa grâce et sa belle humeur, développant son torse, accompagnant d'un effet de hanches chaque carambolage
6.
Il ne pouvait plus se taper sur le torse, et crâner, en disant que le sacré chien l'engraissait; car sa vilaine graisse jaune des premières années avait fondu, et il tournait au sécot, il se plombait, avec des tons verts de macchabée pourrissant dans une mare
7.
Il ne pleuvait pas chez le père Colombe, et si la paie fondait dans le fil-en-quatre, on se la mettait sur le torse au moins, on la buvait limpide et luisante comme du bel or liquide
8.
Ils avaient découvert l'homme des cuisses aux épaules, Gervaise voyait, en se haussant, ce torse nu étalé
9.
Pourtant, Gervaise, ayant vu les médecins poser leurs mains sur le torse de son homme, voulut le tâter elle aussi
10.
Mâts et cordages, lisses, écoutilles et capots, étaient éclaboussés de rouge, pendant que nos hommes, le torse nu, les mains et les bras teints d’écarlate, tels des bouchers à l’abattoir, opéraient sans arrêt
11.
Il se présentait à mi-corps, debout sur l’escalier intérieur qui descendait au carré, et je ne voyais que sa tête et la partie supérieure du torse
12.
Enfin un torse fortement développé et posé d'aplomb sur de longues jambes, des bras musculeux, leviers puissants et bien attachés, une allure décidée, faisaient de cet Européen un gaillard solidement bâti, «plutôt forgé que fondu», pour emprunter une de ses expressions à l'art métallurgique
13.
Nous palpions son torse sonore
14.
Chicot a voulu rire et gausser selon son habitude, mais un regard terrible du roi lui a appris que ce n'était pas l'heure; alors il a pris comme les autres une discipline; seulement, au lieu de se frapper, il assomme ses voisins; et lorsqu'il ne trouve plus aucun torse à sa portée, il enlève des écailles de la peinture des colonnes et des boiseries
15.
Ils tombaient jusqu’à la chute des reins et leurs vagues ondulantes cachaient le torse frêle
16.
Ces enfants, qui dépassaient la foule de tout le torse, étaient admirablement placés
17.
Un instant il s’arrêta, hésitant, puis, d’une rapidité d’éclair, se déshabilla le torse, jeta à la volée dans la foule stupéfaite, ses vêtements
18.
Le torse du sculpteur se gonfla puissamment
19.
Le squelette est tout à fait viril, la barbe est forte, mais le torse n'a pas de poil du tout
20.
Quand c'était possible, je préférais avoir le torse nu pour mieux sentir les coups de cravache
21.
Je la préférais avec de belles bottines, de beaux bas, des pantalons courts et serrant aux genoux, le torse complètement habillé, la tête coiffée d'un chapeau et les mains gantées
22.
Alors il met son torse à nu, se couche par terre, croise les bras sur l'abdomen, ferme les yeux et fait marcher la puella sur sa poitrine nue, sur son cou et sa figure, en la priant d'enfoncer vigoureusement à chaque pas les talons dans sa chair
23.
Aussi, au premier bain qu’elle prit, quand on la vit sortir de l’eau, la splendeur de son torse moulé dans la flanelle ruisselante ; quand, la gorge renversée, elle dénoua la forêt noire de ses cheveux mouillés qui dégringolèrent jusque très bas, ce ne fut qu’un cri parmi les plagiaires(1)
24.
Près de lui, un superbe bellâtre, d’une irréprochable élégance, frisant des moustaches guerrières et arborant sur son torse développé la rosette de la Légion d’honneur, n’était autre que le brillant officier de hussards, l’ex-commandant Adalbert de Poitevy, qu’elle eût autrefois souhaité pour époux et qui lui avait préféré l’opulente vulgarité d’une veuve de province
25.
Un jour qu’elle s’avisa de prendre un bain et qu’on vit surgir de l’eau l’impeccabilité souple de son torse nu, le torrent sombre de ses cheveux qui, brusquement dénoués, dégringolèrent plus bas que de raison, ce ne fut qu’un cri parmi les plagiaires(1) :
26.
Une fenêtre s’ouvrit au premier ; un homme jeune encore, mais le torse nu et terriblement ébouriffé, s’avança
27.
