1.
Elle le rend également avare et enclin à l’avidité vis à vis de la chose mondaine
2.
Cette réalité n’est pas utile sans la forme extérieure et vis versa
3.
Faute d'avoir une famille dont il faudrait que je m'occupe quotidiennement là oùje vis en France, je peux
4.
Grace à internet,j'échange des idées et je vis une expérience tellement enrichissante
5.
dont on a fait preuve envers nous, nous devons maintenant en faire preuve vis a vis de tous
6.
Montessori, méfiant vis à vis du jeu
7.
"Finalement, je vis la Mort, qui portait une faux, un arc et des flèches, les
8.
Tout en suivant ceux qui étaient entrés par la porte, je vis alors entre les portes
9.
"En premier lieu, je vis que toute occupation humaine n'est que fatigue et tourment,
10.
Je vis en conséquence que le nombre des pauvres dépassait largement celui des riches
11.
Cinquièmement, je vis partout, plus particulièrement parmi ceux qui traitaient des
12.
Je les suivis et vis qu'ils s'affairaient à les
13.
D'autre part, j'en vis d'autres qui se contentaient de transvaser le contenu de certaines
14.
je vis à quel point un de ceux qui n'avait été que légèrement touché s'agitait, criait, se roulait
15.
"…quand il m'amena parmi eux, et que je vis une multitude de vieillards avec leur
16.
En bref il y avait tant de causes à leur échec que je vis qu'ils ne savaient trop
17.
faire autrement, poussé par un grandissant sens de sa responsabilité vis à vis de la
18.
L'attitude du grec vis à vis du sacré est totalement différente de l'homme
19.
Je pense au Bien et ne vis que par la Vérité et la Justice
20.
Je vis là bien des docteurs de la loi, gens
21.
Là je vis des boîteux bondir, des bègues parler avec éloquence,
22.
je vis me remplis d’une joie ineffable, car je vis tout l’opposé de ce que j’avais vu dans le
23.
Car la patience dont on a fait preuve envers nous, nous devons maintenant en faire preuve vis a vis de tous
24.
La demande de se retrouver seul habitée par une certaine curiosité vis à vis de soi-même est une attitude constructive de ressourcement ou d'assimilation des connaissances
25.
Montessori, méfiant vis à vis du jeu et préfère le mot travail, sauf pour les tout petits
26.
En y pénétrant je vis une foule de tourneurs qui, rivali-sant de zèle et d’art,faisaient surgir les boîtes du bois, de l’ivoire, de la pierre ou d’autres matériaux
27.
D’autre part, j’en vis d’autres qui se contentaient de transvaser le contenu de certaines bouteilles dans les leurs
28.
Mais quand je vis à quel point un de ceux qui n’avait été que légèrement touché s’agitait, criait, se roulait par terre et filait, je compris aisément qu’il ne s’agissait pas là d’une plaisanterie, mais d’un vrai combat
29.
Je vis parmi eux Aristote avec Platon, Ciceron avec Salluste, Scot avec Aquin, Bartolo avec Bolde, Erasme avec les sorbon-nards, La Ramée et Campanella avec les péripatéticiens, Copernic avec Ptolémée, Théophraste avec Galien, Hus, Luther et d’autres avec le pape et les jésuites, Brenz avec Bèze, Bodin avec Weyer, Sleidan avec Surius, Schieflein avec les calvinistes, Gomar avec Armin, les Rose-Croix avec les philosophastres, et d’innombrables autres
30.
Mais j’en vis plus tard bon nombre, qui, s’aventurant au-dehors, trébuchaient contre des pierres et des poutres et tombaient dans des fossés (rappelez vous que l’endroit en était plein)
31.
Nous poursuivîmes donc; ils me conduisirent à une place, au centre de laquelle je vis un grand arbre d’une envergure majestueuse aux feuilles de formes variées, portant des fruits différents mais tous enveloppés d’une coquille dure
32.
Et j’en vis qui brisaient des branches, ouvraient les feuilles et les coquilles: là où ils trouvaient un noyau, ils le craquaient avec leurs dents avec une telle énergie qu’ils auraient bien pu se les casser
33.
