1.
Et elle avait la robe trempée à
2.
Debout à la droite du Comte était un homme portant la robe et la tonsure d’un prêtre
3.
Habillée d’une robe en soie brodée, comme il seyait à une comtesse, Berthe paraissait plus âgée que ses 32 ans, le résultat de cinq grossesses et de la vie rude d’une femme du Moyen-ge
4.
L’évêque, portant une robe de soie et sa mitre, lui répondit d’un ton pompeux et assez fort pour être entendu de tous
5.
La raison de l’attroupement devint évidente aux Tarang quand quatre soldats locaux traînèrent de force un homme portant une robe brune en tissus grossier sur la plate-forme et lui mirent la tête et les mains dans une sorte de collier en bois massif tenu par une poutre
6.
Soit à cause de sa voix de femme, soit à cause de la mention de ventes possibles, le vieil homme, portant une barbe grise, une robe arabe et des sandales, sortit lentement de sa tente et s’approcha de Vyyn et Pham, tout en examinant avec circonspection les deux commandos se tenant derrière eux
7.
Abbas Ibn Firnas, vêtu d’une splendide robe en soie brodée qu’il avait achetée durant sa visite avec Vyyn Drelan au port chinois de Kouang Tchéou[9], ne pût s’empêcher d’admirer discrètement une jeune femme qui passait près de sa table pour se rendre à la plage proche
8.
Ne portant pour le moment qu’une simple robe rouge, il alla se poster à la proue pour regarder la ville de Narbonne au loin
9.
Le sang monta à la tête du Calife à la vue des quatre géants en armure qui encadraient une jeune femme blonde aux yeux en amande et un homme grisonnant portant une robe arabe et un turban
10.
Et elle avait la robe trempée à cause de la fuite du robinet
11.
animal a disparu, et seule la peau de Lion, nouvelle robe d'or des noces royales de l'âme avec
12.
un homme revêtu d'une robe scintillante, symbole de la Robe d'Or des Noces de l'Ame avec
13.
Passe-Partout répondit : “Ils le portent caché sous leur robe
14.
Elle restait entre les deux, levait sa jolie tête, allait de l'un à l'autre; et, dans sa robe de dentelle qui découvrait ses poignets et son cou délicats, elle avait un air ravi, à les voir si bien d'accord
15.
Elles causaient toilette, Mme de Boves racontait une robe de bal
16.
Moi, je ne peux pas souffrir de retrouver ma robe sur les épaules de toutes les femmes
17.
Tout de suite, Denise ôta la mince robe de laine, usée par la brosse, raccommodée aux manches, la seule qu'elle eût apportée de Valognes
18.
Puis, elle passa l'uniforme de son rayon, une robe de soie noire, qu'on avait retouchée pour elle, et qui l'attendait sur le lit
19.
Cette robe était encore un peu grande, trop large aux épaules
20.
— Ma chère, deux comme vous tiendraient dans votre robe
21.
C'était une dame couperosée, avec un chapeau jaune et une robe rouge
22.
Favier n'arrivait guère qu'à huit; et voilà que ce sabot lui enlevait les morceaux de la bouche, car il sortait de débiter une nouvelle robe
23.
Comme elle était contente de sa cuisinière, elle désirait lui donner une robe
24.
Elle voulait une robe pas chère, solide pourtant
25.
— Sans doute, il irait mieux si la robe de mademoiselle était moins large
26.
Puis, elle s'aperçut qu'elle était vêtue de soie; cet uniforme l'accablait, elle eut l'enfantillage, pour défaire sa malle, de vouloir remettre sa vieille robe de laine, restée au dossier d'une chaise
27.
Sa robe de soie n'était plus trop large, serrant sa taille ronde, moulant les lignes pures de ses épaules de vierge; et, si sa chevelure, nouée en grosses tresses, restait sauvage, elle tâchait du moins de se contenir
28.
Et elle s'était mise immédiatement à rétrécir la robe, elle avait passé une heure devant l'étroit miroir, le peigne dans ses cheveux, sans pouvoir les réduire, comme elle l'aurait voulu
29.
Il lui fallait sourire, faire la brave et la gracieuse, dans une robe de soie qui ne lui appartenait point; et elle agonisait de fatigue, mal nourrie, mal traitée, sous la continuelle menace d'un renvoi brutal
30.
C'était pour elle une misère noire, la misère en robe de soie
31.
Mais sa vieille robe de laine l'inquiétait surtout; elle n'en avait pas d'autre, elle était forcée de la remettre chaque soir, quand elle quittait la soie d'uniforme, ce qui l'usait terriblement; une tache lui donnait la fièvre, le moindre accroc devenait une catastrophe
32.
