Utiliser "après" dans une phrase
après exemples de phrases
après
1. Après toutes ces vérités, je souhaite sincèrement,
2. Pourtant, après cette journée de dur labeur,
3. L’autre soir, après avoir passé une partie de la journée,
4. Si après une nouvelle réponse négative tu me repoussais,
5. Peine perdue, car après les avoir choyées,
6. Fumer une cigarette est toujours un repos nécessaire pour calmer l'esprit et bien que mon corps vieillisse à force de griller clope après clope,je me réjouis car ma vigueur reste intacte
7. où semaine après semaine les encouragements que tu me prodiguais,
8. après notre première rencontre qui m'avait procuré une immense joie
9. Deux nuits après leurs mariages, qui furent célébrés en même temps par le Père Paul, et auxquels participa pratiquement tout le village, leurs maisons en bois prirent feu et, malheureusement, elles périrent avec leurs maris, submergés par les ruines de leurs maisons, ou tout du moins c’est ce que tous crurent dans un premier temps
10. Il fut relativement facile à le lui faire avouer, après la découverte de trois bidons d’essence vides dans son magasin ; il raconta, en larmes, qu’il fut assailli par un excès de jalousie lorsque les deux sœurs, qu’il avait attendu toute une vie et pour lesquelles il était follement amoureux depuis l’enfance, s’étaient mariées avec les premiers venus ; et en plus que ni Anna ni Lucia, depuis leur retour, ne lui avait montré un quelconque intérêt, à celui qui aurait donné sa vie pour elles !
11. On a également découvert que les deux jeunes hommes qui sont morts dans l'incendie, s’étaient réfugiés dans ce village perdu après avoir fui l’Angleterre où, convertis à l’Islam, ils travaillaient pour le compte de l’Ayatollah à l’ambassade américaine de Londres
12. Pendant ce temps, les deux sœurs, après avoir été hébergées deux ans chez leurs parents, se remarièrent, pondérant longtemps cette fois-ci le choix de leurs maris, et chacune d’elles eut une splendide petite fille
13. Tous ceux qui m’entourent, avec le temps, m’ennuient ; c’est comme une sangsue gigantesque qui, jour après jour, suce tout ce que j’ai de bon en moi : ma jeunesse, mon insouciance, mon amour
14. Ah ! Comme elle aurait été importante pour moi cette barque ! A quoi cela sert-il d’accumuler des trésors sur terre, si après elle est toujours agitée
15. Après la roue de proue, ce fut le tour de l’opération la plus délicate et difficile : l’assemblage de virure
16. Je travaillais avec passion, et je me revoyais petit, quand je jouais avec les boîtes d’assemblage que m’offrait ma mère ; combien de temps est passé, combien d’espoirs se sont évanouis, combien de vices et caprices ont disparu ! Désormais je suis un homme, et vieux aussi pour l’âge que j’ai ! Après le virure, il ne me restait plus que la fixation du safran, qui est la partie du bateau sur laquelle s’appuie le gouvernail ; le gouvernail lui-même, la vaigre qui est une hampe de bois qui entoure tout le bateau, et qui est fixée à l’intérieur perpendiculairement aux ordonnées ; puis les bancs, les tolets qui servent pour faire tourner les rames, les rames elles-mêmes et enfin les étagères pour maintenir les bancs
17. Je me réveille, après huit heures de sommeil environ, vif et plein d’énergie ; je me lave, m’habille, prends tout le nécessaire et je me rends au siège de la banque
18. Après vingt minutes environ, j’arrive chez le directeur, je me présente en lui remettant la lettre d’acceptation, je lui donne mes références, et je commence à m’asseoir
19. Aussitôt dit, aussitôt fait, il m’accompagne dans la salle du bureau, me présente un homme suant avec les traits contrastés, lequel après m’avoir dévisagé, s’exclame en me fixant : « Bienvenu dans cet enfer »
20. Après, je n’ai jamais compris pourquoi ces gens, même quand ils ne sont pas sur des chameaux, ont toujours un turban sur la tête ; moi, je dis, s’ils veulent avoir un élevage et ont comme passe-temps le dressage, quel besoin ont-ils de retirer l’aire d’école aux petits élèves et de les supporter eux-mêmes quand, contents d’avoir trouvé un terrain prolifique, leurs amis, comme des enfants à l’école, se font plaisir avec des sauts et des cabrioles ? Ce sont vraiment des gens étranges
21. Comme il aurait été content Matin Luther King ! Les Noirs se noircissaient encore plus, les Blancs, qui arpentaient les rues, sous entendu sans salaire, grappillant les ordures les plus sales et les plus noirs pour se les barbouiller dessus ; les femmes qui profitaient de l’occasion, après chaque rapport, pour utiliser toutes les sortes possibles et inimaginables de savons et détersifs que le riche marché américain propose : Quels milliardaires ces pharmaciens ! Et que dire des distributeurs automatiques, diaboliques dispositifs qui volent les clients des marchands de fruits et légumes, promettant, comme ils le font, de bonnes économies à qui achètent, seulement trois produits de la terre, avec une carte bancaire, pour prendre une commission ! Ils aiment quand même les traditions : quand ils doivent rejoindre une localité isolée, comme c’est le cas pour la cime des colossaux gratte-ciels, ils conservent le goût de mettre leur chapeau de cow-boy, mais qui s’envole régulièrement à cause du rapide galop
22. Je n’ai acheté qu’une gourde en peau de chameau et enfin, après maintes péripéties, j’ai réussi à sortir de ce labyrinthe, écheveau idéal pour le célèbre fil d’Ariane