Une belle figure est, il est vrai, un accessoire agréable, mais pas du tout indispensable à l'excitation de mon envie sensuelle; la principale condition est et reste: vir inferiore corporis parte robusta et bene formosa, turgidis femoribus durisque natibus, tandis que le torse peut être svelte
28.
Le torse ne répond pas du tout à la conformation féminine
29.
Basse sur pattes, le torse rond, un épais museau en pyramide au bout duquel se projetait une manière de longue corne, une peau nue sur les flancs, écailleuse sur le dos, poilue sur le mufle, cette bête avançait avec un frétillement qui lui donnait l’air de ramper ; des pattes épaisses s’agitaient sous elle
30.
Dressées sur trois pattes, le torse vertical, elles avaient positivement quelque chose d’humain
31.
À seize ans, Éphrem était bâti comme un homme, haut de torse, bas sur jambes, carré d’épaules, les mains comme des battoirs emmanchés de deux bras noueux
32.
À ce moment, un homme puissant de torse, en bras de chemise comme chez lui, fit irruption dans la pièce
33.
Elle consultait de l'oeil Léa, orgueilleusement étalée et qui soutenait, tandis qu'il buvait, le torse de son "nourrisson méchant"
34.
Son torse nu, large aux épaules, mince à la ceinture, émergeait des draps froissés comme d'une houle, et tout son être respirait la mélancolie des oeuvres parfaites
35.
D'une poussée tendre Léa rabattit sur l'oreiller le torse nu et la tête alourdie
36.
Il restait, le torse raidi, les lèvres serrées, les yeux fixés droit devant lui
37.
Son torse et ses membres étaient bien musclés, mais d’une maigreur qui en dessinait tous les détails anatomiques comme de véritables cordages
38.
Il lui semblait que le To-Ho de tout à l’heure, le To-Ho debout, distrait et farouche, n’était pas un inconnu pour lui ; qu’il avait déjà entrevu quelque part un regard, un torse, une silhouette qui ressemblaient à cela
39.
Bien que ses traits sombres et accentués, ses yeux fauves qui brûlaient d’un feu concentré et avaient une expression égarée, révélassent qu’il avait atteint une vieillesse avancée, cependant aucune trace de décrépitude ne se laissait voir dans toute sa personne ; sa taille semblait ne pas avoir perdu un pouce de sa hauteur, tant son torse était droit encore ; ses membres noueux, garnis de muscles dur comme des cordes, paraissaient doués d’une force et d’une souplesse extraordinaires : en somme, il avait toute l’apparence d’un redoutable partisan, dont le coup d’œil devait être aussi sûr et le bras aussi prompt que s’il n’eût eu que quarante ans
40.
Et puis, quel homme que ce géant ! Basil ne pouvait se défendre d’un juste tribut d’admiration pour lui : il se surprenait même à contempler en vrai amateur le magnifique développement de ce torse herculéen, de ces membres beaux comme ceux de la statuaire antique, de cette tête noble et énergique, toute rayonnante de courage et d’intelligence
41.
Cédant néanmoins au goût des hommes de sa race pour la toilette, il s’était acheté un superbe costume collant, du rouge le plus éclatant, et, quand on le vit se mettre en ligne avec ses concurrents, toutes les jumelles furent braquées sur le torse puissant du nègre, dont les muscles en saillie accusaient la vigueur
42.
C’était le guerrier de haute stature, au torse profond, cerclé de côtes plus pareilles à des côtes d’aurochs qu’à des côtes d’homme, avec des bras dont la longueur dépassait d’un tiers ceux de Naoh
43.
On apercevait brusquement un torse velu, une tête aux grands cheveux ; ou bien des silhouettes confuses se glissaient dans les pénombres
44.
La face était énorme, avec des mâchoires d’hyène, des yeux ronds, rapides et pleins de feu, le crâne long et bas, le torse profond comme celui d’un lion mais plus large : chacun des quatre membres se terminait par une main
45.
Une autre jolie créature, Mlle Modeste Bornichoux, qui posait le torse chez un peintre en renom (un des cavaliers du cortège), représentait l’Amour, et le représentait à merveille ; on ne pouvait prêter à l’Amour un plus charmant visage et des formes plus gracieuses
46.