Des bijoux, une broche, une chaîne de montre, luisaient sur sa robe de drap gros bleu, pincée coquettement à la taille; et elle souriait sous sa toque de velours, ornée d'une grande plume grise
33.
Denise, dont les vingt-cinq francs d'appointements fixes étaient chaque mois dévorés par les enfants, n'avait pu que rafraîchir sa vieille robe de laine noire, en la garnissant de biais de popeline à petits carreaux; et elle s'était fait elle- même un chapeau, avec une forme de capote recouverte de soie et ornée d'un ruban bleu
34.
Au contraire, Pauline étalait une robe de soie printanière, à raies violettes et blanches, une toque appareillée, chargée de plumes, des bijoux au cou et aux mains, toute une richesse de commerçante cossue
35.
Mais il la regardait toujours, dans sa petite robe noire, coiffée de son chapeau garni d'un seul ruban bleu
36.
Et il répondit, après avoir regardé sa petite robe propre, sa tournure honnête:
37.
Dès les premiers jours, il vint un flot de clientes: Mme Marty, sous le prétexte de se montrer économe, acheta une robe dont elle n'avait pas besoin; Mme Bourdelais trouva l'étoffe belle, mais elle préféra attendre, flairant sans doute ce qui allait se passer
38.
Elle semblait toujours la même, vêtue d'une robe simple, le visage doux; mais, de cet effacement modeste, montait un parfum pénétrant dont il subissait la puissance
39.
— Tenez! Bourdoncle, écoutez les résultats… Premièrement, ce va-et-vient continuel de clientes les disperse un peu partout, les multiplie et leur fait perdre la tête; secondement, comme il faut qu'on les conduise d'un bout des magasins à l'autre, si elles désirent par exemple la doublure après avoir acheté la robe, ces voyages en tous sens triplent pour elle la grandeur de la maison; troisièmement, elles sont forcées de traverser des rayons où elles n'auraient pas mis les pieds, des tentations les y accrochent au passage, et elles succombent; quatrièmement…
40.
— Tiens ma robe, Valentine… Ah bien! je n'ai jamais vu ça
41.
Sans doute, aujourd'hui, elle se tenait mieux, l'air pincé et correct dans sa robe de soie
42.
Les petits étaient chargés de paquets: Madeleine avait sous le bras une robe pour elle, Edmond portait une collection de petits souliers, tandis que le plus jeune, Lucien, était coiffé d'un képi neuf
43.
Lui, la regardait en souriant, dans sa robe de soie toute simple, sans un bijou, n'ayant que le luxe de sa royale chevelure blonde
44.
Alors, elle sortit, et sa robe de soie noire, contre la porte, eut un frôlement de couleuvre, filant dans les broussailles
45.
Était-ce possible? cet enfant le torturait à ce point! Toujours il la revoyait arrivant au Bonheur, avec ses gros souliers, sa mince robe noire, son air sauvage
46.
Une enfant pareille, était-ce possible? Quand elle passait à présent, le vent léger de sa robe lui paraissait si fort, qu'il chancelait
47.
Elle, conciliante, souriait, faisait aligner ce petit monde sur des chaises; et, quand il y avait dans le tas une gamine rose, dont le joli museau la tentait, elle voulait la servir elle-même, apportait la robe, l'essayait sur les épaules potelées, avec des précautions tendres de grande soeur
48.
Ses souffrances du début la poignaient encore, une pitié lui remuait le coeur, à chaque nouvelle venue qu'elle rencontrait dans les rayons, les pieds meurtris, les yeux gros de larmes, traînant sa misère sous sa robe de soie, au milieu de la persécution aigrie des anciennes
49.
Au milieu, pour le décor et bien que la saison ne fût pas venue, se trouvait un étalage de costumes de première communion, la robe et le voile de mousseline blanche, les souliers de satin blanc, une floraison jaillissante légère, qui plantait là comme un bouquet énorme d'innocence et de ravissement candide
50.
Et, seule, Mme Aurélie restait là, immuable, dans la cuirasse ronde de sa robe de soie, avec son masque impérial, qui gardait l'empâtement jaunâtre d'un marbre antique
51.
Cependant, les deux hommes se retirèrent dans une pièce voisine, tandis que les vendeuses fouillaient la comtesse et lui ôtaient même sa robe, afin de visiter sa gorge et ses hanches
52.
À présent, elle pleurait des larmes de rage, tombée sur une chaise, suffoquant dans sa robe mal rattachée
53.
Elle achevait de rattacher sa robe, elle retrouvait toute son arrogance, maintenant qu'elle avait payé
54.
