1.
Je me meus lentement en faisant attention de ne pas défoncer le bois pourri du plancher ; je m’approche d’une grande table rectangulaire que seuls deux pieds soutiennent à peine et j’ouvre les tiroirs à la recherche de quelque document
2.
souhaite conserver en tant que document de référence, jel'imprime systématiquement et je le catalogue
3.
Sur écran, passer d'un ouvrage ou d'un document à l'autre impose à notre juristepressé de perdre de vue
4.
l'ouvrage ou le document précédent, sauf écran 21 pouces(prix de départ: 5
5.
parfois un document récupéré en ligne car le papierest une "interface de lecture" des plus portables
6.
Sans connexion, sans piles,sans attirail technique, on transporte le document où on veut, on l'annote, onle
7.
Je me rends également compte que j'ai du mal à lire sur écran un document longet complexe
8.
Le papier comme support simple de document écritest un peu limité: texte
9.
Cliquez sur le numéro situé sur lapartie gauche de chaque ligne pour voir le document dans la fenêtre du bas
10.
- la lecture de ces "étiquettes" par les navigateurs, qui les afficheraient enmême temps que le document: texte, image, film, etc
11.
Pour réaliser ce document balzacien, nous avons travaillé dans une salleentièrement informatisée de
12.
n'envoie plus de papier à mescorrespondants; je leur écris par courriel et, si j'ai un document à
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traité sous un angle particulier, donnant naissance à document d'étude linguistique (ou autre)
14.
A propos du Coran, conflits entre Perses et Turcs Nous retournâmes dans le temple, et là furent témoins d’une controverse parmi ceux qui portaient le document, relative, si j’ai bien compris, à la taupe en chef
15.
Il y avait près d'une demi-heure qu'elle écrivait, lorsque le besoin d'un document l'égara dans une longue recherche, parmi les dossiers entassés sur sa table
16.
Il respira plus à l’aise lorsqu’il eut apposé sa signature au bas du document et passé le seuil de la banque
17.
Un document émanant d’hommes de loi l’informait que son père lui léguait une liste interminable d’actions et d’obligations, de rentes, de propriétés immobilières et mobilières
18.
Les noms se multiplient et fulgurent comme des éclairs à chaque page de ce document, pour disparaître avec la même rapidité
19.
La Bayonnaise mouilla devant Vanikoro, quelques mois après le départ de l'Astrolabe, ne trouva aucun document nouveau, mais constata que les sauvages avaient respecté le mausolée de La Pérouse
20.
– C’est là un document qui me paraît peu probant, reprit sèchement M
21.
Ce document, traduit en toutes langues, réussit beaucoup
22.
C'était donc un précieux document pour les voyageurs, car ils pouvaient déjà étudier le pays avant d'y mettre le pied
23.
Kalumah ignorait cette tradition, qui, d'ailleurs, ne reposant sur aucun document sérieux, n'était sans doute qu'une de ces nombreuses légendes de la cosmogonie hyperboréenne, et c'est pourquoi les hôtes du Fort- Espérance ne furent pas prévenus du danger qu'ils couraient à s'établir sur ce territoire
24.
Sur sa demande, le fameux document lui fut communiqué
25.
Elle nous a envoyé ce document, nous sommes partis
26.
Est-ce que l’interprétation que nous avons faite de ce document est erronée? Est-ce que le sens de ces mots est illogique?»
27.
— Je veux dire, répondit Paganel, en accentuant ses paroles, que le capitaine Grant est maintenant prisonnier des indiens, et j’ajouterai que le document ne laisse aucun doute sur cette situation
28.
— Rien de plus facile, ma chère Mary; au lieu de lire sur le document seront prisonniers, lisons sont prisonniers, et tout devient clair
29.
Voici le Rio Negro, voici le Rio Colorado, voici leurs affluents coupés par le trente-septième degré de latitude, et qui tous ont pu servir au transport du document
30.
Cependant, si Glenarvan, dans l’intérêt de ses recherches, eut à regretter l’absence des indiens, un incident se produisit qui vint singulièrement justifier l’interprétation du document
31.
— Ce sera fort difficile, répondit Paganel, car un indien n’entend rien aux degrés terrestres, et l’histoire du document sera pour lui une histoire fantastique
32.
