Utiliser "accoler" dans une phrase

1. Les Russes se plaisent à accoler ces deux adverbes en parlant des Allemands

2. de la pitié pour ce Hardy, ce blasphémateur sentimental, cet athée philanthrope qui n’avait pas une chapelle dans sa fabrique, et qui osait accoler le nom de Socrate, de Marc-Aurèle et de Platon à celui de notre Sauveur, qui appelait Jésus le divin philosophe ?

3. « Qu’à cela ne tienne, mon beau neveu, si vous la retrouvez, votre mystérieuse pensionnaire, et si son nom est de ceux qui se peuvent accoler au vôtre, la noce est faite

4. Car se donner la mort, ce n’est pas tout à fait mourir, c’est accoler soi-même, et victorieusement, la longue et mince silhouette qui passait sans vous voir

5. – Le marquis de Vandrière ! comment oses-tu accoler ce nom au mien ? Il n’y a pas dans l’armée une seule table d’officiers où il serait permis à ce fils de poissonnier de s’asseoir ! Pourquoi prononces-tu ce nom, Angélique ? Tu es une véritable énigme !