Utiliser "paralysie" dans une phrase
paralysie exemples de phrases
paralysie
1. Dans son livre (le remède étonnante qui guérit les maladies mortelles: le cardiaque, le cancer, la paralysie, la migraine « le hijama une médecine du prophète dans sa nouvelle vision ») Il a chassé les maladies incurables en remettant l’utilisation du hijama (faire la saignée, poseur de ventouse)
2. Tout cela est mentionné dans son livre: Le remède miraculeux qui traite les maladies cardiaques, le cancer, la paralysie, la migraine – La Ventouse, une science médicale prophétique dans sa nouvelle perspective
3. Sheikho (que son âme soit sanctifiée), La Ventouse: Remède Miraculeux qui traite les maladies cardiaques, la paralysie, l’hémophilie, la migraine, la stérilité et le cancer
4. 6 - Mentionnons, enfin, ceux qui ne manquent pas d’êt-re écoeurés par ces incessantes disputes: Ils rejettent à égalité tout ce qui ne leur semble pas absolument certain, et par le fait Dieu lui-même, et ils recherchent la lumière au plus profond des ténèbres, et la quiétude de l’esprit dans la stupeur ( paralysie de la conscience)
5. Plus tard, une paralysie partielle ankylosa le bras gauche : Strang pouvait le soulever jusqu’à un certain point ; au-delà, il n’y parvenait plus
6. Ce sont les ténèbres de la mort qui arrivent, la fin de tout, la paralysie prochaine de certaines facultés
7. La phlegmasie cérébrale était complète et entraînait la paralysie du sentiment et du mouvement
8. Je me demandais si la paralysie des nerfs optiques était complète ou si quelque trace de sensibilité y demeurait
9. Jumet fut soumis à la visite de tous les gros bonnets de la médecine militaire, qui furent unanimes à reconnaître l’aphasie, avec un commencement de paralysie
10. —Le médecin se trompe, s'écria Dantès; quant à votre paralysie, elle ne me gêne pas, je vous prendrai sur mes épaules et je nagerai en vous soutenant
11. Le Dr Fordham, appelé en toute hâte, m’aida à le coucher ; mais rien ne put arrêter les progrès de la paralysie ; depuis, il n’a plus donné aucun signe de connaissance ; je crains, hélas ! que nous ne le retrouvions pas vivant
12. Faria le reçut assis, évita tout geste compromettant, et parvint à cacher au gouverneur la paralysie qui avait déjà frappé de mort la moitié de sa personne
13. Il est même fort possible qu'un excès d'application précoce et forcée à l'étude des langues anciennes soit la cause qui a fait tomber plus tard tant de savants dans un état de paralysie et d'enfance intellectuelle
14. Il a reçu un rude choc qui a provoqué une attaque de paralysie, et, par suite, il garde la chambre depuis un certain temps
15. Une sœur de la grand'mère du côté maternel était hystérique, somnambule, et resta pendant dix-sept ans au lit pour une paralysie imaginaire
16. Sa langue se mouvait difficilement, déjà gagnée par la paralysie
17. La paralysie avait arrêté ces jambes infatigables
18. Le côté gauche du corps, seul, avait été gagné par la paralysie, qui ce soir menaçait le cœur
19. D’une voix que la paralysie envahissante alourdissait, M
20. Les doigts glacés, que gagnait la paralysie, ne purent achever de tracer cette signature
21. « Aide-moi à sortir de cet état de paralysie intérieure, à retrouver mon énergie, à convenir de mes torts
22. Corpano, surveillant assidu des abords de l’hôtel de Sorrès, en ces derniers jours, venait d’apprendre que le concierge, atteint de paralysie, ayant été obligé de quitter son poste, Ludovic avait demandé à le remplacer pour garder l’hôtel inhabité
23. Alors apparaissait, comme un point noir, la paralysie de Mme Alban
24. C’est une paralysie nerveuse, qui passera comme elle est venue
25. – Détrompe-toi ; je n’ai aucun mérite, car je savais que le genre de paralysie nerveuse dont je suis atteint ne dure jamais plus de dix à douze jours
26. Je ne suis pas veuve, mais mon mari est tombé en paralysie, il y a six mois, bientôt sept ; et moi, à force de rhumatismes, j’ai un bras dont je ne peux presque plus me servir
27. Or, frappé de paralysie au moment où son écuyer lui annonçait cette nouvelle, l’ancien confident de Catherine demeurait depuis lors impuissant à se faire comprendre ni à tracer la moindre ligne
28. de Pelveden a été frappé de paralysie, au moment où son écuyer lui apportait la nouvelle que M
29. Apprenez encore ceci : le répit de quatre mois dont vous avez bénéficié est dû à ce fait que votre oncle, en recevant la nouvelle que Bérengère, Mlle d’Erbannes et vous étiez entre mes mains, et que je refusais de vous remettre à son écuyer, est tombé frappé de paralysie
30. de Pelveden puisque en l’apprenant il est tombé frappé de paralysie et, à peine remis, envoie un message à la reine mère ; la promptitude avec laquelle celle-ci fait disparaître en une basse-fosse M
31. vous avez même été affecté d’un état partiel et momentané de paralysie, s’il vous plaît
32. Elle est dans une période d’abolition des sens, d’anéantissement de toutes les facultés intellectuelles, d’assoupissement, de paralysie ; il se peut que demain elle soit prise de convulsions, accompagnées d’une exaltation folle des fonctions du cerveau, d’un délire furieux
