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    mitrailler


    1. Ainsi, par exemple, il se représentait dans le rôle d'un tyran qui fait mitrailler le peuple


    2. La rue Saint-Antoine, la place de la Bastille que j’avais vues pendant les journées de Décembre mornes et ensanglantées, étaient encombrées d’une population enthousiaste qui battait des mains et qui, du balcon, des fenêtres, du haut des toits, acclamait de ses cris et de ses saluts celui qui, quelques années auparavant, l’avait fait mitrailler


    3. – Eh bien, votre Caïman nous a laissé mitrailler


    4. Dans votre pays on guillotinait Louis XVI qui ne voulait que le bien du peuple, qui le voulait avec toute la foi, toute l'ardeur d'une âme sincèrement honnête, et, quelques années auparavant, on avait élevé des autels à Louis XIV qui se souciait moins du peuple que de la dernière de ses maîtresses; qui, au moindre coup de tête, eût fait mitrailler la canaille en jouant aux dés avec Lauzun


    5. —Des canons dans la cour du Muséum! pourquoi faire? Canon, que me veux-tu? Vous voulez donc mitrailler l'Apollon du Belvédère? Qu'est-ce que les gargousses ont à faire avec la Vénus de Médicis? Oh! ces jeunes gens d'à présent, tous des chenapans! Quel pas grand'chose que leur Benjamin Constant! Et ceux qui ne sont pas des scélérats sont des dadais! Ils font tout ce qu'ils peuvent pour être laids, ils sont mal habillés, ils ont peur des femmes, ils ont autour des cotillons un air de mendier qui fait éclater de rire les jeannetons; ma parole d'honneur, on dirait les pauvres honteux de l'amour


    6. Et dire qu'il n'y a pas dans Paris une drôlesse qui n'eût été heureuse de faire le bonheur de ce misérable! Un gredin qui, au lieu de s'amuser et de jouir de la vie, est allé se battre et s'est fait mitrailler comme une brute! Et pour qui, pourquoi? Pour la république! Au lieu d'aller danser à la Chaumière, comme c'est le devoir des jeunes gens! C'est bien la peine d'avoir vingt ans


    7. «Grand Dieu! les baskirs sont entrés dans Paris la lance haute en chantant leur chant sauvage, Moscou avait été brûlé; les prussiens sont entrés dans Paris, on avait pris Berlin; les autrichiens sont entrés dans Paris, on avait bombardé Vienne; les anglais sont entrés dans Paris, le camp de Boulogne avait menacé Londres; ils sont arrivés à nos barrières, ces hommes de tous les peuples, tambours battants, clairons en tête, drapeaux déployés, sabres nus, canons roulants, mèches allumées, ivres, ennemis, vainqueurs, vengeurs, criant avec rage devant les dômes de Paris les noms de leurs capitales, Londres, Berlin, Vienne, Moscou! Eh bien! dès qu'ils ont mis le pied sur le seuil de cette ville, dès que le sabot de leurs chevaux a sonné sur le pavé de nos rues, autrichiens, anglais, prussiens, russes, tous, en pénétrant dans Paris, ont entrevu dans ces murs, dans ces édifices, dans ce peuple, quelque chose de prédestiné, de vénérable et d'auguste; tous ont senti la sainte horreur de la ville sacrée; tous ont compris qu'ils avaient là, devant eux, non la ville d'un peuple, mais la ville du genre humain; tous ont baissé l'épée levée! Oui, massacrer les parisiens, traiter Paris en place prise d'assaut, mettre à sac un quartier de Paris, violer la seconde Ville Éternelle, assassiner la civilisation dans son sanctuaire, mitrailler les vieillards, les enfants et les femmes dans cette grande enceinte, foyer du monde, ce que Wellington avait défendu à ses montagnards demi-nus, ce que Schwartzenberg avait interdit à ses croates, ce que Blücher n'avait pas permis à sa landwehr, ce que Platow n'avait pas osé faire faire par ses cosaques, toi, tu l'as fait faire par des soldats français, misérable!»


    8. Par exemple, pour passer de zéro par an à douze cent mille francs il n'est pas permis de faire un serment qu'on n'a pas l'intention de tenir, et, pour passer de douze cent mille francs à douze millions, il n'est pas permis de briser la constitution et les lois de son pays, de se ruer par guet-apens sur une assemblée souveraine, de mitrailler Paris, de déporter dix mille personnes et d'en proscrire quarante mille


    9. Tout le parti des feuillants et des soi-disant constitutionnels, Barnave, Mounier, Lally-Tollendal, Duport, les frères Lameth, ceux qui parlaient toujours du respect de la constitution au peuple et qui donnaient des conseils à la cour pour la détruire, ces gens, la moitié de la garde nationale et soixante-seize directoires de département levèrent les mains au ciel en criant que tout était perdu, qu’on ne respectait plus le roi ; qu’il fallait mettre en accusation Santerre, Rossignol et Legendre, tous les chefs de la manifestation du 20 juin, et le maire de Paris, Pétion, pour n’avoir pas fait mitrailler le peuple, comme Bailly au Champ de Mars


