1.
Ils transportent les armes, pilonnent puis lâchent les bombes pendant la nuit
2.
Quand on aurait dû éclater comme des bombes, on ne pouvait pas se laisser embêter par des fraises et du gâteau
3.
Il en est ainsi, d'ailleurs, dans les bombes et les obus cylindro-coniques, dont le culot est toujours plus épais
4.
Il y avait là de graves dangers encore accrus par l'insouciance et la légèreté des Américains, qui ne se gênaient pas, pendant la guerre fédérale, pour charger leurs bombes le cigare à la bouche
5.
Si elle allait s'écrouler! D'autres éclairs se bifurquent ou prennent la forme de globes de feu qui éclatent comme des bombes
6.
Le cheval vert se mit à jeter du feu, des bombes et des boulets de canon, qui ne surprirent pas médiocrement le monstre; il reçut vingt coups de ces boulets dans la gorge, qui entamèrent un peu les écailles, et les bombes lui crevèrent un oeil
7.
Les habitants finirent par s’habituer aux bombes qui tombaient sur leurs maisons
8.
Ces ineptes soulauds ne cessent de fabriquer des bombes et rendent la planète inhabitable
9.
Les six bombes qui devaient donner le signal furent tirées vers onze heures, et les quatre cents hommes que commandait Guillaume de Deux-Ponts se mirent en marche dans le plus profond silence
10.
Sous les balles, les bombes ou les fléaux des Blancs
11.
Jusqu’à présent, l’arsenal n’a pas encore été pillé, or, il y a là, entre autres munitions, des bombes et des torpilles
12.
Bientôt des soldats apportaient des bombes et des torpilles que le commandant Tavernier plaça dans la carlingue
13.
Il laissa à ses compagnons les bombes qui restaient, car il ne pouvait s’en charger
14.
Le Parisien s’était vivement dirigé vers le parc, où l’on avait déposé les bombes que l’avion n’avait pu emporter
15.
Il n’a plus de bombes à bord
16.
Dommage que je n’aie pas une collection de bombes à ma disposition, car je démolirais tous ces cocos-là
17.
Il appela tous ceux qui se trouvaient là, et bientôt il y avait une vingtaine de bombes dans la carlingue de l’avion
18.
– Laissez-nous quelques bombes, dit le Parisien
19.
Dommage que nous n’ayons pas de bombes ni de torpilles à bord
20.
– Si nous avions des bombes, murmura Tavernier, nous leur servirions un bel arrosage, et il ne resterait pas une hutte debout
21.
Les bombes à essence
22.
voyez toutes ces pierres, tous ces quartiers de roc, est-ce que vous croyez qu’à défaut de bombes tout cela ne peut pas servir de projectiles ?
23.
Et qu'un soir la rougeur des bombes étoila
24.
C’étaient des bombes confectionnées avec une courte section de tuyaux de plomb, rangées sur plusieurs couches dans de la sciure de bois
25.
L’éblouissement des feux d’artifice, le flamboiement du bouquet, le fracas des bombes, à la sérénité d’une belle nuit pleine d’étoiles, d’ombre et de silence
26.
Les balles tombaient comme tombe la pluie ; le bruit des obus, des boulets et des bombes était étourdissant ! Nos chefs avaient pourtant le regard assuré ; nos soldats n’attendaient que des ordres
27.
Mme d’Embrun supportait tout ; mais le vieux colonel lançait des bombes dans le camp ennemi, afin d’assouvir sa fureur et d’essayer de corriger une cousine incorrigible
28.
Dommage que nous n’ayons pas à bord quelques bombes explosives
29.
– Les bombes explosives sont des engins dont on ne devrait jamais se servir
30.
Les chances étaient égales, mais employer les bombes explosives contre des nègres qui n’ont pour se défendre que des arcs et des javelots, ce n’est pas généreux
31.
, et après quelques tâtonnements on lança un boulet de 24 à la distance de 175 mètres, une bombe de 0m,22 remplie de terre à 145 mètres, et des bombes de 0m,27 et 0m,32 remplies de terre à 120 mètres, (Voy le rapport adressé au ministre de la guerre par le capitaine Favé, t
32.
Tous ces gaillards-là avaient des bombes dans leur poche, ce sont de vrais anarchistes
33.
« – Oh ! vous allez fort, Clarence, lui dis-je ; je les ai examinés attentivement de la tête aux pieds, et ils n’avaient pas plus de bombes qu’un lapin
34.
« Si je savais seulement où sont les bombes extinctrices
35.