33. Il se plaisait dans cet état de paralysie cérébrale qui l’empêchait de sentir la vivacité de son malheur
34. Austère est bien vite dit ! Seulement, il s’agit de ne pas confondre l’austérité avec une des formes de la mélancolie que nous connaissons tous – le pressentiment de la paralysie de la moelle, mon cher
35. Mais le pouvoir de cette main ne se borne pas à sa formidable étreinte : elle laisse dans le membre touché une paralysie qui disparaît très lentement, et même parfois persiste jusqu’à la mort
36. Puis comme si une paralysie lui eût gelé tous les membres, il arrêta net, immobilisé par un élan de honte au fond de lui-même
37. Jean ne dirigeait sa pensée qu’avec paresse et torture : il lui sembla qu’une paralysie partielle en affaiblissait l’élan
38. À la vue des traits qui se ramassent en une décision brutale, inflexible, des rides noires tendues à la racine du nez, Jean d’abord est fasciné comme par un mystère, inerte d’une paralysie morale
39. – Vous avez raison ; si je pouvais racheter la vie de mon fils au prix d’une paralysie qui me clouerait dans mon fauteuil, je n’hésiterais certes pas
40. Les bons cœurs se réjouissaient de la prospérité de la veuve et, si quelqu’un gémissait de voir la paralysie de Madeleine faire ombre à un si beau tableau, une voix s’élevait pour réclamer :
41. L’année précédente, il avait soigné madame Cormier, atteinte d’une attaque de paralysie, et il pouvait, à condition de ne pas répéter trop souvent ses visites, se présenter chez elle sans paraître venir voir Philis : c’était en passant, pour prendre des nouvelles d’une malade à laquelle il s’intéressait par cela même qu’il l’avait guérie, et dont il voulait suivre la guérison
42. Pourquoi lui-même n’avait-il pas pu achever ses études, au lieu de devenir un pauvre clerc d’hommes d’affaires qu’on accablait de besognes fastidieuses du matin au soir, et de fatigues au point qu’il ne lui restait pas une heure de liberté pour travailler utilement ? Ne devait-il pas, comme ses camarades, passer des examens qui lui auraient donné une situation analogue à celles qu’occupaient ces camarades, ni plus intelligents ni plus courageux que lui ? Pourquoi, au lieu de trouver un brave homme de patron, ce qui n’avait rien d’impossible, était-il tombé sur Caffié qui l’avait martyrisé et abêti ? Pourquoi sa mère, née à la campagne, solide, d’une bonne et belle santé, avait-elle tout à coup été frappée de paralysie ? Enfin pourquoi Philis, belle fille comme elle était, gaie malgré tout, intelligente, douée de toutes les qualités qui font la vie heureuse dans un ménage, ne trouvait-elle pas un mari assez dégagé de préjugés et d’étroits calculs pour l’épouser ? Pourquoi fallait-il que, du matin au soir, sans repos, sans lassitude, elle travaillât penchée sur sa table, ou courût les rues de Paris comme une pauvre ouvrière qui va chercher ou reporter de l’ouvrage ?
43. – De quelle paralysie ? C’est là un mot bien vague pour nous autres ; il y a des paralysies qui troublent la vision, il y en a qui troublent la raison
44. Il entassait les mots par-dessus les mots, comme si, en cherchant à convaincre Philis, il pouvait espérer se convaincre lui-même ; mais, quand le bruit de ses paroles s’affaiblissait, il était bien obligé de s’avouer que, quelle que fût la paralysie de cette femme, elle n’avait à cette occasion produit ni trouble dans la vision, ni trouble dans la raison : elle l’avait vu, bien vu, l’homme à la taille élevée, aux cheveux longs, à la barbe frisée, vêtu en monsieur, qui n’était pas Florentin ; quand elle racontait l’histoire de la lampe et des cordons de tirage, elle savait ce qu’elle disait ; toutes ses explications ne pouvaient donc avoir d’effet que sur Philis, et elles s’arrêteraient à elle
45. – Sans que tu la voies, par ce que j’apprendrais en faisant parler la concierge, ne pourrais-tu pas reconnaître son genre de paralysie
46. – Nous serions tout de suite fixés sur la paralysie, et nous verrions quel crédit nous pouvons accorder aux paroles de cette femme
47. Tout en écoutant Philis et tout en parlant lui-même, il avait eu le temps d’envisager la situation que lui créait ce coup de foudre : évidemment, la première chose à faire était d’empêcher le soupçon de naître dans l’esprit de Philis, et c’était à quoi il s’était appliqué en se jetant dans des explications sur les divers genres de paralysie : il la connaissait assez pour voir qu’il avait réussi
48. Donc, on peut argumenter sur ce qu’elle dit, et, s’il se trouve un médecin pour affirmer que sa paralysie ne donne lieu ni à ces aberrations ni à ces hallucinations, il s’en trouvera bien un autre qui contestera ces affirmations et arrivera à une conclusion radicalement opposée
49. – Ne soyez pas trop modeste, cher ami ; j’ai eu à consulter dernièrement l’article Paralysie dans mon Dictionnaire de médecine, et j’ai vu votre travail cité à chaque page
50. Il n’y a donc rien d’impossible à ce que mademoiselle Philis, racontant que sa mère a été guérie par vous d’une paralysie précisément, n’amène madame Dammauville à l’idée de vous consulter, et que son médecin ne vous appelle