1.
Un autre exemple serait celui du ballon gonflable, sur lequel on peint des tâches qui s'éloigneront les unes des autres, après l'avoir gonflé
2.
de Boves réussissait à se perdre dans la foule et à disparaître avec Mme Guibal, Mme de Boves, suivie de Blanche et de Vallagnosc, avait eu le caprice de demander un ballon rouge, bien qu'elle n'eût rien acheté
3.
Cinq semaines en ballon (1863); Voyage au centre de la Terre (1864); De la Terre à la Lune (1865); Vingt mille lieues sous les mers (1869); Le tour du monde en quatre-vingt jours (1872); etc
4.
Et même, si je veux revenir plus rapidement à la surface, j'embraye l'hélice, et la pression des eaux fait remonter verticalement le Nautilus comme un ballon qui, gonflé d'hydrogène, s'élève rapidement dans les airs
5.
Il filait comme un ballon emporté par le vent au-dessus des prairies terrestres ; mais il serait plus vrai de dire que nous étions dans ce salon comme dans le wagon d'un train express
6.
Mais bientôt ces derniers représentants de la vie animale disparurent, et, au-dessous de trois lieues, le Nautilus dépassa les limites de l'existence sous-marine, comme fait le ballon qui s'élève dans les airs au-dessus des zones respirables
7.
Son hélice embrayée sur un signal du capitaine, ses plans dressés verticalement, le Nautilus, emporté comme un ballon dans les airs, s'enlevait avec une rapidité foudroyante
8.
Il faudrait découvrir un moteur d'une puissance extraordinaire, et d'une légèreté impossible ! Et encore, on ne pourra résister à des courants de quelque importance ! Jusqu'ici, d'ailleurs, on s'est plutôt occupé de diriger la nacelle que le ballon C'est une faute
9.
—Non pas ! non pas ! Il faut chercher autre chose, et, si l'on ne peut diriger un ballon, le maintenir au moins dans les courants atmosphériques favorables
10.
Or, une fois ces zones déterminées, le ballon n'aura qu'à se placer dans les courants qui lui conviendront
11.
—Vous comprenez bien que, sans cela, je n'aurais pas risqué cette traversée de l'Afrique en ballon
12.
« On a tenté souvent, Messieurs, de s'élever ou de descendre à volonté, sans perdre le gaz ou le lest d'un ballon Un aéronaute français, M
13.
« De la partie inférieure de mon ballon, qui est hermétiquement clos, sortent deux tubes séparés par un petit intervalle
14.
« Le tuyau parti de la région inférieure du ballon se rend dans cette boite cylindrique par le disque du bas ; il y pénètre, et adopte alors la forme d'un serpentin hélicoïdal dont les anneaux superposés occupent presque toute la hauteur de la caisse
15.
« C'est par le sommet de ce cône que sort le second tuyau, et il se rend, comme je vous l'ai dit, dans les couches supérieures du ballon
16.
Le vide se fait en dessous, et il attire le gaz des régions inférieures qui se chauffe à son tour, et est continuellement remplacé ; il s'établit ainsi dans les tuyaux et le serpentin un courant extrêmement rapide de gaz, sortant du ballon, y retournant et se surchauffant sans cesse
17.
« Pour opérer l'ascension, je porte le gaz à une température supérieure à la température ambiante au moyen de mon chalumeau ; par cet excès de chaleur, il obtient une tension plus forte, et gonfle davantage le ballon, qui monte d'autant plus que je dilate l'hydrogène
18.
Ma soupape, située au pôle supérieur du ballon, n'est plus qu'une soupape de sûreté
19.
Le ballon garde toujours sa même charge d'hydrogène ; les varia-tions de température que je produis dans ce milieu de gaz clos pourvoient seules à tous ses mouvements de montée et de descente
20.
On se disposait à débarquer le ballon sur la plage de Zanzibar ; il y avait près du mât des signaux un emplacement favorable, auprès d'uneénorme construction qui l'eut abrité des vents d'est
21.
