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milan frasi di esempio
milan
1. Alors, d'un geste rapide, il ouvrit son pourpoint de velours noir, et sur sa poitrine fit voir à Marguerite une fine tunique de mailles d'acier et un long poignard de Milan qui brilla aussitôt à sa main comme une vipère au soleil
2. —Si vous me connaissiez davantage, monsieur, répondit en souriant le comte, vous ne vous préoccuperiez pas d'un soin presque humiliant pour un voyageur comme moi, qui a successivement vécu avec du macaroni à Naples, de la polenta à Milan, de l'olla podrida à Valence, du pilau à Constantinople, du karrick dans l'Inde, et des nids d'hirondelle dans la Chine
3. Prends garde que dupant ton esprit par quelque ruse, le milan ne ravisse
4. —Écoute, Haydée; peut-être cette réclusion tout orientale sera-t-elle impossible à Paris: continue d'apprendre la vie de nos pays du Nord comme tu l'as fait à Rome, à Florence, à Milan et à Madrid; cela te servira toujours, que tu continues à vivre ici ou que tu retournes en Orient
5. Pour perdre Lautrec, gouverneur du Milanais, elle s'empare des deniers que lui envoyait le surintendant Semblançay; et elle laisse ainsi échapper à la France le duché de Milan
6. Et comme Milan se trouvait tout naturellement sur sa route, Milan, où, comme l'on sait, sur les conseils du père Anselme, les Armand-Dubois étaient allés demeurer, il en profiterait pour revoir un peu son beau-frère
7. — Qui vous a fait partir pour Milan?
8. — J'ai failli voir le cardinal Pazzi qui m'avait marqué de l'attention, et à qui j'avais récemment écrit; il a bien passé par Milan, mais il m'a fait dire par son valet
9. Il vient de Milan où il a été voir Anthime qui est très malheureux parce qu'il n'obtient pas ce que lui avait promis l'église après son procès; alors Julius veut aller trouver notre Saint-Père pour lui demander justice; car naturellement il ne sait rien encore
10. Ah! mon ami, si vous aviez vu l'appartement qu'il occupe à Milan! — Vous ne pouvez pas rester ici, lui ai-je dit tout de suite
11. Ce même jour, le train du soir amenait de Milan les Anthime; comme ils voyageaient en troisième, ils ne virent qu'à l'arrivée la comtesse de Baraglioul et sa fille aînée qu'amenait de Paris le sleeping-car du même train
12. – D’après l’état des esprits dans certaines parties de l’Italie, où quelques agitateurs ont les yeux tournés vers la France, le père Orsini écrit de Milan qu’il serait très important de répandre à profusion dans ce pays un petit livre dans lequel les Français, nos compatriotes, seraient présentés comme impies et débauchés
13. Mais ce qui le charmait le plus, dans tous ces souvenirs, c’est l’honneur qu’il avait eu d’être présenté à l’ex-roi Milan
14. « J’aurais été une sorte d’ambassadeur auprès de Napoléon ! se dit-il ; j’aurais eu l’honneur de parler à ce grand homme, plût à Dieu ! » Il se souvint que son septième aïeul, le petit-fils de celui qui arriva à Milan à la suite de Sforce, eut l’honneur d’avoir la tête tranchée par les ennemis du duc, qui le surprirent comme il allait en Suisse porter des propositions aux louables cantons et recruter des soldats
15. C’était Ascagne, son frère aîné, qui l’avait dénoncé à la police de Milan
16. – C’est dans ton appartement qu’il faut cacher notre hussard, dit la marquise, il ne peut partir tout de suite dans ce premier moment, nous ne sommes pas assez maîtresses de notre raison, et il s’agit de choisir la meilleure façon de mettre en défaut cette terrible police de Milan
17. Ce jour-là la comtesse et la marquise étaient absolument privées de leur raison ; Fabrice fut obligé de recommencer tous ses récits : enfin on résolut d’aller cacher la joie commune à Milan, tant il sembla difficile de se dérober plus longtemps à la police du marquis et de son fils Ascagne
18. À peine arrivées, elles louèrent au hasard une de ces voitures qui attendent pratique près de cette haute tour du moyen âge qui s’élève au-dessus de la porte de Milan
19. À un quart de lieue de la ville on trouva un jeune chasseur de la connaissance de ces dames, et qui par complaisance, comme elles n’avaient aucun homme avec elles, voulut bien leur servir de chevalier jusqu’aux portes de Milan, où il se rendait en chassant
20. – Un homme comme moi ne prend pas de passeport pour aller de Milan voir le lac
21. Ce matin, à Côme, on m’a dit que je serais arrêté à la porte, je suis sorti à pied avec ma fille ; j’espérais trouver sur la route quelque voiture qui me conduirait jusqu’à Milan, où certes ma première visite sera pour porter mes plaintes au général commandant la province
22. – Eh bien ! général, vous êtes arrêté, et je vais vous conduire à Milan
23. Clélia Conti fut autorisée par le digne chambellan à accepter, pour revenir à Milan, une place dans la voiture de ces dames, et personne ne songea à arrêter le fils du brave général comte Pietranera
24. Une lieue avant d’arriver à Milan, Fabrice dit qu’il allait voir son oncle, et prit congé des dames
25. Le soir, fort tard, Fabrice rentra dans Milan par la porte Renza, qui conduit à une promenade à la mode
26. Il établissait alors cette fameuse police de Milan, et s’était engagé à prévenir une révolution comme celle de 1746, qui chassa les Autrichiens de Gênes
