1.
Aussi belles, ou plus belles que toi
2.
Pour que, dans le plus grand secret,
3.
Une autre femme que toi, car j'aime toujours plus
4.
Et encore plus que la première fois
5.
Du plus profond de mon cœur,
6.
Tu m’as, une fois de plus,
7.
Hélas, mon cœur ne bat plus à l'unisson
8.
Moi qui désire qu’elle soit plus souvent à mon côté,
9.
Aujourd’hui, à cause de vous, nous ne sommes plus rien :
10.
Moi qui n’ai plus le courage de me montrer,
11.
J'avais décidé de ne plus aimer, me refusant à être aimé
12.
Du plus tendre autre mot, Amour !
13.
Toutes plus jolies les unes que les autres
14.
C'était vraiment la plus belle !
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Elle qui est la plus belle des belles,
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Mais, surtout, ne m’assassinez pas au plus proche carrefour,
17.
De tous les marins qui n’ont plus de courage
18.
Et, ce ne sera plus qu’un triste souvenir
19.
Lorsque tu es réapparue, vraiment plus jolie qu'une Reine,
20.
Mes jours étaient devenus plus rapides que la navette du tisserand
21.
Ma vie était du vent et mes yeux ne te voyaient plus
22.
Je n'en puis plus actuellement
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Rien ne marche plus en ce moment
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Et doit battre à nouveau au plus profond de mon être, de mon corps,
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Plus souvent que celles de mes sautes d'humeur
26.
Que pour toi, j’ai plus que de l’estime
27.
Que nous ne craindrons plus les remords
28.
Car tu es celle qui est la plus belle entre toutes,
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De réaliser mes rêves angoissants, les plus fous, éternellement
30.
Plus que jamais, je te l'avoue, je me sens l'âme d'un con
31.
Tu représentes à mes yeux, la plus belle femme du monde
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Celle que dans mes rêves les plus fous,
33.
Qu’il ne faut plus qu’il y ai d’autres lendemains,
34.
Dont la vie n'avait guère plus d'importance
35.
Tu es plus précieuse que tout l'or du monde,
36.
Tu serais un REVE imaginaire car comme la plus belle et la plus lointaine étoile du firmament, tu restes inaccessible !
37.
Où la misère immonde envahit les sites les plus merveilleux
38.
Je serais le plus heureux des hommes, car je n'ai jamais douté
39.
Jamais plus je ne dirai je t'aime
40.
Non jamais plus parce que la peine qui à l'instant envahi mon cœur aujourd'hui,est plus grande que l'amour que je désirais t'offrir, pour partager avec toi cette frénésie qui nous procurerait un vertige immense de sensualité,de sexualité extrême pendant des nuits et des jours,jusqu'à épuisement de nos mutuelles satisfactions
41.
Personnellement,je ne fais pas partie de ceux-là et puisque je crois en nous, je ne rêverai plus et recouvrerai mes esprits pour continuer à vivre une vie sans ambages et passion avec celles qui oserons faire un morceau de route avec moi!
42.
Dois-je continuer à t'aimer en pensant que la réciprocité ne sera peut-être jamais en retour, car il est inutile de me faire des illusions en gâchant le temps qui me reste à vivre et en me disant que plus personne ne saura m'aimer
43.
Qui regrettera le plus de nous deux ?
44.
Je ne ressens plus la peur et,
45.
Ose ! Révèle-moi de nouveau à cet Amour auquel je ne crois plus
46.
je souhaite inlassablement que tu puisses revenir à ce fameux jour où tu m'as dit qu'il n'y aurait plus de bye
47.
Allongé sur ma chaise longue je rêve,et j'ai l'impression d'apercevoir ton ombre comme celle d'une amante empressée,regrettant de ne pas pouvoir happer tes magnifiques lèvres, pour t'embrasser et t'honorer fougueusement de savants baisers et sentir avec encore plus de désir,quand je vois tes jolis yeux embués de brume,mais avides de passion gourmande
48.
