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    Use "déportation" em uma frase

    déportation frases de exemplo

    déportation


    1. Deux mois plus tard, Florent était de nouveau condamné à la déportation


    2. Quant à Gavard, il était, comme Florent, condamné à la déportation


    3. Le prévenu est condamné aux travaux forcés et à la déportation


    4. pire que la déportation ! C’est la tombe pour un homme vivant


    5. Ce fut donc sous le nom d’Armitage que j’entrai, en qualité de commis, dans une maison de banque de Londres, et, c’est sous ce même nom d’Armitage que je fus convaincu d’avoir transgressé les lois de mon pays ; on me condamna à la déportation


    6. » Et alors, en quelques secondes, les compagnies, les bataillons, les régiments ennemis se trouvent enfilés, ficelés, empaquetés, tout prêts à être envoyés vers des lieux de déportation


    7. Elle savait qu'il ne lui restait plus que deux jours, qu'une fois l'ordre signé par Buckingham (et Buckingham le signerait d'autant plus facilement, que cet ordre portait un faux nom, et qu'il ne pourrait reconnaître la femme dont il était question), une fois cet ordre signé, disons-nous, le baron la faisait embarquer sur-le-champ, et elle savait aussi que les femmes condamnées à la déportation usent d'armes bien moins puissantes dans leurs séductions que les prétendues femmes vertueuses dont le soleil du monde éclaire la beauté, dont la voix de la mode vante l'esprit et qu'un reflet d'aristocratie dore de ses lueurs enchantées


    8. Il s’intéressait particulièrement à la période de la déportation des Acadiens en 1755 et n’était pas tendre envers les Anglais


    9. J’annonçai la déportation du père, des grands frères ; la jeune fille, me montrant sa mère, me dit : « Vous le voyez, nous le savons


    10. Déportation facultative de ceux qui resteront sur le territoire

    11. 1 Lieu de déportation


    12. On voit déjà que Lapierre, après avoir obtenu la déportation à Kingston de son rival Després, voulut se conduire en conquérant et obtenir des parents de Louise la main de leur fille


    13. On juge qu'elle n'était que de la relégation, puisque celle de l'inceste n'était que de la déportation


    14. Il était nécessaire qu'on sût bien, et qu'on sût à jamais, que, dans la bouche des hommes du passé, ce mot, ordre, signifie, faux serment, parjure, pillage des deniers publics, guerre civile, conseils de guerre, confiscation, séquestration, déportation, transportation, proscription, fusillades, police, censure, déshonneur de l'armée, négation du peuple, abaissement de la France, sénat muet, tribune à terre, presse supprimée, guillotine politique, égorgement de la liberté, étranglement du droit, viol des lois, souveraineté du sabre, massacre, trahison, guet-apens


    15. La déportation des ecclésiastiques insermentés aura lieu comme mesure de sûreté publique et de police générale, dans les cas et suivant les formes ci-après


    16. Alors, dans une dizaine d’articles, on voyait les cas où les prêtres insermentés devaient être déportés, et le principal de ces articles revenait à celui-ci : « Lorsque vingt citoyens actifs du même canton se réuniront pour demander la déportation d’un ecclésiastique non sermenté, le directoire du département sera tenu de prononcer la déportation, si l’avis du directoire du district est conforme à la pétition


    17. Après le remplacement du directeur Letourneur, par Barthélémy (un royaliste !) ils abrogèrent la loi qui excluait les parents d’émigrés des fonctions publiques, et les décrets de la Convention contre les traîtres qui, dans le temps, avaient livré Toulon aux Anglais ; ils abolirent la déportation pour les réfractaires ; ils reprochèrent au Directoire d’avoir fait des traités en Italie, sans l’autorisation des conseils, ce qui retombait sur Bonaparte ; ils autorisèrent les assassinats et les brigandages de l’Ouest et du Midi, en refusant tout secours au gouvernement pour les faire cesser ; ils voulurent rétablir les églises catholiques, disant que c’était le culte de l’immense majorité des Français, le culte de nos pères, notre unique bien, seul capable de faire oublier quatre années de carnage, comme si les Vendéens, bons catholiques, n’avaient pas commencé le massacre


    18. Nous apprîmes le lendemain qu’ils n’avaient pas bougé, mais qu’on les avait attaqués eux-mêmes, sachant qu’ils faisaient leurs préparatifs ; que le général Augereau, à la tête de douze mille hommes, avait entouré les Tuileries dans la nuit du 17 ; que, sur les trois heures du matin, un coup de canon avait donné le signal de l’attaque ; que la garde des conseils, d’environ mille hommes, n’avait fait aucune résistance ; que la commission des inspecteurs ayant convoqué les conseils pour cette même nuit, un grand nombre de députés avaient été pris avec le colonel de la garde et conduits à la prison du Temple ; qu’un détachement de troupe, chargé d’arrêter Carnot et Barthélémy au Luxembourg, n’avait trouvé que Barthélémy, et qu’on pensait que Carnot s’était échappé ; que, le matin venu, les membres des deux conseils arrivant en procession aux Tuileries, on avait mis la main sur les conspirateurs ; et que tous les autres représentants, rassemblés à l’École de médecine et à l’Odéon, avaient jugé eux-mêmes leurs confrères et les avaient condamnés, au nombre de cinquante-trois, à la déportation, ainsi que les rédacteurs, propriétaires et compositeurs d’une quantité de journaux réactionnaires, qui tous pêle-mêle étaient maintenant en route pour Cayenne, sur les bâtiments de l’État