Dès que Mme Caroline fut descendue de voiture, elle la vit apparaître sur le seuil, énorme, la gorge et le ventre coulant dans une ancienne robe de soie bleue, limée aux plis, craquée aux coutures, les joues si bouffies et si rouges, que le nez petit, disparu, semblait cuire entre deux brasiers
55.
Rien qu'un peu de linge dans une malle, une robe de rechange, et elle partait
56.
La comtesse se promettait une robe vraiment neuve, rêvait de donner quatre dîners par mois, l'hiver, sans se mettre pour cela au pain et à l'eau pendant quinze jours
57.
Telle qu'elle la voyait depuis quatre années, Mme Caroline retrouva la princesse, vêtue de son éternelle robe noire, les cheveux cachés sous un fichu de dentelle, jolie encore à trente-neuf ans, avec son visage rond aux dents de perle, mais le teint jaune, la chair morte, comme après dix ans de cloître
58.
On vendit le vieux cheval, la cuisinière seule resta, fit son marché en tablier sale, deux sous de beurre et un litre de haricots secs, la comtesse fut aperçue sur le trottoir en robe crottée, avant aux pieds des bottines qui prenaient l'eau
59.
Au milieu du grouillement de la foule, sur les fonds gris et mouillés du boulevard, les couples en procession mettaient des taches violentes, la robe gros bleu de Gervaise, la robe écrue à fleurs imprimées de madame Fauconnier, le pantalon jaune-canari de Boche; une raideur de gens endimanchés donnait des drôleries de carnaval à la redingote luisante de Coupeau et à l'habit carré de M
60.
Et les sourires augmentaient encore, quand, tout au bout, pour clore le spectacle, madame Gaudron, la cardeuse, s'avançait dans sa robe d'un violet cru, avec son ventre de femme enceinte, qu'elle portait énorme, très en avant
61.
Madame Lorilleux, le coeur noyé à chaque goutte qui mouillait sa robe, proposa de se réfugier sous le Pont-Royal; d'ailleurs, si on ne la suivait pas, elle menaçait d'y descendre toute seule
62.
Pour sûr, sa robe de soie était tachée
63.
La robe écrue de madame Fauconnier était pleine de sauce
64.
Dès le samedi soir, madame Lorilleux apporta ses cadeaux de marraine: un bonnet de trente-cinq sous et une robe de baptême, plissée et garnie d'une petite dentelle, qu'elle avait eue pour six francs, parce qu'elle était défraîchie
65.
Mais Augustine, hargneuse, d'une méchanceté sournoise de monstre et de souffre-douleur, cracha par derrière sur sa robe, sans qu'on la vît, pour se venger
66.
C'était venu à propos d'un fer sale, trouvé sur la mécanique par madame Putois; celle-ci, ne se méfiant pas, avait noirci toute une camisole; et comme Clémence, pour se défendre de ne pas avoir nettoyé son fer, accusait Augustine, jurait ses grands dieux que le fer n'était pas à elle, malgré la plaque d'amidon brûlé restée dessous, l'apprentie lui avait craché sur la robe, sans se cacher, par devant, outrée d'une pareille injustice
67.
Virginie ajouta de nouveaux détails sur elle et son mari: il avait fait un petit héritage, d'une tante; il l'établirait sans doute plus tard; pour le moment, elle continuait à s'occuper de couture, elle bâclait une robe par-ci par-là
68.
Près d'elle, madame Putois, enveloppée de flanelle, matelassée jusqu'aux oreilles, repassait un jupon, qu'elle tournait autour de la planche à robe, dont le petit bout était posé sur le dossier d'une chaise; et, par terre, un drap jeté empêchait le jupon de se salir en frôlant le carreau
69.
Elle plia vivement sa robe de soie noire dans une serviette, qu'elle épingla
70.
Puis, sur leurs talons, Virginie entra, mise comme une dame, en robe de mousseline imprimée, avec une écharpe et un chapeau, bien qu'elle eût eu seulement la rue à traverser
71.
Enfin, parurent Boche avec un pot de pensées, madame Boche avec un pot de réséda, madame Lerat avec une citronnelle, un pot dont la terre avait sali sa robe de mérinos violet
72.
Une robe qui accrocha la rôtissoire, causa une émotion
73.
Elle tint de la main la porte de la boutique grande ouverte, tandis que madame Lorilleux, en robe de soie, s'arrêtait sur le seuil
74.
A Goujet tout noir, les deux femmes semblaient deux cocottes mouchetées, la couturière avec sa toilette de mousseline semée de bouquets roses, la blanchisseuse en robe de percale blanche à pois bleus, les poignets nus, une petite cravate de soie grise nouée au cou
75.
