Используйте «chaleur» в предложении

1. Offre moi donc,la saveur de ta fraîche et délicieuse haleine pour qu'ainsi je devienne fou, car c'est ce que je suis pour toi,fou de te plaire,en sentant la chaleur enivrante qui termine de brûler en mon sein,par cette flamme d'amour étourdissante

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2. Tant d’insolations prises au cours de mes longues promenades : à chaque fois, la tête me tournait et une chaleur envahissante s’emparait de chacune de mes cellules

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3. Mais ce à quoi je pense, en ce moment de privation fait de chaleur, de sable et de mirages, avec plus de goût, autre que l’eau j’entends, c’est à un petit et insignifiant problème de fiction scientifique :

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4. Les siens sont bleus, brillants, et exhalent un je ne sais quoi de chaleur qui m’enivre

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5. Je sens mon esprit pénétré par une chaleur insupportable qui descend tout doucement sur tout le visage jusqu’à s’arrêter à la gorge

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6. Nous aideront ces ex-esclaves à rebâtir leurs vies et, si besoin est, leur trouver des familles qui les accueillerons avec chaleur et bonté

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7. L’homme vit en harmonie avec les saisons, leur chaleur, leur froid et leurs fruits

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8. Il vous envoie sa chaleur bénéfique à vos corps

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9. Ces gensétaient convaincus que la fonction du soleil se réduisait à la production de la chaleur

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10. Cette peuplade ne connaissait du soleil que la chaleur qu’il produisait

11. Autant le soleil avec ses rayons peut produire à la fois la chaleur et la lumière, autant cette civilisation occidentale peut éblouir les incroyants

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12. Ils se sont comportés comme ces peuples qui se servent du feu pour échapper à une chaleur étouffante

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13. La chaleur ici fait penser au système de reconditionnement de l’air installé à bord de ces appareils

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14. Quant au djinn, nous l’avions auparavant créé d’un feu d’une chaleur ardente

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15. … Par ailleurs, le corps en ce moment n’avait besoin de rien puisque dans le monde où ils étaient auparavant, il n’a y avait pas de soif, ni de colère, ni de chaleur, ni de labeur, ni de peine ou de fatigue

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16. Les rayons solaires sont inclinés au Pôle Nord et au Pôle Sud de telle sorte qu’ils ne reçoivent que très peu de chaleur

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17. Nous sommes maintenant dans le besoin de la chaleur du soleil de notre pays

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18. Selon les lois de la science, ces eaux devraient être chaudes lorsqu’elles nous parviennent, car elles auraient reçu de la chaleur du sous-sol, mais ce n’est pas le cas

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19. La chaleur à l’intérieur de la terre au niveau des pôles favorise la fonte de la glace et un jaillissement rapide

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20. Ces menaces aux rivières et forêts et l’avancée des déserts ne sont autres que le résultat de la rétention de la chaleur qui s’est manifestée ces derniers temps et ses effets sur les deux pôles

21. (6)_Aujourd’hui, il est visible que le problème global de diminution des eaux souterraines et la sécheresse dans certaines zones est associé au décroissement de la glace dans les deux pôles qui résulte de la rétention de la chaleur

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22. La chaleur en fin de compte n'est qu'énergie et son passage se fera de l'endroit où il y en a, vers l'endroit où il en manque

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23. En termes de température absolue nous dirons que le passage de la chaleur Q se fait des températures élevées vers les températures basses

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24. Nous définissons une grandeur physique appelée entropie ( S ), dont la variation est le rapport de la chaleur et de la température thermodynamique

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25. centripète, entre chaleur et froid, les forces jumelées de la nature, a pour conséquence

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26. Les rapports magnétiques sont déséquilibrés et une formidable chaleur, un feu

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27. scientifique, les couches de plus haute chaleur qui correspondent au domaine de l'humanité-

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28. Plus le soleil monte dans le ciel, plus ses rayons tombent verticalement et dispensent lumière et chaleur

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29. Il n’y a au Monde rien de plus Universel que la Lumière céleste et je veux précisément parler du Soleil qui égaye tout, qui façonne et transforme toutes créatures et toutes choses ; et rien ni personne ne peut se dérober à son éclat ou à sa chaleur (Psaum 19)

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30. De même que sans la Lumière Externe le Monde serait dépourvu d’attrait, eh bien de même, sans la Lumière de la conscience rien ne serait intelligible, par conséquent toute l’œuvre de Dieu resterait sans témoin ! Evincez la Lumière hors du Monde et vous dérobez la chaleur, or 137

