1.
- Teodor 1993 – D
2.
Car ton Seigneur demeure aux aguets » S 89: 6-14 La corruption résultait à cette époque d u luxe insolent mêlé d’extravagance qui était la marque de ces peuples
3.
Quant au vecteur S, il est fonction de D et H
4.
(d) C'est ensuite que commence la partie la plus intéressante sans doute duprocessus, à savoir la
5.
l'enseignement universel, et nous espérons que de plus en plus d 'élèves pourrons dire qu'ils
6.
Hymne à D
7.
Il va de soi que je ne peux éventuellement parler de Foi aux incroyants qu’en termes de Raison : c’à d en leur montrant, par un raisonnement logique que les Mystères de notre Foi ne recouvrent rien d’autre que la vérité et le salut
8.
13 - Nous insistons, maintenant, sur le fait que tout, en cet ouvrage, est tourné vers l'Historia naturalis, c à d
9.
d) Que ceux qui néanmoins, désireraient aborder les auteurs à la source, disposent de rien moins que d'une clef pour des portes qui sont déjà entrouvertes
10.
d) de l'approbation et du soutien des Puissants ; e) en outre, au cours de la construction il sera indispensable que la Réflexion et l'Organisation structurent nos travaux ; et,
11.
Dans la mesure où les grandes choses que l'on désire sont en accord avec Sa volonté, c a d qu'elles participent de sa Gloire et du Salut des hommes, Il ne peut les refuser , car cela équivaudrait à se refuser lui-même
12.
Laissons parler D
13.
–, «Guerre sainte et rétributions spirituelles dans la seconde moitié du XI sié-cle: lutte contre 1'islam ou pour la papante?», Revue d 'Histoire Ecciésias fique, 85,3/4 (1990), pp
14.
S H D - D A T 1 1 P 2 1 9
15.
1: D une révolution à 1'autre, 1895-1949; vol
16.
& VERGER, D
17.
Vous vous rappelez votre querelle avec les poissonnières; c'était superbe, ces gorges géantes lâchées contre votre poitrine étroite; et elles agissaient d instinct, elles chassaient au Maigre, comme les chattes chassent aux souris… En principe, vous entendez, un Gras a l'horreur d'un Maigre, si bien qu'il éprouve le besoin de l'ôter de sa vue, à coups de dents, ou à coups de pieds
18.
Quoique nous ne parlassions que de choses très-communes, elle leur donnait néanmoins un tour qui les faisait paraître nouvelles, et qui me fit voir que je ne m'étais pas trompé, quand, dès la première conversation, j'avais jugé qu'elle avait beaucoup d esprit
19.
—Mais, malheureux que vous êtes, je vous dirai ce que disait madame D
20.
D et L, mais T
21.
L’addition d’un P et d’un D compléta le message(1), qui me montra que le gredin avait passé de la persuasion aux menaces et, connaissant les bandits de Chicago, je compris qu’il ne tarderait pas à les mettre à exécution
22.
Depuis que le D
23.
—Puis un e, puis un r, puis là-bas, dans Valois, un o; puis, comme tu sépares le prénom du nom par ce que les grammairiens appellent particule, je mets la main sur un d et sur un e, ce qui va nous faire, avec l's qui termine le nom de la race, ce qui va nous faire… épelle, d'Épernon, H, é, r, o, d, e, s
24.
d) Toutes ces lésions-là ne pouvaient pas être l’œuvre personnelle de la défunte ;
25.
Sur cette plaque on avait écrit avec la pointe d'une grosse épingle: «Rueil, D
26.
La plume grince sur la lettre d et fait une grosse tache
27.
—Depuis trois ans, le cultivateur D
28.
– Nom de D
29.
– Oui, nom de D
30.
– Eh ! parbleu ! reprit l’enfant, vous autres hommes vous ne comprenez rien à rien et je ne vois pas pourquoi je perdrais un temps, c’est le cas de le dire, précieux, à vous développer une théorie pourtant assez, bon sang de bon D
31.
C’était un visage d’ivoire encadré dans une chevelure d ‘ébène
32.
, quarante-neuf ans, marié, interne d'un hospice, est accusé d'avoir, le 25 mai 1883, commis dans sa chambre les horribles délits de mœurs suivants sur la personne de la petite D
33.
Nulle part, dans les dossiers, on ne trouve d'indice que D
34.
Le 9 décembre 1891, D
35.
Lors de ses arrestations précédentes, on avait aussi trouvé sur D
36.
Dans ses interrogatoires, D
37.