Cette réponse concordait exactement avec la date du document
33.
«Ce document est pourtant bien clair! répétait Glenarvan
34.
Or, où il est, ce document doit le dire, et il le dira, mes amis, ou je ne suis plus Jacques Paganel!»
35.
Paganel, agacé par la difficulté, retournait de toutes les façons les mots du document pour en tirer un enseignement nouveau
36.
Quel espoir pouvait-il donner au jeune enfant? N’avait- il pas suivi avec une rigoureuse exactitude les indications du document?
37.
Si! Cent fois! Mais quelle chance avons-nous de réussir? Quitter le continent américain, n’est-ce pas s’éloigner de l’endroit indiqué par Harry Grant lui-même, de cette Patagonie si clairement nommée dans le document?
38.
«Oui! dit-il d’une voix convaincue, oui! Nous nous sommes égarés dans nos recherches, et nous avons lu sur le document ce qui n’y est pas!
39.
— Je prétends, répondit Paganel, que le mot austral qui se trouve dans le document n’est pas un mot complet, comme nous l’avons cru jusqu’ici, mais bien le radical du mot Australie
40.
— Comment assemblez-vous entre eux ces mots nouvellement interprétés, et de quelle manière lisez-vous le document?
41.
Après les premiers embrassements, lady Helena, Mary Grant et John Mangles furent instruits des principaux incidents de l’expédition, et, avant tout, Glenarvan leur fit connaître cette nouvelle interprétation du document due à la sagacité de Jacques Paganel
42.
De là cette conséquence naturelle, que l’interprétation tirée du document était erronée en ce qui touche la Patagonie
43.
Il a démontré que nous suivions une voie fausse, et il a interprété le document de manière à ne plus laisser aucune hésitation dans notre esprit
44.
Il s’agit du document écrit en français, et je prierai Paganel de l’expliquer ici, afin que personne ne conserve le moindre doute à cet égard
45.
Examinons successivement tous les points par lesquels passe le trente-septième parallèle, et voyons si quelque autre pays ne se rencontrerait pas, dont le document donnerait l’indication précise
46.
Or, je soutiens que pas un des mots du document ne peut se rapporter à ces îles
47.
— Eh bien, reprit Paganel, au lieu de lire «7 juin» sur le document, supposez que la mer ait rongé un chiffre de cette date, lisez «17 juin» ou «27 juin», et tout s’explique
48.
Si votre père est entre les mains des indigènes, ce que fait pressentir d’ailleurs le document, nous le retrouverons
49.
Cependant, il ne fallait pas perdre tout espoir tant que ne serait pas atteint le point précis indiqué par le document
50.
Tant qu’il s’agissait du territoire argentin, le géographe pouvait à bon droit prétendre que les chiffres du document se rapportaient, non au théâtre du naufrage, mais au lieu même de la captivité
51.
En effet, les grands fleuves de la Pampasie, leurs nombreux affluents, étaient là pour porter à la mer le précieux document
52.
Celui-ci, d’ailleurs, le faisait pressentir dans son document par ces mots, dont il fallait tenir compte: où ils seront prisonniers de cruels indigènes
53.
— Vous n’êtes donc pas un des deux matelots dont le document fait mention?
54.
Ah! précieux document, ajouta-t-il avec une naïveté parfaite, il faut avouer que tu es tombé entre les mains de gens bien perspicaces!»
55.
En effet, Grant, on n’en doutait pas, grâce au document, avait survécu au naufrage avec deux de ses matelots, comme Ayrton lui-même
56.
«Et si quelque voyageur creuse, un jour, la terre à l’endroit indiqué, il trouvera une boîte de fer-blanc, et dans cette boîte ce document dont les mots sont gravés dans ma mémoire: Grande exploration et traversée du sud au nord de l’Australie
57.
Il connaissait exactement sa position, le document le prouve, et pour n’avoir pas gagné quelque colonie anglaise, il faut qu’à l’instant où il prenait terre il ait été fait prisonnier par les sauvages
58.
Pour la seconde fois, l’interprétation erronée du document venait de jeter sur une fausse piste les chercheurs du Britannia!
59.