Comme beaucoup d’habitations, la villa était pourvue de ces bombes de verre qui, en se cassant, dégagent des gaz impropres à la combustion ; mais pour comble de précaution, à proximité du laboratoire, il existait un gazomètre rempli de gaz alcalin, en volume assez considérable pour éteindre le plus violent incendie
36.
Le président de la République ou le roi d’Espagne ne sont ni plus heureux ni plus fiers, au cours d’une visite officielle chez une nation amie, et Robert Darvel avait moins que ces potentats le souci des bombes anarchistes ; il avait même laissé insoucieusement son arc, ses flèches et son bâton sur le banc de gazon où il s’était assis
37.
Ceux qui, ni guerriers ni courtisans, vont à la guerre et suivent la cour, qui ne font pas un siège, mais qui y assistent, ont bientôt épuisé leur curiosité sur une place de guerre, quelque surprenante qu'elle soit, sur la tranchée, sur l'effet des bombes et du canon, sur les coups de main, comme sur l'ordre et le succès d'une attaque qu'ils entrevoient
38.
Et, sous mes reins, je sentais les bombes rangées autour du cône de déchargement, et qui ne constituaient pas précisément un confortable coussin
39.
Demain, sept cents obus volants vont aller déverser chacun leurs bombes asphyxiantes sur Nour
40.
De loin en loin, de larges coupoles de métal les bossuaient ; elles venaient d’être mises en place pour abriter des bombes aériennes les miroirs paraboliques chargés de capter chaleur et lumière solaire et de les envoyer aux condensateurs
41.
Ils ne savaient pas que les bombes qu’ils étaient chargés de jeter sur Nour devaient exploser d’elles-mêmes, à la volonté de Rair, qui, lorsqu’il jugerait le moment venu, enverrait une décharge électrique qui provoquerait la déflagration des explosifs
42.
Lorsqu’elle serait au-dessus de Nour, il provoquerait l’explosion des bombes qu’elle emportait
43.
Ses bombes radiantes n’avaient pu servir – comme je l’avais toujours pensé – car elles étaient aussi nuisibles à ceux qui les lançaient qu’à ceux contre qui elles étaient lancées
44.
Les surveillants, réveillés en sursaut par le fracas des portes effondrées, accoururent, munis de bombes fracassantes qu’ils lancèrent dans les rangs serrés des hommes-singes
45.
Je m’étais jeté à plat ventre sur le sol pour n’être pas atteint par les bombes
46.
Le carnage des Illiens les avait rendus comme fous ! Les bombes enlevées aux surveillants furent entassées dans le trou
47.
Nous n’avions ni bombes, ni explosifs quelconques à notre disposition, et je me demandais comment je me tirerais de là
48.
Nous fûmes criblés de bombes magnétiques, de projectiles de toutes sortes, de grenades asphyxiantes
49.
Les hommes-singes, affolés, épouvantés, jetèrent au hasard leurs bombes fracassantes, se massacrant les uns les autres
50.
Mes enchères tombaient, avec fracas, dans la salle, comme des bombes
51.
Jean des Bombes, Jacques Cercleux et moi, nous étions allés, l’année dernière, chasser dans les marais de Tourenay
52.
Par-dessus les embarcations, les bombes sifflent, battant sans désemparer les murailles d’Oneille qui s’effondrent ; les maisons flambent
53.
On était vers la mi-juillet, et durant un mois entier les batteries anglaises ne cessèrent de faire pleuvoir sur la haute-ville boulets et bombes
54.
Presque tous les grands édifices, à commencer par la cathédrale, furent détruits : les boulets trouaient les toits et défonçaient les murs, les bombes allumaient l’incendie
55.
Il fut décidé qu’on reprendrait le bombardement de la ville pour occuper l’attention des Français de ce côté, qu’en même temps les canons de la flotte et ceux de l’Ange-Gardien feraient pleuvoir sur les retranchements français une grêle de boulets et de bombes, et que Hardy, qui commandait sur la rive gauche de Montmorency, prendrait en flanc l’armée du Chevalier de Lévis et tenterait de la séparer de l’armée du centre
56.
Mais il fut bientôt démontré que l’honorable réunion se trouvait suffisamment édifiée quant à la question des bombes et à l’art de s’en servir
57.
Car depuis l’effroyable bombardement du mois de juillet alors que toute la ville, haute et basse, avait été détruite presque en entier, on ne pouvait supposer que les Anglais recommenceraient de jeter leurs boulets et leurs bombes sur la capitale
58.
Des bombes éclataient avec un fracas terrible, faisant trembler terre et ciel, et les deux grenadiers entendaient pleuvoir au-dessus de leurs têtes des débris de toutes sortes
59.