Pendant la période d'observation D
38.
324 et Rudolf et Stenglein, D
39.
Le "pour le prochain" n'est que la vertu des petites gens: chez eux on dit "égal et égal" et "une main lave l'autre": - ils n'ont ni le droit, ni la force d votre égoïsme!
40.
Pendant que nous étions à Frog's Neck, les Français arrivèrent à Rhode-Island au nombre d'environ six mille, avec une flotte de sept vaisseaux de ligne et de quelques frégates; et comme nous apprîmes qu'ils avaient beaucoup de malades, et que d ailleurs nous avions une flotte supérieure, nous partîmes pour les attaquer; nous nous avançâmes jusqu'à la baie de Huntingdon dans Long-Island et là nous jetâmes l'ancre pour attendre le retour d'un bâtiment que le général avait dépêché à l'amiral qui bloquait la flotte française dans le port de Rhode-Island et se tenait à l'entrée
41.
Tandis que les révoltés se bornaient à employer les sauvages contre les tribus ennemies et les opposaient ainsi à eux-mêmes, les Anglais promettaient aux Indiens une récompense pour chaque chevelure d Américain qu'ils rapporteraient
42.
Enfin, près d’un de ses bouts, on pouvait encore distinguer l’empreinte de deux lettres N D, jadis gravées dans le bois par l’action du feu, et tout au-dessous un chiffre 9
43.
Pourquoi, si ce n’est par suite d’une habitude mauvaise, doublons-nous souvent la consonne l quand elle est simple, comme dans je l’l’ai vu (pour je l’ai vu), nous l’l’avons (pour nous l’avons) ? Et devons-nous nous résigner à garder toujours nos d et nos t sifflants ?
44.
Ainsi, parce qu’on ne savait pas que pois venait de pensum, on s’imagina que ce mot était dérivé de pondus ; d’où le d du mot moderne poids
45.
Aux anses pendaient des étiquettes portant noms d’hommes et de femmes et, en dessous : D
46.
Je m’enfonce dans le bois : il y a au pied d’un arbre une jupe de femme, un corsage, un bonnet et des bas de laine marqués grossièrement d’un D rouge
47.
Pour se venger, celui-ci comptait exiger : 1° la formation d’une commission à laquelle serait confié le soin d’étudier sur place la situation des populations étrangères ; 2° dans le cas où cette situation serait telle que les données officielles la représentaient, d’instituer une nouvelle commission scientifique pour rechercher les causes de ce triste état de choses au point de vue : (a) politique ; (b) administratif ; (c) économique ; (d) ethnographique ; (e) matériel ; (f) religieux ; 3° que le ministère fût requis de fournir des renseignements sur les mesures prises pendant les dernières années pour éviter les conditions déplorables imposées aux étrangers, et de donner des éclaircissements sur le fait d’avoir agi en contradiction absolue avec la loi organique et fondamentale, 2, page 18, avec remarque à l’article 36, ainsi que le prouvait un acte du comité sous les numéros 17015 et 18398, du 5 décembre 1863 et du 7 juin 1864
48.
– Voici », dit-il, prenant la craie et écrivant les lettres q, v, a, d, c, e, i, e, i, a, o, t ? qui étaient les premières des mots : « Quand vous avez dit c’est impossible, était-ce impossible alors ou toujours ? » Il était peu vraisemblable que Kitty pût comprendre cette question compliquée
49.
Elle écrivit : a, j, n, p, r, d
50.
Les enfants montraient un tel repentir, ils sentaient si bien leur faute, que Monsieur et Madame D
51.
À peine si Fabrice le remarqua ; seulement il écrivit en signes abrégés sur le cadran de sa montre : « Quand j’écris à la D
52.
L’élève, à l’aide d’un scalpel, incisa très délicatement un F et un D (François Dunoyer) sur le bras de l’actrice défunte(1), pour prendre possession, comme disait le docteur
53.
D des autels secondaires
54.
Le système de la voûte d'arête romaine formée par la pénétration de deux demi-cylindres d'un diamètre égal, n'avait jamais été abandonné; aussi fut-il appliqué aux édifices religieux, du moment que l'on renonça aux charpentes; mais ce système ne peut être employé que pour voûter un plan carré; or dans le plan de la basilique latine, le bas côté seul présente un plan carré à chaque travée; quant à la nef, l'espacement compris entre chaque pilier étant plus étroit que la largeur du vaisseau principal, l'espace à voûter se trouve être un parallélogramme et ne peut être fermé par une voûte d'arête romaine; exemple (16): soit une portion de plan d'une église du XIe siècle, A les bas côtés, B la nef principale; les surfaces C D E F sont carrées et peuvent être facilement voûtées par deux demi-cylindres d'un diamètre égal, mais les surfaces G H I K sont des parallélogrammes; si l'on bande un berceau ou demi-cylindre de G en H, le demi-cylindre de G en I viendra pénétrer le demi-cylindre G H au-dessous de sa clef, ainsi que l'indique la figure (17)
55.
