1.
Le gamin habitait un petit cottage de quatre pièces, et sa mère – la bonne âme ! – nous donna un jambon chaud de cinq livres pour souper, dont nous ne laissâmes rien, suivi d’une tarte à la confiture et de deux théières de thé, après quoi nous allâmes nous coucher
2.
Nous en obtînmes à un cottage situé un peu plus en amont
3.
La jeune fille, toute triste, rentrait dans le cottage de son papa avec son siau vide et des larmes plein ses yeux (qu’elle avait fort jolis)
4.
Nous habitions un petit cottage sur la côte méridionale de l’Angleterre
5.
De loin en loin, nous passions près d’un cottage, construit et couvert en pierres, dont aucune plante grimpante n’atténuait la rigidité des lignes
6.
Nous passâmes devant le joli cottage où avait habité la victime, et nous montâmes une avenue bordée de chênes
7.
Venez, Pompée, c’est ce cottage là-bas dans le champ !
8.
Un sentier nous conduisit au petit cottage isolé
9.
Mon ami frappa deux fois à la petite porte sans avoir de réponse, et pourtant le cottage n’était pas vide, car nous entendions comme une plainte prolongée d’une tristesse infinie
10.
Grâce à l’isolement de ce cottage et à ma discrétion, Godfrey, jusqu’à présent, a réussi
11.
Au-delà se trouvent une auberge et deux maisons ; de l’autre côté du champ qui nous fait face, un seul cottage
12.
« Je viens de vous dire qu’il y a un cottage à peu de distance de notre maison
13.
Le cottage, malheureusement, était inhabité depuis huit mois
14.
Je me dis qu’évidemment le cottage avait été loué, et je passai devant la maison comme un flâneur, me demandant quelles gens nous allions avoir comme voisins
15.
J’en étais si troublé que je voulus tâcher d’en savoir plus long sur les nouveaux habitants du cottage
16.
Je lui dis cependant, au moment de m’endormir, que le cottage était habité, ce à quoi elle ne fit aucune réponse
17.
Si vous revenez avec moi chez vous tout ira bien, mais si vous entrez de force dans ce cottage, tout est fini »
18.
J’eus l’idée de regarder par la fenêtre et j’aperçus la servante qui venait de me parler, courant à travers champs vers le cottage
19.
C’est dans le cottage que gisait le secret qui menaçait mon repos et je m’étais juré que, quoi qu’il pût m’arriver, je le découvrirais
20.
« – Jusqu’à ce que vous me disiez qui demeure dans ce cottage et à qui vous avez donné cette photographie, il ne peut plus y avoir rien de commun entre nous », lui dis-je, et je sortis brusquement de la maison
21.
Si le cottage est définitivement abandonné, nous aurons de la peine à résoudre le problème, mais si, comme je le crois probable, les habitants, prévenus de votre arrivée, étaient sortis avant votre venue, ils doivent être rentrés chez eux à l’heure qu’il est, et nous trouverons facilement la clef du mystère
22.
Je vous conseille donc de retourner à Norbury et d’examiner les fenêtres du cottage ; si vous constatez qu’il est habité, n’essayez pas d’y pénétrer, mais envoyez-nous un télégramme à mon ami et à moi
23.
Le premier mari de cette femme est dans le cottage
24.
Ils viennent malgré cela et quand le mari annonce par hasard à sa femme que le cottage est habité, elle devine que ce sont eux qui la poursuivent
25.
Au milieu de leur entretien, la femme de chambre accourt annoncer que Monsieur est revenu ; ne doutant pas que son mari n’aille droit au cottage, elle fait sortir les habitants par la porte de derrière et ils se cachent dans ce bosquet de sapins, dont il a été fait mention
26.
« Cottage toujours habité », disait ce télégramme
27.
En venant, j’ai vu de la lumière dans le cottage
28.
– Voilà les lumières de ma maison, dit-il tout bas en nous montrant une lueur entre les arbres, et voici le cottage où je vais entrer
29.