23. Ce serait vraiment triste si, moi, après de nombreux battements de fesses, je revenais enivré de sodomie !
24. Une fois, après avoir couru trois heures consécutivement, ils m’amenèrent à l’hôpital
25. Quelles têtes tristes firent ces savants quand, après une heure avec un pied dans la fosse, je repris connaissance !
26. Ces animaux imposants, au calme religieux dans le rationnement de l’eau, me rappelaient, je ne sais pourquoi, le cirque que, de tout petit, après de si nombreuses péripéties familiales, je me délectais de visiter
27. Comme je m’amusais à assister à l’exhibition des singes dressés, récompense aux nombreuses études de Darwin ! Je m’en souviens comme si c’était hier, ce moment où l’un d’eux, après m’avoir fixé dans les yeux, me cracha à la figure pendant les applaudissements déchainés des spectateurs
28. Quelle beauté la vie de cirque et quel charme aussi ! Que c’est sympathique de voir circuler dans la ville les échassiers faisant la publicité du spectacle du cirque ! Je leur courais toujours après, heureux que j’étais ; mais quel douleur quand ces échasses me montaient sur les pieds ! et quelle tendresse de voir les nains ; et même s’ils me volaient dans mes poches le peu d’argent que j’avais, ils me récompensaient ensuite par un sourire désarmant
29. C’était curieux de voir les mères bouleversées courir après leurs enfants ! Et quelle force masculine elles devaient avoir pour soulever leurs seins imposants, obstacle souvent de leur déhanchement, de leur démarche ! La course de ces femmes était vraiment étrange : les pieds, appuyés au sol en position horizontale et parfaitement perpendiculaire au reste du corps, laissaient un profond sillon en labourant et en épurant ainsi le sable des détritus si nombreux dans la période estivale
30. Après une chaleureuse poignée de main, ils commencent à escalader cette pente qui amène à l’endroit où ils savaient que les garçons devaient s’installer
31. Quelques minutes après, Tony revint avec du bois, se pressa à allumer le feu et s’assit lui-aussi
32. Et pendant qu’elle regrettait et se préoccupait de bien calculer le temps, ce fut le vieux qui, après un longue moment de silence et levant, fier, le regard, dit : « Je m’appelle Sam Mac Ollister et vous ? »
33. Ils se sentent comme les enfants des fleurs ; et quand ils remarquent des abeilles sucer le nectar des boutons de fleurs, il surgit impérieusement de leur esprit une pensée : ils se dénudent ensemble et après un bon lavage de dents, ils suivent à la lettre les enseignements des petits insectes
34. Après les avoir remis à neuf donc, elle s’exclame : « Vous ne devez pas désespérer de votre infirmité ; elle peut vous rendre heureux, riches et estimés
35. On se demandait : deviendra-t-on des hommes de glace ? perdra-t-on notre souplesse d’esprit ? Pourra-t-on inventer et découvrir si nous perdons tout enthousiasme et soulagement ? Ils ne réussirent à dépasser ces problèmes que plusieurs décennies après, en élaborant de nouveaux vaccins immunisant de toute maladie, et en insérant dans chaque système génétique des variantes dites de perversion
36. Partir des couleurs qu'ils m'entourent ils se matérialisent formes: illustrations dansantes et oiseaux fantastiques dont le plumage est tout un tourbillon; un jaguar jaune tacheté s'accroupit sous le corps bleu arqué d'un serpent aux deux têtes; figures grotesques avec les yeux rouges me fixent avec de l'avidité … Mais au soudain un bruit d'eau m’arrive aux oreilles après avoir perforé le silence de ce cauchemar monstrueux où je me trouvais, il me fait reprendre connaissance et il me fait retrouver ce fil d'espoir perdu maintenant depuis temps
37. Réussi en effet d'une façon ou d'une autre à me sauver et rentré en Italie avec l'aide de l'ambassade de ce "beau" vacances, après avoir passé quinze jours en hôpital pour me soigner de l'état presque comateux dans lequel j'étais, où j'ai dû supporter que les infirmiers rendissent mon corps complètement glabre, et aussi dans les parties intimes, où je n'avais pas besoin de pansements certainement, je me trouve du pompiste prêt à revenir dans ce maudit bureau