Je t'aimais,je t'aime et bien que tu n'aies plus envie de me revoir,je t'aimerai toujours, Alejandro Alé 28/10/2012
49.
la plus belle femme du monde!
50.
Hélas,cela fait plus de quatre ans et,malgré,tout je ne cesse de penser à toi
51.
Il fut relativement facile à le lui faire avouer, après la découverte de trois bidons d’essence vides dans son magasin ; il raconta, en larmes, qu’il fut assailli par un excès de jalousie lorsque les deux sœurs, qu’il avait attendu toute une vie et pour lesquelles il était follement amoureux depuis l’enfance, s’étaient mariées avec les premiers venus ; et en plus que ni Anna ni Lucia, depuis leur retour, ne lui avait montré un quelconque intérêt, à celui qui aurait donné sa vie pour elles !
52.
Seize ans plus tard, leurs filles étudaient la table périodique des éléments …»
53.
J’ai vingt-cinq ans, oui vingt-cinq ans et il me semble avoir vécu bien plus d’un quart de siècle
54.
Après la roue de proue, ce fut le tour de l’opération la plus délicate et difficile : l’assemblage de virure
55.
Je mis à peu près quatre mois pour terminer cette opération, mais déjà, le plus gros était fait ; j’avais en fait monté le virure aussi bien intérieur, qu’extérieur, et j’avais même fixé les ordonnées, qui sont le véritable squelette du bateau
56.
Je travaillais avec passion, et je me revoyais petit, quand je jouais avec les boîtes d’assemblage que m’offrait ma mère ; combien de temps est passé, combien d’espoirs se sont évanouis, combien de vices et caprices ont disparu ! Désormais je suis un homme, et vieux aussi pour l’âge que j’ai ! Après le virure, il ne me restait plus que la fixation du safran, qui est la partie du bateau sur laquelle s’appuie le gouvernail ; le gouvernail lui-même, la vaigre qui est une hampe de bois qui entoure tout le bateau, et qui est fixée à l’intérieur perpendiculairement aux ordonnées ; puis les bancs, les tolets qui servent pour faire tourner les rames, les rames elles-mêmes et enfin les étagères pour maintenir les bancs
57.
Je suis sûr, qu’après quelques jours passés dans ce chaos, je serai tellement dégoûté que l’instant du lancement me semblera encore plus beau !
58.
Cela peut même m’embourgeoiser, et bateau et baraque ne me serviront plus à rien
59.
Je n’en peux plus ! Je ne suis pas du genre demi-mesures ! J’attends donc de percevoir mon premier salaire, et je décide de me mettre en maladie : je me rends à l’hôpital et, pris de forts tremblements et de fortes douleurs de tête pendant les heures de travail, symptômes peu vérifiables par des appareillages spécifiques, je réussis à me faire donner un certificat médical qui me dispense de travail pendant vingt jours sans obligation de rester à la maison pour un éventuel contrôle
60.
Le prix est clairement abordable et cela rend encore plus accueillants ces endroits où traditions ancestrales et tabou rendent ces lieux décontaminés de l’exaspérante et envahissante industrialisation
61.