J’envoyai cent livres à la bonne, et je lui donnai les ordres nécessaires pour qu’elle habitât dans ce cottage en voisine, sans avoir l’air de me connaître
30.
– Dans un moment d’oubli, le jeune chien Magnum souille la porte du cottage de Rose Sweet
31.
– Ainsi parvenu à la hauteur convenable, il appuie le bout de sa mignonne patte sur le bouton électrique de la porte du cottage
32.
– Magnum saute à terre et va se coucher sur le trottoir, à trois ou quatre brasses en amont du cottage
33.
C’était un modeste cottage construit à la lisière des bois avec, devant, une étroite prairie descendant en pente douce jusqu’au ruisseau
34.
Il rouvrit les yeux : son regard vint se briser douloureusement sur le cottage d’en face, sur cette façade prétentieuse et dépeinte, sur ce visage dur et fermé
35.
Pendant que s’accomplissaient les événements qui viennent d’être rapportés, Charles Dudley accompagné d’un missionnaire qui devait procéder à la célébration de leur mariage, arrivait au Cottage, plein de joie, d’amour et d’espérance
36.
Néanmoins, lorsqu’après avoir amèrement pleuré, elle parut reprendre quelques forces, il s’efforça tendrement de dissiper ses sinistres appréhensions et lui conseilla de revenir au cottage, où sans doute se trouverait M
37.
Enfin, las et découragés, ils reprirent le chemin du cottage ; ils y trouvèrent seulement le missionnaire qui avait attendu avec une curiosité inquiète l’issue de cet événement étrange
38.
Un phénomène semblable se produisit chez Charles Dudley lorsque, réveillé de bonne heure, il se mit en route pour le Cottage
39.
Cette fois, la conférence fut longue : Caton ressortit d’un air affairé et ne fit qu’un saut jusqu’au cottage
40.
Sur le champ, tous se ruèrent dans la direction du cottage mais, à peine eurent-ils fait une centaine de pas que le colporteur apparut hors d’haleine, escorté par le ban et l’arrière-ban du village
41.
Un homme, debout contre la porte ouverte d’un cottage, me salua par mon nom, quand je passai devant lui
42.
La pensée me vint alors de laisser là ces plaisirs égoïstes et le parc avec son magnifique ciel bleu, le vent de l’ouest soufflant doucement dans ses branches sans feuillage, la neige que l’on voyait encore dans les bas-fonds, mais qui fondait rapidement sous les chauds rayons du soleil, et les gracieux daims broutant l’herbe humide qui commençait à prendre la fraîcheur et la verdure du printemps, et d’aller jusqu’au cottage de Nancy Brown, une pauvre veuve dont le fils travaillait tout le jour dans les champs ; elle était affligée d’une inflammation des yeux qui, depuis quelque temps, la rendait incapable de lire, à son grand chagrin, car c’était une femme d’un esprit sérieux et réfléchi
43.
Hasfield ; que ce dernier, avant l’arrivée de l’autre à Horton, lui avait de temps à autre fait une visite, pendant laquelle il voulait que la porte du cottage fût ouverte, afin de laisser entrer l’air, sans s’inquiéter si c’était nuisible au malade ; qu’après avoir ouvert son livre de prières et lu une partie du service pour les malades, il s’enfuyait avec précipitation, si toutefois il ne demeurait pas pour faire quelque dure réprimande à la pauvre femme, ou pour faire quelque observation stupide, pour ne pas dire cruelle, plutôt pour accroître que pour diminuer le tourment du pauvre couple souffrant
44.
Je saisis donc cette occasion pour me rendre au cottage de la pauvre veuve, que je trouvai dans une grande inquiétude à propos de sa chatte qui était disparue depuis le matin
45.
Le jeune couple vivait fort heureux dans le joli cottage neuf, où la famille venait souvent le visiter, et où l’oncle Jérôme passait quelquefois huit jours de suite
46.