«Ah! Malencontreux document! Tu peux te vanter d’avoir mis le cerveau d’une douzaine de braves gens à une rude épreuve!»
60.
Il faut le dire, Paganel, dans toute cette succession d’aventures fâcheuses, ne pensait qu’à son document faussement interprété
61.
Après deux déconvenues successives, il ne voulait pas sans doute hasarder une troisième interprétation du document
62.
Un géographe moderne, un marin, pouvaient-ils leur attribuer cette dénomination? on le voit, Paganel revenait toujours à l’interprétation du document
63.
Mais rien, dans cette histoire, ne permettait de qualifier de «continent» cette contrée composée de deux îles, et si quelques mots du document avaient éveillé son imagination, ces deux syllabes contin l’arrêtaient obstinément dans la voie d’une interprétation nouvelle
64.
Il partait de ce point que l’authenticité du document ne pouvait être mise en doute
65.
Évidemment poursuivre le projet formé à Eden de retourner en Europe, quitte à reprendre plus tard cette entreprise frappée d’insuccès, car alors les traces du Britannia semblaient être irrévocablement perdues, le document ne se prêtait à aucune interprétation nouvelle, tout autre pays manquait même sur la route du trente-septième parallèle, et le Duncan n’avait plus qu’à revenir
66.
J’appris alors ce que j’ignorais, la relâche du Britannia au Callao, ses dernières nouvelles datées de juin 1862, deux mois après mon débarquement, l’affaire du document, la perte du navire sur un point du trente-septième parallèle, et enfin les raisons sérieuses que vous aviez de chercher Harry Grant à travers le continent australien
67.
Cela concorderait avec la date du 27 juin 1862, assignée par le document au naufrage du trois-mâts
68.
— Mais, reprit Glenarvan, rien dans ces restes de mots conservés sur le document ne peut s’appliquer à la Nouvelle-Zélande
69.
Quelle illumination se fit dans mon esprit! aland était précisément un mot du document anglais, un mot que nous avions traduit jusqu’alors par à terre, et qui devait être la terminaison du nom propre Zealand
70.
— Oui, reprit Paganel avec une conviction profonde, cette interprétation m’avait échappé, et savez-vous pourquoi? Parce que mes recherches s’exerçaient naturellement sur le document français, plus complet que les autres, et où manque ce mot important
71.
» Là, continuellement en proie à une cruelle indigence, ils ont jeté ce document «par… De longitude et 37° 11’ de latitude
72.
D’ailleurs, nous allions à Auckland, précisément au point indiqué par la latitude du document
73.
Et ce fut alors seulement que le capitaine apprit qu’il devait son salut à ce document passablement hiéroglyphique, que, huit jours après son naufrage, il avait enfermé dans une bouteille et confié aux caprices des flots
74.
Mais que pensait Jacques Paganel pendant le récit du capitaine Grant? Le digne géographe retournait une millième fois dans son cerveau les mots du document! Il repassait ces trois interprétations successives, fausses toutes trois! Comment cette île Maria-Thérésa était-elle donc indiquée sur ces papiers rongés par la mer? Paganel n’y tint plus, et, saisissant la main d’Harry Grant:
75.
«Eh bien, capitaine, demanda Paganel, vous souvenez-vous des termes précis du document?
76.
— là, reprit Harry Grant, continuellement en proie à une cruelle indigence, ils ont jeté ce document par 15°3’ de longitude et 37°11’ de latitude
77.
Pendant ce dîner, mon oncle venait d'apprendre des choses importantes, entre autres l'histoire de Saknussemm, la raison de son document mystérieux, comme quoi son hôte ne l'accompagnerait pas dans son expédition, et que dès le lendemain un guide serait à ses ordres
78.
C'était un précieux document pour un minéralogiste
79.
On sait, du reste, par un document officiel trouvé dans les archives de lord Ellesmere, que Shakspeare, au mois de novembre 1589, était un des associés du théâtre de Blackfriars et avait part aux bénéfices; Harmlet, ne fût-ce qu'à l'état d'ébauche, pouvait bien lui valoir ces avantages; et que Shakspeare ait dû, en effet, au premier Hamlet, sa première admission parmi les associés du théâtre, c'est une hypothèse assez probable
80.