Mais ici comme dans les églises d'Auvergne, la nef principale ne reçoit pas de jours directs; pour trouver ces ours il eût fallu élever la voûte centrale jusqu'au point A; alors des fenêtres auraient pu être percées au-dessus du comble du triforium dans le mur B, une suite de petits arcs, ou un second triforium auraient éclairé ces combles en E, et pour contre-butter la grande voûte il eût suffi de construire, au droit de chaque arc-doubleau, un arc-boutant C reportant les poussées sur le contre-fort D, rendu plus résistant au moyen d'une plus forte saillie
56.
Les clefs des formerets AC, CE, BD, DF atteignaient le niveau de la clef G, et les fenêtres étaient ouvertes sous ces formerets; ce mode de construire les voûtes avait trois inconvénients: le premier, de masquer les fenêtres par la projection des arcs diagonaux AF, BE; le second, de répartir les poussées inégalement sur les piles; car les points ABEF recevant la retombée des arcs-doubleaux et des arcs-ogives étaient bien plus chargés et poussés au vide que les points C et D ne recevant que la retombée d'un seul arc
57.
La galerie construite au-dessus du collatéral B fut couverte par des voûtes en arcs d'ogives rampantes, de manière à ouvrir de grandes et hautes fenêtres dans le mur extérieur de C en D
58.
Le second bas côté C est seul réduit aux proportions de celui de Paris et s'éclaire par des jours directs D
59.
Ce n'était donc pas sans raisons que l'on établissait à l'extérieur une circulation assez large dans tout le pourtour des édifices religieux; à la base des combles des collatéraux en D (fig
60.
Il existe encore à Verdun des traces de cette crypte ou confession sous les chapelles B qui étaient relevées au niveau du sanctuaire; en C le transsept de l'est, D la nef, E l'entrée ancienne, F le transsept de l'ouest, G l'abside occidentale, convertie aujourd'hui en vestibule; en H un cloître; en B et en I des tours
61.
Nous avons indiqué en noir les constructions du XIe siècle, et en gris les modifications apportées au plan primitif pendant le XIIe siècle: les piles AB supportaient des voûtes d'arêtes construites suivant le mode romain, c'est-à-dire par la pénétration de deux demi-cylindres, et séparées entre elles par des arcs-doubleaux; des fenêtres jumelles éclairaient la nef sous les formerets de ces voûtes qui étaient contre-butées par des arcs-doubleaux latéraux bandés de A en C et de B en D; les parallélogrammes ACDB étaient couverts par un plafond rampant formé simplement de chevrons, ainsi que l'indique la figure 41
62.
Il se frotta les yeux, regarda autour de lui d un air égaré, puis dit à ses compagnons :
63.
Le long du bas côté nord sont disposées diverses salles destinées aux maîtres des écoles, à ceux qui demandent asile, des dortoirs; S le réfectoire avec vestiaire au-dessus; T le cellier avec salle au-dessus pour conserver des provisions de bouche; U des bains; V le dortoir avec chauffoir au-dessous; le tuyau de la cheminée est isolé; X des latrines isolées et réunies au dortoir par un passage étroit et coudé; Y la cuisine avec passage étroit et coudé communiquant au réfectoire; ces passages sont évidemment disposés ainsi afin d'empêcher les odeurs de se répandre, soit dans le dortoir, soit dans le réfectoire; Z l'officine pour faire le pain sacré; b le jardin potager, chaque plate-bande est indiquée avec le nom des légumes qui doivent y être cultivés; b' la maison du jardinier; d le verger avec l'indication des arbres à fruits et leur nom; e un bâtiment réservé aux novices d'un côté et aux infirmes de l'autre avec chapelle double, chacun de ces bâtiments contient un cloître avec salles alentour, des chauffoirs, des latrines isolées; f les poulaillers et le logement du chef de la basse-cour; g le logement du médecin; h un petit jardin pour cultiver des plantes médicinales; h' la pharmacie; i le logement de l'abbé; j la cuisine de l'abbé, un cellier, des bains, et les chambres de ses familiers; l le logement des hôtes avec écurie, chambres pour les serviteurs, réfectoire au centre, chauffoir et latrines isolées; m des logements avec écuries et étables pour les palefreniers, les bergers, porchers, les familiers, les serviteurs, etc
64.