31. qui dit chaleur dit mouvement, vous supprimez donc du même coup toutes les choses générées par le mouvement

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32. 37Ůne Grande Lumière a la faculté de susciter une intense Chaleur : c’est ainsi qu’une forte lumière de la Compréhension, est suivie d’une profonde inclination de la volonté pour les choses bonnes et justes, et parallèlement pour une grande aversion à l’encontre de tout ce qui à ce moment sera clairement perçu comme mauvais

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33. Et là débute son ascension, car plus ses rayons accusent le Zénith et plus la Lumière (et donc la chaleur qui en résulte) s’intensifient

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34. Par exemple, comme c’est le cas dans l’Ancien Testament, quelle peut bien être la volonté de Dieu lorsqu’il veut que tout offrande sacrificielle soit consumée par le FEU ? Que l’on étudie la Nature du Feu et on aura tôt fait de comprendre la teneur d’un tel commandement : Il est évident que le Feu possède une triple faculté , à savoir Lumière, Chaleur, Mouvement ; de cette constatation on développe un raisonnement qui permet d’affirmer que Dieu exige de ceux qui s’offrent eux-mêmes en sacrifice, 1-la clarté de la connaissance, c’est à dire selon l’interprétation de l’apôtre ( Rom 12/ v

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35. 1) un Culte Raisonnable ; 2- une Chaleur ardente et 3-le Mouvement que procure le Bon Dessein, [l’impulsion]

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36. qu’un ouvrait la bouche, un autre se levait immédiatement pour le contredire, de sorte que les disputes allaient fréquemment jusqu’à remettre en question la blancheur de la neige ou la chaleur du feu

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37. L’un comptait les anneaux de sa chaîne, l’ autre les défaisait et les rassemblait, l’ un soupesait la chaîne, l’ autre la mesurait à son empan, un autre la portait à ses lèvres pour l’embrasser, un autre cherchait à la protéger contre gel, chaleur, ou autres dommages, l’en-veloppant d’un foulard

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38. L'or fauve dominait, dans l'effacement des tapis anciens, dont les teintes fanées gardaient une chaleur sombre, un fondu de fournaise éteinte, d'une belle couleur cuite de vieux maître

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39. Le pas d'un commis, des paroles chuchotées, un frôlement de jupe qui traversait, y mettaient seuls des bruits légers, étouffés dans la chaleur du calorifère

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40. Mais, devant ce comptoir banal, elle ne sentait pas les gants, ils ne mettaient aucune chaleur sensuelle entre elle et ce vendeur quelconque faisant son métier

41. On ne voyait même plus les toilettes, les coiffures seules surnageaient, bariolées de plumes et de rubans; quelques chapeaux d'homme mettaient des taches noires, tandis que le teint pâle des femmes, dans la fatigue et la chaleur, prenait des transparences de camélia

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42. La moquette rouge étouffait le bruit des pas, la voix haute et lointaine du rez-de-chaussée se mourait, ce n'était plus que le murmure discret; la chaleur d'un salon, alourdie par toute une cohue de femmes

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43. La chaleur avait grandi, les bougies coulaient sur les nappes tachées de vin; et, par les fenêtres ouvertes, lorsque le bruit des dîneurs tombait brusquement, entrait une voix lointaine, prolongée, la voix de la rivière et des grands peupliers, qui s'endormaient dans la nuit calme

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44. Elle avait cru mourir, dans cette chaleur suffocante, au milieu de ces cris; et elle expliquait toujours son malaise par le manque d'air

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45. Un lourd soleil chauffait les vitrages, et malgré les stores de toile grise, la chaleur tombait dans l'air immobile

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46. — Elle est froide, leur raie, déclara Favier, dont la main ne sentait pas de chaleur

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47. Ils roulaient des boulettes de mie de pain, revenaient sur les mêmes histoires, dans l'odeur de graillon, qu'ils ne sentaient plus, et dans la chaleur d'étuve, qui leur rougissait les oreilles

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48. Elles n'avançaient que très lentement, serrées à perdre haleine, tenues debout par des épaules et des ventres, dont elles sentaient la molle chaleur; et leur désir satisfait jouissait de cette approche pénible, qui fouettait davantage leur curiosité

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49. Sous les galeries couvertes, il faisait très chaud, une chaleur de serre, moite et enfermée, chargée de l'odeur fade des tissus, et dans laquelle s'étouffait le piétinement de la foule