Nous avons une quinzaine d’aéroplanes en disponibilité, j’envoie les aviateurs surveiller la ville, avec des bombes
60.
Du toit des maisons les bombes se mirent à pleuvoir, qui éclataient au contact des pavés en envoyait dans l’air des débris humains
61.
Quelques aéroplanes lancèrent des bombes sur le camp républicain
62.
Il paraît qu’un soir de réveillon, il y a deux ans, ils ont fait dans son atelier une de ces bombes !
63.
C’étaient des artilleurs qui chargeaient leurs pièces ; des hommes qui disposaient des armes en faisceaux, des fusils, des tremblons, des pistolets, des piques, des haches, des sabres, des grappins d’abordage ; d’autres qui dressaient le porc-épic du bastingage ; ceux-ci faisant déjà rougir des boulets à des forges portatives ; ceux-là entassant des bombes derrière les obusiers, et les mousses, allant d’un canonnier à l’autre, distribuant des gargousses ou apportant des seaux d’eau pour refroidir les canons
64.
Le cheval vert se mit à jeter du feu, des bombes et des boulets de canon, qui ne surprirent pas médiocrement le monstre ; il reçut vingt coups de ces boulets dans la gorge, qui entamèrent un peu les écailles, et les bombes lui crevèrent un œil
65.
Tout à coup, à un mouvement qu’elle fit, le sac, qui était mal attaché, se délia et les tubercules tombèrent comme des bombes sur la tête des voleurs qui, surpris et effrayés, se sauvèrent à toutes jambes
66.
Il se décida tout à coup à faire une de ces « bombes » dont on parlerait longtemps « là-bas »
67.
En entendant venir les bombes, je n’eus que le temps de me jeter par terre
68.
Tous les phénomènes qui m’avaient été racontés, ceux même dont j’avais été le témoin dans la nuit du 30 au 31 janvier sous les bombes, ne parvenaient pas à me convaincre
69.
Et ensuite, quoi, nous sommes gardés ! Les bombes ne vous dégringolent pas comme ça sur la tête
70.
Je ne leur cède pas en frivolité non plus, car nous faisons des « parties de chasse aux femmes », des « bombes », et des étourderies assez lamentables ; pourtant – je ne sais pas comment vous expliquer – on dirait qu’à certaines heures je ne suis pas le même homme
71.
Ensuite, j’ordonnerai le désamorçage de toutes les bombes
72.
Depuis ce jour le bombardement recommença plus terrible qu’auparavant ; les obus, les bombes, les boulets rouges, tout pleuvait ensemble ; le feu prenait à quatre et cinq endroits à la fois ; à peine avait-on éteint d’un côté, qu’il fallait courir de l’autre
73.
Toutes les nuits, vers neuf heures, quand le feu des Prussiens et des Autrichiens commençait, et que les bombes, après avoir trembloté parmi les étoiles roulaient sur le pavé des rues, ou descendaient dans les vieilles maisons par le toit, en enfonçant les plafonds l’un sur l’autre jusqu’à la cave, et puis éclataient dans les magasins de suif, d’eau-de-vie, de résine, dans les boutiques de chandeliers, d’épiciers, de droguistes, etc
74.
Il ne se doutait pas du bombardement, lui, ni du danger, ni de la famine ; les étincelles et la cendre qui remplissaient l’air ne lui faisaient rien, ni le bruit des bombes qui sautaient, ni le grand tumulte ; il dormait à la grâce de Dieu, ses petites mains fermées et l’air pensif
75.
Elles finirent par se poster dans un endroit couvert d’arbres, en face des îles ; leurs boulets prenaient nos batteries de revers, et comme les bombes et les obus de nos redoutes n’allaient pas jusque-là, chacun comprit aussitôt que, si cela continuait seulement vingt-quatre heures, il faudrait abandonner les îles
76.
Et c’est là qu’on pouvait reconnaître l’épouvante qu’inspiraient les chouans : tous les bourgeois nous aidaient ; les femmes, les vieux, les jeunes, sans distinction, tous poussaient aux roues des fourgons, des caissons et des pièces, apportant les bombes par leurs oreillons, deux à deux, et formant la chaîne pour se passer les boulets ; chacun s’employait selon ses forces, et les ménagères nous apportaient même la soupe pour nous réchauffer, car il faisait très froid : la plaine était blanche de neige et la rivière charriait des glaçons
77.
