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    Utiliser "tant" dans une phrase

    tant exemples de phrases

    tant


    1. Car depuis 18 ans, déçu par tant de médiocrité,


    2. Auprès d’une femme tant désirée, que je voudrais oublier,


    3. Un parmi tant d'autres de tes nombreux amis


    4. et espérant que nous pourrons à nouveau tisser des liens fraternels et sincères, j'attends avec impatience ce moment tant désiré


    5. « Et c’est à nous qui avons déjà subi tant de choses qu’il fallait qu’il arrive cette autre disgrâce !? » continua-t-elle en pleurant de toutes ses larmes


    6. Où a fini cette amitié qui nous a permis de nous réunir dans les villes ? où est cet amour, si sacré il y a deux-mille ans, et tant de profanes aujourd’hui, qui nous donnaient aussi un intérêt à la survie ? Les grosses usines se découpent à l’horizon et les cheminées noires vomissent des poisons dans l’atmosphère


    7. Je marche à grande allure, je me sens presque un inséré, comme tant d’autre, dans ce monde du travail qui anoblit l’homme


    8. Que c’est beau de se réveiller avec confort sans écouter l’odieuse sonnerie du réveil qui, implacablement à 7h30 chaque matin, effare ce muscle, qui depuis le temps, s’est conformé à ce tambour, perdant cette forme artistique naturelle qui servit tant de fois de cible aux flèches chaudes de Cupidon


    9. Et, le moment tant attendu du départ


    10. Combien de boissons je sirotai aux Etats-Unis ! Ou tout du moins, combien de boites de boisson ! En fait, là-bas, à cause du fort pourcentage de névrotiques et de poivrots, ils ont presque abhorré ces contenants si connus : les bouteilles ! Tant de beaux souvenirs ! Je me souviens même que, en cette année où j’ai traversé l’océan, les hommes de couleur étaient à la mode, et chez les jeunes, il était à la mode de leur ressembler

    11. Quel goût délicieux pour l’habillement ! Et quel stupidité de Rodolphe Valentino quand, s’illusionnant d’être un playboy, il s’habillait en queue-de-pie ! Qui est le plus considéré par les femmes ? Qui habille de deux couleurs seulement, ou qui utilise toutes celles de l’iris ? Et New York, quel ville cosmopolite ! Tant de braves portoricains par exemple ! Imaginez, ils sont féministes et tellement adroits qu’ils réussissent même à trouver un travail à leur femme ; quel service social utile rendent, à la ville, toutes ces « ménagères » diligentes, et si ensuite, quelque usufruitier s’infecte d’une des maladies de l’ancienne déesse grecque, quelle importance ça a ! Sert à le transmettre, le nouveau Papa Noël, même de qui a fait de la morale, son modus vivendi


    12. Tant de gens dans les rues ! Quels beaux couples d’amoureux s’y rencontrent ! Affectueux et visiblement fou d’amour l’un pour l’autre, mais pressés car chaque minute est bonne pour produire la cinquantième grossesse


    13. Une autre caractéristique de ce lieu est le surprenant embonpoint de ses habitants : en effet, plus gras on est et mieux on peut se défendre, en se remplissant les vêtements comme ils le font, de tant de couteaux et d’épées qui leur permettent de rivaliser dans un espèce de tournoi : gagne celui qui réussit à tâcher de sang le plus grand nombre de lames


    14. Mais oui, Monsieur Dracula ! Peur de tant de jeunes femmes, ennemi juré de tous les anémiques ; et cela devient ainsi, malheureusement, en se servant chez des bouchers, richissimes magnats, qui trouvent plus avantageux pour leur business d’acheter des viandes chimiquement gonflées


    15. A quoi servent tous ces longues-vues sophistiquées et ces observatoires astronomiques modernes ? Pourquoi approfondir les secrets du firmament et ne pas se limiter à en apprécier la beauté et la perfection ? Et les avions, intrusifs oiseaux mécaniques, pourquoi interfèrent-ils avec la lumière étincelante des astres, flatteuse pour tant d’amoureux ? Comme j’admirais Icare, combattant de l’incrédule monotonie bourgeoise, qui, avec les seuls moyens naturels à sa disposition, vainquit la tyrannique force de gravité


