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    sans-c frases de exemplo

    sans-c


    1. On vous appelle sans-coeur: mais votre coeur est vrai et j'aime la pudeur de votre cordialité


    2. La reine me racontait qu'à l'époque du couronnement de l'empereur François II ce prince, en faisant admirer la belle tenue de ses troupes à un officier général français, alors émigré, lui dit: Voilà de quoi bien battre vos sans-culottes!—C'est ce qu'il faudra voir, Sire, lui répondit à l'instant l'officier


    3. «Monsieur le président, faites donc taire ce tas de sans-culottes,» dit l'abbé Maury en désignant les tricoteuses


    4. – Et quand on pense qu’il y a eu deux sans-cœur assez gredins pour manger la soupe et voler la pioche et la pelle ! dit Jean-René avec indignation, ça dégoûterait de faire le bien


    5. Quand on pense qu’on allait conduire le pauvre ouvrier en prison ! Oh ! ces gardes du commerce sont de vrais sans-cœur !


    6. – Des sans-cœur !


    7. – Je ne demande pas mieux, Capet, répondit Simon ; et, pour commencer, je vas te chanter une chanson que les sans-culottes ont faite pour elle


    8. Le petit Noël de quatre sans-culottes


    9. Le sans-culotte – Mathiote l’avait flatté en l’appelant militaire, – examina la pièce et la mit dans sa poche – le louis, à cette époque, valait deux cents francs d’assignats – et très radouci, grommela :


    10. La Convention tremblait devant la Commune, la Commune devant les clubs, les clubs devant l’horrible plèbe des sans-culottes et des tricoteuses

    11. Dans le nom qu’on portait, dans les relations qu’on entretenait, dans les propos qu’on se permettait, dans les objets qu’on possédait, l’infâme ingéniosité des jacobins et des sans-culottes trouvait les éléments d’une accusation capitale


    12. Le cortège passait au milieu d’un silence que troublaient seuls les hurlements des sans-culottes et des tricoteuses, attachés à ce char mortuaire comme une bande de démons


    13. Des bandes avinées de sans-culottes et de tricoteuses parcouraient les rues en criant : « Mort aux traîtres ! À la lanterne, les aristocrates ! » Aux portes de la Convention, on se battait pour entrer dans les tribunes et de toutes parts se répandait le bruit que les Comités allaient proposer des mesures nouvelles de salut public, plus rigoureuses que celles qui avaient été édictées déjà


    14. Le pavé appartient aux sans-culottes et aux tricoteuses, ordinaire escorte des condamnés


    15. Si triste était la capitale avec ses solennités civiques et ses manifestations patriotiques, avec les convois de condamnés, parcourant la ville à toute heure, avec les sans-culottes et les tricoteuses maîtres du pavé, les longues files formées aux abords des halles et des boulangeries, la guillotine en permanence, que Valleroy s’efforçait d’en dérober le spectacle à Bernard


    16. Ces sentiments, non encore hautement manifestés, éclataient avec tant de force dans l’expression des visages que les sans-culottes et les tricoteuses qui suivaient la charrette arrêtèrent leurs danses et leurs clameurs cannibalesques, dans la crainte de provoquer des protestations


    17. Qu’un homme énergique et entreprenant se fût trouvé là, et les sans-culottes eussent été culbutés, les prévenus mis en liberté


    18. Les sans-culottes et les tricoteuses ne circulaient plus dans les rues, ni en aussi grand nombre qu’autrefois, ni avec la même audace


    19. Oh ! comme j’aurais alors voulu pleurer, mais il m’a fallu avaler mes larmes, à cause de tous ces sans-cœur dont je suis entouré, qui ne pleurent jamais, eux, et qui auraient ri de moi peut-être


    20. Si les maîtres étaient devenus trop sans-cœur pour montrer leur animosité, eux, les chevaux, allaient s’affronter

    21. – J’ai connu, dira Joë, des chevaux de traits qui « tiraient » beaucoup mieux, sur la route, en passant devant la façade voisine, même si les ennemis de leurs maîtres, derrière les concombres grimpants des galeries, ne pouvaient assister à leurs exploits de chevaux « sans-cœur »


    22. – C’est toué qui va mettre le feu, maudit sans-cœur, avait-il pensé


    23. hurlait la nourrice, paraissant sur le seuil, la voix changée par l’indignation et la colère, oh ! le sans-cœur, l’ingrat ! Jamais je n’aurais cru cela de lui ! Faut que je le voie de mes quittes yeux pour le croire ! Tant de malice, à son âge, et contre qui ? Contre notre garçon qu’a bu le même lait, qu’a mangé le même pain que lui, quasiment son frère ! Il lui a fendu la tête d’un coup de pierre ; le voilà marqué pour la vie !