En D était l'autel principal, en E l'autel de retro, en F le tombeau de saint Hugues, mort en 1109
65.
L'entrée principale de l'abbaye est en D
66.
D, le parloir des moines 79; le silence le plus absolu devant être observé entre les religieux, un endroit spécial était réservé pour les entretiens nécessaires, afin de ne pas exciter le scandale parmi les frères
67.
Z, un rez-de-chaussée au-dessus duquel est établi le dortoir, auquel on accède par un escalier droit pris dans le couloir qui se trouve à côté du parloir D
68.
Une chapelle D est bâtie à côté de l'entrée
69.
B est l'oratoire primitif qui avait été conservé; D la salle du chapitre; E le grand réfectoire; F la cuisine et ses dépendances avec sa petite cour séparée sur le cours d'eau; G le chauffoir; H le noviciat; I les pressoirs; K la sacristie; L des granges avec les logements des frères convers à proximité, en dehors de la clôture des religieux, comme à Cîteaux et à Clairvaux
70.
Le colombier D, que nous avons réuni à ce plan, se trouve éloigné du cloître dans les vastes dépendances qui entourent l'abbaye 86
71.
En F est la salle capitulaire, à la suite le réfectoire, les cuisines et le chauffoir avec sa cheminée; en D sont les dortoirs; mais ces constructions ont été relevées au XVe siècle
72.
Dans une enceinte particulière D sont disposés les bâtiments d'habitation des frères convers et des valets, en E sont des étables et écuries
73.
Une porte B très-simple mais d'un beau caractère permet aux étrangers ou aux colons du voisinage de se rendre aux offices sans entrer dans le cloître; une seconde porte C sert d'entrée aux religieux pour les offices; en D est le cloître, sur lequel s'ouvre une jolie salle E dans laquelle après laudes les religieux se réunissaient pour recevoir les ordres touchant la distribution du travail du jour
74.
En B le cloître; en C le réfectoire; en D le pensionnat; en E le parloir, et le logement des tourières; en F les cuisines; G, les latrines disposées des deux côtés d'un cours d'eau; H, est le logis de l'abbesse; I des fours et écuries; K l'apothicairerie; L, l'habitation réservée pour le roi saint Louis, lorsqu'il se rendait à Maubuisson avec sa mère
75.
Une seconde porte s'ouvre en D et donne entrée dans la petite ville, habitée de temps immémorial par des pêcheurs
76.
Au-dessus de cette salle est une défense D percée de meurtrières et de mâchicoulis
77.
D était le dortoir des moines, E la salle dite des Chevaliers 101
78.
L'école de Saint-Thomas D, était une jolie salle de la renaissance, que nous avons vu démolir il y a peu de temps
79.
En B est le grand cloître; en D la salle capitulaire; en F la sacristie; en E une petite chapelle dédiée à saint Antonin; en G le réfectoire
80.
A est l'église sans transsept et sans tours, conformément aux usages admis dans les couvents augustins; B la bibliothèque, longue galerie au-dessus du cloître; C les dortoirs des religieux; D le dortoir des laïques; E le grand cloître des religieux; F le cloître des laïques; G, le réfectoire; H l'infirmerie; I la cuisine, communiquant au réfectoire par un petit pont couvert; K des logements pour les hommes (hôtes), L et pour les femmes; M des maisons d'artisans; N, le logis de l'empereur (Charles-Quint); 0 chêne, dit la légende, sous lequel se trouvèrent réunies sept têtes couronnées; P la porte principale du monastère; R des vacheries et greniers à fourrages; S des jardins avec un labyrinthe, allées plantées d'arbres, chapelles, etc
81.
B est l'entrée du monastère, également destinée aux fidèles se rendant à l'église; A est le choeur réservé aux religieux; D la nef pour le public; C la porte des religieux; X la cellule du portier; V la procure; E le cloître; L la sacristie prise aux dépens d'une salle qui n'était pas destinée à cet usage; M des magasins; N les prisons; F le réfectoire et la cuisine G; K une chambre pour les visiteurs (parloir); le dortoir était au-dessus de la grande salle dans le prolongement du transsept, suivant l'ancien usage; Z des caves; au-dessus, des chambres à provisions; I la boulangerie; H une infirmerie et sa cuisine G; à côté, des écuries; R le logis de l'aumônier et son jardin; T le jardin des religieux; P le palais abbatial avec sa cour, son entrée particulière, ses écuries et communs 0, et son jardin à l'est; S la chapelle de la Sainte-Trinité
82.