Ou bien, dans un bois, faisant bouillir de l’eau : elle était très maladroite ; la fumée se courbait, leur soufflait au visage : on voyait, à travers, son petit visage rose ; elle demandait de l’eau, dans un cottage, à une vieille femme qui les regardait passer
47.
« Au cas où vous auriez, un jour ou l’autre, le désir de faire un autre voyage en Irlande, je m’estimerais trop heureux de mettre (en mon absence, bien entendu) mon cottage à votre disposition ; je me souviens qu’il vous plaisait naguère ; tout est resté en parfait état
48.
Durant l’espace d’un mois, Montjoie resta dans son cottage sur le bord de la mer, à surveiller les réparations devenues urgentes
49.
Je peux entrer dans les détails, si vous le désirez ; j’ai vendu mon cottage en Irlande
50.
J’ai entendu parler de maris qui jouent dans leur intérieur le rôle d’espions et qui ne confieraient pas ceci à leur femme, fit-elle en montrant la clef du cottage
51.
Le lendemain matin, lord Harry quitte le cottage, accompagné du docteur
52.
Le sauvage lord tient le dé de la conversation ; il s’informe si le docteur avait réussi à se procurer une chambre près du cottage ; son interlocuteur répond que non seulement il en a loué une, mais qu’il s’est, en outre, acheté un appareil de photographie
53.
Ce joli cottage où la lune de miel s’était écoulée si doucement, allait-il devenir le théâtre d’événements qui la forceraient à se séparer pour toujours de lord Harry ? Était-ce là l’effet de l’imagination surexcitable d’une femme hystérique ? Le fait que lord Harry et le docteur lui cachaient la vérité, ne justifiait-il pas toutes ses craintes ? Le premier avait essayé de la tromper ; le second de l’effrayer ; eussent-ils agi pareillement sans motif ? certes, non ! L’aube commençait à poindre, mais Iris, l’oreille tendue, n’avait pas encore entendu les pas de lord Harry ; brisée de fatigue, elle se jette sur son lit et s’endort
54.
Vimpany rentre ensuite au cottage de Passy, règle le compte de la garde-malade et se débarrasse d’elle au plus vite ; il prit aussi son adresse, au cas où il aurait l’occasion de la recommander à l’un de ses riches clients ; ensuite, il a soin de mettre tout en état, avant de rendre la clef à la propriétaire de l’immeuble
55.
Sur la route de Sainte-Foye, à quelque distance de la ville de Québec, le touriste apercevait, il y a quelques années, un petit cottage, dont l’extérieur, en maçonnerie de pierre grise, n’offrait rien de bien particulier du côté de la route
56.
Il s’imaginait visiter, entre deux trains, le vieux cottage familial depuis longtemps inhabité
57.
Lorsqu’elle sort de sa rêverie, elle parcourt quelques passages du Courrier des Eaux, journal d’une futilité manifeste, et pourtant elle trouve le moyen de prêter quelque attention à cette lecture, elle ne s’impatiente pas de la lumière d’or et du souffle de l’été qui rentrent à flots par les fenêtres grandes ouvertes et même elle ne dédaigne pas d’admirer par instants les longues flèches enflammées du soleil d’après-midi, se brisant sur les verdures ondoyantes et sur les touffes de fleurs du joli jardin qui entoure le Cottage
58.
Le lendemain, dès le tomber de la brune, Archibald retournait au Cottage, mais il n’était pas seul
59.
Il alla rôder, vers le commencement de la nuit suivante, aux abords du Cottage, en compagnie de l’assidu M
60.
Le lendemain de cet épisode qu’il se flattait de voir rester secret, Archibald Turlow, plus élégant et plus fleuri que jamais, entra dans le salon du Cottage à l’heure précise du dîner
61.
Rowlands aux environs du Cottage de Mme Turlow, – le nommé John a rencontré, je crois, près d’ici, le même Hésékiah lorsqu’il se mettait en route
62.
