1.
ne pouvant faire que ce qui es just f t fort, on a fait que ce qui est fort f t juste"
2.
(f) La promotion se fait de façon classique (par la presse spécialisée et lessupports adaptés à l'oeuvre
3.
f) dès qu'un produit sera élaboré, qu'on l'amène sans tarder dans sa phase d'application pratique ; g) par conséquent, pour avancer d'une réalisation à l'autre, jusqu'à l'Universalité souhaitée, nous aurons besoin en permanence d'être sagement conduit vers le but
4.
201-209; Mémoire anonyme de 1775 (Dépôt de la guerre, 3689, f
5.
234 Projet de règlement pour l'aciérie d'Amboise, Archives nationales, f
6.
Fogg insista et offrit de la bête un prix excessif, dix livres (250 F) l'heure
7.
En admettant que l'éléphant employât quinze heures à se rendre à Allahabad, c'était six cents livres (15 000 F) qu'il rapporterait à son propriétaire
8.
Phileas Fogg offrit successivement douze cents livres, puis quinze cents, puis dix-huit cents, enfin deux mille (50 000 F)
9.
, ne trouva que chez un revendeur, vieux juif difficultueux, les objets dont il avait besoin, une robe en étoffe écossaise, un vaste manteau, et une magnifique pelisse en peau de loutre qu'il n'hésita pas à payer soixante-quinze livres (1 875 F)
10.
— Attendu, reprit le juge, attendu que la loi anglaise entend protéger également et rigoureusement toutes les religions des populations de l'Inde, le délit étant avoué par le sieur Passepartout, convaincu d'avoir violé d'un pied sacrilège le pavé de la pagode de Malebar-Hill, à Bombay, dans la journée du 20 octobre, condamne ledit Passepartout à quinze jours de prison et à une amende de trois cents livres (7 500 F)
11.
Fix se sentit froid dans le dos, mais il reprit son assurance, quand il entendit le juge, « attendu la qualité d'étrangers de Phileas Fogg et de son domestique », fixer la caution pour chacun d'eux à la somme énorme de mille livres (25 000 F)
12.
En effet, depuis qu'il avait quitté Londres, tant en frais de voyage qu'en primes, en achat d'éléphant, en cautions et en amendes, Phileas Fogg avait déjà semé plus de cinq mille livres (125 000 F) sur sa route, et le tant pour cent de la somme recouvrée, attribué aux détectives, allait diminuant toujours
13.
En voulez-vous cinq cents (12 500 F) à la condition de m'aider ?
14.
— Je vous offre cent livres (2 500 F) par jour, et une prime de deux cents livres si j'arrive à temps
15.
En effet, en arrivant et en admettant que le sieur Fogg n'en jetât pas encore quelques poignées à la mer, plus de sept mille livres (175 000 F) manqueraient au sac à bank-notes !
16.
et un F
17.
Or, le lecteur – et cette considération tranchera le nœud du conflit – le lecteur du journal, de la livraison, de la brochure et même du volume relié, a tout intérêt à ce que les écrivains adoptent résolument et jusqu’en ses dernières conséquences la réforme de l’orthographe, dont les principes fondamentaux sont la suppression de toute lettre inutile, le remplacement du prétentieux « ph » par un simple « f » et autres modifications de même nature
18.
Par exemple, on mettait des lettres de l’alphabet dans un sac ; et chacun tirait à son tour ; – qui amenait un C, devait une comédie ; – ceux qui prenaient un S ou un F, devaient un sonnet ou une fable ; et malheur à celui qui rencontrait la lettre O, il était débiteur d’un opéra, ni plus ni moins
19.
1 Ancienne pièce anglaise qui correspond à 6 F 25 environ de notre monnaie
20.
– Je vous en fais cadeau, mais, de grâce, f
21.
– Mais enfin, docteur, tonitruait le capitaine, vous ne me ferez jamais croire que ce pétard de Dieu de clairon ne s’est pas f
22.
Le docteur Hooker m'apprend, en outre, que quelques-unes de ces plantes, appartenant aux régions tempérées, ont été découvertes par le révérend F
23.