    16. si seulement il avait voulu s’approcher des étoiles au lieu du soleil ! Comme je ressentais, dans ces moments de méditation, le manque d’une douce compagnie : oh faible lumière d’espoir dans tant de désolation, proche libératrice de chaque bien et d’amour, source incomparable de jeunesse spirituelle, pourquoi le destin, mon ennemi perfide, t’occlut à mon cœur ? Cette nuit-là, je regardais vers le haut, tellement si haut, et je pleurais : « prenez-moi étoiles » criais-je, « accueillez-moi dans vos majestueux bras, purifiez-moi de ces excréments qui m’étouffent »


    17. je pleurai tant jusque trois heure du matin ! Et chaque larme me semblait être une goutte du petit lac, accueillant et capable de résoudre toute controverse


    18. Tant d’errance de mon imagination jusque trois heure du matin ! « Hercule, Samson, Maciste, donnez-moi votre force et j’éradiquerai l’injustice ! Don Quichotte, Roland, donnez-moi votre courage et j’affronterai les situations les plus hypocrites ! Ulysse, audacieux et astucieux aventurier, donne-moi ta sagacité et je dénicherai l’amour par-dessous les ordures »


    19. Prés herbeux et arbres séculaires écoutaient, silencieux, mes demandes suppliantes : ils avaient vaincus tant d’automne et jouis de tant de printemps ! tant de chlorophylle produite par leur laboratoire ! Et quelle grande fonction d’embellissement et d’oxygénation du milieu ont-ils, et si peu de considération et respect reçoivent-ils ! Mais ils continuent, ils ne tombent pas, ils ne se rendent pas, mais continuent, protégés par tant d’infatigables lumières stellaires, notre toit éternel à nous tous


    20. Aube annonciateur d’espoir du jour luisant, à tant de petits et humbles travailleurs ! un deux, un deux, quelques petits exercices pour activer la circulation et je suis prêt à continuer mon voyage

    21. Je regrette de laisser tant de fourmis qui, en file indienne, sortent de leur tanière à la recherche, presque toujours fructueuse, de quelque chose pour se nourrir ; cela m’attriste de ne plus goûter à l’occupation laborieuse des abeilles, toujours prêtes à adoucir nos petits déjeuners


    22. Et les médecins aguerris pouvaient peut-être trouver des rivaux chez les carnavalesques sorciers ? De grands rodéos à cette époque : des chevaux sauvages que tant de Buffalo Bill domptaient en quelques petites minutes, des milliers de têtes de bétail qui, soustraite aux peaux-rouges punis, étaient vendues au plus offrant


    23. Eh oui l’Ouest ! Fascinante aventure, Eldorado de tant de hors-la-loi, terre promise des mormons barbus ! Mais qu’est-ce-que cela a à voir avec l’Afrique dans laquelle je me trouve ? Ah si ! je pensais que, pendant qu’à l’Ouest il arrivait tout ça, dans les autres Etats américains du Sud, les grands propriétaires terriens faisaient affluer de terres lointaines beaucoup d’animaux


    24. On arrive plus, c’est clair, à séparer les pantins, comme cela se faisait avant, mais on contraint ceux-ci, tant que cela est possible, à l’obéissance, à la révérence, à l’humiliation


    25. Qu’importe-il à ces hommes s’il pleut ou s’il fait beau temps ? Que leur importe si dans les villes arrivent tant d’injustices ? Quel intérêt pour eux, le manque d’une compagne, peut-être aussi laide qu’eux ? Quel problème de nutrition peuvent-ils avoir, étant donné qu’ils se nourrissent d’une baie par jour ? Le fascinant Tibet où les hommes et les femmes sont aisément reconnaissables par le manque ou non de chevelure ! Et une pensée en appelle une autre, dans mon esprit si peu occupé dans le non moins certain panorama du Sahara : l’ère des magnifiques Beatles ! Quelle vitalité et enthousiasme transmirent-ils aux jeunes avec leur musique, si douce et déchainée à la fois