» Le premier Hamlet ne contient rien de ce passage, et n'est-on pas naturellement amené à croire que Shakspeare, en ajoutant ce fragment de dialogue, pensait à lui-même, qu'il voulait constater par-devant le public la valeur dramatique d'une péripétie si fortement exploitée, et que, par la bouche de son héros, au nom du succès de son oeuvre, il réclamait, dans les bénéfices de ses compagnons, la part entière dont une moitié seulement lui aurait été accordée pour le premier Hamlet? Il est remarquable, en effet, que, d'après le document trouvé chez lord Ellesmere, Shakspeare, en 1589, n'était encore rangé que l'un des derniers parmi les associés de Blackfriars, tandis que nous le trouvons nommé le second dans la licence royale octroyée à sa troupe en 1603
81.
Eh bien, un document que nous avons sous les yeux, nous permet de trancher ce différend
82.
Le document dont je parle plus haut, n’est autre qu’une lettre écrite à sa famille, le soir même de la bataille de Bosworth, par un soldat du pays de Galles
83.
L'histoire de Lawson est un document extrêmement rare en Amérique, et qu'on ne peut se procurer en Europe
84.
On a tenté de se rapprocher le plus possible du texte de l'original imprimé en retirant les nombreuses altérations manuscrites ayant été effectuées sur le document (ponctuation, accents, cédilles, lettres ajoutées ou grattées, etc
85.
» Mais dans le texte d’un document, quand donc ?
86.
Conseil forme assurément le document le plus précieux qu'on ait publié en France sur l'histoire et la législation des États-Unis
87.
le médecin de district Radoûchryi en date du 26 janvier 1886, n° 31, pour la soumettre à l’examen de Votre Haute Noblesse, touchant la tradition en justice du docteur Radoûchnyi, en raison des expressions déplacées et au plus haut degré impertinentes, employées par lui dans un document officiel, à savoir : les bourdes de chancellerie
88.
Dès la première ligne, je jugeai qu’il pouvait y avoir là des renseignements sur la vie passée de Meaulnes à Paris, des indices sur la piste que je cherchais, et je descendis dans la salle à manger pour parcourir à loisir, à la lumière du jour, l’étrange document
89.
La découverte de ce document ayant trait à des valeurs importantes peut être très utile pour déterminer le mobile du crime
90.
J'écrivis donc à Cambridge, au professeur Miller, pour lui soumettre le document suivant, fait d'après ses renseignements, et qu'il a trouvé rigoureusement exact:
91.
À ces mots, il se leva, mit bas sa redingote et sa cravate, alla vers une table sur laquelle étaient préparées toutes les pièces du nécessaire de toilette de son fils, prit un rasoir, se savonna le visage, et d'une main parfaitement ferme abattit ces favoris compromettants qui donnaient à la police un document si précieux
92.
– Parce que le document en question a une telle importance, que sa publication pourrait facilement – je dirai même selon toute probabilité – amener les complications européennes les plus graves
93.
Et maintenant, monsieur Trelawney Hope, je vous serai très obligé si vous voulez bien me faire connaître très exactement les circonstances dans lesquelles ce document a disparu
94.
Elle s’y trouvait encore hier au soir, j’en suis absolument certain, car, en m’habillant pour le dîner, j’ai ouvert le coffret et le document était à l’intérieur
95.
Et, pourtant, je ne puis que vous le répéter, le document a disparu
96.
– Je me vois dans l’obligation de vous demander de préciser la nature de ce document et comment cette disparition peut entraîner des conséquences si graves
97.
Les termes qui y sont employés sont si malheureux, certaines des phrases ont un caractère si provocant, que la publication du document amènerait, sans nul doute, une crise dans notre pays
98.
– Et à qui ce document serait-il envoyé s’il tombait entre les mains de ces ennemis ?
99.
Il est impossible d’admettre que ce document ait été soustrait après onze heures et demie de la nuit dernière, car, si j’ai bien compris, M
100.
Si un document de cette importance a été volé à cette heure-là, où est-il maintenant ? Le voleur, n’ayant aucun motif pour le garder par devers lui, a dû le remettre immédiatement à celui qui pouvait l’utiliser