Certaines espèces appartenant à trois de ces genres (A, F et I) ont transmis, jusqu'à nos jours, des descendants modifiés, représentés par les quinze genres (a14 à z14) qui occupent la ligne horizontale supérieure
24.
Mais on peut supposer que le genre existant F14 n'a été que peu modifié, et on pourra le grouper avec le genre primitif F dont il est issu; c'est ainsi que quelques organismes encore vivants appartiennent à des genres siluriens
25.
Tous les descendants du genre F, dans toute la série généalogique, ne formeront qu'un seul genre, puisque nous supposons qu'ils se sont peu modifiés; mais ce genre, quoique fort isolé, n'en occupera pas moins la position intermédiaire qui lui est propre
26.
Allez chercher vos bûcherons, et f
27.
Y a pas plus rosse que lui ! Et tout le temps un air de se f
28.
La chandelle n’était pas encore entièrement consumée ; je pris ma lettre, dont le cachet portait l’initiale F
29.
– Moi, je fais ce que ces messieurs me disent de faire, et je me f
30.
Les trop petits, c’est du déchet, on les f
31.
Les trop gros, on les f
32.
– On les f
33.
« Les représailles de l’étranger ? Je m’en f
34.
le docteur Moll, de Berlin, attire mon attention sur le fait qu'on trouve déjà des allusions à l'inversion sexuelle concernant des hommes, dans le Moritz's Magazin f
35.
Nous devons à Westphal (Archiv f
36.
– Pour te les f
37.
Et ensuite – je vous en fais juge – qu’est-ce que ça peut bien me f
38.
Heureusement qu’il n’avait loué que pour un mois, car on n’est pas très flatté, n’est-ce pas, d’avoir affaire avec des loufoques de ce calibre et on n’aurait pas été surpris de voir un beau jour le bonhomme f
39.
(Observation personnelle, Zeitschrift f
40.
Note 95: (retour) Comparez les rapports détaillés des médecins légistes sur ce cas réunis par le docteur Birnbacher dans Friedreichs Blætter f
41.
Bientôt après il devint calme, resta troublé pendant quelques jours encore et recouvrit ensuite ses sens mais avec une amnésie complète pour tout ce qui s'était passé (Howalewsky, Jahrbuescher f
42.
(Purkhauer, Friedreichs Blætter f
43.
F XXX, VIII, fascicule 2
44.
Note 116: (retour) Pour les cas précis, voir Friedreichs Blætter, f
45.
Les Blafafoires, par contre, apportaient l'appui de leurs relations et de celles des Baraglioul, c'est-à-dire, après que le Carton-Romain eût fait ses preuves, la protection de maints membres influents du clergé; ceux-ci (en plus de quelques importantes commandes) persuadèrent maintes petites paroisses de s'adresser à la maison F
46.
Je fis donc un effort pour remédier au mal, et rejeter toute application de ses paroles à ma personne, en lui répondant que, s’il voulait attendre qu’il fût suffisamment connu dans les environs, il ne manquerait pas de trouver ce qu’il désirait parmi les ladies qui habitaient F
47.
« Je crains de vous détourner de votre chemin, monsieur Weston ; je crois que la route de F
48.
T’ai-je mis à la porte, oui ou non ? F
49.
Marcel prit la chose, lui, avec sa coutumière philosophie, et c’est sans la moindre amertume qu’il dit à un groupe d’enfants réunis autour de lui et du gendarme : « Vous entendez bien, les petits, tâchez de ne pas vous f
50.
Alphonse Allais de l’âme erre et se f
51.
– Dès que j’ai deux sous, avouait-il de la meilleure grâce du monde, c’est pour me f
52.
Il y a quelques années, le capitaine Cap, alors mon ami, proposa, pour en finir avec cette double et véritable question des Balkans et des Dardanelles, proposa, dis-je, de f
53.
– Ça n’est pas pour les deux sous ! Les deux sous, je m’en fiche ! Mais je ne veux pas qu’on se f
54.
Les 15 grammes de sucre, je m’en fiche ! Mais je ne veux pas qu’on se f
55.
Qu’est-ce que vous voulez, moi, je ne veux pas qu’on se f
56.