Mais les dames, qui dégrafaient leur robe, se plaignaient de la chaleur
76.
Oui, monsieur Lantier grimpait la rue Notre-Dame de Lorette; la femme était blonde, un de ces chameaux du boulevard à moitié crevés, le derrière nu sous leur robe de soie
77.
Mais Clémence eût beau ajouter des commentaires dégoûtants, Gervaise continuait à repasser tranquillement une robe blanche
78.
Elle avait sa robe de soie
79.
Dans son trouble, comme pour montrer qu'elle resterait là, elle se déshabillait, jetait sa robe de soie sur une chaise, se mettait violemment en chemise et en jupon, toute blanche, le cou et les bras nus
80.
Madame Goujet causait gravement, en robe noire comme toujours, sa face blanche encadrée dans sa coiffe monacale
81.
Madame Lorilleux geignait: elle n'avait pas de robe noire, elle aurait pourtant voulu éviter d'en acheter une, car ils étaient bien gênés, bien gênés; et elle questionna Gervaise, demandant si maman Coupeau ne laissait pas une jupe noire, cette jupe qu'on lui avait donnée pour sa fête
82.
De courts silences se faisaient, coupés de chuchotements rapides, une attente agacée et fiévreuse, avec des courses brusques de robe, madame Lorilleux qui avait oublié son mouchoir, ou bien madame Lerat qui cherchait un paroissien à emprunter
83.
Nana dansait de joie en pensant à la robe blanche
84.
Les Lorilleux, comme parrain et marraine, avaient promis la robe, un cadeau dont ils parlaient dans toute la maison; madame Lerat devait donner le voile et le bonnet, Virginie la bourse, Lantier le paroissien; de façon que les Coupeau attendaient la cérémonie sans trop s'inquiéter
85.
Il assista à la toilette de la petite, attendri par la robe blanche, trouvant qu'un rien du tout donnait à cette vermine un air de vraie demoiselle
86.
Et il fallait voir le chic de Nana, qui avait des sourires embarrassés de mariée, dans sa robe trop courte
87.
Madame Lorilleux s'occupait surtout de la robe, son cadeau à elle, foudroyant Nana et l'appelant « grande sale », chaque fois que l'enfant ramassait la poussière avec sa jupe, en s'approchant trop des magasins
88.
Nana, qui se déshabillait, demanda à sa mère si la robe de la demoiselle du second, qu'on avait mariée lé mois dernier, était en mousseline comme la sienne
89.
Elle avait lavé un bonnet, et s'escrimait, depuis le matin, sur les trous d'une vieille robe, voulant être présentable
90.
Avec une robe de percale de six francs, elle passait tous ses dimanches, elle emplissait le quartier de la Goutte-d'Or de sa beauté blonde
91.
Une robe surtout lui alla à la perfection
92.
C'était une robe blanche à pois roses, très simple, sans garniture aucune
93.
Mais, elle, tranquille, se collait des accroche-coeur sur le front avec de l'eau sucrée, recousait les boutons de ses bottines ou faisait un point à sa robe, les jambes nues, la chemise glissée des épaules, dans le désordre de ses cheveux ébouriffés
94.
Nana prenait le milieu, avec sa robe rose, qui s'allumait dans le soleil
95.
Elle donnait le bras à Pauline, dont la robe, des fleurs jaunes sur un fond blanc, flambait aussi, piquée de petites flammes
96.
Le matin, pendant que la mère regardait l'heure au coucou, la petite partait toute seule, l'air gentil, serrée aux épaules par sa vieille robe noire trop étroite et trop courte; et madame Lerat était chargée de constater l'heure de son arrivée, qu'elle disait ensuite à Gervaise
97.
— Oui, je descendais la rue des Martyrs, je regardais une petite qui se tortillait au bras d'un vieux, devant moi, et je me disais: Voilà un troufignon que je connais… Alors, j'ai redoublé le pas, je me suis trouvé nez à nez avec ma sacrée Nana… Allez, vous n'avez pas à la plaindre, elle est bien heureuse, une jolie robe de laine sur le dos, une croix d'or au cou, et l'air drôlichon avec ça!
98.
Nom de Dieu! oui, c'était Nana! Et dans une jolie toilette encore! Elle n'avait plus sur le derrière qu'une vieille robe de soie, toute poissée d'avoir essuyé les tables des caboulots, et dont les volants arrachés dégobillaient de partout
99.
Elle s'était rafistolé une petite robe modeste, elle portait un bonnet dont elle nouait les brides sous son chignon
100.
Ça ne pouvait pas durer; le douzième jour, la garce fila, emportant pour tout bagage sa robe modeste à son derrière et son bonnichon sur l'oreille