Il le jouait d’ailleurs, quoiqu’il ne fût pas homme du monde, avec beaucoup de réserve et de savoir-vivre naturel ; mais ses paroles les plus contenues n’en détonaient pas moins comme des bombes dans ce milieu sévèrement orthodoxe
78.
Toute cette foule se pressait, bourdonnait, fourmillait et mêlait ses cris au son sinistre des bombes lancées par les bouches à feu françaises des hauteurs de Pratzen
79.
Enfin, Montcalm, ce dernier chevalier de l’ancienne France, tomba avec la fleur de ses officiers et une partie de son armée sur les plaines d’Abraham ; et Québec, abandonné de son gouverneur, presque sans garnison, encombré de ruines et vide de provisions, avec une population sans toit, qui, à la suite des bombes des Anglais, voyait arriver les rigueurs de l’hiver, n’attendant plus aucun secours avant le printemps, Québec ouvrit ses portes au vainqueur
80.
Il semblait, au contraire, suivre avec le plus vif intérêt l’ellipse tracée dans l’air par les bombes que les mortiers de la Pointe-Lévi lançaient sur la ville
81.
C’étaient des bombes lancées par les assiégeants et qui venaient faire explosion dans les environs de l’intendance
82.
L’artillerie anglaise tirait de Lévis, et l’on entendait le bruit des bombes et des obus qui éclataient avec fracas dans les rues désertes
83.
Tous provenaient de la voûte percée à jour par les bombes et les obus dont le violent passage avait laissé en de certaines places la charpente de la toiture à nu comme les vertèbres d’un squelette, tandis qu’ailleurs, où tout avait cédé sous le poids des projectiles, on apercevait librement, à travers les déchirures du toit, quelques coins du ciel et surtout une grande gerbe de lumière blanche provenant de la lune et descendant jusqu’au parquet(1)
84.
L’éclair était continuel, et continuels les hurlements des obus et des bombes, dont la fusée traçait dans l’air une ellipse lumineuse, tandis que sur les flots noirs du fleuve qui sépare Lévi de Québec, se voyait aussi, comme un mouvant sillon de feu, la réflexion de cette même traînée de flamme
85.
Mon père, lui, très impressionné par l’histoire de l’assassin Verger et des bombes Orsini, n’était pas loin de se figurer l’abbé, travaillant à de sombres attentats, et combinant des machines infernales, au milieu de poudres et de fulminates
86.
Enfin, écœuré par la mollesse de ses frères, furieux des retards qu’on opposait à ses rêves et désespérant de la patrie, il était entré comme chimiste dans le complot des bombes incendiaires ; et on l’avait surpris portant de la poudre qu’il allait essayer à Montmartre, tentative suprême pour établir la République
87.
– Mille bombes ! il paraît qu’il a peur de se casser le cou, car il ne se dépêche pas trop de descendre
88.
Sacré milles bombes !
89.
Mille bombes ! une heure plus tard, il n’était plus temps et la petite était
90.
– Se pourrait-il, mille bombes !
91.
« Ah ! mille bombes ! lui dit notre hussard, ne recommencez plus vos évanouissements, car je finirais par en perdre la tête
92.
Allons, mille bombes ! il faut réparer le temps perdu
93.
Nous en sommes infestés, ce n’est pas agréable de loger des gens qui se promènent avec des bombes et risquent de faire sauter toute la maison
94.
Comprenez-moi donc, mille millions de bombes et de boulets !
95.
Dans une embrasure, un homme sort de sa poche des bombes qui ressemblent aux pommes de terre d’Orsini
96.
Toute la race de ceux qui ont quatre sous, les honnêtes gens de toute classe et de tout pays, vont lancer sur ce foyer de pilleurs, malédictions, bombes et soldats
97.
Le commandant Meunier lui a répondu d’aller se faire pendre ailleurs, et, trois jours après, les grandes giboulées de bombes et d’obus ont commencé à pleuvoir sur la ville
98.
Enfin, pour en revenir à notre histoire, deux mortiers de glace lancèrent des bombes du poids de soixante livres
99.
Aucune armée ne pourrait lutter contre les décharges électriques tombant du ciel par le moyen de ballons dirigeables, et qui, par simple contact, foudroieraient à la fois des centaines d’hommes ; pas plus qu’elle ne pourrait se défendre contre les bombes asphyxiantes, les blocus électriques, et les puissantes lentilles qui, à une distance de plusieurs lieues, incendieraient sans coup férir les villes et les campements
100.
Il était d’ailleurs abondamment muni de cisailles, propres à couper les câbles des plus gros navires, à trancher les mailles des filets protecteurs, et pourvu aussi de tubes lance-torpilles et de bombes sous-marines de tout genre