    24. Ah ! ouiche ! Ben bonne ! De la crème tournée, quoi ! Ben généreuse : cent francs pour te nourrir toute la vie, c’est payé en effet ! Ah ! la sans-cœur ! Alle se débarrassait de toi pour pouvoir mieux faire la fête ! La coquine ! Alle se déchargeait su de pus pauv’ qu’alle du soin de t’élever


    25. et vous, après avoir joué l’affection, et quand vous devriez presque l’adorer, vous gardez toutes vos larmes pour vous-même et vous restez là, étendu, bien à l’aise ! Ah ! vous êtes un sans-cœur et un égoïste !


    26. Que me reste-t-il, maintenant, de monsieur Jean dont la photographie se pavane, dans son cadre de peluche rouge, sur la cheminée? Rien, sinon cette déception que j'ai aimé un sans-coeur, un vaniteux, un imbécile


    27. – Une sans-cœur !


    28. Une grosse affaire de famille pour la maison de Bourbon; la branche de France secourant et protégeant la branche de Madrid, c'est-à-dire faisant acte d'aînesse; un retour apparent à nos traditions nationales compliqué de servitude et de sujétion aux cabinets du nord; Mr le duc d'Angoulême, surnommé par les feuilles libérales le héros d'Andujar, comprimant, dans une attitude triomphale un peu contrariée par son air paisible, le vieux terrorisme fort réel du saint-office aux prises avec le terrorisme chimérique des libéraux; les sans-culottes ressuscités au grand effroi des douairières sous le nom de descamisados; le monarchisme faisant obstacle au progrès qualifié anarchie; les théories de 89 brusquement interrompues dans la sape; un holà européen intimé à l'idée française faisant son tour du monde; à côté du fils de France généralissime, le prince de Carignan, depuis Charles-Albert, s'enrôlant dans cette croisade des rois contre les peuples comme volontaire avec des épaulettes de grenadier en laine rouge; les soldats de l'empire se remettant en campagne, mais après huit années de repos, vieillis, tristes, et sous la cocarde blanche; le drapeau tricolore agité à l'étranger par une héroïque poignée de Français comme le drapeau blanc l'avait été à Coblentz trente ans auparavant; les moines mêlés à nos troupiers; l'esprit de liberté et de nouveauté mis à la raison par les bayonnettes; les principes matés à coups de canon; la France défaisant par ses armes ce qu'elle avait fait par son esprit; du reste, les chefs ennemis vendus, les soldats hésitants, les villes assiégées par des millions; point de périls militaires et pourtant des explosions possibles, comme dans toute mine surprise et envahie; peu de sang versé, peu d'honneur conquis, de la honte pour quelques-uns, de la gloire pour personne; telle fut cette guerre, faite par des princes qui descendaient de Louis XIV et conduite par des généraux qui sortaient de Napoléon


    29. Pour ma part, je me rends cette justice qu'en fait de sans-culottes, je n'ai jamais aimé que les femmes


    30. Ces paysans raillaient; ils appelaient les prêtres mariés républicains des sans-calottes devenus sans-culottes

    31. On savait aussi que les domestiques du roi, habillés en gardes nationaux, allaient partout crier contre les fédérés, qu’ils traitaient de « sans-culottes », comme si c’était un crime d’être pauvre ! et comme si très souvent cela ne prouvait pas qu’on a plus de cœur et plus de respect de soi-même que des gueux pareils ; car de se faire valet, ce n’est pas difficile et on y gagne plus d’argent qu’en travaillant de son métier du matin au soir


    32. En entrant dans cette espèce de foire, où le Ça ira ! la Carmagnole, le jeu de cartes et les disputes sur la politique allaient leur train, on sentait d’abord une bonne odeur de viande, car les sans-culottes en avaient toujours, quand on n’en trouvait plus nulle part ; ils happaient tout, les chiens, les chats et les rats avec des lacets, des boîtes faites exprès et mille inventions extraordinaires ; la gaieté et la bonne humeur ne les abandonnaient jamais


