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    grivois Beispielsätze

    grivois


    1. – C’est la femme de René, qui était allée à Paris pour chercher un nourrisson ; elle a été à l’hôtel Saint-Dizier, pour voir Mme Grivois, sa marraine


    2. Eh bien ! c’est elle, Mme Grivois, qui lui a dit tout cela ; et assurément elle doit être bien informée, puisqu’elle est de la maison


    3. Cette matrone à la démarche lente et discrète était Mme Augustine Grivois, première femme de chambre de Mme la princesse de Saint-Dizier


    4. Non seulement l’âge, la physionomie, le costume de ces deux femmes offraient une opposition frappante, mais ce contraste s’étendait encore aux animaux qui les accompagnaient : il y avait la même différence entre Lutine et Monsieur, qu’entre Georgette et Mme Grivois


    5. À ces mots, Georgette devint pourpre, et ne put réprimer un léger mouvement d’inquiétude, qui échappa heureusement à Mme Grivois, occupée de veiller au salut de Monsieur, dont Lutine se rapprochait d’un air très menaçant


    6. Soit que Mme Grivois n’eût pas été instruite de la visite faite à Mme de Saint-Dizier par Rodin (car il s’agissait de lui) la veille au soir, après qu’il se fut assuré de l’arrivée à Paris des filles du général Simon, soit que Mme Grivois dût paraître ignorer cette visite, elle répondit en haussant les épaules avec dédain :


    7. Tout à coup Mme Grivois s’écria en étendant la main dans cette direction :


    8. Rentrer à huit heures du matin, s’écria Mme Grivois, mais ce n’est pas croyable !


    9. Et Mme Grivois retourna précipitamment vers l’hôtel, suivie de Monsieur qui paraissait aussi courroucé qu’elle-même


    10. Georgette, leste et légère, courut de son côté vers le pavillon, afin de prévenir Mlle Adrienne de Cardoville que Mme Grivois l’avait vue

    11. Environ une heure s’était passée depuis que Mme Grivois avait vu ou avait cru voir Mlle Adrienne de Cardoville rentrer le matin dans le pavillon de l’hôtel Saint-Dizier


    12. Un quart d’heure après cette scène, Florine entrait mystérieusement dans la chambre de Mme Grivois, première femme de la princesse de Saint-Dizier


    13. Florine regardait Mme Grivois avec un profond étonnement


    14. Mme Grivois se rendit aussitôt auprès de la princesse de Saint-Dizier


    15. Après plusieurs longs entretiens avec l’abbé-marquis d’Aigrigny, alors prédicateur fort renommé, elle partit brusquement de Paris, et alla passer deux ans dans sa terre près de Dunkerque, où elle n’emmena qu’une de ses femmes, Mme Grivois


    16. À ce moment Mme Grivois entra dans le cabinet de la princesse, tenant à la main le rapport que Florine venait de lui remettre sur la matinée d’Adrienne de Cardoville


    17. Mme Grivois était depuis longtemps au service de Mme de Saint-Dizier ; elle savait tout ce qu’une femme de chambre intime peut et doit savoir de sa maîtresse lorsque celle-ci a été fort galante


    18. Ce qui demeurait évident, c’est que Mme Grivois jouissait auprès de la princesse de grands privilèges, et qu’elle était plutôt comme une femme de compagnie que comme une femme de chambre


    19. – Voici, madame, les notes de Florine, dit Mme Grivois en remettant le papier à la princesse


    20. Lorsque le valet de chambre se fut discrètement retiré avec Mme Grivois, le marquis s’approcha vivement de la princesse, lui tendit la main, et lui dit d’une voix émue :

    21. – Ce matin Mme Grivois a été, selon mes ordres, rappeler à Adrienne que je l’attendais à midi pour une affaire importante


    22. En approchant du pavillon, Mme Grivois a vu ou a cru voir Adrienne rentrer par la petite porte du jardin


    23. – Jusqu’à présent il n’y a pas d’autre preuve que la déposition spontanée de Mme Grivois


    24. Peut-être dans ce rapport trouvera-t-on la confirmation de ce que Mme Grivois affirme avoir vu


    25. – Heureusement, reprit la princesse, une de mes femmes, Mme Grivois, m’avait accompagnée ; cette excellente personne se rappelant avoir vu rentrer mademoiselle chez elle, ce matin à huit heures, dit naïvement au magistrat qu’il se pourrait fort bien que l’homme que l’on cherchait se fût introduit par la petite porte du jardin, laissée involontairement ouverte


    26. nous allions quitter la chambre à coucher de mademoiselle, car nous avions visité cette pièce en dernier lieu, lorsque Mme Grivois me fit remarquer que l’une des moulures dorées d’une fausse porte ne rejoignait pas hermétiquement


    27. Le teinturier, auquel on a déjà vu remplir les fonctions de portier, interrogé par le cocher sur la demeure de Françoise, sortit de son officine, et vint galamment à la portière pour répondre à Mme Grivois qu’en effet Françoise Baudoin demeurait dans la maison, mais qu’elle n’était pas rentrée


    28. – Ah ! grand Dieu ! s’écria Mme Grivois avec angoisse pendant que le père Loriot retirait vivement sa main, pourvu qu’il n’y ait rien de vénéneux dans la teinture que vous avez sur la main


    29. Le père Loriot, très peu satisfait des excuses qu’il s’attendait à recevoir de Mme Grivois à propos des mauvais procédés du carlin, lui dit, en contenant à peine sa colère :


    30. s’écria Mme Grivois, qui, fort courroucée, descendit du fiacre en serrant tendrement Monsieur contre sa poitrine et toisant le père Loriot d’un regard irrité