    19. Dans notre pays où tant de milliers d’hommes étaient venus mourir, on frémissait de rage, et l’on trouvait que la déportation ne suffisait pas pour des brigands pareils ; car ces pièces venues d’Italie n’étaient pas les seules qu’on affichait


    20. S’ils avaient aboli la déportation lorsqu’ils étaient les maîtres, on n’aurait pu les envoyer là-bas ; on se serait contenté de les enfermer ou de les exiler

    21. Cette manie de réaction m’a même valu seize ans de prison, de déportation et d’exil, tandis que les Brousse et les Rozier ont fait produire à leur socialisme plus ou moins unifié une bonne rente de quinze mille francs par an


    22. « Et alors, en quelques secondes, les compagnies, les bataillons, les régiments se trouvent enfilés, ficelés, empaquetés, tout prêts à être envoyés vers des lieux de déportation


    23. Il n’en fut pas moins condamné à la peine de mort ; Martin Bernard à la déportation ; Mialon aux travaux forcés à perpétuité pour avoir tué un brigadier de la garde municipale ; Delsade et Auster à quinze années de détention ; les autres, sauf quatre qui furent acquittés, à des peines variant de six années de détention à deux ans de prison


    24. Chef de l’émeute du Conservatoire (13 juin 1849), il passa en Angleterre et fut condamné par contumace à la déportation


    25. « Et tu as bien fait, père ; car, acquitté d’abord par la Cour martiale maritime de Brest, il a été condamné à la déportation par la seconde Cour martiale, que le Premier Consul, furieux, avait fait réunir à Rochefort, après avoir fait destituer et arrêter les officiers composant la première


    26. Cela dépassait de beaucoup les intentions de Parfait Lespervier ; il voulait bien apporter à Fouché et à Napoléon une bonne conspiration bien nette, bien groupée, formant bloc, ayant sa direction, sa tête, ses adjudants, tout comme Cadoudal dans sa dernière tentative, et peut-être vaguement, derrière, la foule obscure des comparses composant la possible armée insurrectionnelle ; mais il n’avait pas entendu qu’on profiterait de l’occasion pour quelque nouvelle exportation ou déportation en masse de tous les ennemis du régime impérial


    27. Mais il était certain qu’une bagarre pouvait attirer une patrouille et alors, gare à la police correctionnelle et à la déportation ! Une retraite immédiate paraissait donc la plus élémentaire sagesse


    28. La déportation n’est qu’une girondine


    29. Philippe songeait aux régions envahies qui craignent la déportation


    30. Eh quoi ! se pouvait-il qu’un nouveau nom s’ajoutât au martyrologe de la déportation ! qu’un nouveau squelette blanchit dans le lugubre ossuaire de l’équateur !

    31. dans les lieux de déportation, pourront, rentrer en France


    32. Mais, objectera-t-on peut-être, passons sur les misères de la déportation et les ignominies de la transportation(1)


    33. Moins d’une année après ce grand acte de réparation qui s’appelle l’abolition de l’esclavage, et que la Convention écrivit en lettres d’or en tête de ses décrets, parut l’arrêté du 12 germinal an IV (1er avril 1795), qui condamnait à la déportation Barrère, Vadier, Collot-d’Herbois et Billaud-Varennes(1)


    34. 1 Je prie le lecteur de ne pas oublier que le mot de déportation n’applique seulement aux hommes accusés de délits politiques, et celui de transportation, aux criminels de droit commun


    35. Dès que l’agent de police Marest eut obtenu de sœur Geneviève l’autorisation d’aller donner acte de la sortie des prisonnières désignées pour la déportation, toutes les personnes présentes, religieuses, surveillantes, détenues, avaient entouré la pauvre Henriette, qu’on avait fait asseoir sur un banc


    36. Le jour même où était signée la déportation du vaudevilliste, Cluche arrivait juste à point pour demander sa succession


    37. Ne sachant trop que faire des prisonniers politiques et croyant qu’un acte de clémence aurait un bon effet sur l’esprit de la population, il lança, dans le mois de juin, une ordonnance qui graciait presque tous les détenus, mais en condamnait huit sans procès à la déportation aux Bermudes


    38. Il faut que je le répète encore, le sort de cette pauvre femme m’affligea extrêmement ; et je commençai d’être très pensive, sachant que j’étais réellement l’instrument de son désastre : mais ma pauvre vie, qui était si évidemment en danger, m’ôtait ma tendresse ; et voyant qu’elle n’avait pas été mise à mort, je fus aise de sa déportation, parce qu’elle était alors hors d’état de me faire du mal, quoi qu’il advînt