    33. Et là les disputes commencèrent pour savoir qui nous aurait sous ses ordres et ce qu’on ferait de nous ; car cinq ou six représentants du peuple, Ruelle, Phélippeaux, Gillet, se trouvaient réunis dans cet endroit, sans parler de Merlin, qui marchait avec notre colonne, et d’une quantité d’officiers et de généraux venus de Paris avec les sans-culottes


    34. Je ne méprise pas les sans-culottes, mais Paris avait déjà fourni dans ce temps des quantités de bataillons aux armées du Nord, du Rhin, de la Moselle, des Alpes, des Pyrénées, et ceux qui vinrent alors nous rejoindre étaient les héros à cinq cents livres, des êtres qu’il avait fallu payer pour remplir leur devoir


    35. Seulement, le lendemain, comme nous avions dépassé la petite ville de Maulévrier, le bruit se répandit tout à coup que le nouveau général en chef, le sans-culotte Léchelle, était arrivé depuis quelque temps ; qu’il avait déjà remporté deux victoires et mis les brigands en déroute ; et comme nous n’étions plus qu’à trois lieues de Cholet, où le canon tonnait, on fit partir toutes les troupes légères : le bataillon des grenadiers de la Convention, les chasseurs du ci-devant Rosenthal, enfin tout ce qui pouvait courir ; et nous autres, avec notre long convoi de poudre et les bagages, on nous laissa derrière arriver comme nous pourrions


    36. Le général sans-culotte Léchelle, qui n’avait paru nulle part dans la bataille, se donna lui-même toute la gloire de la chose ; il écrivit à la Convention une longue lettre où Léchelle avait tout fait


    37. Alors le mépris commença dans l’armée pour cet imbécile et ce lâche qui s’était caché durant l’action, mais cela n’empêcha pas Léchelle de rester à notre tête, parce qu’il s’appelait lui-même « sans-culotte », et que cela le relevait dans l’esprit d’un grand nombre de braillards dépourvus de bon sens


    38. C’était la triste vérité ; Léchelle n’avait aucun droit d’être général en chef ; il n’était arrivé là qu’en flagornant la canaille et se donnant lui-même le titre de général des sans-culottes


    39. Il regardait lui-même, à ce que m’a dit Marguerite, car moi, j’étais sorti furieux contre moi-même, de ne pas m’opposer à cette épreuve ; je me traitais de sans-cœur, et durant plus de huit jours je me repentis de ce que j’avais fait ; j’en voulais à Chauvel, à ma femme, à tout le monde, sans rien dire


    40. En revanche, ce sans-cœur de Mâdou paraissait frappé d’une complète indifférence ; ses traits n’exprimèrent rien en voyant paraître Moronval, ni joie, ni peine, ni surprise, ni honte, pas même cette sainte terreur que le mulâtre lui inspirait d’ordinaire et que les circonstances auraient dû, ce semble, fortifier

    41. Mais dans cet endroit sauvage, où personne n’avait affaire, qui n’était sur aucun chemin, on ne voyait guère jamais personne, sinon, de loin en loin, un pauvre diable longeant l’orée des bois, sa serpe sous son sans-culotte, ou autrement dit sa veste, et s’en allant faire son faix dans les taillis


    42. Que me reste-t-il, maintenant, de monsieur Jean dont la photographie se pavane, dans son cadre de peluche rouge, sur la cheminée ? Rien, sinon cette déception, que j’ai aimé un sans-cœur, un vaniteux, un imbécile


    43. Je me rappelais celui qu’on appelait le sans-culotte et qui ne tolérait pas les prêtres


    44. – Sans-coeur ! fit-il


    45. Ah ! les sans-cœur ! murmura le Bellevillois en grinçant des dents, tout en se retirant


    46. – Perrot est un sans-cœur, de nous laisser sans le sou


    47. Au secours, donc, les fils de pauvres ! ceux dont les pères ont été fauchés par la Réquisition ! Au secours, les descendants des sans-culottes ! Au secours, tous ceux dont les mères ont maudi l’ogre de Corse ! ceux qui étouffent dans les greniers, ceux dont les Lisettes ont faim ! Au secours !


    48. – Ça ne vous fait pas rire ? demanda la jolie sans-cœur


    49. – Vous êtes un sans-cœur, monsieur Pesant, vous pensez rien qu’à l’argent


    50. Si la commission scolaire est trop sans-cœur pour s’en occuper, on va voir ce que peut une petite femme comme Florestine




























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