Et comme je vis que des personnes qui semblaient être de grande qualité considéraient cette profession comme pur amusement et temps perdu, je m’en allai
34.
une sorte de balcon, où je vis une grande foule de gens occupés à fabriquer des échelles, les mettant contre le ciel et y grimpant pour attraper les étoiles
35.
Nous arrivâmes devant une autre place où je vis quelque chose de neuf
36.
Il me fit descendre dans des caves où je vis plusieurs rangées de foyers, d’athanors, chaudrons, et instruments de verre, qui brillaient tous avec éclat
37.
Ils me conduisirent dans une salle de conférences très spacieuse, où je vis encore plus d’hommes distingués que je n’en avais vu jusque là
38.
Fundamentum Juris (Fondement du droit) Je vis de plus que toute cette science était fondée sur la simple opinion de quelques uns
39.
A leur sortie, je les vis se mêler aux autres; cepen-109
40.
Mais sur ces entrefaites, en observant certains d’entre eux qui venaient de recevoir peu de temps auparavant Dieu en eux (à ce qu’ils disaient) je les vis l’un après l’autre s'adonner à beuveries, querelles, fornica-tions, vols et brigandages
41.
N’en croyant pas mes yeux, je les regardai de plus près, et vis en vérité qu’ils se saou-laient, vomissaient, se fâchaient se battaient et volaient, se dérobaient par force ou par ruse, gémissaient et bondissaient dans leur débauche, hurlaient et criaient, com-mettaient adultères et coucheries plus encore que je n’avais pu l’observer auparavant; en bref, ils faisaient tout le contraire de leurs promesses et de ce qui leur avait été prescrit dans les exhortations reçues
42.
Je vis qu’il étaient tellement surchargés de travail qu’ils ne pouvaient consacrer leur temps au contrô-
43.
Sur ce, ils me mènent derrière une grille au centre de cette grande église, où je vis une grande pierre ronde suspendue sur une chaîne
44.
Je vis les murs couverts d’images, qui indiquaient comment parvenir au paradis
45.
Et ceci plus particulièrement quand j’entendis que leurs réponses étaient bien peu loquaces, et les vis avoir recours aux jets de pierres, à la noyade, au fer et au feu, d’une part, et à la corruption de ceux qui y étaient sensibles, et qui se retrouvaient ainsi munis d’or
46.
Mais, regardant autour de moi, je vis que certains de mes voisins me tournaient le dos, d’autres secouaient la tête, alors que d’autres me regardaient de travers, me montraient les poings, ou me désignaient avec mépris
47.
Nous entrâmes alors dans une autre rue où je vis de tous côtés un grand nombre de sièges de tailles diffé-
48.
Cependant il ne semble pas nécessaire de raconter tout ce que je vis concernant tous les sièges
49.
Je me retournai et vis que l’un de ceux qui étaient assis sur les sièges élevés ne permettait à personne de le contrôler et chassait les soi-disant conseillers, ce qui me 135
50.
Tout cela me remplit de dégoût, surtout quand je vis que les sièges de la plupart d’entre eux chancelaient déjà, et s’effondraient sans prévenir par le manque de fidélité des sujets
51.
Que le seigneur s’occupe de ses sujets directement, ou par le moyen de tubes, qu’il juge des situations seul ou avec les conseillers, je vis qu’il était rendu autant d’injustice que de justice
52.
Plein de stupeur, je vis que cette tâche impliquait autant d’apparence spectaculaire que de faux semblant
53.
En sortant de là, nous pénétrâmes sur la place où je vis ces hommes tout de fer vêtus, équipés de cornes et de serres, liés en hordes
54.
Sur ces entrefaites, ils me menèrent à un palais ou je vis un homme assis sous un dais, qui appelait à lui ceux qui avaient valeureusement accompli leur service; Beaucoup ramenaient avec eux les têtes arrachées, les membres, les côtes et les mains de leurs ennemis, de même que sacs et bourses qu’ils leur avaient pris
55.
Je vis là bien d’autres choses absurdes et insensées, mais impossible de tout raconter
56.