« Nous finirons certainement par l'emporter lui dit-il ; les garnisaires mêmes de l'iman nous prêteraient main-forte ; au besoin ; mais, mon cher commandant, un accident est vite arrivé ; il suffirait d'un mauvais coup pour causer au ballon un accident irréparable, et le voyage serait compromis sans remise ; il faut donc agir avec de grandes précautions
22.
Pendant la matinée du 16 avril, le ballon fut mis en sûreté au milieu d'une clairière, entre les grands bois dont le sol est hérissé
23.
Le ballon intérieur se trouvait rattaché au sommet du ballon extérieur de manière à être soulevé comme lui
24.
C'est à l'appendice inférieur de chaque ballon que furent fixés les deux tuyaux d'introduction de l'hydrogène
25.
Le ballon se balançait légèrement au souffle du vent de l'est
26.
Le ballon, qui se maintenait à terre en parfait équilibre, commença à se soulever au bout de quelques minutes
27.
A cette élévation, un courant plus marqué porta le ballon vers le sudouest
28.
Le docteur résolut de se rapprocher de terre ; il modéra la flamme du chalumeau, et bientôt le ballon descendit à 300 pieds du sol
29.
—Parlez-moi d'un ballon, reprenait Joe ; on ne se sent pas marcher, et la nature prend la peine de se dérouler à vos yeux !
30.
En effet, dans cette contrée règne une malaria perpétuelle ; le docteur n'en put même éviter les atteintes qu'en élevant le ballon au-dessus des miasmes de cette terre humide, dont un soleil ardent pompait les émanations
31.
« Les chefs sont armés de mousquets, dit-il, et notre ballon serait un point de mire trop facile pour y loger une balle
32.
—Nous voici plus à l'aise, fit le chasseur lorsque le ballon se fut élevé ; la réflexion des rayons du soleil sur ce sable rouge devenait insupportable
33.
—Ah ça ! mais c'est un paradis que ce ballon, dit Kennedy déjà plus à l'aise
34.
En peu de temps, le gaz se dilata sous l'action de la chaleur, et le ballon prit une marche ascensionnelle très marquée
35.
D'ailleurs Samuel ne serait pas embarrassé de redescendre avec son ballon ; il le man uvre assez proprement
36.
Le ballon, perdant peu à peu de sa force ascensionnelle, s'approcha de terre ; les ancres coururent ; la patte de l'une d'elles s'engagea dans une fissure de rocher, et le Victoria demeura immobile
37.
L'équilibre du ballon avait été calculé au niveau de la mer ; or le pays allait toujours en montant, et se trouvant élevé de 600 à 700 pieds, le ballon aurait eu une tendance à descendre plus bas que le sol lui-même ; il fallait donc le soutenir par une certaine dilatation du gaz
38.
Le ballon, fortement sollicité par la dilatation du gaz, tendait sa corde de retenue, impatient de s'élever dans les airs
39.
La population de Kazeh, comprenant que sa proie lui échappait, poussa des hurlements prolongés ; des arcs, des mousquets furent dirigés vers le ballon
40.
Un léger vent d'ouest poussait le ballon au-delà de la ville
41.
—Non! le ballon n'y résisterait pas
42.
Le docteur Fergusson maintenait son chalumeau à pleine chaleur ; le ballon se dilatait et montait ; à genoux, au centre de la nacelle, Kennedy retenait les rideaux de la tente Le ballon tourbillonnait à donner le vertige, et les voyageurs subissaient d'inquiétantes oscillations
43.
Le ballon, tournant sur place au milieu des courants opposés, avait à peine dérivé ; le docteur, laissant se contracter le gaz, descendit afin de saisir une direction plus septentrionale
44.
Tout à coup, le ballon éprouva une forte secousse ; l'ancre avait mordu sans doute une fissure de roc cachée sous ce gazon gigantesque
45.