    10. Comme les malheureux s’en allaient à la file et gagnaient le pont de Cassel, on referma les barrières et tout à coup les Allemands se mirent à les mitrailler

    11. En bas nous ne pouvions pas passer, mais autour du village, dans les vergers où les Vendéens par bandes défilaient avec leurs grands feutres, leurs mouchoirs rouges qu’on appelait des cholets et qui leur servaient de gibernes, leurs souquenilles grises, nous commençâmes à les mitrailler coup sur coup ; les fougères en étaient pleines ; quelques-uns se traînaient jusque dans les hautes herbes, pour boire ou se cacher


    12. D’abord ils ne pouvaient pas les emmener avec eux de l’autre côté de la Loire ; et puis je me rappelle que Marc Divès nous dit qu’ils avaient déjà braqué deux canons pour les mitrailler dans l’église de Saint-Florent, quand les chefs avaient fait comprendre à ces sauvages que nous tenions à Nantes beaucoup de leurs parents, amis et connaissances, qui seraient fusillés par représailles, et que, vu l’état de leurs affaires, nous aurions mille occasions de leur rendre autant et plus de mal qu’ils pouvaient nous en faire


    13. Nous autres nous avancions toujours ; nous les fauchions ; mais la fureur de ces gens était si grande, qu’au lieu de nous répondre comme les canonniers font toujours, parce que c’est en quelque sorte plus fort que soi de se venger d’abord, eh bien, eux, ils aimaient mieux se laisser mitrailler et tirer dans les colonnes d’attaque


    14. – Le peuple me produit maintenant l’effet de ce nègre, qui riait et se réjouissait en voyant deux Américains se battre ; il criait : « Ah ! le beau coup ! C’est bien ! c’est magnifique ! » Quelqu’un lui dit : « Tu ris, mais sais-tu pourquoi ces deux hommes se battent ? C’est pour savoir lequel des deux t’emmènera la corde au cou, te vendra, toi, ta femme et tes enfants ; te fera travailler, bâtir des prisons, pour t’y mettre, élever des forts pour te mitrailler, et te pèlera le dos à coups de trique si tu bouges ! » Ce nègre alors perdit l’envie de rire, mais le peuple français rit toujours ; il aime les batailles et ne s’inquiète plus du reste


    15. Championnet, fut obligé de mitrailler cette canaille et de mettre le feu dans ses bicoques


    16. À nous d’escamoter le mouvement et de mitrailler toute la bande : bourgeois et bonapartistes mêlés !


    17. Ces gens-là vont nous mitrailler sans merci


    18. Berlouin est assis sur une souche et caresse le taillant de sa hache avant de se remettre à mitrailler les grands arbres droits


    19. – Des canons dans la cour du Muséum ! pourquoi faire ? Canon, que me veux-tu ? Vous voulez donc mitrailler l’Apollon du Belvédère ? Qu’est-ce que les gargousses ont à faire avec la Vénus de Médicis ? Oh ! ces jeunes gens d’à présent, tous des chenapans ! Quel pas grand’chose que leur Benjamin Constant ! Et ceux qui ne sont pas des scélérats sont des dadais ! Ils font tout ce qu’ils peuvent pour être laids, ils sont mal habillés, ils ont peur des femmes, ils ont autour des cotillons un air de mendier qui fait éclater de rire les jeannetons ; ma parole d’honneur, on dirait les pauvres honteux de l’amour


    20. Et dire qu’il n’y a pas dans Paris une drôlesse qui n’eût été heureuse de faire le bonheur de ce misérable ! Un gredin qui, au lieu de s’amuser et de jouir de la vie, est allé se battre et s’est fait mitrailler comme une brute ! Et pour qui, pourquoi ? Pour la république ! Au lieu d’aller danser à la Chaumière, comme c’est le devoir des jeunes gens ! C’est bien la peine d’avoir vingt ans

    21. À moins de la mitrailler à distance, aucune force ne pouvait agir sur elle


    22. Quelle joie, d’aller, dix ans après sa mort, mitrailler les ennemis de la France !


    23. La famille, éperdue, commença par le mitrailler de ces mille et un proverbes qui, depuis des générations, défendent aux petits Français de franchir le bord du duvet domestique


    24. Ah ! cet amiral Avelane de qui le nom chez nous veut dire noisette – c’est l’Aïoli qui a trouvé ça ! – et qui doit être au moins originaire du Midi, comme tout le monde, eh bé, non ! il peut se vanter d’en avoir fait battre des coeurs sous les corsages en chapelle où tremble la maltaise ou le papillon d’or, et ses matelots auront besoin de courage pour soutenir la fusillade à feu nourri dont, avec leurs yeux vert de mer, vont les mitrailler nos Provençales


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