    31. Mme Grivois monta péniblement le rude escalier, s’arrêtant à chaque palier pour reprendre haleine, et regardant autour d’elle avec un profond dégoût


    32. La présence de Mme Grivois chez Françoise Baudoin était motivée par une nouvelle détermination de l’abbé d’Aigrigny et de la princesse de Saint-Dizier ; ils avaient trouvé plus prudent d’envoyer Mme Grivois, sur laquelle ils comptaient aveuglément, chercher les jeunes filles chez Françoise, celle-ci venant d’être prévenue par son confesseur que ce n’était pas à sa gouvernante, mais à une dame qui se présenterait avec un mot de lui, que les jeunes filles devraient être confiées pour être conduites dans une maison religieuse


    33. Ce disant, Mme Grivois s’assit, non sans quelque répugnance, sur le vieux fauteuil de la femme de Dagobert ; croyant alors pouvoir laisser Monsieur en liberté, elle le déposa précieusement sur le carreau


    34. Mais aussitôt une sorte de grondement sourd, profond, caverneux, retentit derrière le fauteuil, fit bondir Mme Grivois et pousser un jappement au carlin, qui, frissonnant dans son embonpoint, se réfugia auprès de sa maîtresse avec tous les symptômes d’une frayeur courroucée


    35. À la vue de ce robuste animal et des deux rangs de formidables crocs acérés qu’il semblait complaisamment étaler en ouvrant sa large gueule, Mme Grivois ne put s’empêcher de jeter un cri d’effroi ; le hargneux carlin avait d’abord tremblé de tous ses membres en se trouvant en face de Rabat-Joie ; mais une fois en sûreté sur les genoux de sa maîtresse, il commença de grogner insolemment et de jeter sur le chien de Sibérie les regards les plus provocants ; mais le digne compagnon de feu Jovial répondit dédaigneusement par un nouveau bâillement ; après quoi, flairant avec une sorte d’inquiétude les vêtements de Mme Grivois, il tourna le dos à Monsieur, il alla s’étendre aux pieds de Rose et Blanche, dont il ne détourna plus ses grands yeux intelligents comme s’il eût pressenti qu’un danger les menaçait


    36. – Faites sortir ce chien d’ici, dit impérieusement Mme Grivois ; il effarouche le mien et pourrait lui faire du mal


    37. Mme Grivois avait prononcé ces derniers mots d’un ton irrité dont le diapason sonna mal aux oreilles de Rabat-Joie : il grogna en montrant les dents et en tournant la tête du côté de cette femme inconnue pour lui


    38. Mme Grivois était foudroyée ; elle savait qu’on avait éloigné Dagobert afin de pouvoir faire agir sûrement l’abbé Dubois sur Françoise, tout avait réussi : celle-ci consentait à confier les deux jeunes filles à des mains religieuses, et au même instant le soldat arrivait, lui que l’on devait croire absent de Paris pour deux ou trois jours : ainsi, son brusque retour ruinait cette laborieuse machination au moment où il ne restait qu’à en recueillir les fruits


    39. À ces mots, Mme Grivois eut un moment d’espoir, bientôt détruit par la Mayeux, qui reprit tout à coup, en montrant le paquet qu’elle arrangeait :


    40. – Infernale bossue ! pensait Mme Grivois avec une colère concentrée, elle pense à tout ; sans elle on échappait au retour inattendu de ce maudit homme

    41. Pendant que la Mayeux s’occupait de nouer son paquet et d’y mettre la timbale et le couvert d’argent, Mme Grivois réfléchissait profondément


    42. Ce disant, Mme Grivois sortit quelques instants après la Mayeux


    43. Le sergent de ville, frappé de ce que Mme Grivois venait de lui dire (car c’était elle), ramassa l’argent, et courant après la Mayeux, lui cria :


    44. L’anxiété de Françoise, à l’aspect de Mme Grivois, ne fut pas moins profonde


    45. Son angoisse était terrible ; bien décidée à suivre les conseils de l’abbé Dubois, elle craignait qu’un mot de Mme Grivois ne mît Dagobert sur la voie : alors tout espoir était perdu ; alors les orphelines restaient dans cet état d’ignorance et de péché mortel dont elle se croyait responsable


    46. Le moment était critique, décisif ; mais Mme Grivois avait profité des exemples de la princesse de Saint-Dizier : aussi, prenant résolument son parti, mettant à profit la précipitation avec laquelle elle avait monté les quatre étages après son odieuse dénonciation contre la Mayeux, et l’émotion que lui causait la vue si inattendue de Dagobert, donnant à ses traits une vive expression d’inquiétude et de chagrin, elle s’écria d’une voix altérée, après un moment de silence qu’elle parut employer à calmer son agitation et à rassembler ses esprits :


    47. – Ne pouvant rien pour elle, reprit Mme Grivois, je me suis hâtée d’accourir ici pour vous faire part de cette erreur


    48. À ces mots, Dagobert prit vivement son chapeau, et s’adressant à Mme Grivois d’un ton brusque :


    49. Mme Grivois avait déposé Monsieur dans le fiacre avant de remonter, car les moments étaient précieux ; lançant un regard significatif à Françoise en lui remettant la lettre de l’abbé Dubois, elle lui dit en appuyant sur chaque mot avec intention :


    50. Mme Grivois devina son embarras, lui fit signe de se rassurer, et dit à Rose pendant que Françoise lisait la lettre de son confesseur :












































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    grivois in English

    spicy racy

    Synonyme für "grivois"

    immoral gaillard gaulois graveleux égrillard libre licencieux léger sale salé