Pas beaucoup de temps ! On allait lui en f
57.
Avec cette peur-là, la mère Burette a eu ses vingt francs au bout de sept jours, et Mme d’Herbelot a remporté sa vilaine bête, qui perforait toute la journée des F
58.
Pour se venger, celui-ci comptait exiger : 1° la formation d’une commission à laquelle serait confié le soin d’étudier sur place la situation des populations étrangères ; 2° dans le cas où cette situation serait telle que les données officielles la représentaient, d’instituer une nouvelle commission scientifique pour rechercher les causes de ce triste état de choses au point de vue : (a) politique ; (b) administratif ; (c) économique ; (d) ethnographique ; (e) matériel ; (f) religieux ; 3° que le ministère fût requis de fournir des renseignements sur les mesures prises pendant les dernières années pour éviter les conditions déplorables imposées aux étrangers, et de donner des éclaircissements sur le fait d’avoir agi en contradiction absolue avec la loi organique et fondamentale, 2, page 18, avec remarque à l’article 36, ainsi que le prouvait un acte du comité sous les numéros 17015 et 18398, du 5 décembre 1863 et du 7 juin 1864
59.
– Mon ami, dit-il au valet de chambre, je ne suis pas un voleur ordinaire, car je vais commencer par vous donner vingt francs, mais je suis obligé de vous emprunter votre cheval ; je vais être tué si je ne f
60.
Il pensa à une terrible objection qu’on pourrait lui faire et à laquelle il ne trouvait que de mauvaises réponses : il allait dire qu’il s’appelait Giletti et tout son linge était marqué F
61.
L’élève, à l’aide d’un scalpel, incisa très délicatement un F et un D (François Dunoyer) sur le bras de l’actrice défunte(1), pour prendre possession, comme disait le docteur
62.
(Les empreintes d'un saladier et de cinq verres ont été constatées sur celle qui se trouve entre les points F
63.
—Je suis entré, disait-il, par cette porte marquée C, je me suis assis à la table H, qui est à gauche en entrant; les autres occupaient cette table qui est entre la cheminée F et la fenêtre B
64.
(Les empreintes d’un saladier et de cinq verres ont été constatées sur celle qui se trouve entre les points F
65.
– Je suis entré, disait-il, par cette porte marquée C, je me suis assis à la table H, qui est à gauche en entrant ; les autres occupaient cette table qui est entre la cheminée F et la fenêtre B
66.
Avec cette peur-là, la mère Burette a eu ses vingt francs au bout de sept jours, et Mme d'Herbelot a remporté sa vilaine bête, qui perforait toute la journée des F
67.
F la sacristie, communiquant au cloître L et aux dépendances
68.
Le système de la voûte d'arête romaine formée par la pénétration de deux demi-cylindres d'un diamètre égal, n'avait jamais été abandonné; aussi fut-il appliqué aux édifices religieux, du moment que l'on renonça aux charpentes; mais ce système ne peut être employé que pour voûter un plan carré; or dans le plan de la basilique latine, le bas côté seul présente un plan carré à chaque travée; quant à la nef, l'espacement compris entre chaque pilier étant plus étroit que la largeur du vaisseau principal, l'espace à voûter se trouve être un parallélogramme et ne peut être fermé par une voûte d'arête romaine; exemple (16): soit une portion de plan d'une église du XIe siècle, A les bas côtés, B la nef principale; les surfaces C D E F sont carrées et peuvent être facilement voûtées par deux demi-cylindres d'un diamètre égal, mais les surfaces G H I K sont des parallélogrammes; si l'on bande un berceau ou demi-cylindre de G en H, le demi-cylindre de G en I viendra pénétrer le demi-cylindre G H au-dessous de sa clef, ainsi que l'indique la figure (17)
69.
Examinons cette coupe transversale: impossible de construire un bas côté extérieur plus bas que le collatéral C; il faut le couvrir, la hauteur du premier comble F est donnée forcément par les pentes convenables pour de la tuile; il faut éclairer la nef, les fenêtres B sont larges et basses, elles commandent la hauteur du collatéral intérieur A; il faut aussi poser un comble sur les voûtes de ce collatéral, la hauteur de ce comble donne l'appui des fenêtres G; ces fenêtres supérieures elles-mêmes sont courtes, et d'une proportion écrasée, elles donnent la hauteur des grandes voûtes
70.