27. Cette police de Milan, devenue depuis si célèbre par les aventures de MM
28. 3° Il ne devait point se faire voir au café, il ne fallait jamais lire d’autres journaux que les gazettes officielles de Turin et de Milan ; en général, montrer du dégoût pour la lecture, ne jamais lire, surtout aucun ouvrage imprimé après 1720, exception tout au plus pour les romans de Walter Scott
29. Ce fut dans ces dispositions qu’elle fit un voyage à Milan ; elle espérait y trouver des nouvelles plus directes de Napoléon, et, qui sait, peut-être par contrecoup des nouvelles de Fabrice
30. Arrivée à Milan, elle se prit de passion pour l’opéra à la mode ; elle allait s’enfermer toute seule, durant de longues heures, à la Scala, dans la loge du général Scotti, son ancien ami
31. Cet homme qui l’amusait, le comte Mosca della Rovere Sorezana, était alors ministre de la guerre, de la police et des finances de ce fameux prince de Parme, Ernest IV, si célèbre par ses sévérités que les libéraux de Milan appelaient des cruautés
32. Une fois entré dans cette sorte de jeu d’échecs, choqué des insolences de mes supérieurs, j’ai voulu occuper une des premières places ; j’y suis arrivé : mais mes jours les plus heureux sont toujours ceux que de temps à autre je puis venir passer à Milan ; là vit encore, ce me semble, le cœur de votre armée d’Italie
33. Comme elle est fort élevée, cent quatre-vingts pieds, dit-on, on l’aperçoit de fort loin au milieu de cette plaine immense ; et la forme physique de cette prison, de laquelle on raconte des choses horribles, la fait reine, de par la peur, de toute cette plaine, qui s’étend de Milan à Bologne
34. Le lendemain de cette découverte, le comte trouva que malgré les affaires qui l’appelaient à Milan, la journée était d’une longueur énorme ; il ne pouvait tenir en place ; il fatigua les chevaux de sa voiture
35. De son côté, le comte Mosca était presque de bonne foi quand il lui offrait de donner sa démission, de quitter le ministère, et de venir passer sa vie avec elle à Milan ou ailleurs
36. Elle se voyait sur le Corso, à Milan, heureuse et gaie comme au temps du vice-roi
37. « Si je suis un peu trop âgée pour faire des folies, se disait-elle, l’envie, qui se fait des illusions comme l’amour, peut empoisonner pour moi le séjour de Milan
38. Mais j’aurai des moments désagréables, quelque adresse que j’y mette, si, ne possédant toujours pour fortune que la pension de veuve, je reviens vivre à Milan avec la bonne petite aisance bourgeoise que peuvent nous donner les 15 000 livres qui resteront à Mosca après sa démission
39. Cette séparation se sait à Parme, mais à Milan elle sera nouvelle, et on me l’attribuera
40. Dans toutes ses lettres il sollicitait avec une folie toujours croissante une seconde entrevue à Milan, on la lui accorda
41. – Vous jurer que j’ai pour vous une passion folle, lui disait la comtesse, un jour à Milan, ce serait mentir ; je serais trop heureuse d’aimer aujourd’hui, à trente ans passés, comme jadis j’aimais à vingt-deux ! Mais j’ai vu tomber tant de choses que j’avais crues éternelles ! J’ai pour vous la plus tendre amitié, je vous accorde une confiance sans bornes, et de tous les hommes, vous êtes celui que je préfère
42. Mais Fabrice n’était qu’un enfant aux yeux du comte Mosca ; celui-ci arriva à Milan trois jours après le départ du jeune étourdi pour Novare, et il se hâta d’aller parler en sa faveur au baron Binder
43. Il n’était point arrivé seul à Milan, il avait dans sa voiture le duc Sanseverina-Taxis, joli petit vieillard de soixante-huit ans, gris pommelé, bien poli, bien propre, immensément riche, mais pas assez noble
44. » 1°Je donne ma démission, et nous vivons en bons bourgeois à Milan, à Florence, à Naples, où vous voudrez
45. Eh bien ! choisissez : 1° une grande existence basée sur cent vingt-deux mille francs à dépenser, qui, à Parme, font au moins comme quatre cent mille à Milan ; mais avec ce mariage qui vous donne le nom d’un homme passable et que vous ne verrez jamais qu’à l’autel, 2° ou bien la petite vie bourgeoise avec quinze mille francs à Florence ou à Naples, car je suis de votre avis, on vous a trop admirée à Milan ; l’envie nous y persécuterait, et peut-être parviendrait-elle à nous donner de l’humeur
46. – Savez-vous pourquoi ? lui dit le comte Mosca au retour de l’audience, c’est que Milan est une ville plus grande et plus belle que Parme
47. Croiriez-vous que le prince regarde sous les lits de son appartement avant de se coucher, et dépense un million, ce qui à Parme est comme quatre millions à Milan, pour avoir une bonne police, et vous voyez devant vous, madame la duchesse, le chef de cette police terrible
48. » Rappelez-vous toujours, madame, répétait le comte, que vous faites à votre neveu, sur le pavé de Milan, le sort dont jouissent les jeunes gens de son âge qui passent pour les plus fortunés
49. – Je le conçois ; cependant une lettre pour Ristitch ou pour Milan vous serait peut-être de quelque utilité ? continua Kosnichef frappé de la profonde souffrance qu’exprimait le visage du comte
50. Je m’étais caché dans ce gros châtaignier creux, parce que j’ai vu l’un d’eux traverser la route, leurs chiens vont me dépister ! Je vais monter sur votre cheval et galoper jusqu’à une lieue au-delà de Côme ; je vais à Milan me jeter aux genoux du vice-roi