Je vis plusieurs rangées de couches suspendues et flottantes, sur lesquelles s’empilaient de larges lits de plume : ceux qui s’y prélassaient étaient entourés d’essaims de serviteurs toujours prêts à accou-rir, armés de chasse-mouches et d’éventails, ainsi que d’autres instruments du même style
57.
Ils me guidèrent vers une autre salle ou mes yeux et mes oreilles furent salués par de nouveaux charmes : je vis des jardins délicieux avec des étangs et des réserves de chasse et de pêche, pleines de gibier, d’ oiseaux, et de poissons; l’air résonnait d’une charmante musique
58.
Nous pénétrâmes dans une troisième salle, où je vis des hommes assis devant des tables et dessertes, abon-damment chargées
59.
Veneris Regnum (Le Règne de l’amour) Nous entrâmes dans un autre appartement de la même série de pièces où je vis quantité de gens des deux sexes qui allaient et venaient main dans la main, se serrant et s’embrassant les uns les autres, pour ne pas dire le reste
60.
Mais en y regardant de plus près, après les avoir touchés, je ne vis rien d’autre là que du papier, et à travers les fissures de l’étoupe
61.
Tous, moi y compris, se retournèrent; je regardai et vis un personnage rayonnant de splendeur, couronné, un sceptre d’or à la main
62.
Tout tremblant de peur, je vis que ceux qui avaient été capturés ou étaient tombés, tendaient les mains en suppliant et reniant leurs actes passés; mais d’autres restaient fermes dans leurs convic-tions malgré le cruel traitement qui leur était imposé
63.
Je me tournai pour observer le comportement des mourants (en nombre autour de moi) et vis un spectacle affligeant : ils rendaient l’âme avec terreur, lamenta-tions, crainte et tremblement, ne sachant ce qu’il adviendrait d’eux par la suite, et où ils se trouveraient au moment de quitter le monde
64.
Je levai la tête et regardai autour de moi pour voir qui m’avait appelé et vers où je devais me tourner, mais je ne vis rien, pas même mon guide Passe-Partout, qui m’avais quitté
65.
Prudence, Humilité, Justice, Pureté, Tempérance, etc…Au milieu de la pièce je vis quelques échelles endommagées ou cassées qui étaient par terre en désordre, de même que les poulies cassées et des morceaux de cordes éparpillées
66.
Par ailleurs, je vis de grandes ailes, avec des plumes arrachées et enfin des rouages d’horloge dont les cylindres, les dents et les tiges étaient cassés ou tordus, tout cela éparpillé pêle-mêle
67.
Je levais les yeux vers le haut et vis la fenêtre du haut rayonner d’une lumière aveuglan-te
68.
“Persévère, vis en moi, porte mon nom, et demeure mien
69.
Assure-toi donc que tu vis bien, et je m’occuperai de la durée de ta vie
70.
Vis seul et sincèrement selon ma volonté, et je serai ton médecin, en vérité je serai ta vie et la longueur de tes jours
71.
Mais toi, mon fils, tant que tu vis, cherche la place la moins élevée et désire obéir , non commander
72.
Celui en qui tu vis peut facilement se dispenser du monde
73.
Description de la nouvelle naissance Alors que je parlai ainsi, la lumière qui était autour de moi commença à s’accroître et je vis que ces images, auparavant perçues comme brisées et déteintes devenaient claires, entières et belles
74.
Je vis là bien des docteurs de la loi, gens férus en écritures, prêtres, et évêques, et bien d’autres prétendant à la sainteté , passer, parfois jeter un regard, sans toute-fois entrer
75.
Là je vis des 220
76.
Regardant de tous côtés, éclairé par cette lumière, je vis un spectacle étonnant et absolument merveilleux, qu’il n’est pas en mon pouvoir de décrire
77.
Je ne ferai que l’effleurer:je vis ce monde devant moi comme d’ immenses et énormes rouages d’ horloge, composé de diverses pièces invisibles et visibles, mais faites entièrement de verre, translucide et vif
78.
Je vis cependant clairement et distinctement que c’est bien ainsi que cela se passait
79.