Le nègre avait enlevé sa veste et sa chemise, et son torse nu, énorme, ses bras musculeux faisaient l’admiration des spectateurs
47.
Il apparut énorme, avec son torse puissant et ses biceps formidables
48.
Aussi, au premier bain qu’elle prit, quand on la vit sortir de l’eau, la splendeur de son torse, moulée dans la flanelle ruisselante ; quand, la gorge renversée, elle dénoua la forêt noire de ses cheveux mouillés qui dégringolèrent jusque très bas, ce ne fut qu’un cri parmi les plagiaires(1)
49.
Ce pauvre Léon a une petite femme que, grand admirateur de Richepin, il a baptisée Miarka, parce que son père (à Miarka) est un homme d’une nature hargneuse et velue et qu’elle-même possède un torse d’écuyère et le mépris des lois
50.
un lambeau de couverture ceignait ses reins ; son torse blafard et meurtri était nu ainsi que ses jambes, autour desquelles se voyaient encore les débris des liens qu’il venait de briser ; son épaisse chevelure jaunâtre se roidissait sur son front ; sa barbe semblait se hérisser, par la même horripilation ; ses yeux, roulant égarés, sanglants dans leurs orbites, brillaient illuminés d’un éclat vitreux ; l’écume inondait ses lèvres : de temps à autre il poussait des cris rauques, gutturaux ; les veines de ses membres de fer étaient tendues à se rompre ; il bondissait par saccades, comme une bête fauve, en étendant devant lui ses doigts osseux et crispés
51.
C’était à présent – cette Nou – sur ses piliers cerclés de bourrelets de graisse où les bas glissaient sans pouvoir se fixer, une adipeuse et blette femelle dont le torse, sans trêve malaxé par les potes menottes des générations, ballait en des amas de chairs et de peaux, sous la flasque retombée des gibbasses effroyablement ravagées
52.
Ils étaient installés depuis quelques minutes à peine, quand deux jeunes gens passèrent devant eux, en promenant sur la confusion des toilettes claires et des ombrelles un regard distrait ; l’un, de taille bien prise, beau garçon, à la tournure militaire ; l’autre, grand, aux épaules larges, portant sur un torse développé une petite tête fine qui contrastait avec sa puissante musculature et le faisait ressembler à un athlète grec habillé à la mode du jour
53.
Morel ôta sa veste, la mit sur les pieds de sa femme, et resta le torse nu
54.
Son ventre était comme un œuf énorme et semblait former le torse tout entier
55.
On lui donnait aussi la forme allégorique des sirènes moitié femme et moitié poisson, ou le torse d'une belle jeune fille et deux jambes faites en serpents, pour signifier la mutation et la mobilité continuelle des choses, et l'alliance analogique des contraires dans la manifestation de toutes les forces occultes de la nature
56.
Les courroies du sac, rattachées à son torse, le retenaient : faites, comme son échelle, en fibres d’arcum, il savait qu’elles ne céderaient point
57.
Sur la table était une cuvette de sang, et Martial, le torse nu, lavait une large blessure qu’il avait un peu au-dessus du sein droit
58.
ce sont des bras, des jambes, un torse ; il y a du mouvement dans cette statue, et cependant le mouvement manque
59.
Près de lui se tient le Révérend, impassible toujours, et plus sinistre que jamais, dans sa longue lévite collée à son torse anguleux
60.
Pendant que la malheureuse jeune femme, anéantie par cette nouvelle et terrible catastrophe, stupéfiée par l’arrivée imprévue du Boër, fixe sur lui un regard plein d’épouvante, le géant prodigue au blessé des soins dont la délicatesse paraît complètement incompatible avec son torse de bison
61.
Le torse est nu, les reins sont ceints du pagne rayé, dont la pointe retombe carrément entre les deux cuisses
62.
Et avec une agilité qu’on ne se fût pas attendu à rencontrer dans son torse de pachyderme, il bondit vers l’inconnu, appuya son fusil sur sa poitrine, avant qu’il eût pu même tenter un mouvement de retraite, et fit feu
63.
– En vérité, répondit gravement Alexandre, et ce vêtement qui a dû avoir une destinée passablement baroque avant d’arriver ici, fait, en somme, assez bonne figure sur le torse de notre noir chambellan
64.
