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    Utiliser "benjamin" dans une phrase

    benjamin exemples de phrases

    benjamin


    1. Une de ces tribus fut exterminée, et ce fut celle de Benjamin, le plus jeune des enfants de Jacob


    2. Le christianisme, attendu par les mages, était en effet la conséquence de leur doctrine secrète; mais en naissant, ce Benjamin de l'antique Israël devait donner la mort à sa mère


    3. Le commencement du XVIIe siècle fut la grande époque de l'alchimie, alors parurent: Philippe Muller, Jean Thorneburg, Michel Mayer, Ortelius, Poterius, Samuel Northon, le baron de Beausoleil, David Planiscampe, Jean Duchesne, Robert Flud, Benjamin Mustapha, le président d'Espagnet, le cosmopolite qu'il fallait nommer le premier, de Nuisement, qui a traduit et publié les remarquables écrits du cosmopolite, Jean-Baptiste Van Helmont, Irénée Philalèthe, Rodolphe Glauber, le sublime cordonnier Jacob Boehm


    4. – Rassurez-vous, cher monsieur Tabaret, lui dit-il, je ne mentirai pas mais je m’arrangerai de telle sorte que votre fils d’adoption, votre Benjamin, ne saura rien


    5. Au rez-de-chaussée, sont la cuisine, la salle à manger, le parloir, le cabinet de travail de monsieur Josiah et la bibliothèque ; au premier les chambres à coucher de monsieur, de madame, de miss Sarah, de monsieur Édouard, et les deux chambres d’amis ; puis au second, ma chambre, à côté de laquelle couchent les deux petits, Henri et Benjamin, nous passons devant, chut ! pour ne pas les réveiller ; dans le corridor à gauche, suivez-moi donc, est la chambre qu’on vous destine, et plus loin, cette chambre-ci est celle de Jacques le vieil Écossais, Maurice le connaît, puis vient une chambre qui ne sert pas, et où couchera Maurice tout le temps qu’il restera ici


    6. – Cela doit être ainsi, tu es de l’âge de Benjamin et du mien, répliqua Henri d’un air sûr de son fait, tant une conduite réglée donnait de ponctualité à ces enfants


    7. – Comme s’il y avait des briquets dans les îles désertes ! dit Benjamin en riant


    8. – Pas de la même manière, Daniel, répondit Benjamin ; mais que j’aie un grain de blé seulement, et l’on verra !


    9. – Par Guttemberg, l’illustre inventeur de l’imprimerie, qui, à cause de cette découverte admirable, peut être regardé comme le plus grand homme du monde, le goût de la lecture n’est bon à rien, monsieur Benjamin : il vous perdra ; est-ce qu’un imprimeur doit lire, doit savoir lire même ? Mais à quoi bon, monsieur Benjamin, je vous le demande, à quoi bon ?


    10. Benjamin sourit finement, et, de l’air d’un enfant qui fait une malice, il écrivit à la hâte, et en cachette de Thomas, une note sur un morceau de papier, puis jeta le papier sur le casier

    11. – Ah ! je devine, cet Essai sur les projets est la suite de Robinson Crusoé, n’est-ce pas, monsieur Benjamin ?


    12. – Vous allez dire que je suis une bête, monsieur ; mais par l’immortel Guttemberg, je ne sais pas trop à quoi peut vous servir le moyen d’augmenter les richesses publiques ; m’est avis qu’il vaudrait bien mieux s’occuper d’augmenter les siennes ; surtout lorsque, comme vous, monsieur Benjamin, on est pauvre comme le bonhomme Job


    13. – Encore un mot, monsieur Benjamin ; vous qui êtes si savant, vous pourrez sans doute me dire quel est l’homme, l’inconnu, le diable, qui nous met tous les jours des petits écrits dans la boîte au journal


    14. – Permettez-moi de vous dire que c’est impossible, monsieur Benjamin, car hier soir, à neuf heures, il n’y avait rien dans la boîte ; je m’absente un instant, vous me promettez de veiller


    15. Vous ne voulez pas me le dire, monsieur Benjamin ; cet inconnu vous aura recommandé le secret, et vous ne devriez pas le garder, puisque c’est me faire perdre un dollar, que votre frère m’a promis, si je lui découvrais l’auteur de ces écrits qui mettent tout Boston en rumeur


    16. Est-ce que vous les avez lus, ces écrits, monsieur Benjamin ?


    17. – Au contraire, monsieur Benjamin, vous le savez, je n’ai qu’une passion, c’est d’imprimer, d’imprimer, de toujours imprimer ; et vous qui lisez tout, si vous vouliez me conter un petit brin, seulement, en gros, là, l’histoire de l’imprimerie, ça doit être si amusant !


    18. – Oh ! commencez, je vous en prie, monsieur Benjamin ; aussi bien, ça m’amusera toujours plus de vous écouter que de vous voir lire


    19. mais pardon de vous avoir interrompu, monsieur Benjamin ; continuez, je vous prie


    20. – En vérité, monsieur Benjamin, vous me faites peur avec cette note ! est-ce qu’elle n’est pas bien composée, bien claire ?