Soyons clair : je vis comment, par la gloire de Dieu, les cieux, la terre, les abîmes et tout ce que l’on peut imaginer au-delà de la terre jusqu’aux développements infinis de l’éternité, étaient pleins de Sa puissance et de sa Divinité
80.
Je vis, dis-je, son Omnipotence qui pénétrait toute chose et permettait la fondation de toutes choses
81.
De la même façon, je vis Sa compassion qui surpasse toutes ses œuvres, particulièrement celle qui s’occupe des hommes
82.
Je vis comme il les aime tous, recherche leur bien, pardonne aux pécheurs, rappelleleségarés,reçoit les repentants, attend les errants, supporte patiemment les révoltés
83.
Alors que dans le monde, je ne vis rien que de fait par obligation, à contre-cœur, chacun s'attachant trop à autrui, contraint d’agir soit de par sa volonté ou de par la volonté d’autrui, et ainsi tout le temps en lutte avec soi-même ou avec autrui
84.
Je vis cela, et eus honte 232
85.
Je vis que chacun d’entre eux était entouré non seulement de la protection des anges, mais aussi de l’auguste présence divine, de sorte qu’ils inspiraient la terreur à ceux qui cherchaient à les attaquer
86.
Au lieu de chaînes d’acier, je vis des fermoirs d’or; au lieu de séparation de couples, prévalait l’union joyeuse des corps et des cœurs
87.
Cela faisait plaisir à voir et en fait j’en vis beaucoup qui levaient leurs mains et rendaient grâce à Dieu d’avoir eu de tels gouverneurs
88.
Marchant parmi eux, je vis beaucoup d’hommes instruits qui, contrairement à l’usage du monde, surpas-saient les autres tant en humilité qu’en études et étaient la bonté et la courtoisie incarnés
89.
Je vis parmi eux un certain nombre de prê-
90.
Je vis aussi devant le trône une autre grande multitude que nul ne pouvait compter, de toutes les nations et tribus, peuples et langues, qui ne cessait d’augmenter car les anges, élevaient les âmes des saints de Dieu, si bien que le son devint plus fort et ils criaient: Amen! Bénédictions, gloire, sagesse, remerciements, honneur et force, puissance, soient à notre Dieu de toute éternité
91.
En bref je vis la splendeur et la magnificence éclatan-te d’ une gloire ineffable
92.
Vis dans le monde avec ton corps mais vis en moi avec ton cœur
93.
Si je vis un moment plus tranquille, on en profite pour faire du ménage ! On trouve le côté positif
94.
Avant, je vivais au jour le jour, maintenant je vis à la minute
95.
Au lieu de courir les femmes, les cercles, les théâtres, je vis là, en bon bourgeois, près de vous
96.
Je vous en prie, madame, dites bien à ce bon monsieur que je ne vis pas une heure de mon existence sans le bénir
97.
Ensuite, il haussa la voix pour donner des explications, il passa aux machines: les cisailles mécaniques qui mangeaient des barres de fer, croquant un bout à chaque coup de dents, crachant les bouts par derrière, un à un; les machines à boulons et à rivets, hautes, compliquées, forgeant les têtes d'une seule pesée de leur vis puissante; les ébarbeuses, au volant de fonte, une boule de fonte qui battait l'air furieusement à chaque pièce dont elles enlevaient les bavures; les taraudeuses, manoeuvrées par des femmes, taraudant les boulons et leurs écrous, avec le tictac de leurs rouages d'acier luisant sous la graisse des huiles
98.
Le chauffeur prenait le bout de fer dans le fourneau; le frappeur le plaçait dans la clouière, qu'un filet d'eau continu arrosait pour éviter d'en détremper l'acier; et c'était fait, la vis s'abaissait, le boulon sautait à terre, avec sa tête ronde comme coulée au moule
99.
Il n'y avait plus que nous deux, debout, avec la mare de sang sur la banquette, où nous n'osions pas nous asseoir… La portière battait toujours, grande ouverte, et je ne compris pas d'abord, anéantie, affolée, lorsque je vis mon mari descendre, disparaître à son tour
100.
En 93, ça c'est passé comme cela… Vous savez, n'est-ce pas? que moi je ne vis pas avec les curés; mais je dis qu'il en faut, parce qu'il en faut