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    populacier frases de exemplo

    populacier


    1. Assis à une table chez un mastroquet populacier, ce monsieur et la dame mangeaient, de grand appétit, des moules crues (apportées dans un mouchoir) et de la charcuterie, le tout arrosé d’un litre de cidre


    2. Ce qui ressemble à la femme et au valet, ce qui est de leur race, et surtout le micmac populacier: cela veut maintenant devenir maître de toutes les destinées humaines - ô dégoût! dégoût! dégoût!


    3. Dans cette gaîté de Paris, l'Angleterre faisait claquer son fouet; la chaise de poste de lord Seymour, harcelée d'un sobriquet populacier, passait à grand bruit


    4. Victor, qui excellait dans le genre populacier, terminait chaque assemblée par une philippique échevelée, qui, dans l’esprit de son auteur, devait produire autant d’effet que les harangues de Démosthène contre Philippe de Macédoine


    5. Alors le tempérament populacier de Mme Loiseau éclata : « Nous n’allons pourtant pas mourir de vieillesse ici


    6. Un quartier sauvagement populacier, rejeté, isolé sur la rive droite du Tibre, le quartier ouvrier de la manufacture des tabacs, des fabriques de bougies et de cierges pour les centaines d’églises de la ville ; le faubourg lointain, perdu, arriéré, qui garde le vieux sang de Rome dans ces mains d’hommes promptes au couteau, dans ces lignes graves de la beauté de ses femmes ; cette espèce de banlieue où semble commencer la barbarie d’un village italien, mêlant à un aspect d’Orient des souvenirs d’antiquité ; – des angles de rues étayés avec des morceaux de colonnes, des assises où les blocs sont des Minerves entières ; à côté d’une porte blanchie à la chaux, surmontée d’un morceau de natte et de l’ombre d’un moucharaby, des maisons frustes, effacées, rabotées par le temps, des façades où, sous un cintre à moitié bouché et maçonné, se dégage l’élancement d’une fine colonnette au chapiteau ionique ; – à tout moment, du plâtre déchiré, craquelé sur des briques du temps d’Auguste, des hasards de couleurs pareils à ces palettes de tons qu’un peintre garde à son mur, et d’où un bout de passé, un profil, une esquisse des grands os de Rome reparaît et reperce ; – souvent un vaste palais, noir de vieillesse, qui de sa splendeur délabrée n’a gardé qu’un vol d’oiseau de proie soutenant toujours en l’air un balcon disparu ; là-dedans, la primitivité d’une civilisation qui commence, d’une humanité crédule aux commerces naïfs : les boutiques de barbiers phlébotomistes, avec leurs enseignes, sur leurs carreaux, de jambes et de bras dont le sang jaillit rougement dans un verre ; des boucheries où le prix de la viande d’agneau est affiché sur une sorte de tambour de Basque, des boutiques de loterie, avec les numéros sortis écrits à la craie sur leurs volets ; les spaccio di vino à deux baïoques et demie, les magasins aux dessus de porte enfumés, aux ouvertures d’écurie, laissant le marchand et les marchandises au jour et à l’air de la rue, les trous béants du petit trafic où se détache, sur un fond de cave, le cuivre brillant de la balance des pays chauds ; l’étal, l’industrie, le travail, à l’état de nature, sur de petites places, au-dessus du voltigement des lessives pendues, où le moindre souffle met en passant des bruits de voiles qui se gonflent ; de grands ateliers de grossiers charronnages, le remisage sous le ciel de charrues rappelant Cincinnatus, et de robustes chars, aux roues pleines, qui pourraient encore porter les fardeaux de la République et les vieux fers de Caton ; – sur le pavé, des passages de troupeaux de chèvres blanches, se bousculant, se montant l’une sur l’autre, ou bien des repos d’attelages de buffles noirs, à l’œil de verroterie bleue, à la fade odeur de musc, immobiles dans leur ruminement méditatif ; – sur les ordures, sur les fumiers d’herbes potagères, par les rues, au fond des impasses haillonneuses, un grouillement d’animalité domestique, de volailles, de chiens quêtant, la canaille errante des bêtes ; et au milieu de tout cela, des femmes travaillant sur des chaises, au soleil qui leur marque sur la joue l’ombre de chacun de leurs cils ; le fourmillement d’une marmaille vivace jetée là à poignée par la procréation chaude, enfance aux yeux ardents, monde de petites filles, porteuses et berceuses des plus petites qu’elles, que l’on voit vaguer le long des maisons, dégrafées par derrière, la chemise passant au dos, ou, dans le sombre d’un escalier de bois, vêtues comme d’une robe de jour, descendre en s’appuyant de la main au mur, – c’est ce qu’on nomme le Transtevere à Rome


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