Voici (26) le plan d'une portion de cette abbaye: H est une entrée fortifiée avec les bâtiments de la gabelle et le logement du médecin; A l'église; B le grand cloître; C le réfectoire; D E des dortoirs; F le dortoir des novices; K des cimetières
83.
De la première cour, on ne communique au grand cloître que par le passage F, assez large pour permettre le charroi du bois nécessaire aux chartreux; D est le grand préau entouré par les galeries du cloître, donnant entrée dans les cellules I, formant chacune un petit logis séparé, avec jardin particulier; R des tours de guet; Z la prison; Y le cimetière; H est une tour servant de colombier
84.
A est la galerie du cloître; B un premier couloir qui isole le religieux du bruit ou du mouvement du cloître; K un petit portique qui permet au prieur de voir l'intérieur du jardin, et d'approvisionner le chartreux de bois ou d'autres objets nécessaires déposés en L, sans entrer dans la cellule; C une première salle chauffée; D la cellule avec son lit et trois meubles: un banc, une table et une bibliothèque; F le promenoir couvert, avec des latrines à l'extrémité; H le jardin; I le tour dans lequel on dépose la nourriture; ce tour est construit de manière que le religieux ne peut voir ce qui se passe dans la galerie du cloître
85.
de Saint-Denys, par D
86.
de Saint-Germain des Prez, par D
87.
, 1852; Annales de l'ordre de Cîteaux: Essai sur l'histoire de l'ordre de Cîteaux, par D
88.
D, porte dite papale du côté des prés
89.
L’un d eux dit avec un mauvais sourire :
90.
de la ville de Paris, par D
91.
On voit en C et en D les deux fosses pratiquées en avant des portes de la tour afin d'intercepter, lorsqu'on enlevait les ponts de bois, la communication entre la ville ou les chemins de ronde et les étages des tours
92.
En B était l'escarpement qui rendait l'accès de la ville difficile sur le point où une armée ennemie devait tenter de l'investir; D le château dominant tout le système de défense, et le refuge de la garnison dans le cas où la ville tombait aux mains des ennemis
93.
En D est une grande poterne protégée par une barbacane P; d'autres poternes plus petites sont réparties le long de l'enceinte et permettent à des rondes de faire le tour des lices, et même de descendre dans la campagne sans ouvrir les portes principales
94.
C'était là un point important; on remarquera que la poterne percée dans la tour D, et donnant sur les lices, est placée latéralement, masquée par la saillie du contre-fort d'angle, et le seuil de cette poterne est à plus de deux mètres au-dessus du sol extérieur; il fallait donc poser des échelles pour entrer ou sortir
95.
La barbacane D du château de la cité carcassonnaise masque complètement la porte B, qui des rampes donne sur la campagne
96.
En temps de siége, dès le XIIe siècle 168, on garnissait les parapets de hourds C afin de commander complétement le pied des murs au moyen d'un mâchicoulis continu D
97.
Le château, bâti sur le point culminant de la colline, domine des escarpements fort roides et est séparé de la place d'armes par un large fossé D
98.
Il était plus facile à un assiégeant de battre une tour qu'une courtine (22); car une fois logé au point A, du moment qu'il avait détruit ou brûlé les hourds de B en C, l'assiégé ne pouvait l'inquiéter, mais dans les enceintes des villes toutes les tours étant fermées à la gorge en D, lorsque l'assaillant avait fait un trou en A ou fait tomber la demi-circonférence extérieure de la tour, il n'était pas dans la ville, et trouvait de nouvelles difficultés à vaincre, c'est pourquoi dans les siéges des places on s'attaquait de préférence aux courtines, quoique les approches en fussent plus difficiles que celles des tours (23); l'assiégeant, arrivé au point A après avoir détruit les défenses supérieures des tours B C, et fait son trou ou sa brèche, était dans la ville, à moins, ce qui arrivait souvent, que les assiégés n'eussent élevé promptement un second mur E F; mais il était rare que ces défenses provisoires pussent tenir longtemps
99.
TOUR); 3° en éloignant les pionniers, il permettait aux défenseurs placés dans les hourds des courtines en D, de les découvrir suivant un angle beaucoup moins aigu que lorsque les tours étaient circulaires, et par conséquent de leur envoyer des projectiles de plus près