1.
Je ressens une poussée plus intense et irrégulière ; c’est une espèce de petite épine dans le cerveau, que les ultrasons forment, alors qu’en rebondissant sur l’obstacle, ils reviennent amplifiés par l’eau
2.
moment dans le cerveau et reculera d'un peu la
3.
« Le cœur donne la direction ; le cerveau la solution et le corps la concrétisation
4.
« Le cœur donne la direction; le cerveau la solution et le corps la concrétisation
5.
La pensée (ce bijou dont le Tout Puissant a paré l’humanité est niché dans le cerveau) est un moyen par lequel nous accédons à la connaissance et comprenons les réalités
6.
Les yeux voient, les oreilles entendent, la langue déguste, puis ces sensations sont transférés à l’esprit lequel envoie les rayons de ces perceptions dans le cerveau si la recherche de la vérité est franche
7.
A l’intérieur du cerveau, le pouvoir de la pensée exécute le processus de recoupement, de comparaison, de contradiction, de désunion et d’assemblage, c’est alors que l’esprit accède à ce qui est demandé
8.
La pensée est pour ainsi dire un processus qui passe par la contradiction, la comparaison, la désunion et de l’assemblage exécuté par le cerveau de manière qu’il soit à mesure de discerner des réalités et décider de leur existence
9.
Il voulait obtenir de lui les réponses à quelques questions qui lui trituraient le cerveau concernant l’islam
10.
"Les difficultés du problème des rapports de la conscience et du cerveau sont
11.
) Le cerveau n'est ni un objet, ni une machine
12.
n'est pas, pour lui, une fonction du cerveau
13.
cerveau est considérée comme l'activité supérieure du cerveau
14.
particulier par l'écorce cérébrale, car l'organisation du cerveau culmine dans les "centre
15.
du cerveau télencéphalique dépend de la constitution du champ de la personne mais ne les
16.
parcourent le corps, transportant par la moelle épinière entre autres des messages du cerveau,
17.
Inversement, le cerveau reçoit les informations de l'extérieur grâce aux nerfs
18.
Le cerveau est la plus grande partie de l'encéphale et est divisé en deux moitiés, les
19.
cerveau et remplit de son feu les sept cavités cérébrales, le septuple chandelier
20.
sympathique et parasympathique) provenant du cerveau qui lui-même est un instrument de la
21.
thyroïdiennes jouent un grand rôle dans le développement dans le développement du cerveau
22.
Donc, ce que le cerveau ne supporte pas est pris en charge par le foie, et ce que le foie ne
23.
la rate, le foie et le pancréas, ainsi que le cerveau, collaborent avec l'estomac à une nourriture
24.
les circonvolutions du cerveau
25.
délicates fonctions du cerveau, du système nerveux, et des glandes à sécrétion interne, par un
26.
"Quand le cerveau vit encore uniquement du sang de la naissance naturelle,
27.
On pouvait de la sorte scruter le cerveau des autres et examiner sa pensée
28.
Alors certains se plaignirent que même avec ces lunettes ils ne pouvaient pénétrer aussi profond qu’on le leur avait fait croire; alors que d’autres affirmaient qu’ils le pouvaient, et se montraient des choses qui dépassaient les capacités de n’importe quel cerveau et allaient bien au-delà de toute raison
29.
Même quand certains d’entre eux en réclamaient une à grands cris, il leur était impossible d’avoir accès au cerveau du législateur
30.
Vraiment, il fallait être mal bâti, avoir le cerveau et les membres attaqués, pour se refuser à la besogne, en un temps de si large travail, lorsque le siècle entier se jetait à l'avenir
31.
Est-ce qu'une d'elles, le cerveau et le coeur vides, ne lui apprendrait pas la bêtise et l'inutilité de l'existence? Justement, ce jour là, Octave semblait perdre de son bel équilibre; lui qui, d'habitude, soufflait la fièvre à ses clientes, avec la grâce tranquille d'un opérateur, il était comme pris dans la crise de passion dont peu à peu les magasins brûlaient
32.
Au sortir du bain, il venait de passer un élégant costume de flanelle blanche, la peau fraîche et embaumée, avec sa jolie tête de fille, déjà fatiguée, les yeux bleus et clairs sur le vide du cerveau
33.