Un bois épais de camaldores apparaissait au nord de la prairie et à trois milles environ ; il devenait dès lors nécessaire que le ballon fût séparé de son conducteur
46.
l'éléphant fit un bond effrayant ; la nacelle et le ballon craquèrent à faire croire que tout était brisé ; la secousse fit tomber la hache des mains du docteur sur le sol
47.
Celui-ci ne paraissait pas avoir souffert de la tourmente ; le taffetas et la gutta-perca avaient merveilleusement résisté ; en prenant la hauteur actuelle du sol, et en calculant la force ascensionnelle du ballon, il vit avec satisfaction que l'hydrogène était en même quantité ; l'enveloppe Jusque-là demeurait entièrement imperméable
48.
Il fit une esquisse très réussie de la campagne environnante, avec la longue prairie à perte de vue, la forêt de camaldores, et le ballon immobile sur le corps du monstrueux éléphant
49.
Quelques nègres s'étant avancés dans une barque au-dessous du ballon, Kennedy les salua d'un coup de fusil, qui, sans les atteindre, les obligea à regagner la rive au plus vite
50.
La mousson souffla avec une violence extrême pendant la matinée du lendemain ; le vent s'engouffrait dans les cavités inférieures du ballon ; s'agitait violemment l'appendice par lequel pénétraient les tuyaux de dilatation ; on dut les assujettir par des cordes, man uvre dont Joe s'acquitta fort adroitement
51.
A cent pieds au-dessous du ballon se dressait un poteau Au pied de ce poteau gisait une créature humaine, un jeune homme de trente ans au plus, avec de longs cheveux noirs, à demi nu, maigre, ensanglanté, couvert de blessures, la tête inclinée sur la poitrine, comme le Christ en croix
52.
La foule des nègres, en apercevant le ballon, semblable à une comète énorme avec une queue de lumière éclatante, fut prise d'une épouvante facile à concevoir
53.
Le docteur s'attendait à monter avec une rapidité extrême ; mais, contrairement à ses prévisions, le ballon, après s'être élevé de trois à quatre pieds au-dessus du sol, demeura immobile !
54.
Soudain le ballon fit un nouveau bond, qui le porta à plus de mille pieds d'élévation
55.
Le docteur comprit qu'il fallait lui laisser un repos absolu ; il ramena les rideaux de la tente, et revint prendre la direction du ballon
56.
—Nous sommes des voyageurs anglais, répondit Samuel ; nous avons tenté de traverser l'Afrique en ballon, et, pendant notre passage, nous avons eu le bonheur de vous sauver
57.
Cet épanchement de laves en ignition revêtait les flancs de la montagne d'un véritable tapis de flammes ; l'hémisphère inférieur du ballon resplendissait dans la nuit ; une chaleur torride montait jusqu'à la nacelle, et le docteur Fergusson eut hâte de fuir cette périlleuse situation
58.
Mais, ainsi qu'il l'avait fait comprendre à Kennedy, par suite de sa perte de lest lors de l'enlèvement du prêtre, il ne pouvait descendre maintenant qu'à la condition de lâcher une quantité proportionnelle de gaz ; il ouvrit donc la soupape du ballon extérieur
59.
Le digne garçon, poussant de profonds soupirs, se mit à délester le ballon
60.
Le ballon s'éleva dans les airs ; après plusieurs essais infructueux, il rencontra un courant, peu rapide d'ailleurs, qui le porta vers le nord-ouest
61.
—Est-ce que tu ne crains pas l'ardeur du soleil pour notre ballon demanda Kennedy au docteur
62.
Le docteur poussa toute grande la flamme du chalumeau dans les spirales du serpentin ; une violente chaleur se développa, et bientôt le ballon s'éleva sous l'action de son hydrogène dilaté
63.
—Un autre ballon ! d'autres voyageurs comme nous ! »
64.