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50. Mais ce qui la surprenait surtout, dans la fatigue de ses yeux aveuglés par le pêle-mêle éclatant des couleurs, c'était, lorsqu'elle fermait les paupières, de sentir davantage la foule, à son bruit sourd de marée montante et à la chaleur humaine qu'elle exhalait

51. Une chaleur lui venait des mains tièdes de cet homme, l'emplissait d'une lâcheté délicieuse

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52. Les ateliers occupaient les combles, une suite de salles basses et mansardées, éclairées de larges baies taillées dans le zinc, uniquement meublées de longues tables et de gros poêles de fonte; il y avait, à la file, des lingères, des dentellières, des tapissiers, des confectionneuses, vivant l'été et l'hiver dans une chaleur étouffante, au milieu de l'odeur spéciale du métier; et l'on devait longer toute l'aile, prendre à gauche après les confectionneuses, monter cinq marches, avant d'atteindre ce bout écarté de corridor

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53. Une chaleur de serre, suffocante, surprenait, en face de ces hauteurs glacées

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54. La chaleur était forte, il fallait parler haut pour s'entendre, au milieu de cette sonnerie d'harmonica, vibrante sous la voûte basse

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55. Et Mme Caroline dut accepter une chaise dépaillée, dans une salle à manger noire de graisse, où un poêle rouge entretenait une chaleur et une odeur asphyxiantes

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56. La chaleur était accablante, un soleil ardent tombait d'aplomb, blanchissant les marches, dont la réverbération chauffait le péristyle d'un air lourd et embrasé de four; et les chaises vides craquaient dans ces flammes, tandis que les spéculateurs, debout, cherchaient les minces raies d'ombre des colonnes

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57. Dans l'accablante chaleur, au début, les cours baissèrent encore

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58. La nuit dormait, sans une haleine, pâmée par la grosse chaleur

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59. Trois jours après ses couches, elle repassait des jupons chez madame Fauconnier, tapant ses fers, mise en sueur par la grosse chaleur du fourneau

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60. Alors, Coupeau, que la grosse chaleur grisait davantage, fut pris d'une soudaine tendresse

61. On avait encore empli de coke la mécanique, et comme le soleil, glissant entre les draps, frappait en plein sur le fourneau, on voyait la grosse chaleur monter dans le rayon, une flamme invisible dont le frisson secouait, l'air

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62. Alors, il était pris par la grosse chaleur de la mécanique, par l'odeur des linges fumant sous les fers; et il glissait à un léger étourdissement, la pensée ralentie, les yeux occupés de ces femmes qui se hâtaient, balançant leurs bras nus, passant la nuit à endimancher le quartier

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63. Et elle attendait, très rouge, heureuse de la grosse chaleur pourtant, prenant une jouissance à être secouée des pieds à la tête par les dernières volées de Fifine

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64. La mécanique, bourrée de coke, entretenait là une chaleur de baignoire; les linges fumaient, on se serait cru en plein été; et l'on était bien, les portes fermées, ayant chaud partout, tellement chaud, qu'on aurait fini par dormir, les yeux ouverts

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65. Et elle s'exclamait sur la grosse chaleur de la boutique: vrai, on aurait cru entrer dans un four, ça aurait suffi pour réveiller un mort, tant ça vous chatouillait agréablement la peau

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66. La mécanique ronflait, un redoublement de chaleur rayonnait du tuyau rouge

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67. Et Gervaise se sentait toute lâche, à cause sans doute de la trop grande chaleur, si molle et si lâche, qu'elle ne trouvait pas la force de détourner la conversation; même elle attendait les paroles de la grande brune, le coeur gros d'une émotion dont elle jouissait sans se l'avouer

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68. Jamais elle n'aurait cru que le nom de Lantier, ainsi murmuré à son oreille, lui causerait une pareille chaleur au creux de l'estomac

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69. Gervaise avait l'orgueil de cette bonne chaleur, et elle attirait le monde, elle tenait salon, comme disaient méchamment les Lorilleux et les Boche

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70. Au bout d'un quart d'heure, elle commençait à étouffer un peu, la chaleur, l'odeur forte, les fumées qui montaient, l'étourdissaient, tandis que les coups sourds la secouaient des talons à la gorge

71. Tout ce monde s'embrassait, s'entassait dans la chambre, au milieu des trois fourneaux et de la coquille, d'où montait une chaleur d'asphyxie

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72. Mais les dames, qui dégrafaient leur robe, se plaignaient de la chaleur