    21. – Qu’est-ce que c’est que cette plaisanterie ? dit enfin le frère de Benjamin, quand lui-même eut réussi à reprendre son sérieux


    22. – Et une bonne ! dit Benjamin, faire dire à un homme, sans qu’il s’en doute, qu’il est un assassin !


    23. – Du reste, Benjamin, dit le plus vieux des personnages qui, pendant cette scène, avait examiné le jeune apprenti avec la plus grande attention, – je ne vois pas pourquoi tu voudrais propager le goût de la lecture dans l’imprimerie de ton frère ; si tous les ouvriers faisaient comme toi et passaient leur temps à lire


    24. – La santé de mes ouvriers en souffrirait aussi, répliqua le chef de l’imprimerie : imaginez-vous, mon père, je ne l’ai appris qu’aujourd’hui, que Benjamin se laisse mourir de faim


    25. – Vous vous trompez, mon frère, je mange beaucoup, dit Benjamin, seulement je mange économiquement


    26. – Mes enfants, j’ai lu cette pièce de vers, reprit le père d’un ton peiné ; il m’en coûte, je l’avoue, de détruire les charmantes illusions que ce succès a mis au cœur de Benjamin, je souffre de blesser son petit amour-propre d’auteur ; mais c’est de mon devoir de père et d’ami de lui dire la vérité : ces vers sont détestables, ils ne valent rien


    27. Ils sont faits sans goût, sans mesure, sans élégance ; il y a de l’esprit, j’en conviens ; mais, qu’est-ce que l’esprit sans bon sens ? Un mauvais poète, et Benjamin possède cette qualité à un très haut degré, un mauvais poète, dis-je, est la créature la plus inutile qui soit au monde, en même temps qu’elle en est la plus ridicule : la poésie ne souffre pas de médiocrité ! Si encore tu faisais les vers comme le mystérieux auteur de cet article sur la politique et l’économie domestique écrit la prose ! voilà qui est écrit, qui est pensé ! c’est un peu jeune, il y a bien des idées erronées et légères ; mais quelle droiture d’esprit ! quel tact ! ces écrits sont l’indice d’un talent supérieur ; cet homme sera un grand homme un jour ! As-tu lu ces articles, Benjamin ?


    28. Benjamin de continuer à épier


    29. Benjamin était là, on a mis l’article dans la boîte, et M


    30. Benjamin n’a rien vu

    31. Benjamin devint tout rouge, en répondant : – Pensez-vous, mon père, que je sois resté les yeux continuellement fixés sur l’ouverture de la boîte ?


    32. Benjamin, je fais une supposition : – Celui qui a écrit l’article anonyme sait écrire


    33. Benjamin qui savent écrire


    34. Benjamin est trop jeune pour cela, puis, il n’aime que la lecture, lui ; donc


    35. C’était celle de Benjamin ; le jeune apprenti était pâle et tremblant


    36. vous croyez qu’on pourrait arrêter mon frère, monsieur Samuel ? demanda Benjamin respirant à peine


    37. Des sanglots ayant interrompu cette espèce d’interrogatoire, Benjamin tourna la tête et vit son père qui s’essuyait les yeux


    38. Cette petite scène, mon jeune lecteur, n’était que le prélude de ce que Benjamin Franklin devait être dans la suite ; je vous dirai succinctement le reste de sa vie, et comment, d’inventions en inventions, toutes plus utiles les unes que les autres, il finit par faire le paratonnerre, l’une des plus belles découvertes modernes


    39. Une mésintelligence ayant éclaté entre les deux frères, et leur père étant mort, Benjamin partit de Boston, se rendit à New-York ; mais, n’y trouvant pas d’ouvrage, il passa de là à Philadelphie ; il n’y connaissait personne, et n’avait dans sa poche, pour toute fortune, qu’un dollar


    40. Benjamin » était malade, avait voulu vérifier l’état de son pensionnaire ; et, monté chez Camille, Lucien s’en retournait, bouleversé, car le jeune homme avait fort mauvaise mine : son teint livide, ses paupières rouges, ses joues caves et sa respiration oppressée avaient presque effrayé M

    41. Alors, c’est toi : Benjamin


    42. Benjamin que monsieur doit s’adresser


    43. Liébert en faisait l’idole de sa tante Marie, qui avait des préceptes tout nouveaux pour l’éducation de ce Benjamin


    44. Tout rappelait à Benjamin son malheur ; les bouts de ficelle, les cordons de souliers, la longueur de quelques objets


    45. Benjamin ouvrit la barrière qui séparait son immeuble du chemin


    46. C’est ainsi qu’à trente ans il était président du Cercle de la Critique Littéraire, et désigné déjà, par le salon Jacquet, comme le Benjamin futur de l’Académie


    47. Longtemps il avait été le benjamin de sa tante Planté comme de sa mère ; nous savions que c’était un enfant gâté


    48. Sans un mot, don Luis sortit de sa poche le livre que Patrice avait avisé sur ses genoux, Les Mémoires de Benjamin Franklin, et lui fit signe de lire quelques lignes qu’il montra du doigt


    49. Une seule question : ce livre que j’ai trouvé dans la chambre du vieux Siméon, Les Mémoires de Benjamin Franklin, l’aviez-vous aperçu lors de vos investigations ?


    50. Henri et Benjamin étaient âgés d’environ dix ans














































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