38. À la fermeture des guichets au public, aux13:30 en point, et après une pause de déjeune que dès quinze minutes, je suis appelé par le chef du bureau qui avec les yeux dehors des orbites et ses petits lunettes ridicules sur le nez crochu il me dit: "Tu t'es amusé lâche! Nous ici à travailler, et tu avec l'excuse d'une maladie fausse, qui le sait où tu as été
39. Mais je te la ferai payer chère! Chaque soir tu sortiras d'ici deux heures après l'horaire normal de fermeture et je ne te ferai pas reconnaître les heures d'extraordinaire! Qui on se prend joue de moi, comme tu as fait, il s'est toujours regretté en amèrement! Dorénavant, après que tu auras déroulé ton travail normal, au contraire de tes collègues qu'ils pourront partir régulièrement, tu devras rester ici mettre à la place les archives, à épousseter par terre et à nettoyer les latrines! Et le lendemain je contrôlerai personnellement que tout soit nettoyé et dès que je relève un pépin seul de poussière aussi, j'écris une lettre à la direction générale de la banque en te signalant comme élément improductif, qu'il ne collabore pas, impoli avec les clients et inapte à un emploi si prestigieux comme il est celui-ci!" Je pense que quiconque, à ces mots il aurait répondu comme minimum avec un beau poing en figure mais moi qu'en réalité je couvais trop de haine pour ce travail, j'avais en esprit bien autre
40. Après un jour passé ici, il se sera passé un lustre dans ta ville
41. Arrivés à la petite porte, et après l’avoir ouverte, la reine me fait rentrer dans une chambre où, une fiole remplie d’un liquide étrange et un appareil tubulaire étroit, servent d’uniques ameublements
42. Après un peu de repos pendant lequel la belle reine m’a exposé la manière avec laquelle ses habits sont confectionnés (il semble que la coquetterie est aussi commun à ces êtres), je m’allonge sous cet appareil tubulaire
43. N’importe quel être humain, à ce rythme, serait tombé en morceau après quelques minutes ; moi, non seulement je n’étais pas fatigué, mais plus je nageais plus j’emmagasinais de l’énergie ; les douleurs musculaires et les crampes, grâce à ce continuel renouvellement cellulaire, étaient presque inexistantes
44. Après pas mal d’efforts, je réussis à forcer la porte et je m’introduis dans une grande cabine où par un petit escalier, on accède aux logements du capitaine
45. Le Nuestra Señora de Pilar avait la charge de transporter en Espagne une cargaison d’or pillée aux aztèques, après avoir été décimés par les troupes du commandant Sanchez
46. Après de nombreuses tentatives, je réussis finalement en faisant attention de ne pas forcer sur la rampe de l’escalier, je descends dans la cale où une odeur nauséabonde de moisissure règne souveraine
47. Je l’ai appelé, et peu de secondes après, elle est arrivée encore plus belle et provocante que d’habitude
48. Après quelques câlineries entre les deux êtres aquatiques, l’entrée des tombes se libère
49. Je dus faire d’énormes efforts pour vaincre la pression hydrostatique, incroyablement forte dans ces profondeurs ; et ce fut après environ deux heures de nage frénétique, que je réussis à trouver une fente dans ce terrain ; la galerie courait horizontalement dans un premier strate, pour ensuite remonter et se jeter dans un milieu étrange ; j’avais trouvé une terre, qui par des phénomènes naturels inexplicables, était protégée du flux des eaux ; plus qu’une énorme caverne, cela me semblait être un véritable monde ; les arcades rocheuses qui la constituaient, et en même temps, le toit et l’abri des eaux des océans étaient hautes de plusieurs kilomètres ; surement accrochées à ces roches, cela devait être des pierres phosphorescentes, si lumineuses qu’elles réussissaient à éclairer comme en plein jour cette terre inconnue
50. Enfilés dans une caverne, après avoir traversé des dédales, faits de passages et de galeries, nous rejoignîmes un petit village que de grands pilotis protégeaient de l’humidité du sol