—Cela signifie, répondit Fergusson en riant, que c'est toi-même qui te fais ce signal, mon cher Dick ; cela veut dire que nous-mêmes nous sommes dans cette seconde nacelle, et que ce ballon est tout bonnement notre Victoria
65.
Il avait fait un peu de chemin sans doute, mais en était-il plus avancé ! Quand il se trouverait de soixante milles en arrière sous cette latitude, qu'importait puisque l'eau lui manquait en ce lieu ? Le vent, s'il se levait enfin, soufflerait là-bas comme ici, moins vite ici même, s'il venait de l'est ! Mais l'espoir poussait Samuel en avant ! Et cependant, ces deux gallons d'eau dépensés en vain, c'était de quoi suffire à neuf jours de halte dans ce désert ! Et quels changements pouvaient se produire en neuf jours ! Peut-être aussi, tout en conservant cette eau, eut-il dû s'élever en jetant du lest, quitte à perdre du gaz pour redescendre après ! Mais le gaz de son ballon, c'était son sang, c'était sa vie !
66.
Ses compagnons le comprirent Le niveau du sol se trouvait alors au niveau de la mer, par suite de sa constante dépression ; aussi le ballon se maintint-il dans un équilibre parfait et une immobilité absolue
67.
Le ballon s'enleva
68.
Le ballon demeurait immobile, sans qu'aucune oscillation ne vînt trahir un souffle de vent
69.
Si, par hasard, une partie du lest eut été précipitée à terre, le ballon serait parti, et tout espoir de le retrouver eut été à jamais perdu
70.
Des voyageurs se font traîner en ballon par des chameaux ; arrive un lion qui dévore les chameaux, avale la remorque, et traîne à leur place ; ainsi de suite
71.
Le docteur descendit, afin de contempler ces indigènes de plus prés ; mais, à mesure que le ballon grossissait à leurs yeux, les signes d'une profonde terreur se manifestèrent, et ils ne tardèrent pas à détaler de toute la vitesse de leurs jambes ou de celles de leurs chevaux
72.
Le gouverneur, saisissant alors un mousquet, le dirigea vers le ballon
73.
Kennedy se mit à faire une décharge de toutes ses armes au milieu de cette masse ; mais que pouvait-il contre une innombrable armée ! Déjà les pigeons environnaient la nacelle et le ballon dont les parois, réfléchissant cette lumière, semblaient enveloppées dans un réseau de feu
74.
Décidément un ballon n'a pas d'ennemis à craindre, dit Kennedy
75.
Depuis son arrivée au lac Tchad, le Victoria avait rencontré un courant qui s'inclinait plus à l'ouest ; quelques nuages tempéraient alors la chaleur du jour ; on sentait d'ailleurs un peu d'air sur cette vaste étendue d'eau ; mais, vers une heure, le ballon, ayant coupé de biais cette partie du 1ac, s'avança de nouveau dans les terres pendant l'espace de sept ou huit milles
76.
Le docteur, inquiet, résolut de s'élever dans l'atmosphère pour échapper à ce dangereux voisinage ; il dilata l'hydrogène du ballon, qui ne tarda pas à monter
77.
—Et s'ils s'élancent vers la partie supérieure du ballon, comment les atteindras-tu ? Figure-toi donc que tu te trouves en présence d'une troupe de lions sur terre, ou de requins en plein Océan ! Pour des aéronautes, la situation est aussi dangereuse
78.
—Je ne doute pas de ton adresse, Dick ; je regarde volontiers comme morts ceux qui passeront devant ta carabine ; mais, je te le répète, pour peu qu'ils s'attaquent à l'hémisphère supérieur du ballon, tu ne pourras plus les voir ; ils crèveront cette enveloppe qui nous soutient, et nous sommes à trois mille pieds de hauteur ! »
79.
Cette opération prit quatre heures au moins ; mais enfin le ballon intérieur, entièrement dégagé, parut n'avoir aucunement souffert
80.