    39. On pourra sans doute penser qu’il est inutile d’entrer ici dans la narration de tous les petits incidents qui me survinrent pendant cet intervalle de mes circonstances, je veux dire, entre l’ordre final de ma déportation et le moment que je m’embarquai, et je suis trop près de la fin de mon histoire pour y donner place ; mais je ne saurais omettre une chose qui se passa entre moi et mon mari de Lancashire


    40. Aussitôt on sut par toute la prison que Moll Flanders allait porter témoignage contre un des voleurs de grand’route, grâce à quoi on me remettrait ma sentence de déportation

    41. Il me dit qu’il n’y avait point de preuves contre lui ; à cause que sur les trois vols dont on les accusait tous, c’était sa bonne fortune qu’il n’y en eût qu’un où il eût été mêlé ; et qu’on ne pouvait trouver qu’un témoin sur ce fait, ce qui n’était pas suffisant ; mais qu’on espérait que d’autres se présenteraient, et qu’il pensait, quand d’abord il me vit, que j’en fusse une qui était venue à ce dessein ; mais que si personne ne se présentait contre lui, il espérait qu’il serait absous ; qu’on lui avait insinué que s’il se soumettait à la déportation, on la lui accorderait sans jugement, mais qu’il ne pouvait point s’y résigner, et qu’il pensait qu’il préférerait encore la potence


    42. Je le repris du court et lui dis que j’espérais qu’il n’avait point entendu par mon discours que j’attendisse aucun secours de lui, s’il avait de l’argent ; qu’au contraire, malgré que je n’en eusse pas beaucoup, pourtant je n’étais pas dans le besoin, et que pendant que j’en aurais, j’ajouterais plutôt à sa réserve que je ne l’affaiblirais, sachant bien que quoi qu’il eût, en cas de déportation, il lui faudrait le dépenser jusqu’au dernier liard


    43. Je lui dis qu’il s’effrayait d’une chose où il n’y avait point de terreur ; que s’il avait de l’argent, ainsi que j’étais heureuse de l’apprendre, il pouvait non seulement échapper à la servitude qu’il considérait comme la conséquence de la déportation, mais encore recommencer la vie sur un fondement si nouveau, qu’il ne pouvait manquer d’y trouver le succès s’il y donnait seulement l’application commune qui est usuelle en de telles conditions ; qu’il devait bien se souvenir que je le lui avais conseillé il y avait bien des années et que je lui avais proposé ce moyen de restaurer nos fortunes en ce monde


    44. Enfin, après beaucoup de difficultés, il consentit à partir ; et comme il ne fut pas là-dessus admis à la déportation devant la cour, et sur pétition, ainsi que je l’avais été, il se trouva dans l’impossibilité d’éviter l’embarquement ainsi que je pensais qu’il pouvait le faire


    45. Le moment de ma propre déportation s’approchait


    46. Ma gouvernante qui continuait à se montrer amie dévouée avait tenté d’obtenir un pardon, mais n’avait pu réussir à moins d’avoir payé une somme trop lourde pour ma bourse, puisque de la laisser vide, à moins de me résoudre à reprendre mon vieux métier, eût été pire que la déportation, à cause que là-bas je pouvais vivre, et ici non


    47. Il en fit faire de grandes plaintes par ses amis, car il semble qu’il eût quelque intérêt, mais ils rencontrèrent quelque obstacle dans leurs efforts, il leur fut répondu qu’on lui avait témoigné assez de faveur et qu’on avait reçu de tels rapports sur lui depuis qu’on lui avait accordé sa déportation, qu’il devait se juger fort bien traité de ce qu’on ne reprît pas les poursuites


    48. Cette réponse le calma, car il savait trop bien ce qui aurait pu advenir et ce qu’il avait lieu d’attendre, et à cette heure il voyait la bonté de l’avis auquel il avait cédé d’accepter l’offre de la déportation, et après que son irritation contre ces limiers d’enfer, comme il les appelait, fut un peu passée, il prit l’air rasséréné, commença d’être joyeux, et comme je lui disais combien j’étais heureuse de l’avoir tiré une fois encore de leurs mains, il me prit dans ses bras et reconnut avec une grande tendresse que je lui avais donné le meilleur conseil qui fût possible


    49. – Madame, il faut d’abord que vos cousins se procurent une personne pour les acheter comme esclaves suivant les conditions de leur déportation, et puis, au nom de cette personne, ils pourront s’occuper de ce qu’il leur plaira, soit acheter des plantations déjà exploitées, soit acheter des terres en friche au gouvernement


    50. Ainsi toutes ces petites difficultés se trouvèrent aplanies et nous vécûmes ensemble dans la plus grande tendresse et le plus profond confort que l’on puisse s’imaginer ; nous sommes maintenant devenus vieux ; je suis revenue en Angleterre, et j’ai près de soixante-dix ans d’âge, mon mari soixante-huit, ayant dépassé de beaucoup le terme assigné à ma déportation ; et maintenant, malgré toutes les fatigues et toutes les misères que nous avons traversées, nous avons conservé tous deux bonne santé et bon cœur






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