– Il raconta qu’à un dîner chez Son Excellence, au cottage de Bellevue, vous aviez pris leur défense
63.
Comme il n’avait plus d’amis, plus de parents, son premier soin fut de se rendre au cottage de Madame Bonneville
64.
Il continua son chemin jusqu’à ce que, arrivé près d’un cottage en briques rouges à toiture verte enfoui dans les arbres, il aperçut un attroupement qui s’entretenait à voix basse sur le trottoir de bois
65.
Je ne pense pas qu’il ait pris garde à ces derniers mots, prononcés pendant qu’il enfourchait une barrière voisine pour regagner son pauvre cottage
66.
C’est un délicieux cottage enfoui dans la verdure et qui, donnant directement sur un boulevard, est complètement indépendant de l’hôpital
67.
Deux minutes après, nous sonnions à la grille d’un élégant cottage tout enguirlandé de roses aux mille couleurs
68.
Les pierres de la façade nettoyées, les fenêtres repeintes, une pergola fleurie, tout donnait à la vieille demeure un air de gai cottage
69.
Il lui en aurait coûté de partir sans revoir les coins de terre dont le souvenir vivait dans son cœur : le dolmen de Trévic où lui était apparue jadis cette fée qui devait plus tard influer sur sa destinée, et aussi le cottage qu’avait habité Héva Nesbitt, et ces ruines du château de Rustéphan qu’il avait tant de fois visitées avec elle
70.
Il ne se souciait pas de tomber au milieu d’une bande de rapins chevelus qui l’auraient empêché de se recueillir en visitant le cottage où la chère morte avait vécu
71.
Berry reçut mes malheureuses parentes et les installa dans le cottage où vous les avez vues
72.
Deux jours avant notre départ, j’étais assis près d’elle, sous la vérandah de son cottage
73.
Aussi, à peine les premières fleurs étalaient-elles au soleil de mai leurs pétales vierges ; à peine les champs et les arbres revêtaient-ils cette teinte verdâtre qui repose le regard, que la famille Privat, – ennuyée des fades plaisirs de la ville – s’installait au cottage de la Canardière, pour ne plus le quitter qu’à l’approche de l’hiver
74.
Encore tout ému des confidences de son ami Després, et le cœur réchauffé par un rayon d’espoir, le jeune homme marchait d’un pas allègre, se demandant quel événement nécessitait sa présence au cottage, puisque sa tante avait pris la peine de l’envoyer quérir à Québec par un domestique
75.
La chose devait se faire le mardi suivant, la veille même du mariage et le lendemain du grandissime bal que se proposait de donner, à son cottage de la Canardière, la mère de la future épouse
76.
Il ne venait que rarement au cottage de la Canardière, fuyant la vue de sa cousine et surtout le contact de son odieux rival
77.
Trois quarts d’heure après, Lapierre et Laure rejoignaient, dans la grande salle à manger du cottage, les autres membres de la famille, qui n’attendaient plus qu’eux pour se mettre à table
78.
Bientôt après, chacun regagna sa chambre et les lumières s’éteignirent successivement aux fenêtres du cottage
79.
Mais, de grâce, ne perdons pas de temps et suis-moi au cottage
80.
– Pas du tout : j’entrerai sous le bois en faisant un détour, à distance du cottage
81.
En effet, cinq minutes ne s’étaient pas écoulées, qu’une jeune fille, vêtue de noir et pâle comme une madone d’albâtre, émergea à un coude de la grande allée conduisant au cottage, et s’avança lentement dans la direction du rond-point
82.
Dès huit heures du soir, les équipages encombraient l’avenue de la Folie-Privat et le péristyle du cottage s’encombrait de falbalas et de volants
83.