Même regarder la télévision me donne plus de plaisir ; il est même savoureux d’absorber le carrousel, spectacle de variété que j’ai toujours détesté par mon humeur noir, c’est ce soir une agréable compagnie
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Les couvertures sont encore retroussées en ordre et les draps sont lisses comme s’ils venaient d’être changés ; et dire que leurs tourbillons fous habituellement formés rendent mon réveil encore plus pesant
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Mais je dis, quelle religion est-ce pour ne leur permettre de se laver que dans certaines périodes de l’année, c’est tout du moins comme cela qu’ils me l’ont dit, et qui fait qu’ils se pourvoient d’une grande quantité de parfum pour compenser ce manque de propreté ? Et puis, quelle odeur étrange a cette préparation ! Aux narines d’un profane, cela peut ressembler à une odeur de marijuana, mais pour celui qui, comme moi, regarde de plus près les incrustations de leurs pieds et de leurs bras, il est évident que c’est un mélange entre une odeur de lavande très parfumée et une puanteur insupportable
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Comme il aurait été content Matin Luther King ! Les Noirs se noircissaient encore plus, les Blancs, qui arpentaient les rues, sous entendu sans salaire, grappillant les ordures les plus sales et les plus noirs pour se les barbouiller dessus ; les femmes qui profitaient de l’occasion, après chaque rapport, pour utiliser toutes les sortes possibles et inimaginables de savons et détersifs que le riche marché américain propose : Quels milliardaires ces pharmaciens ! Et que dire des distributeurs automatiques, diaboliques dispositifs qui volent les clients des marchands de fruits et légumes, promettant, comme ils le font, de bonnes économies à qui achètent, seulement trois produits de la terre, avec une carte bancaire, pour prendre une commission ! Ils aiment quand même les traditions : quand ils doivent rejoindre une localité isolée, comme c’est le cas pour la cime des colossaux gratte-ciels, ils conservent le goût de mettre leur chapeau de cow-boy, mais qui s’envole régulièrement à cause du rapide galop
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Quel goût délicieux pour l’habillement ! Et quel stupidité de Rodolphe Valentino quand, s’illusionnant d’être un playboy, il s’habillait en queue-de-pie ! Qui est le plus considéré par les femmes ? Qui habille de deux couleurs seulement, ou qui utilise toutes celles de l’iris ? Et New York, quel ville cosmopolite ! Tant de braves portoricains par exemple ! Imaginez, ils sont féministes et tellement adroits qu’ils réussissent même à trouver un travail à leur femme ; quel service social utile rendent, à la ville, toutes ces « ménagères » diligentes, et si ensuite, quelque usufruitier s’infecte d’une des maladies de l’ancienne déesse grecque, quelle importance ça a ! Sert à le transmettre, le nouveau Papa Noël, même de qui a fait de la morale, son modus vivendi
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Mieux encore, plus ils sont « baignés » de salive, plus ils sont considérés, par ceux qui les rencontrent, sociables et cordiaux
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ils les éduquent bien leurs enfants ! Aux garçons, ils enseignent, dès le plus jeune âge, à se défendre, à se servir remarquablement des bras et de leur trois jambes ! Aux filles, par contre, déjà femmes à huit ou neuf ans, ils imposent respect et obéissance à la volonté paternelle ; si bien que, toujours l’idée fixe à une chose, la pensée des hommes apprend à jouer avec celle des mères en formant une alternative fraiche à ces infatigables trépieds
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Une autre caractéristique de ce lieu est le surprenant embonpoint de ses habitants : en effet, plus gras on est et mieux on peut se défendre, en se remplissant les vêtements comme ils le font, de tant de couteaux et d’épées qui leur permettent de rivaliser dans un espèce de tournoi : gagne celui qui réussit à tâcher de sang le plus grand nombre de lames
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Mais oui, Monsieur Dracula ! Peur de tant de jeunes femmes, ennemi juré de tous les anémiques ; et cela devient ainsi, malheureusement, en se servant chez des bouchers, richissimes magnats, qui trouvent plus avantageux pour leur business d’acheter des viandes chimiquement gonflées
70.