Le monarque introduisit sa tête dans cette enveloppe monstrueuse, passa son torse dans un immense mannequin en forme de tonneau et tressé en branches flexibles comme celles de l’osier, de façon qu’on vît apparaître seulement ses jambes et ses bras
65.
Puis, il enjamba la palissade avec une agilité que l’on n’eût pu attendre de son torse de pachyderme et disparut en laissant le wagon à la garde de Dieu
66.
Une face noire surmontant un torse démesurément large, porté sur deux jambes arquées, apparaît et les deux amis, au comble de la surprise, reconnaissent leur ami le Bushman
67.
Il y eut un moment de stupeur, à l’aspect de ce torse d’ébène, de ces membres puissants, de cette tête audacieuse, se détachant crûment, en pleine lumière avec les mouvements lents d’une apparition de spectre
68.
Il cambra sa haute taille, fit saillir orgueilleusement son torse d’ébène, et d’un geste qui ne manquait pas de dignité, il tendit en même temps ses deux mains à Albert et à Alexandre
69.
Il faisait des effets de voix, de bras et de torse
70.
Pendant qu’il se livrait à ces réflexions, le torse avait été complètement dégagé ; il ne restait plus que le visage à découvrir
71.
Enfin le visage de Robert se colora d’une roseur légère, ses paupières battirent, tout son torse fut agité d’un faible mouvement, puis il fit un effort pour se dresser sur son séant, promena autour de lui un regard inconscient et vide et retomba sur l’oreiller
72.
À l’aide d’une petite éponge, Pitcher commença à en frictionner le torse du malade et eut bientôt la satisfaction de constater que cette médication produisait le plus heureux résultat
73.
Car j’ai encore des envieux, moi ! (Il souleva pesamment son torse
74.
Il se leva, toucha du bout du doigt le torse inerte, gagna la porte d’un bond puis, la main sur la poignée, hésita, revint lentement vers la table et sonna
75.
Les battements du cœur redevinrent sensibles ; une faible rougeur colora les pommettes et des tressaillements presque imperceptibles agitèrent le torse décharné
76.
Mais il ne reconnaissait plus sa face hâve et amaigrie, son torse squelettique
77.
» Sur le dernier banc, son long torse appuyé au mur, sa tête d’homme d’armes se détachant bien sur la paroi blanche, Baltus regardait l’envoyé
78.
Ses coups, à lui, étaient placés de près, délibérément, avec l’habilité cruelle d’un vieux pugiliste bourré d’expérience, et déjà la figure et le torse du blanc se tuméfiaient par endroits
79.
Quand la minute du repos fut enfin venue, Andy Clarkson épongea avec une délicatesse de femme le masque tuméfié et les sourcils fendus de son élève, ses lèvres noires d’où un mince filet de sang sortait comme un ver, son torse où la saillie des muscles et l’enflure des chairs meurtries commençaient à se confondre
80.
Il ne les entendit pas parce que le choc de ses phalanges cassées sur le torse du nègre lui avait secoué les nerfs d’une souffrance d’agonie qui l’empêchait de percevoir aucune autre sensation ; mais il se rendit compte d’une chose, qui était que sa main estropiée, refermée, formait maintenant sous la double cuirasse des bandelettes serrées et du gant un bloc assez dur pour défoncer et meurtrir
81.
Mou comme du blanc-manger ! Pat rit de bon cœur, et une demi-heure plus tard l’entraîneur esquissait aussi un sourire satisfait en voyant son torse nu, toujours formidable et sec après toutes ces semaines de « grande vie »
82.
Ils comparaient du regard les deux hommes aux prises : l’Anglais avec son torse puissamment musclé, son masque qui restait patient et dur sous les coups, et ce Français aux lignes trop harmonieuses, qui apportait au combat une figure radieuse d’enfant qui joue
83.
Car, loin d’être laide ou mal bâtie, elle était au contraire fort belle et surtout admirablement modelée cette jeune nièce : son cou onduleux, sa poitrine pleine et ronde, ses épaules tombantes sans saillies osseuses, son torse entier étaient dignes de la sculpture, et comme sur ces épaules se dressait une tête gracieuse et fine d’une beauté délicate, que la douleur en ces derniers temps avait pétrie pour lui donner quelque chose de tendre et de poétique, qu’elle n’avait pas en sa première jeunesse, elle produisait une vive sensation sur ceux qui la voyaient, alors même qu’ils ne la connaissaient pas
84.
