skyscraper

skyscraper


    Scegli la lingua
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget
    flag-widget

    Usa "dépréciation" in una frase

    dépréciation frasi di esempio

    dépréciation


    1. Ainsi, nous avons bien vu la forme de la richesse changer déjà une fois, lorsque la valeur de la terre a baissé, que la fortune foncière, domaniale, les champs et les bois, a décliné devant la fortune mobilière, industrielle, les titres de rente et les actions, et nous assistons aujourd'hui à une précoce caducité de cette dernière, à une sorte de dépréciation rapide, car il est certain que le taux s'avilit, que le cinq pour cent normal n'est plus atteint


    2. Les habitants de Soumak s’en aperçurent bientôt à la dépréciation de leurs denrées : ils commencèrent à murmurer contre leur heureux voisin


    3. Là elles achètent, à un rabais excessif, d’excellentes choses presque neuves, dont la dépréciation est pour ainsi dire imaginaire


    4. Fall River avec ses cinquante filatures de coton et leur production hebdomadaire de 7,000,000 yds de tissus à indienne, fut l’un des premiers centres industriels à éprouver le contre-coup de la crise, et une première réduction de 10% sur les salaires des ouvriers fut rendue nécessaire par l’état déplorable du marché et par la dépréciation dans la valeur des actions


    5. Marie était une de ces organisations élevées et puissantes qui, lorsqu’elles voient dans un événement de leur vie l’abaissement de leurs sentiments, la dépréciation de leur caractère devant leur propre conscience, la destruction de l’idéal de leur bonheur, la contrainte des élans enthousiastes de leur âme, la perte de cette douce liberté d’aimer et de parler d’après l’impulsion de leur cœur et de leurs pensées, sentent plus de souffrances que si elles étaient soumises aux tortures toutes physiques du martyre


    6. On décréta le cours forcé des billets de banque ; mais, pour éviter une dépréciation, l’émission des billets à cours forcé fut limitée à 250 millions


    7. – Quoi ! s’écria Borrowdale tombant stupéfait dans sa berceuse, il n’y a pas de misère, pas de dénuement ? C’est vous qui dites cela ; et vous voyez l’infortune pleurer soir et matin sous vos yeux, et vous entendez à toute heure le besoin frapper à votre porte ! Savez-vous qu’un dixième au moins de notre population, que deux cent cinquante mille âmes sont sans emploi ? Est-ce que ce n’est pas assez pour répandre la ruine et la misère dans notre pays ? Comment vivent ces gens-là ? Il faut qu’ils mendient, empruntent ou volent ; car s’ils vivent aux crochets de leurs amis, n’est-ce pas une raffinerie de la mendicité ? Il faut que le pays les garde à ne rien faire, rien faire, entendez-vous ça, monsieur ! Et puis avez-vous jamais songé aux milliers de malheureux qui abandonnent leur pays ? Étiez-vous à Québec ou à Montréal pendant la saison dernière ? Y avez-vous vu les navires assiégés par les meilleurs de nos bras, la plus solide de nos richesses, venant sous la forme humaine solliciter la faveur de retourner en Europe, à n’importe quelle condition ? Et ces gens-là, monsieur, n’étaient pas des hommes à se sauver pour des niaiseries ! Avez-vous parcouru nos villes, dites ? Avez-vous vu ces fabriques fermées, croulantes qui se montrent à chaque pas ? Et vous êtes-vous demandé où sont les capitalistes qui ont eu la témérité de construire ces usines, où sont les ouvriers et les familles qui trouvaient là leur subsistance(1) ? les employés que ces manufactures avaient rendus des citoyens actifs, industrieux, paisibles, honnêtes ? Remontons l’échelle, monsieur ; remontons-la et voyez la dépréciation des propriétés foncières dans toute la province, n’importe où, et vous conviendrez, je pense, que vos possesseurs de terres, vos habitants(2) valent aujourd’hui la moitié moins de ce qu’ils valaient il y a quelques années


    8. Considérez de plus la dépréciation de notre crédit ; examinez la baisse de nos récoltes ; regardez les colonnes de nos gazettes, voyez ce que font les shérifs(1) ! Les voyez-vous les ventes des shérifs annoncées dans votre journal, les voyez-vous partout publiées en grosses lettres ? Et les voyez-vous au coin des rues, sur les portes de vos magasins ? les voyez-vous sur les portes de vos maisons ? Est-ce que vous ne voyez pas le pavillon, monsieur ? s’écria véhémentement Borrowdale emporté par la chaleur de son sujet


    9. Quant à vos libre-échangistes, ils demandent à grands cris des réformes, prêchent en faveur des droits du peuple, travaillent pour le bien public, j’y consens ; mais malgré cela, et quoique eux et vous voyiez parfaitement la déplorable condition du pays, en ce moment que des milliers de gens physiquement capables et robustes, la force et la richesse du pays, se sauvent de désespoir, que des milliers d’autres manquent d’ouvrage, que la propriété entière est sous le coup d’une grande dépréciation, que notre crédit baisse ici comme à l’étranger, et que dans le fait toutes les calamités commerciales nous assiègent, quoique tout cela soit devant nous et que votre voix s’élève, il est vrai, pour le proclamer, vous paraissez incapable de faire une suggestion convenable pour remédier à ce déplorable état


    10. On l’avait refusé, non que ses propriétés ne valussent plus qu’il ne devait, mais les prêteurs sont prudents et ils savent l’incroyable dépréciation des biens vendus aux enchères

    11. L’Olonnais répondit que, tout le premier, il regrettait fort de se séparer d’aussi bons amis ; mais que leurs affaires devaient être menées rondement, d’autant plus que des navires venant d’Europe étaient attendus à la côte ; que s’ils tardaient trop, l’abondance des marchandises sur la place amènerait une dépréciation des leurs, et leur causerait ainsi de graves préjudices


    Mostra più esempi

    dépréciation in English

    of school age