D'ailleurs, elle souriait la première de l'immoralité de sa remarque, car n'étaient pas alors toutes les fautes permises, toutes les femmes à tous les hommes? Et, pourtant, que de femmes sont raisonnables en acceptant le partage avec une rivale, que la pratique courante l'emporte en heureuse bonhomie sur la jalouse idée de la possession unique et totale! Mais ce n'étaient là que des façons théoriques de rendre la vie supportable, elle avait beau se forcer à l'abnégation, continuer à être l'intendante dévouée, la servante d'intelligence supérieure qui veut bien donner son corps, quand elle a donné son cœur et son cerveau: une révolte de sa chair, de sa passion la soulevait, elle souffrait affreusement de ne pas tout savoir, de ne pas rompre violemment, après avoir jeté à la face de Saccard l'affreux mal qu'il lui faisait
34.
Et il revoyait davantage la baronne Sandorff, comme si cette froide perversion, dans le petit rez-de-chaussée inconnu de la rue Caumartin, l'eût dépaysé, en lui donnant l'heure d'oubli, nécessaire à la détente de son cerveau surmené de fatigue
35.
Dans la journée, quand elle entrait, elle trouvait souvent Lalie attachée au pied du lit de fer; une idée du serrurier, qui, avant de sortir, lui ficelait les jambes et le ventre avec de la grosse corde, sans qu'on pût savoir pourquoi; une toquade de cerveau dérangé par la boisson, histoire sans doute de tyranniser la petite, même lorsqu'il n'était plus là
36.
Jacques pensait que la maladie lui hantait le cerveau de ces imaginations noires; et, pour la distraire, il tâchait de plaisanter, lorsqu'elle se mit à trembler sous la couverture
37.
Il entendait en lui le labeur décuplé du cerveau, un grondement de toute la machine
38.
Malgré lui, son cerveau travaillait sur cette idée de meurtre, ce canevas d'un drame qu'il arrangeait, dont il calculait les plus lointaines conséquences
39.
On ne devait pas tuer, il avait sucé cela avec le lait des générations; son cerveau affiné, meublé de scrupules, repoussait le meurtre avec horreur, dès qu'il se mettait à le raisonner
40.
Le médecin avait également décidé la jeune femme à accepter chez elle le conducteur-chef, Henri, qui ne semblait souffrir que d'une commotion au cerveau, hébété
41.
Et c'était ainsi que la lutte avec sa femme, ce sourd combat pour les mille francs cachés, à qui les aurait après la mort de l'autre, devait avoir été, durant des mois et des mois, l'unique réflexion, dans ce cerveau engourdi d'homme solitaire
42.
Le soir surtout, le cerveau de Florent s'embarrassait de fumées mauvaises
43.
Ses mains et son cerveau fonctionnaient machinalement
44.
Une fois ivre, son cerveau exalté d’une harmonie nouvelle et le démon réveillé soudain en son âme, il se plaisait à tourmenter le chien et répétait :
45.
Des ténèbres épaisses envahirent son cerveau et bientôt la commotion même de cette brusque nuit disparut de sa conscience
46.
Si seulement Dick ne s’obstinait pas à se fatiguer le cerveau et à s’empêtrer dans une foule de projets ! Savez-vous, depuis tant d’années que nous sommes mariés, ma seule rivale sérieuse a été cette propriété
47.
Il chassa de son cerveau les pensées sérieuses pour se replonger dans les délices de la mémoire
48.
Je nouai de nouvelles connaissances, j’absorbai d’autres boissons, le cerveau de plus en plus embrumé
49.
Jamais, à ce moment-là, la pensée de boire n’effleura mon cerveau
50.
C’est le cerveau qui paie, et non les muscles : je résolus de ne jamais plus les offrir sur le marché
51.
Je vendrais du cerveau, rien que du cerveau !
52.
Lorsqu’enfin je remis ma dernière page, mon cerveau était entièrement vidé, si bien que je ne pouvais plus supporter la vue d’un livre ni d’un individu capable du moindre effort de pensée
53.
Instantanément, au plus profond de mon cerveau en délire, je sus ce que je voulais
54.
Je pintais sans arrêt, et ma béatitude croissait à mesure que les lubies me montaient au cerveau
55.
Mon cerveau exténué avait récupéré ses forces
56.
Grands dieux ! ce que j’écrivais ! Personne n’aurait pu échapper au dénouement fatal d’une fièvre créatrice comme la mienne ! Pareil labeur aurait suffi à me ramollir le cerveau et m’envoyer dans un asile d’aliénés
57.
Entre mes périodes de travail, mes nerfs, mon cerveau et tout mon corps étaient si épuisés que pas une fois l’idée de boire ne se présenta à mon esprit
58.