    26. Il fait nuit, et ma misérable tente est vraiment ridicule par rapport à leurs robustes colosses recouvertes de laine de mouton ; Elles réussiraient à supporter toute autre qu’une tempête de vent ! Huit heures du matin : j’ai déjà perdu de vue le village, et même si je le voulais, je ne saurais plus le retrouver, infime point dans tant d’uniformité sablonneuse


    27. Je suis perturbé par tant d’écologie d’un tintement soudain et lointain ; il faut juste aller voir ce que c’est, il y a peut-être quelqu’un à défendre ! J’abandonne ainsi la direction que je m’étais fixée pour aller à l’encontre de ce son étrange


    28. Deux heures sont déjà passées et je suis vraiment fatigué mais gai : qu’est-ce que l’on a pu jouer aux gendarmes et aux voleurs, moi et le sympathique serpent à sonnettes rapide ! Mais il ne faut pas être abattu par la fatigue : et puis, je suis ou je ne suis pas un sportif ? Je me souviens, il y a quelque temps, que je m’entrainais au jogging parcourant, intrépide, les rues citadines : quels plaisantins ces automobilistes, quand ils s’amusaient à me prendre pour cible et à s’arrêter à quelques centimètres de mon corps suant ! Mais ils avaient confiance en moi : ils descendaient des voitures et s’exclamaient en riant : « Vas-y t’es tout seul ! » Et je continuais enorgueilli de tant d’incitations


    29. Chaque mère ne sert-elle pas élever complètement ses gamins ? Et puis, l’enfant, qu’elle tenait dans son giron, incestueux produit de nombreux d’enseignements, ne pouvait-il jamais avoir un père qui violât les trous des ovins ? Moi, habitué comme je l’étais à tant d’étrangetés de ce peuple phallique, je ne m’étonnai pas du tout et voire même je m’en amusais, ne serait-ce qu’à penser à comment se seraient scandalisés mes concitoyens si puritains, si seulement ils eussent su


    30. Oui c’est vrai, il y a les syndicalistes qui rendent un énorme service social : ils sont bons pour faire augmenter les salaires, mais de combien augmentent les taxes en parallèle ? Et puis, à qui convient à la fin des fins ces grèves, instruments d’inflation, cause justifiant les prêts internationaux, motif de disparition des crédits et des investissements ? Je lus, une fois, quelque chose sur la société scientifique parfaite théorisée par Engels et exposée par Marx, chef de file de tant de révolutions plus ou moins idéologiques : je fus frappé par la description d’un village imaginaire du nom d’Utopie, régit par le roi Utope ! Comme on peut l’imaginer, tout était parfait et logique pour les habitants de ce petit royaume, sans doute dignes de sanctification

    31. Je lus aussi, impartial comme je suis, quelque chose sur le fanatisme réactionnaire, très en vogue il y a une quarantaine d’années ; mince, comme l’enthousiasme du peuple devait se payer cher ! Tant de dépenses militaires, pauvres écoles et hôpitaux ! Quelle bête spectaculaire le chameau ! Il réussit à supporter l’effort dans ce désert incandescent sans afficher le moindre signe de fatigue


    32. Tant de châteaux construits, tant de chefs-d’œuvre, toujours détruits au moment de leur pleine splendeur


    33. Tant de lunettes de soleil qui cachaient le visage de ceux qui, en oubliant leur quotidien, se concédaient un repos stimulant


    34. Il y avait aussi ceux qui mettent leurs lunettes de soleil en professionnel ; au fait, le rameau d’or 1981 n’a pas encore été attribué ! Tant de prix vomis par notre société : il y a le prix Pulitzer pour le meilleur journaliste, le célèbre Oscar du cinéma, le non moins célèbre Nobel et l’humble rameau d’or, symbole d’acuité du regard, symbole de perfection mimétique, symbole de jouissance solitaire aux jouissances d’autrui