35 et 36), au-dessus du triforium en E, à la base des grands combles en F; à l'intérieur en G dans le triforium
71.
Il existe encore à Verdun des traces de cette crypte ou confession sous les chapelles B qui étaient relevées au niveau du sanctuaire; en C le transsept de l'est, D la nef, E l'entrée ancienne, F le transsept de l'ouest, G l'abside occidentale, convertie aujourd'hui en vestibule; en H un cloître; en B et en I des tours
72.
Car comment établir un formeret de F en E? Eût-il été plein cintre que sa clef se fût élevée à un niveau très-supérieur à la clef de l'archivolte en tiers-point LM
73.
E des stalles pour les religieux, les deux ambons pour lire l'épître et l'évangile; F divers autels; G les fonts baptismaux; H un second choeur à l'occident; I un second exèdre pour les religieux; K l'école, avec ses cours disposées comme les impluvium romains, et des salles alentour; des latrines isolées communiquent au bâtiment par un passage; à l'ouest de ce bâtiment, des celliers, une boulangerie et une cuisine pour les hôtes; L la sacristie à la droite du choeur oriental; M une salle pour les scribes à la gauche du choeur, avec bibliothèque au-dessus; NN deux escaliers à vis, montant dans deux salles circulaires où se trouvent placés des autels dédiés aux archanges saints Michel et Gabriel; O l'entrée de l'église réservée au peuple, avec narthex; autour du sanctuaire I un double collatéral pour les fidèles; P le vestibule des familiers du couvent; R le vestibule des hôtes et des écoliers
74.
Le long du bas côté nord sont disposées diverses salles destinées aux maîtres des écoles, à ceux qui demandent asile, des dortoirs; S le réfectoire avec vestiaire au-dessus; T le cellier avec salle au-dessus pour conserver des provisions de bouche; U des bains; V le dortoir avec chauffoir au-dessous; le tuyau de la cheminée est isolé; X des latrines isolées et réunies au dortoir par un passage étroit et coudé; Y la cuisine avec passage étroit et coudé communiquant au réfectoire; ces passages sont évidemment disposés ainsi afin d'empêcher les odeurs de se répandre, soit dans le dortoir, soit dans le réfectoire; Z l'officine pour faire le pain sacré; b le jardin potager, chaque plate-bande est indiquée avec le nom des légumes qui doivent y être cultivés; b' la maison du jardinier; d le verger avec l'indication des arbres à fruits et leur nom; e un bâtiment réservé aux novices d'un côté et aux infirmes de l'autre avec chapelle double, chacun de ces bâtiments contient un cloître avec salles alentour, des chauffoirs, des latrines isolées; f les poulaillers et le logement du chef de la basse-cour; g le logement du médecin; h un petit jardin pour cultiver des plantes médicinales; h' la pharmacie; i le logement de l'abbé; j la cuisine de l'abbé, un cellier, des bains, et les chambres de ses familiers; l le logement des hôtes avec écurie, chambres pour les serviteurs, réfectoire au centre, chauffoir et latrines isolées; m des logements avec écuries et étables pour les palefreniers, les bergers, porchers, les familiers, les serviteurs, etc
75.
En D était l'autel principal, en E l'autel de retro, en F le tombeau de saint Hugues, mort en 1109
76.
On remarquera tout d'abord que ce plan se divise en deux sections distinctes; la plus importante, celle de l'est, renferme les bâtiments affectés aux religieux; en A sont placés l'église et deux cloîtres dont nous donnons plus bas le détail; en B des fours et moulins à grains et à huile; en C la cellule de saint Bernard, son oratoire et son jardin religieusement conservés; en E des piscines alimentées par l'étang; en F le logement des hôtes; en G la maison abbatiale, voisine de l'entrée et de l'hôtellerie; en H des écuries; en I le pressoir et grenier à foin; en Y des cours d'eau; et en S un oratoire
77.
F, la cuisine ayant sa petite cour de service, son cours d'eau T, une laverie et un garde-manger à proximité
78.