Les si nombreux petits trous dans les murs de ces ruelles ne peuvent certes pas être définis comme boutiques, mais c’est dans ces petits trous que l’on peut acheter tout type de marchandise : de riches étoffes aux armes les plus sophistiqués, de drogues légères à celles les plus dures et dangereuses
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Quoi qu’il en soit, j’étais très apprécié en classe et mes bons camarades, me voyant dans l’embarras, s’efforçaient le plus possible de me souffler les réponses
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Tant d’errance de mon imagination jusque trois heure du matin ! « Hercule, Samson, Maciste, donnez-moi votre force et j’éradiquerai l’injustice ! Don Quichotte, Roland, donnez-moi votre courage et j’affronterai les situations les plus hypocrites ! Ulysse, audacieux et astucieux aventurier, donne-moi ta sagacité et je dénicherai l’amour par-dessous les ordures »
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Je voudrais grimper à ces arbres et regarder, des branches les plus hautes, pause et détente des petits amis emplumés, le sous-jacent misérable et rapide du passe-temps ; regarder avec un air de suffisance ceux qui, parce qu’ils se meuvent sur deux pattes, font de l’univers entier leur propriété ; et soutenir ceux qui comme moi cherchent désespérément un petit soulagement à la lourde charge journalière, implacable croix à porter sur les épaules
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Je regrette de laisser tant de fourmis qui, en file indienne, sortent de leur tanière à la recherche, presque toujours fructueuse, de quelque chose pour se nourrir ; cela m’attriste de ne plus goûter à l’occupation laborieuse des abeilles, toujours prêtes à adoucir nos petits déjeuners
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Certains hommes, sans doute les plus courageux et les plus décidés, éventrèrent les montagnes arides de l’Ouest et le minéral doré en fut la juste récompense
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Et les médecins aguerris pouvaient peut-être trouver des rivaux chez les carnavalesques sorciers ? De grands rodéos à cette époque : des chevaux sauvages que tant de Buffalo Bill domptaient en quelques petites minutes, des milliers de têtes de bétail qui, soustraite aux peaux-rouges punis, étaient vendues au plus offrant
77.
S’imaginez qu’il y avait, en plus, des marchés spécialisés dans le commerce de ces animaux ! « Belle demoiselle, voulez-vous acheter cette musculeuse jambe à peine amputée ? – ou alors – « Mademoiselle, voulez-vous jouer avec ses doigts noirs fraichement tranchés ? » criaient les macabres vendeurs de jouets
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Mais maintenant, le monde est civilisé : nous sommes en 2000 et ces choses-là n’arrivent plus
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On arrive plus, c’est clair, à séparer les pantins, comme cela se faisait avant, mais on contraint ceux-ci, tant que cela est possible, à l’obéissance, à la révérence, à l’humiliation
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Que de beaux moments, lorsque, main dans la main, nous passions les après-midi dans le plus absolu et embarrassant silence
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Du passé géologique de plusieurs millions d’années, on passe à une ère préhistorique et donc à une période plus actuelle, qui, du temps des romains conduit à nos jours
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Ainsi, l’homme du désert, grâce à ces règles, plus qu’à ces capacités biologiques, réussit à s’adapter au milieu
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était un mélange d’huile de ricin et de sel marin ; Quelle délicieuse coutume de faire cracher les petits dans les tasses pour rendre plus savoureux ce jus de chèvre ! Quel estomac j’ai eu : j’ai réussi à vomir en seulement deux ou trois minutes ! c’était intéressant de regarder les femmes pendant qu’elles préparaient la nourriture
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Il fait nuit, et ma misérable tente est vraiment ridicule par rapport à leurs robustes colosses recouvertes de laine de mouton ; Elles réussiraient à supporter toute autre qu’une tempête de vent ! Huit heures du matin : j’ai déjà perdu de vue le village, et même si je le voulais, je ne saurais plus le retrouver, infime point dans tant d’uniformité sablonneuse
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Mais je ne veux m’arrêter, je veux continuer et surtout je ne veux pas me décourager : il faut avoir confiance en son prochain ! Je peux m’accorder, tout au plus, un bref arrêt pour reprendre haleine et méditer sur ce splendide et fascinant voyage
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Peut-être parce que même la simple vue de l'eau m'avait revigoré, je me suis souvenu que j'étais dans la Tadrart, dans un coin de l'Algérie, près de la frontière de la Libye et du Niger, une région magnifique du désert, et comme je l'ai lu sur la brochure de l'Agence de Voyage, certainement la zone la plus spectaculaire de l'immense Sahara
87.