Au contraire, j’éprouvais le morne engourdissement d’un cerveau qui ne fonctionnait pas
59.
Mais après mon admission à l’Université, lorsque mon cerveau était surmené par l’étude, je m’empressais de m’enivrer
60.
Toutefois il y avait une différence : tant que je pelletais du charbon, mon cerveau n’était pas encore éveillé ; depuis, il avait découvert le royaume de l’esprit
61.
D’ailleurs, que j’eusse cédé à John Barleycorn comme à Bénicia, ou résisté à son emprise comme à la blanchisserie, l’envie de boire n’en continuait pas moins à germer dans mon cerveau
62.
Pendant ces douze mois, où je me privai souvent de sommeil et surmenai mon cerveau jusqu’à ses dernières limites, pas une fois je ne bus, et l’envie ne m’en vint même pas
63.
Mon cerveau, continuellement obsédé par l’unique souci de sentir John Barleycorn caché dans la cave aux liqueurs, restait incapable de rassembler mes pensées
64.
Lorsque, en désespoir de cause, je succombais à la tentation, mon cerveau, relâché aussitôt, débitait les mille mots d’une seule traite
65.
Sous leur aspect différent, ils étaient autrement redoutables que les spectres d’origine intellectuelle imaginés jadis, puis repoussés par mon cerveau relativement sain et normal
66.
Autrefois, j’ai accompli deux mémorables randonnées dans cette terre lointaine, et mes aventures restent gravées dans mon cerveau jusqu’au moindre détail
67.
L’homme, avec son cerveau, peut transpercer le mirage enivrant des choses et contempler un univers figé dans la plus parfaite indifférence envers lui et ses rêves
68.
Les dernières paroles du Canadien avaient produit un revirement subit dans mon cerveau
69.
Me voilà dans mon cher ranch de la Vallée de la Lune, le cerveau saturé de plusieurs mois d’alcool, le cœur serré par la tristesse cosmique qui de tout temps a été l’héritage de l’homme
70.
Le cerveau et les muscles ne souffrent pas davantage
71.
Puis, mon cerveau se calma, mon imagination se fondit en une vague somnolence, et je tombai bientôt dans un morne sommeil
72.
Cette perspective me sembla d'autant plus pénible que, si mon cerveau était libre de ses obsessions de la veille, je me sentais la poitrine singulièrement oppressée
73.
Je compris d'ailleurs que les idées de Ned Land s'aigrissaient avec les réflexions qui s'emparaient de son cerveau
74.
Mes yeux et mon cerveau étaient pleins de la vision, à la fois comique et terrible, d’un homme au visage blême, tremblant de tous ses membres, cramponné comme un insecte à la corne battante
75.
Je lisais, comme dans un livre, ce qui se passait dans ce cerveau
76.
Une rage folle me monte encore au cerveau quand j’y songe ! Il y a certains de ces capitaines-caboteurs que j’ai mille fois rêvé de retrouver et de tuer, quand j’ai atteint l’âge d’homme, avec sa force
77.
« Décidément, il a le cerveau malade, pensai-je
78.
C'était une merveille, une fête des yeux, que cet enchevêtrement de tons colorés, une véritable kaléidoscopie de vert, de jaune, d'orange, de violet, d'indigo, de bleu, en un mot, toute la palette d'un coloriste enragé ! Que ne pouvais-je communiquer à Conseil les vives sensations qui me montaient au cerveau, et rivaliser avec lui d'interjections admiratives ! Que ne savais-je, comme le capitaine Nemo et son compagnon, échanger mes pensées au moyen de signes convenus ! Aussi, faute de mieux, je me parlais à moi-même, je criais dans la boîte de cuivre qui coiffait ma tête, dépensant peut-être en vaines paroles plus d'air qu'il ne convenait
79.
Je me demandais ce qui avait pu provoquer chez lui cet impérieux besoin de sommeil, quand je sentis mon cerveau s'imprégner d'une épaisse torpeur
80.
Il y avait eu à la fois contusion et commotion du cerveau
81.
Ces mêmes mots tintaient encore dans mon cerveau, mais comme un glas funèbre qui maintenant sonnait
82.
Mille pensées hétéroclites se bousculaient dans mon cerveau surexcité, et je demeurais incapable d’appuyer sur la détente de mon fusil
83.
Je crois avoir un cancer, ou une tumeur au cerveau, qui attaque et dévore mes cellules
84.