    35. Je la soulevais avec amour et l’asseyais sur mon blanc destrier ; et une fois monté moi aussi, je poussais mon fidèle compagnon au galop vers tant d’aventures


    36. Tant d’insolations prises au cours de mes longues promenades : à chaque fois, la tête me tournait et une chaleur envahissante s’emparait de chacune de mes cellules


    37. Entre-temps le garçon, de plus en plus scandalisé et déconcerté par tant de sang-froid, continue de regarder


    38. Les femmes, bien que peureuses et tremblantes, leur demandent le motif de tant de disputes : de furieux hurlements portent le motif de la controverse aux oreilles des deux femmes désormais curieuses


    39. Souvenirs, souvenirs, tant de souvenirs


    40. Tourmenté par tant de pensées, mais conscience reprise, je reste indécis sur quoi faire

    41. Je m’allonge sur le tapis pour regarder avec plus d’attention ces chef-d’œuvres : y sont représentées les sirènes qui avec leur chant capturèrent tant de matelots ; il y a Neptune avec son trident ; puis un dauphin, un requin, une baleine, un hippocampe et tant d’autres sympathiques amis de la mer


    42. Tant de sensations éprouvées dans ce moment : des plus variées aux plus étranges ; j’éprouve même un peu de peur en étant sincère


    43. La pensée de tant de dons me rend euphorique et une jouissance totale et intense me parcourt


    44. Extasié devant tant de beauté, je m’approche de la blonde, fixe ses grands yeux verts, rapproche mon visage du sien et je jouis en lui effleurant les lèvres, en mettant ses cheveux sur mon visage, en humant l’odeur saumâtre et fraiche de sa peau ; je la prends par la main en la séparant de son amie et lui murmure : « je suis content de t’avoir trouvée, ta délicatesse sera un plaisir raffiné pour moi, et l’amour que tu sauras me donner me rendra heureux »


    45. Je découvre dans un angle le coffre-fort et avec la hampe de métal que j’avais gardé avec moi, je profane ce trésor qui avait couté la vie à tant d’humain


    46. Mais maintenant viens dans mes bras et embrasse-moi ; j’ai envie de te donner mon corps, juste récompense pour tant de fatigue »


    47. Je veux essayer de toucher ces petits animaux tant écartés par l’homme à cause de leur liquide urticant ; je suis curieux de savoir quelle sera ma réaction épidermique à un tel contact


    48. Avançant dans le couloir, une exquise représentation d’un rapport charnel attire mon attention ; ici la succession des scènes est directement proportionnelle à la fréquence normale que chaque couple a d’accomplir l’acte d’amour tout au long du cours de sa vie ; un petit soleil naissant sert de base à ces scènes qui se succèdent frénétiquement à un premier stade, et qui se dissipent au fur et à mesure que l’on remonte ; un soleil derrière une colline fait se coucher tant de vitalité et constitue l’extrême limite de la fresque


    49. « Pour moi » - me répond-t-il impassible – « la conception du bien du mal, qui fait tant souffrir les habitants de ce monde, n’existe pas, c’est un petit grain dans l’univers


    50. Et, le loup qui saisit l’agneau pour survivre est-il un assassin ou le requin qui dévorent les poissons pour satisfaire ses exigences ? Est-ce un voleur le pigeon qui vole des insectes à ses semblables ? Est-ce que le cheval qui s’accouple toujours avec des juments différentes pour donner naissance à tant de poulains commet un adultère ? Est-ce immorale, le singe qui expose sa nudité, sans la moindre préoccupation de la cacher avec des coutumes et des vêtements inutiles ? Et dans leurs propres sociétés, les hommes ne s’embrouillent-ils pas pour gagner le plus d’argent possible ? C’est peut-être un mal, ça ? Non, tout cela est une lutte pour la survie, où les faibles périssent parce qu’ils doivent périr et les forts gagnent parce qu’ils doivent gagner »














































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    tant in English

    so much

    Synonymes pour "tant"

    si si tant est que tant et plus tant que