Je fus étonné de l’intelligence et de la psychologie de ces jeunes qui m’entourèrent : curieux dans un premier temps de mon allure curieuse de quadrupède, ils pensèrent qu’il serait mieux de retarder le plus possible mon arrivée à l’eau ; ils attendaient que je gagne quelques mètres pour me sauter dessus en riant et en me tirant en arrière
88.
Je pense que je devrais les remercier pour leur générosité et leur altruisme : ils se sont fatigués à me trainer en arrière pour me permettre d’avoir ensuite une plus grande satisfaction et me donner plus de goût dans le fait de savourer l’eau
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Les bergers ensuite, sans doute les habitants les plus riches de l’oasis, passent leur temps dans les pâturages dont le carillonnement des troupeaux bat la mesure
90.
Les plus âgés relaxent leurs membres fatigués assis sur de rudimentaires bancs, fumant le tabac dans leurs pipes marquetées
91.
Oui c’est vrai, il y a les syndicalistes qui rendent un énorme service social : ils sont bons pour faire augmenter les salaires, mais de combien augmentent les taxes en parallèle ? Et puis, à qui convient à la fin des fins ces grèves, instruments d’inflation, cause justifiant les prêts internationaux, motif de disparition des crédits et des investissements ? Je lus, une fois, quelque chose sur la société scientifique parfaite théorisée par Engels et exposée par Marx, chef de file de tant de révolutions plus ou moins idéologiques : je fus frappé par la description d’un village imaginaire du nom d’Utopie, régit par le roi Utope ! Comme on peut l’imaginer, tout était parfait et logique pour les habitants de ce petit royaume, sans doute dignes de sanctification
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Un jour, j’emmenai un ami avec moi, un très cher ami qui, plus que les autres, avait partagé avec moi les tristes humeurs de la société
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Le mendiant était là, immobile dans sa vieillesse, allongé sur les marches froides d’une église ; les passants frétillants et affairés, fourmillaient dans les rues encore pleines d’enseignes lumineuses de magasins et de bars ; un enfant, un petit enfant de couleur, marchait tout seul, accablé par la lourde charge séculaire de la haine raciale ; les voitures filaient bruyamment en remplissant l’air de gaz d’échappement ; et les klaxons, producteurs désagréables de sons des plus variés, faisaient la loi dans l’obscurité à peine survenue ; les fenêtres des immeubles étaient illuminées, et les familles se réunissaient dans les foyers domestiques
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Ils regardent ces eaux qui tournent, tournent toujours plus rapidement
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Leurs yeux sont fixes, ils n’arrivent plus à détacher leur regard de cette masse d’hydrogène et d’oxygène qui commence à se transformer
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Le Père Noël qui semblent vouloir aller vite sur son traineau pour aller prendre, le plus rapidement possible, les cadeaux pour ses enfants : il s’approche de John et lui remet beaucoup de cadeaux pour les distribuer à tous les garçons ; même l’Epiphanie, qui d’un collant avait pris des chocolats et des bonbons à pleines mains, contribue à leur joie
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Le petit dit : « Mon amour, imagine que ce sang se transforme en fleurs, imagine que nous soyons plus grand : faisons l’amour ! »
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Entre-temps le garçon, de plus en plus scandalisé et déconcerté par tant de sang-froid, continue de regarder
99.
Le garçon, qui est en train de devenir fou, la lutte contre sa propre conscience se fait toujours de plus en plus forte et véhémente, regarde et ferme les yeux par intermittence, tourne la tête, mais ensuite continuer de regarder
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Reno, par contre, beaucoup plus vieux et lui-aussi un bel homme, doté d’un physique robuste et trapu, il a les cheveux gris argentés