Couples amoureux de la solitude à deux ; adeptes de la dive et du buffet, éprouvant le besoin de se rafraîchir les tempes et les idées ; personnages de tapisserie qui vont au bal pour regarder faire les autres ; hommes d’affaires que la déesse Terpsichore ne séduit pas et qui préfèrent causer dépression commerciale ou change sterling, pendant que le commun des mortels s’amuse ; cavaliers et blondes à qui le tête-à-tête sous les arbres feuillus ne peut jamais déplaire ; fumeurs affamés, inhumainement chassés du voisinage des dames ; beaux en quêtes d’aventures ; enfin, rêveurs pour qui le spectacle d’une mélancolique nuit d’été l’emporte sur la vue de pauvres danseurs suant à grosses gouttes : – tout cela se croisait, défilait, caquetait dans le jardin du cottage
84.
Il était alors près de onze heures, et, dans le grand salon du cottage, la danse faisait fureur
85.
Seulement, allait-il se présenter ouvertement, par l’avenue du cottage, ou se faufiler dans le parc, comme lors de sa première visite ?
86.
Environ une demi-heure après l’audacieux enlèvement auquel nous venons d’assister, et pendant qu’une lourde voiture soigneusement fermée entraînait rapidement Després vers la distillerie de la mère Friponne, l’orchestre installé dans le grand salon du cottage entamait les premières mesures d’une valse
87.
Quant à l’heureux Champfort, il prit une autre porte et disparut dans les multiples pièces du cottage
88.
Une heure après son départ, il rentrait au cottage, dans le même moment – comme nous l’avons vu – où Paul Champfort en sortait par les appartements de derrière
89.
Nous avons vu, dans un chapitre précédent, quel coup de théâtre produisit l’arrivée du Roi des Étudiants dans le grand salon du cottage, alors envahi par l’élite de la société québecquoise
90.
En réalité, rien de plus simple, rien de moins prétentieux que ce cottage
91.
Les bardeaux étaient peints en gris sombre ; et tout artiste comprendra toute de suite combien cette teinte neutre se fondait heureusement dans le vert éclatant des feuilles de tulipier qui ombrageaient en partie le cottage
92.
Mais à partir de ce moment les affaires se gâtaient ; la petite jeune fille qui voulait savoir qui faisait tant de tapage, cette nuit-là dans le cottage, la bataille avec Helen, il ne l’avait bien vue qu’un instant, dans un rais de lune ; – oh ! comme elle avait une figure expressive, vraiment belle et dramatique – et puis, la fuite, et puis enfin
93.
Hamilton, son parrain, et qui avait pour la jeune fille une affection quasi paternelle, venait au cottage et essayait de parler affaires à l’orpheline
94.
Du somptueux palais de New York ou même de l’élégant cottage qu’elle venait de quitter à la grande maison de bois qui allait être désormais sa patrie, la transition était brutale, mais nous l’avons déjà dit Helen était une vaillante et son énergie savait accepter les plus rudes efforts pour parvenir au but fixé
95.
Puis, quittant brusquement l’ombre qui l’abritait, Dixler se dirigea délibérément vers le cottage d’où s’échappait un joyeux brouhaha de rires, de musique
96.
Les deux jeunes gens, sans faire attention à Hamilton qui leur criait de l’attendre, s’élancèrent vers le garage du cottage
97.
Bobby s’éveilla le premier : dans son demi-sommeil, il se voyait, au bord de la mer, aux environs d’Hastings, dans le petit cottage du village d’Inverstead, délicieuse maison de quatre pièces – avec basement – que Mrs
98.
Des agents à cheval galopèrent sur tous les chemins de la contrée, s’arrêtant à chaque cottage, invitant les gens à fermer leurs maisons, à ne pas sortir sans être armés ; toutes les écoles communales furent licenciées à trois heures, et les enfants effrayés, réunis en bandes, rentrèrent chez eux précipitamment
99.
Il n’y eut pas de déjeuner de noce, et la lune de miel se passa dans un petit cottage des bords de la Tamise
100.
Par l’une d’elles, je pouvais surveiller la tombe, tandis que par l’autre j’avais vue sur le petit cottage de la carrière