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73. Ainsi, ces dames, madame Putois, madame Lerat et Virginie, incommodées par la chaleur, étaient simplement allées dans la pièce du fond ôter leur corset; même Virginie avait voulu s'étendre sur le lit, l'affaire d'un instant, pour empêcher les mauvaises suites

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74. Elle éprouvait au creux de l'estomac cette chaleur dont elle s'était sentie brûlée, le jour des confidences de Virginie

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75. Vers le matin, elles grelottaient, malgré la forte chaleur du poêle

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76. La bonne chaleur des pères, des mères et des enfants, lorsque ce petit monde se tient serré, en tas, se retirait d'eux, les laissait grelottants, chacun dans son coin

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77. Elle mijotait dans une bonne chaleur, son corsage collé à son dos, envahie d'un bien-être qui lui engourdissait les membres

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78. La matinée fut d'une chaleur étouffante

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79. L'atelier se calmait, travaillait dans la grosse chaleur

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80. Elle s'arrêtait toute pâle de désir, elle sentait monter du pavé de Paris une chaleur le long de ses cuisses, un appétit féroce de mordre aux jouissances dont elle était bousculée, dans la grande cohue des trottoirs

81. La chaleur était à crever

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82. Et elle s'en alla, parce que l'odeur forte de la soupe aux choux et la bonne chaleur de l'atelier la rendaient trop malade

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83. Gervaise, dégourdie par la grosse chaleur, se serait mise à quatre pattes pour manger dans le poêlon

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84. Comme elle était vieillie et dégommée! La chaleur fondait la neige sur ses cheveux et ses vêtements, elle ruisselait

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85. Une chaleur ardente leur brûlait les jambes à tous deux; puis, la porte refermée, de nouveau le courant d'air glacé souffla

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86. Au moins, on n'était pas vu des voisins, on n'avait pas toujours devant soi des yeux d'espions à fouiller chez vous; et ils ne se plaignaient plus, le printemps étant venu, que de la chaleur étouffante, des reflets aveuglants du zinc, chauffé par les premiers soleils

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87. Une nuit de juillet, Jacques, pour arriver au Havre à onze heures cinq, l'heure réglementaire, dut pousser la Lison, comme si la chaleur étouffante l'eût rendue paresseuse

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88. Mais il ne se coucha pas, se tint sur le seuil de la porte grande ouverte, étouffé par l'épaisse chaleur qui régnait là

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89. Heureuse du reste de coucher seule, bercée par l'attente de sa bonne journée du lendemain, la jeune femme dormait profondément, dans la chaleur douce des couvertures

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90. Mais ils n'en sentaient pas l'ardente chaleur, dans le courant d'air glacé qui les enveloppait

91. Phasie était couchée, la face jaunie, les jambes envahies par l'enflure, si malade, qu'elle ne quittait plus le lit depuis quinze jours; et, dans la chambre pauvre, où un poêle de fonte entretenait une chaleur étouffante, elle passait les heures à rouler l'idée fixe de son entêtement, n'ayant d'autre distraction que la secousse des trains, à toute vitesse

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92. Deux heures se passèrent, elle cédait à la grosse chaleur, et s'endormait, après avoir causé du pays, lorsque Flore, appelée à chaque instant dans la cuisine, rouvrit la porte, en disant, de sa voix dure:

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93. Une chaleur insupportable montait le long de son échine, comme si le matelas, sous ses reins, se fût changé en brasier

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94. La chaleur était devenue si insupportable, vers cinq heures, que deux dames s'évanouirent

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95. On mit cela sur le compte de la chaleur, qui était vraiment accablante

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96. La chaleur devenait très-forte

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97. Il étouffait sous ces feuillages interminable; l'ombre y prenait une chaleur renfermée de fournaise, une moiteur d'humidité, une sueur pestilentielle, chargée des arômes rudes des bois odorants et des fleurs puantes

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98. À cette heure avancée de la nuit, dans la chaleur de cette pièce, ses âpretés, ses volontés se fondaient en lui; il se sentait si alangui par cette soirée calme, par les parfums du boudin et du saindoux, par cette grosse Pauline endormie sur ses genoux, qu'il se surprit à vouloir passer d'autres soirées semblables, des soirées sans fin, qui l'engraisseraient

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99. Son estomac étroit d'homme maigre se révoltait, en passant devant ces étalages de poissons mouillés à grande eau, qu'un coup de chaleur gâtait

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100. Alors, il s'enfonça davantage sous l'édredon, où il cuisait doucement, dans une chaleur de baignoire