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    Используйте «vaguer» в предложении

    vaguer примеры предложений

    vaguer


    1. Entrent vaguer aux sphères de l'alcôve


    2. Certainement il ne serait entré dans la tête de personne de vaguer à cette heure sur les routes : nous étions seuls à courir cette aventure


    3. Alors, j'ai dû vaguer sur les quais, jusqu'au moment où, les idées m'étant revenues, je me suis décidé à venir vous attendre dans votre escalier


    4. Alors, j’ai dû vaguer sur les quais, jusqu’au moment où, les idées m’étant revenues, je me suis décidé à venir vous attendre dans votre escalier


    5. Ce fut tout: la jeune fille laissa échapper le papier qu'elle tenait dans ses blanches mains, et son imagination se prit à vaguer à travers les bocages odorants de la rêverie


    6. Mais les lèvres, faites pour amener au palais la saveur de ce qui les tente, doivent se contenter, sans comprendre leur erreur et sans avouer leur déception, de vaguer à la surface et de se heurter à la clôture de la joue impénétrable et désirée


    7. Celle-ci ne s’occupait pas de lui ; elle marchait au bord de la route, déhanchée, les yeux furetant autour d’elle, comme celles qui ont la coutume de vaguer


    8. Voyons, allez-vous vous faire belle ? Je n’ai pas dit à votre tante que le médecin vous laissait tout à fait libre de vaguer par la maison aujourd’hui, afin de lui ménager une surprise


    9. L’alferez allait donner l’ordre de retourner au camp, lorsque l’un des dragons lui fit voir à une assez courte distance, à travers les arbres, de grandes formes noires qui rôdaient et semblaient vaguer nonchalamment


    10. Un quartier sauvagement populacier, rejeté, isolé sur la rive droite du Tibre, le quartier ouvrier de la manufacture des tabacs, des fabriques de bougies et de cierges pour les centaines d’églises de la ville ; le faubourg lointain, perdu, arriéré, qui garde le vieux sang de Rome dans ces mains d’hommes promptes au couteau, dans ces lignes graves de la beauté de ses femmes ; cette espèce de banlieue où semble commencer la barbarie d’un village italien, mêlant à un aspect d’Orient des souvenirs d’antiquité ; – des angles de rues étayés avec des morceaux de colonnes, des assises où les blocs sont des Minerves entières ; à côté d’une porte blanchie à la chaux, surmontée d’un morceau de natte et de l’ombre d’un moucharaby, des maisons frustes, effacées, rabotées par le temps, des façades où, sous un cintre à moitié bouché et maçonné, se dégage l’élancement d’une fine colonnette au chapiteau ionique ; – à tout moment, du plâtre déchiré, craquelé sur des briques du temps d’Auguste, des hasards de couleurs pareils à ces palettes de tons qu’un peintre garde à son mur, et d’où un bout de passé, un profil, une esquisse des grands os de Rome reparaît et reperce ; – souvent un vaste palais, noir de vieillesse, qui de sa splendeur délabrée n’a gardé qu’un vol d’oiseau de proie soutenant toujours en l’air un balcon disparu ; là-dedans, la primitivité d’une civilisation qui commence, d’une humanité crédule aux commerces naïfs : les boutiques de barbiers phlébotomistes, avec leurs enseignes, sur leurs carreaux, de jambes et de bras dont le sang jaillit rougement dans un verre ; des boucheries où le prix de la viande d’agneau est affiché sur une sorte de tambour de Basque, des boutiques de loterie, avec les numéros sortis écrits à la craie sur leurs volets ; les spaccio di vino à deux baïoques et demie, les magasins aux dessus de porte enfumés, aux ouvertures d’écurie, laissant le marchand et les marchandises au jour et à l’air de la rue, les trous béants du petit trafic où se détache, sur un fond de cave, le cuivre brillant de la balance des pays chauds ; l’étal, l’industrie, le travail, à l’état de nature, sur de petites places, au-dessus du voltigement des lessives pendues, où le moindre souffle met en passant des bruits de voiles qui se gonflent ; de grands ateliers de grossiers charronnages, le remisage sous le ciel de charrues rappelant Cincinnatus, et de robustes chars, aux roues pleines, qui pourraient encore porter les fardeaux de la République et les vieux fers de Caton ; – sur le pavé, des passages de troupeaux de chèvres blanches, se bousculant, se montant l’une sur l’autre, ou bien des repos d’attelages de buffles noirs, à l’œil de verroterie bleue, à la fade odeur de musc, immobiles dans leur ruminement méditatif ; – sur les ordures, sur les fumiers d’herbes potagères, par les rues, au fond des impasses haillonneuses, un grouillement d’animalité domestique, de volailles, de chiens quêtant, la canaille errante des bêtes ; et au milieu de tout cela, des femmes travaillant sur des chaises, au soleil qui leur marque sur la joue l’ombre de chacun de leurs cils ; le fourmillement d’une marmaille vivace jetée là à poignée par la procréation chaude, enfance aux yeux ardents, monde de petites filles, porteuses et berceuses des plus petites qu’elles, que l’on voit vaguer le long des maisons, dégrafées par derrière, la chemise passant au dos, ou, dans le sombre d’un escalier de bois, vêtues comme d’une robe de jour, descendre en s’appuyant de la main au mur, – c’est ce qu’on nomme le Transtevere à Rome

    11. – Eh bien, voudriez-vous me faire savoir en quelle qualité je suis autorisé à vaguer sur la grande route ?


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    vaguer in English