La force ascensionnelle du nouveau ballon était donc de trois mille livres environ ; en réunissant les poids de l'appareil, des voyageurs, de la provision d'eau, de la nacelle et de ses accessoires, en embarquant cinquante gallons d'eau et cent livres de viande fraîche, le docteur arrivait à un total de deux mille huit cent trente livres
81.
L'ancre, profondément engagée, résistait à tous les efforts, et le ballon, tirant en sens inverse, accroissait encore sa tenue
82.
Le docteur et Kennedy, pales, assistaient à ce terrible spectacle ; ils ne pouvaient plus man uvrer leur ballon, qui tournoyait au milieu des courants contraires et n'obéissait plus aux différentes dilatations du gaz
83.
Ce fut en vain ! Un vent violent en-traînait le ballon avec une irrésistible vitesse !
84.
Pendant cette histoire de Joe, le ballon avait rapidement franchi une longue étendue de pays
85.
La nuit fut assez tranquille et disparut vers les cinq heures du matin, pendant qu'un vent léger sollicitait le ballon vers l'ouest, et même un peu au sud
86.
« Où en serions-nous, dit-il, avec une seule enveloppe ? Ce second ballon, c'est comme la chaloupe d'un navire ; en cas de naufrage, on peut toujours la prendre pour se sauver
87.
Le lundi, le temps changea complètement ; la pluie se mit à tomber avec une grande violence ; il fallut résister à ce déluge et à l'accroissement de poids dont il chargeait le ballon et la nacelle ; cette perpétuelle averse expliquait les marais et les marécages qui composaient uniquement la surface du pays ; la végétation y reparaissait avec les mimosas, les baobabs et les tamarins
88.
—Notre ballon n'est pas assez grand pour te permettre cette fantaisie
89.
—Du gaz, mon garçon ; la force ascensionnelle du ballon diminue sensiblement, et il faudra de grands ménagements pour qu'il nous porte jusqu'à la côte
90.
D'un autre côté, le ballon se fatiguait visiblement, et le docteur le sentait lui manquer ! Cependant, le temps se levant un peu, il espéra que la fin de la pluie amènerait un changement dans les courants atmosphériques
91.
Et ce fut ainsi pendant plus de cent vingt milles ; on se fatigua à monter et à descendre ; le ballon, ce nouveau rocher de Sisyphe, retombait incessamment ; les formes de l'aérostat peu gonflé s'efflanquaient déjà ; il s'allongeait, et le vent creusait de vastes poches dans son enveloppe détendue
92.
« Est-ce que le ballon aurait une fissure ? dit-il
93.
—Nous ne sommes pas éloignés du fleuve, dit le docteur ; mais je prévois que notre ballon ne pourra nous porter au-delà
94.
Le ballon fut encore délesté d'une cinquantaine de livres ; il s'éleva très sensiblement, mais peu importait, s'il n'arrivait pas au-dessus de la ligne des montagnes
95.
Le ballon remonta, il dépassa la cime dangereuse, et son pôle supérieur s'éclaira des rayons du soleil
96.
L'intrépide garçon se soutenait par les mains au bord inférieur de la nacelle ; il courait à pied sur la crête, délestant ainsi le ballon de la totalité de son poids ; il était même obligé de le retenir fortement, car il tendait à lui échapper
97.
Le terrain semblait convulsionné ; il présentait de nombreux accidents fort difficiles à éviter pendant la nuit avec un ballon qui n'obéissait plus
98.
« Tout ce que nous pouvons faire, mes amis, dit-il après avoir pointé sa carte, c'est de passer le fleuve ; mais comme il n'y a ni pont ni barques, il faut à tout prix le passer en ballon ; pour cela, nous devons nous alléger encore
99.
On dut ensuite s'occuper des tuyaux engagés dans le ballon, et qui se rattachaient au serpentin
100.
Le docteur ne comptait plus sur son ballon d'une façon absolue ; le temps était passé où il le man uvrait avec audace parce qu'il était sûr de 1ui