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    Utiliser "obole" dans une phrase

    obole exemples de phrases

    obole


    1. —Éros, va; envoie-lui son trésor: n'en retiens pas une obole, je te le recommande


    2. Tu seras exposée aux regards des rustres, comme un monstre étrange, pour quelque vile obole


    3. —Non, en vérité, seigneur, pas une obole


    4. Alors je continue en leur indiquant le secret d'avoir tout de suite quantité d'anchois pour une obole, qui est d'accaparer les plats chez les fabricants


    5. » Le Conseil l'écoute de nouveau avec faveur; et moi, me voyant battu par de la bouse de vache, je porte le nombre à deux cents bœufs; puis je propose de faire vœu à Agrotera de mille chèvres pour le lendemain, si les anchois ne sont qu'à une obole le cent


    6. Tous m'accablent d'éloges, de caresses, si bien que j'ai dans ma main le Conseil entier pour une obole de coriandre, et me voici


    7. Mais il me semble que voilà de tout point un excellent citoyen, tel qu'il n'y en a eu en aucun temps pour la populace à une obole


    8. Si donc tu m'y apprenais ce raisonnement injuste, de toutes les dettes que j'ai contractées pour toi, je ne paierais une obole à personne


    9. Et tu me demandes de l'argent quand tu es ce que tu es? Non, je ne donnerais pas une obole à qui que ce soit qui appelle une auge «kardopos» au lieu de «kardopè»


    10. A moi, à l'aide, je t'en conjure au nom des dieux! Cet homme m'a mise à mal en me frappant avec sa torche; il a jeté par terre dix pains d'une obole, et quatre autres par-dessus le marché

    11. de Guimont, et dont il n’avait pas emporté une obole


    12. Bien, bien, dit le cardinal, je ne vous en veux pas, mais vous comprenez, on a assez de défendre ses amis et de les récompenser, on ne doit rien à ses ennemis, et cependant je vous donnerai un conseil: tenez-vous bien, monsieur d'Artagnan, car, du moment que j'aurai retiré ma main de dessus vous, je n'achèterai pas votre vie pour une obole


    13. incapable de prendre une obole à personne, et ne demandant qu’à s’en retourner dans sa maison, d’où il jurait de ne plus jamais sortir


    14. J’ai appris, jeunes hommes, des charmes que je vous donnerai pour une obole, et qui vous rendront vigoureux et souples comme des tigres, qui vous feront vaincre à la course vos rivaux les plus redoutables, qui vous rendront semblables au divin Achille aux pieds légers !


    15. mais pas une obole


    16. En vertu, des pouvoirs que me confère mon office, j’ai touché pour vous une somme d’argent ; cette somme, je l’ai dissipée, détournée, il n’en reste pas une obole ; mais n’allez pas croire que la misère m’ait poussé à cette spoliation ! Suis-je un mendiant, un nécessiteux ? Dieu merci, non, j’avais, et j’ai de quoi vivre largement


    17. Il n'oublie pas de tirer avantage de l'aveuglement de son ami, et de la prévention où il l'a jeté en sa faveur; tantôt il lui emprunte de l'argent, tantôt il fait si bien que cet ami lui en offre: il se fait reprocher de n'avoir pas recours à ses amis dans ses besoins; quelquefois il ne veut pas recevoir une obole sans donner un billet, qu'il est bien sûr de ne jamais retirer; il dit une autre fois, et d'une certaine manière, que rien ne lui manque, et c'est lorsqu'il ne lui faut qu'une petite somme; il vante quelque autre fois publiquement la générosité de cet homme, pour le piquer d'honneur et le conduire à lui faire une grande largesse


    18. Mais en donnant votre obole, vous feriez de sérieuses réflexions, je vous le jure, sur l’étrangeté des choses de ce monde


    19. Et qui ne vous a pas coûté une obole


    20. » s’agripper férocement à ses grègues, et ne le lâcher qu’après avoir empoché son obole

    21. Point de pigeon pour une obole


    22. Seulement le quart d’une obole,


    23. Après une orgie effroyable, François joua, dans une nuit, jusqu’à sa dernière obole et redevint aussi gueux que dans ses jeunes années