Une écurie F était à cet effet placée près de la grande porte intérieure E
79.
B est l'oratoire primitif qui avait été conservé; D la salle du chapitre; E le grand réfectoire; F la cuisine et ses dépendances avec sa petite cour séparée sur le cours d'eau; G le chauffoir; H le noviciat; I les pressoirs; K la sacristie; L des granges avec les logements des frères convers à proximité, en dehors de la clôture des religieux, comme à Cîteaux et à Clairvaux
80.
En F est la salle capitulaire, à la suite le réfectoire, les cuisines et le chauffoir avec sa cheminée; en D sont les dortoirs; mais ces constructions ont été relevées au XVe siècle
81.
Une autre porte s'ouvre à l'extrémité opposée à la première, en F, c'est là que loge le frère hospitalier
82.
Le dortoir était au-dessus; en F le réfectoire et la cuisine; en G des celliers, granges et bâtiments d'exploitation
83.
En B le cloître; en C le réfectoire; en D le pensionnat; en E le parloir, et le logement des tourières; en F les cuisines; G, les latrines disposées des deux côtés d'un cours d'eau; H, est le logis de l'abbesse; I des fours et écuries; K l'apothicairerie; L, l'habitation réservée pour le roi saint Louis, lorsqu'il se rendait à Maubuisson avec sa mère
84.
De cette porte on accède aux boulevards par un escalier, et en suivant les remparts qui s'élèvent sur le rocher vers l'est, on arrive bientôt à des emmarchements considérables tournant vers le nord jusqu'à la porte de l'abbaye F, défendue par une première enceinte E
85.
Le réfectoire est situé en F; on ne peut y arriver du dehors que par un couloir sombre défendu par des herses, et un escalier à vis; de plain-pied avec la salle d'entrée, sous le réfectoire, est la salle où l'on introduisait les pauvres auxquels on distribuait des aumônes
86.
C'est une vaste crypte reconstruite au XVIe siècle pour supporter le choeur de l'église qui fut rebâti à cette époque; F H sont les soubassements de l'ancienne nef et du transsept romans, afin de suppléer au rocher qui, sur ces points, n'offrait pas une assez grande surface; G les logements de l'abbé et des hôtes; I le dessous de la bibliothèque
87.
En B est le grand cloître; en D la salle capitulaire; en F la sacristie; en E une petite chapelle dédiée à saint Antonin; en G le réfectoire
88.
A est l'église sans transsept et sans tours, conformément aux usages admis dans les couvents augustins; B la bibliothèque, longue galerie au-dessus du cloître; C les dortoirs des religieux; D le dortoir des laïques; E le grand cloître des religieux; F le cloître des laïques; G, le réfectoire; H l'infirmerie; I la cuisine, communiquant au réfectoire par un petit pont couvert; K des logements pour les hommes (hôtes), L et pour les femmes; M des maisons d'artisans; N, le logis de l'empereur (Charles-Quint); 0 chêne, dit la légende, sous lequel se trouvèrent réunies sept têtes couronnées; P la porte principale du monastère; R des vacheries et greniers à fourrages; S des jardins avec un labyrinthe, allées plantées d'arbres, chapelles, etc
89.
B est l'entrée du monastère, également destinée aux fidèles se rendant à l'église; A est le choeur réservé aux religieux; D la nef pour le public; C la porte des religieux; X la cellule du portier; V la procure; E le cloître; L la sacristie prise aux dépens d'une salle qui n'était pas destinée à cet usage; M des magasins; N les prisons; F le réfectoire et la cuisine G; K une chambre pour les visiteurs (parloir); le dortoir était au-dessus de la grande salle dans le prolongement du transsept, suivant l'ancien usage; Z des caves; au-dessus, des chambres à provisions; I la boulangerie; H une infirmerie et sa cuisine G; à côté, des écuries; R le logis de l'aumônier et son jardin; T le jardin des religieux; P le palais abbatial avec sa cour, son entrée particulière, ses écuries et communs 0, et son jardin à l'est; S la chapelle de la Sainte-Trinité
90.