Était-ce quelque effluence électrique qui se manifestait ? Allais-je vers un phénomène naturel encore inconnu des savants de la terre ? Ou même — car cette pensée traversa mon cerveau — la main de l'homme intervenait-elle dans cet embrasement ? Soufflait-elle cet incendie ? Devais-je rencontrer sous ces couches profondes, des compagnons, des amis du capitaine Nemo, vivant comme lui de cette existence étrange, et auxquels il allait rendre visite ? Trouverais-je là-bas toute une colonie d'exilés, qui, las des misères de la terre, avaient cherché et trouvé l'indépendance au plus profond de l'Océan ? Toutes ces idées folles, inadmissibles, me poursuivaient, et dans cette disposition d'esprit, surexcité sans cesse par la série de merveilles qui passaient sous mes yeux, je n'aurais pas été surpris de rencontrer, au fond de cette mer, une de ces villes sous-marines que rêvait le capitaine Nemo !
85.
Me réserverait-il encore de pareilles surprises ? Je le pensais, tant la série des merveilles sous-marines est inépuisable ! Cependant, depuis cinq mois et demi que le hasard nous avait jetés à ce bord, nous avions franchi quatorze mille lieues, et sur ce parcours plus étendu que l'Équateur terrestre, combien d'incidents ou curieux ou terribles avaient charmé notre voyage : la chasse dans les forêts de Crespo, l'échouement du détroit de Torrès, le cimetière de corail, les pêcheries de Ceylan, le tunnel arabique, les feux de Santorin, les millions de la baie du Vigo, l'Atlantide, le pôle sud ! Pendant la nuit, tous ces souvenirs, passant de rêve en rêve, ne laissèrent pas mon cerveau sommeiller un instant
86.
Mes nerfs se calmèrent un peu, mais, le cerveau surexcité, je revis dans un rapide souvenir toute mon existence à bord du Nautilus, tous les incidents heureux ou malheureux qui l'avaient traversée depuis ma disparition de l'Abraham-Lincoln, les chasses sous-marines, le détroit de Torrès, les sauvages de la Papouasie, l'échouement, le cimetière de corail, le passage de Suez, l'île de Santorin, le plongeur crétois, la baie de Vigo, l'Atlantide, la banquise, le pôle sud, l'emprisonnement dans les glaces, le combat des poulpes, la tempête du Gulf-Stream, le Vengeur, et cette horrible scène du vaisseau coulé avec son équipage !
87.
Il se trouvait dans cette disposition d'esprit que la solitude rend plus sensible encore, et pendant laquelle de vagues terreurs vous montent au cerveau
88.
Aussi Tampa, grâce à ces merveilles de l'industrie dues à l'idée éclose un beau jour dans le cerveau d'un homme, put prendre à bon droit les airs d'une grande ville
89.
Maston faillit devenir fou, et l'on eut des craintes pour le cerveau de ce digne homme, si bien conservé jusqu'alors sous son crâne de gutta-percha
90.
Dans son cerveau, inconsciemment, il avait divisé le monde en deux catégories
91.
Nous saturâmes son cerveau de cette statue
92.
Une fois mariée, elle se retirait dans sa cuisine, où elle se hâtait de vider son cerveau pour y mettre de piètres principes culinaires
93.
Mais après une tasse de thé (deux petites cuillerées par tasse et ne pas laisser infuser plus de trois minutes), il enjoint au cerveau : « Allons, debout ! montre ce que tu sais faire ! Sois éloquent, profond, sensible ; considère d’un œil lucide la nature et la vie ; déploie les blanches ailes de ta pensée déjà toute palpitante, et prends ton essor, esprit divin, élève-toi au-dessus des tourbillons du monde, par les longues avenues d’étoiles flamboyantes, jusqu’aux portes de l’éternité ! »
94.
Devant son cerveau surexcité apparut l'image de ses amis
95.
Cependant Passepartout, juché sur les premières branches d'un arbre, ruminait une idée qui avait d'abord traversé son esprit comme un éclair, et qui finit par s'incruster dans son cerveau
96.
Oui ! cela devait être ! Cette idée s'incrusta dans le cerveau de Fix, et il reconnut tout le parti qu'il pouvait tirer de cette circonstance
97.
Cependant le calme se rétablit dans son cerveau, et il résolut d'agir franchement avec Passepartout
98.
Puis une idée lui traversa le cerveau
99.
Ce cerveau brûlé trouvait la chose très faisable