    24. – Je te laisserai mon âne pendant sept ans et, chaque jour, tu déposeras une obole dans une tirelire que tu me remettras à l’expiration de notre marché


    25. Je suis sûr que si Notre Seigneur Jésus-Christ et les apôtres revenaient sur la terre, simples et dépouillés de tout comme aux premiers jours, les chrétiens de partout s’uniraient dans l’enthousiasme et l’amour, pour leur élever la plus magnifique des demeures, et je vous connais assez pour affirmer que vous ne seriez pas les derniers à offrir votre obole


    26. Et pourquoi ne pas ajouter ce cas à tant d’autres, où le moindre défaut de formalité anéantit une procédure, même juste d’ailleurs ? Les couvents sont-ils donc si essentiels à la constitution d’un État ? Jésus-Christ a-t-il institué des moines et des religieuses ? L’Église ne peut-elle absolument s’en passer ? Quel besoin a l’époux de tant de vierges folles ? et l’espèce humaine de tant de victimes ? Ne sentira-t-on jamais la nécessité de rétrécir l’ouverture de ces gouffres, où les races futures vont se perdre ? Toutes les prières de routine qui se font là, valent-elles une obole que la commisération donne au pauvre ? Dieu qui a créé l’homme sociable, approuve-t-il qu’il se renferme ? Dieu qui l’a créé si inconstant, si fragile, peut-il autoriser la témérité de ses vœux ? Ces vœux, qui heurtent la pente générale de la nature, peuvent-ils jamais être bien observés que par quelques créatures mal organisées, en qui les germes des passions sont flétris, et qu’on rangerait à bon droit parmi les monstres, si nos lumières nous permettaient de connaître aussi facilement et aussi bien la structure intérieure de l’homme que sa forme extérieure ? Toutes ces cérémonies lugubres qu’on observe à la prise d’habit et à la profession, quand on consacre un homme ou une femme à la vie monastique et au malheur, suspendent-elles les fonctions animales ? Au contraire ne se réveillent-elles pas dans le silence, la contrainte et l’oisiveté avec une violence inconnue aux gens du monde, qu’une foule de distractions emporte ? Où est-ce qu’on voit des têtes obsédées par des spectres impurs qui les suivent et qui les agitent ? Où est-ce qu’on voit cet ennui profond, cette pâleur, cette maigreur, tous ces symptômes de la nature qui languit et se consume ? Où les nuits sont-elles troublées par des gémissements, les jours trempés de larmes versées sans cause et précédées d’une mélancolie qu’on ne sait à quoi attribuer ? Où est-ce que la nature, révoltée d’une contrainte pour laquelle elle n’est point faite, brise les obstacles qu’on lui oppose, devient furieuse, jette l’économie animale dans un désordre auquel il n’y a plus de remède ? En quel endroit le chagrin et l’humeur ont-ils anéanti toutes les qualités sociales ? Où est-ce qu’il n’y a ni père, ni mère, ni frère, ni sœur, ni parent, ni ami ? Où est-ce que l’homme, ne se considérant que comme un être d’un instant et qui passe, traite les liaisons les plus douces de ce monde comme un voyageur les objets qu’il rencontre, sans attachement ? Où est le séjour de la haine, du dégoût et des vapeurs ? Où est le lieu de la servitude et du despotisme ? Où sont les haines qui ne s’éteignent point ? Où sont les passions couvées dans le silence ? Où est le séjour de la cruauté et de la curiosité ? On ne sait pas l’histoire de ces asiles, disait ensuite M


    27. Il s'en allait donc derrière son maître, chargé de tout ce qu'aurait dû porter le grison[147], et tirant du sac pour mettre en son ventre; et il se trouvait si bien de cette manière d'aller, qu'il n'aurait pas donné une obole pour rencontrer toute autre aventure