Voici (26) le plan d'une portion de cette abbaye: H est une entrée fortifiée avec les bâtiments de la gabelle et le logement du médecin; A l'église; B le grand cloître; C le réfectoire; D E des dortoirs; F le dortoir des novices; K des cimetières
91.
De la première cour, on ne communique au grand cloître que par le passage F, assez large pour permettre le charroi du bois nécessaire aux chartreux; D est le grand préau entouré par les galeries du cloître, donnant entrée dans les cellules I, formant chacune un petit logis séparé, avec jardin particulier; R des tours de guet; Z la prison; Y le cimetière; H est une tour servant de colombier
92.
A est la galerie du cloître; B un premier couloir qui isole le religieux du bruit ou du mouvement du cloître; K un petit portique qui permet au prieur de voir l'intérieur du jardin, et d'approvisionner le chartreux de bois ou d'autres objets nécessaires déposés en L, sans entrer dans la cellule; C une première salle chauffée; D la cellule avec son lit et trois meubles: un banc, une table et une bibliothèque; F le promenoir couvert, avec des latrines à l'extrémité; H le jardin; I le tour dans lequel on dépose la nourriture; ce tour est construit de manière que le religieux ne peut voir ce qui se passe dans la galerie du cloître
93.
F, la chapelle de la Vierge, bâtie par P
94.
En A est la grosse barbacane du côté de l'Aude dont nous avons parlé plus haut, avec ses rampes fortifiées jusqu'au château F
95.
Si l'assiégeant parvenait au sommet de la première rampe, il lui fallait se détourner en E: il était alors battu de flanc; en F il trouvait un parapet fortifié, puis une porte bien munie et crénelée; s'il franchissait cette première porte, il devait longer un parapet percé d'archères, forcer une barrière, se détourner brusquement et s'emparer d'une deuxième porte G, étant encore battu de flanc
96.
Il était plus facile à un assiégeant de battre une tour qu'une courtine (22); car une fois logé au point A, du moment qu'il avait détruit ou brûlé les hourds de B en C, l'assiégé ne pouvait l'inquiéter, mais dans les enceintes des villes toutes les tours étant fermées à la gorge en D, lorsque l'assaillant avait fait un trou en A ou fait tomber la demi-circonférence extérieure de la tour, il n'était pas dans la ville, et trouvait de nouvelles difficultés à vaincre, c'est pourquoi dans les siéges des places on s'attaquait de préférence aux courtines, quoique les approches en fussent plus difficiles que celles des tours (23); l'assiégeant, arrivé au point A après avoir détruit les défenses supérieures des tours B C, et fait son trou ou sa brèche, était dans la ville, à moins, ce qui arrivait souvent, que les assiégés n'eussent élevé promptement un second mur E F; mais il était rare que ces défenses provisoires pussent tenir longtemps
97.
Au moyen des hourds de bois non-seulement on ajoutait au chemin de ronde en maçonnerie fixe A (32) une coursière B percée de mâchicoulis en C et d'archères en D, mais on augmentait encore souvent la largeur des chemins de ronde, soit en faisant déborder les hourds à l'intérieur de la ville en E, soit en ajoutant au chemin de ronde des planchers de bois F dont les solives entraient dans des trous ménagés de distance en distance sous la tablette du boulevard, et étaient supportées par des poteaux G
98.
On voit parfaitement en A les mâchicoulis encore en place, en B l'arrachement des parapets de pierre, en C le filet de l'appentis qui recouvrait le chemin de ronde D, en E les corbeaux de pierre qui portaient le faîtage de cet appentis, en G les portes qui donnaient entrée de l'escalier sur les chemins de ronde, et en F des ouvertures permettant de passer du dedans de la tour des projectiles aux défenseurs des créneaux; en H un étage crénelé couvert au-dessus des mâchicoulis, et en I le dernier crénelage découvert à la base du comble; en K la tour de l'escalier servant de guette à son sommet
99.
BASTILLE); en F une troisième porte donnant sur la Marne protégée par des ouvrages en terre de la fin du XVIe siècle
100.
Les embrasures E, F, G, ressautent pour suivre l'inclinaison du terrain et se trouver toujours à une même hauteur au-dessus du sol extérieur