Usa "pailler" in una frase

1. Naturellement, ce choix littéraire n'a rien d'exclusif; en effet, un auteur déjàpublié chez nous et qui souhaite nous proposer un second texte est le bienvenu(Jean Pailler en littérature générale, Jérôme Touzalin en théâtre, Philippe Warden fantastique pour ne citer que quelques exemples) de même qu'un auteur"reconnu" et déjà édité par ailleurs qui désire travailler avec nous (à titred'exemple, à nouveau, on peut citer Philippe Raulet, Eyet-Chékib Djaziri ou JeanMillemann entre autres)

2. Les moineaux, habitués du pailler de la métairie, piquaient une tête, un par un, sur le dos de la meule énorme, et disparaissaient aussitôt sous les brins retombants et noircis par la pluie

3. Ils sont là, derrière le pailler, dans le champ du Four

4. Elle s’était abritée derrière la ferme, dans l’aire à battre, au pied du grand pailler, le visage tourné vers le Marais, qu’on apercevait entre deux buissons de la haie

5. Elle souriait encore ; elle n’avait pas quitté le pailler de l’aire, lorsque, dans la grande salle de la maison, André dit au père qui rentrait :

6. Mais Perrine, dont je voyais poindre le bonnet blanc à travers l’ouverture grillée de l’étable, ne bougeait pas, et son amoureux s’était précipité à plat-ventre derrière un pailler

7. Ils allèrent derrière l’énorme pailler, tout près du ravin, dans un coin favorable aux confidences et qu’ils connaissaient depuis longtemps, où le père mettait en réserve des troncs de cerisiers et d’ormes abattus, bois des barrières à venir

8. Il lui donne une petite tape sur la croupe : « Adieu, dit-il, ma Roussette ! » Un peu plus loin, c’est le hangar avec ses charrues et ses herses dételées, le pailler énorme, la grange, et, sur leur arbre sec, des poules qui s’éveillent, et penchent leurs crêtes

9. Les femmes, à pleins râteaux ratissaient le grain ; quatre chevaux tournaient, attelés aux branches du pivot ; les hommes passaient et repassaient, portant la paille battue ou les gerbes au bout de leurs crocs d’acier bleu ; d’autres détruisaient une à une les assises du gerbier ; d’autres s’élevaient avec le pailler énorme, enfoncés à mi-jambes dans l’or de la paille fraîche : le petit moulin, agitant son clapet, souillait en arc la balle de froment, comme une queue de comète : au-dessus d’eux la machine, avec ses engrenages et ses volants, tournait, grondait, couvrant de son vacarme le son des voix et des rires et les hennissements des bêtes excitées par le fouet

10. De son champ, il voyait le faîte allongé du pailler, jaune entre les arbres encore verts