    28. Pour l'hôtelier, auquel n'avaient point échappé le cadeau et la récompense qu'avait reçus le barbier, il réclama l'écot de don Quichotte, ainsi que le dommage de ses outres et la perte de son vin, jurant que ni Rossinante ni l'âne de Sancho ne sortiraient de l'hôtellerie qu'on ne lui eût tout payé, jusqu'à la dernière obole


    29. —Et vous devez croire, reprit Boris en rougissant légèrement, mais en conservant son maintien réservé, que chacun cherche également à obtenir une obole du millionnaire


    30. – Je n’offre pas une obole, moi, répondit le pauvre Wamba ; et, pour ce qui concerne ma suspension par les pieds, ma cervelle ayant été placée, dit-on, sens dessus dessous depuis que je me coiffe du béguin, si on me renverse, cela la remettra peut-être à la place qui lui convient

    31. – Je n’en sais rien ! Faute de cœur, sans doute ! Oh ! je la connais ! Aussi elle n’aura pas de moi une obole !


    32. Mais quand il se vit sans un sou, quand il lui fallut tendre la main à un garçon de vestiaire pour lui emprunter une obole, le misérable n’hésita plus à prendre une part active dans la nouvelle combinaison de Luversan


    33. La commisération, devant ce haillon humain, devait frissonner de dégoût, et l’aumône lui jetait son obole en détournant la tête


    34. Aux véritables indigents, elle ne donnait jamais une obole, car la satisfaction de les torturer ne l’eût jamais dédommagée d’une perte ; l’avidité l’emportait encore chez elle sur la jouissance qu’elle éprouvait à faire sentir aux malheureux le pouvoir de l’argent


    35. Je ne peux pas manger mon argent ; il faudra que je le laisse, sans emporter seulement une obole pour Caron


    36. Zénobius, en apprenant les bizarres dispositions testamentaires qui le concernaient, demeura d’abord atterré ; il n’avait pas compté sur une obole


    37. Je ne possède rien, pas une obole, et je gage qu’il n’y a pas d’homme plus heureux que Basile Hymen dans toute la Gallicie, peut-être dans toute l’Europe


    38. Vous le verrez encore, puisque vous êtes des nôtres, vous le verrez souvent changer de figure et d’aspect, se rendre méconnaissable à tous ; vous le verrez ramper dans la poussière comme un serpent que la roue d’une charrette a coupé en deux, et les passants s’attendriront et lui jetteront une obole qui viendra grossir notre trésor


    39. Si le donateur fût entré en ce moment, je lui aurais dit : « Je ne vous dois rien, Hunsden, pas une obole ; vous vous êtes payé par vos insultes


    40. Vandenhuten et lui firent éprouver une sensation inaccoutumée ; il me répondit qu’il était ravi d’avoir pu m’être utile, mais qu’il n’avait rien fait qui méritât de semblables remerciements ; qu’il n’avait pas déboursé une obole, et que toute la peine qu’il avait prise s’était bornée à jeter quelques lignes sur une feuille de papier

    41. Celle-ci voulut, elle aussi, apporter son obole à cette bonne œuvre


    42. Le malheur que vous me dites avoir éprouvé pour lui me déciderait à faire quelque chose de plus de moi-même si je le pouvais, mademoiselle, mais je commence le commerce, je suis jeune et ma fortune est extrêmement bornée ; pas une obole de celle de Dubreuil ne m’appartient, je suis obligé de rendre à l’instant le tout à sa famille


    43. Certes, la satisfaction profonde que nous avions eue à alléger de notre obole d’écolier cette navrante misère, valait bien tous les plaisirs que cent fois plus de gros sous auraient pu nous procurer


    44. C’était les Brécé qui, forcés de partir avant le 29, s’excusaient de ne pouvoir se rendre à la fête de charité et envoyaient leur obole


    45. L’une des plus agréables est celle qui consiste à faire du bien autour de soi sans qu’il vous en coûte une obole, un penny, un rouge liard


    46. Elle eût souscrit volontiers pour sa modeste obole à toute œuvre charitable ; elle faisait l’aumône en secret : mais elle n’était capable de prendre aucune part dans une œuvre de charité publique et sur une large échelle ; quant à l’organiser, cela était tout à fait hors de question


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