Le ciel, sous la forme d'une femme dont le corps est parsemé d'étoiles, enveloppe de trois côtés cette immense composition: le torse se prolonge sur toute la longueur du tableau dont il couvre la partie supérieure; sa tête est à l'occident; ses bras et ses pieds limitent la longueur du tableau divisé en deux bandes égales: celle d'en haut représente l'hémisphère supérieur et le cours du soleil dans les douze heures du jour; celle d'en bas, l'hémisphère inférieur, la marche du soleil pendant les douze heures de la nuit
85.
Lui, doit venir directement du bureau ; son torse puissant gonfle la blancheur de sa chemise sous la cravate de soie rouge qu'il met toujours avec cette veste en lin
86.
Le torse nu de Bernard apparaît un instant dans l'embrasure de la porte
87.
Mes mains remontèrent de part et d'autre de son torse et je pressai doucement la tiédeur de ses seins à travers le fin chemisier
88.
Je demeurai un instant indécis, la bouche pleine de la mousse dentifrice, à peser le pour et le contre : cela valait-il la peine de tenter le coup ? Puis, comme je me regardais dans le miroir et que j’étais encore torse nu et en pantalon de pyjama, je décidai que c’était inutile ; je me remis à frotter mes dents, penché au-dessus du lavabo
89.
Installé peut-être dans le fauteuil patriarcal du maître des lieux, au coin du feu, Patrick se tait toujours, le visage partagé entre une ombre transparente et la lumière jaunie d’une des lampes trônant, à sa gauche, sur un fut de colonne torse en bois noir
90.
Celles qui pour tout charme n'avaient que leur jeunesse restaient nues jusqu'à la ceinture et cambraient le torse en avant pour faire apprécier la fermeté de leurs seins
91.
Sans remuer les pieds, sans fléchir les genoux serrés, elle fait tourner lentement son torse sur ses hanches immobiles
92.
Tous ceux qui tournaient le dos se retournèrent; tous les autres levèrent la tête; trois garçons pivotèrent sur leurs talons comme des toupies; les deux dames du comptoir eurent un sursaut, puis une conversion du torse entier, comme si elles eussent été deux automates obéissant à la même manivelle
93.
L’homme se déshabille à demi, s’étend, le torse nu, sur quelque peau de bête, tend ses poignets et ses chevilles à la femme pour qu’elle y rive des anneaux de chaînes, qu’elle le réduise à l’impuissance absolue
94.
En dépit des rides du cou, des creux d’ombre qui évidaient sa gorge entre les tendons décharnés et les clavicules saillantes ; en dépit des mamelles, coulant ignoblement avec d’étranges flaccidités, sur des bourrelets qui lui cerclaient le torse ; en dépit des écroulements de la hanche, où la peau flottante lui battait comme une vieille étoffe trop lâche et usée, on retrouvait une élégance de lignes, une noblesse de contours, des beautés vives encore, éparses parmi toutes ses flétrissures
95.
Ces hommes avaient le torse nu et bruni par le soleil
96.
Tous, sur la passerelle, passaient du même pas tranquille, le torse courbé sous le faix, ignorants de leur misère, dédaigneux de leurs fatigues et trouvant tout naturel que leur gorge haletât sous la soif ardente, et que la sueur ruisselât huileuse et fétide entre les rigoles de leur peau
97.
Dans la rapidité de leur fuite, Lina eut le temps d’apercevoir Polly boire à même un flacon en renversant son torse décharné
98.
Le chandail, cette fois, et pour la première fois, j’avais négligé d’en couvrir mon petit torse et j’étais en chemise de toile
99.
En habit, cravaté de blanc, la chemise souple moulant son torse, il parlait allégrement, racontant des histoires dont M
100.
Sans avoir précisément peur de laisser mes os dans la Péninsule, je préfère aller panser les blessures faites par nos bons voisins les Allemands; leurs armes ne vont pas si avant dans le torse que les poignards castillans