Verwenden Sie „loup“ in einem Satz

1. Les habits sont simples : une peau de loup touffue et une paire de sandales

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2. Et, le loup qui saisit l’agneau pour survivre est-il un assassin ou le requin qui dévorent les poissons pour satisfaire ses exigences ? Est-ce un voleur le pigeon qui vole des insectes à ses semblables ? Est-ce que le cheval qui s’accouple toujours avec des juments différentes pour donner naissance à tant de poulains commet un adultère ? Est-ce immorale, le singe qui expose sa nudité, sans la moindre préoccupation de la cacher avec des coutumes et des vêtements inutiles ? Et dans leurs propres sociétés, les hommes ne s’embrouillent-ils pas pour gagner le plus d’argent possible ? C’est peut-être un mal, ça ? Non, tout cela est une lutte pour la survie, où les faibles périssent parce qu’ils doivent périr et les forts gagnent parce qu’ils doivent gagner »

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3. “Je vois bien que ces gens disent une chose et en font une autre (comme le remarqua le loup d’Esope)

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4. — Oh! répondit-elle, en affectant de plaisanter à son tour, c'est toujours l'agneau qui finit par manger le loup

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5. Il ne répondit pas, et ses yeux de jeune loup ne jetèrent plus sur ce luxe étalé, prodigué, que des regards obliques de bandit envieux: avoir tout ça, mais sans rien faire; le conquérir, s'en repaître, à la force des ongles et des dents

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6. Petit, desséché, avec sa barbe de bouc et ses yeux de loup, luisant sous sa tignasse mal peignée, il se cassait à chaque volée du marteau, sautait du sol comme emporté par son élan

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7. C'étaient des tripotées indignes, des trépignées pour un oui, pour un non, un loup enragé tombant sur un pauvre petit chat, craintif et câlin, maigre à faire pleurer, et qui recevait ça avec ses beaux yeux résignés, sans se plaindre

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8. Et son loup de père triomphait, l'appelait vadrouille, lui demandait si elle en avait assez et si elle comprenait suffisamment qu'elle devait lâcher l'espoir de lui échapper, à cette heure

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9. Nana reniflait, se grisait, lorsqu'elle sentait à côté d'elle une fille qui avait déjà vu le loup

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10. Des femmes marchaient vite, des hommes rôdaient avec des yeux de loup, la nuit s'épaississait, gonflée d'abominations

11. Mais on l'avait traité en loup, il se trouvait maintenant comme marqué par l'exil pour quelque besogne de combat

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12. Maintenant, elle tournait ses violettes en marchant, elle les tournait comme des fuseaux, avec une merveilleuse légèreté de doigts; elle comptait six à huit fleurs, selon la saison, pliait en deux un brin de jonc, ajoutait une feuille, roulait un fil mouillé; et, entre ses dents de jeune loup, elle cassait le fil

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13. En haut, accrochées à la barre à dents de loup, des oies grasses pendaient, le croc enfoncé dans la plaie saignante du cou, le cou long et roidi, avec la masse énorme du ventre, rougeâtre sous le fin duvet, se ballonnant ainsi qu'une nudité, au milieu des blancheurs de linge de la queue et des ailes

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14. Je suis connu ici comme le loup blanc, déclara l’homme

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15. Lors de leur première entrevue, Bâtard était encore un tout jeune chien, maigre et affamé, aux yeux mauvais ; il grognait en montrant des crocs et une lueur haineuse brillait dans ses prunelles, car la lèvre supérieure de Leclère se retroussait comme celle d’un loup et découvrait des dents blanches et cruelles

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16. Bâtard n’avait pas connu son père ; d’où son sobriquet, mais John Hamlin savait que l’auteur de ses jours était un grand loup gris des forêts

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17. Il possédait à la fois le caractère sournois et rusé de sa mère husky, le tempérament féroce et brave de son père, le loup gris

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18. Il devinait le langage subtil de ce qui remuait, le lièvre pris au piège, le lugubre corbeau battant l’air d’une aile creuse, l’ours à gueule chauve traînant la patte sous la lune, le loup se glissant comme une ombre grise à l’heure du crépuscule

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19. Il poussait alors le long hurlement du loup, saluant les étoiles par les nuits glacées

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20. Puis les narines distendues, les yeux agrandis, le poil hérissé en une rage impuissante, il poussait le hurlement du loup : d’abord un grondement sourd, qui s’enflait, puis éclatait dans une note douloureuse et mourait sur un rythme lugubre

21. « À quoi je répondis : – Par le corps du loup, je le déclare, tu es un sot, comme ton père l’a été avant toi et comme le seront tes enfants pour la suite des siècles et jusqu’à la dernière génération ! Ta sagesse est pire que l’absence de sagesse et tes yeux sont aveugles à ces affaires dont je t’ai parlé et à quoi tu n’entends rien : Va-t’en, fils d’un millier de sots, va-t’en boire le houch que Niouak est en train de fabriquer dans son igloo, et remercie tes dieux d’avoir avec toi un Blanc assez sage pour rendre moelleux le lit où tu couches ! Va ! Et quand tu auras bu, rapportes-en le goût sur tes lèvres, pour que je sache à quoi m’en tenir

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22. Il avait tué le loup de Sibérie en Alaska occidental et le chamois dans les montagnes Rocheuses

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23. En ce jour dont je vous parle, Klooch elle-même fut croisée avec un magnifique loup gris de la forêt, aux membres longs, à la vaste poitrine et doué d’une résistance à toute épreuve

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24. Il essaya de lui apprendre à dormir convenablement sous des couvertures la nuit, s’asseoir à table et manger comme un homme, mais l’animal, simple loup à peine domestiqué, se rebella, se réfugia dans les coins sombres en hurlant et alla jusqu’à le mordre à la jambe, sur quoi il fut corrigé et renvoyé au chenil

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25. Et dans cette cuisine, des aliments délicieux mijotaient sur le réchaud, nos rires fusaient, et j’avais une faim de loup

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26. Je ne pouvais, dans mon esprit, associer raisonnablement ces volumes à l’homme qu’était Loup Larsen, et je me demandai s’il était vraiment capable de les lire

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27. Il paraissait donc évident que Loup Larsen, cet homme redoutable, n’était pas un ignorant et une simple brute, comme on aurait pu le déduire par ses excès de violence

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28. Cette découverte me réconforta au point que, rencontrant peu après Loup Larsen, qui était seul à arpenter l’arrière du Fantôme, je me risquai à l’entretenir de l’argent qui m’avait été subtilisé

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29. Personne, j’en suis convaincu, n’a jamais pu lire un peu profondément dans l’âme énigmatique de Loup Larsen

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30. De temps à autre seulement, des risées passaient dans l’atmosphère et Loup Larsen interrogeait le ciel, en attendant l’apparition du grand alizé(1)

31. Ce qui le chiffonne et l’inquiète, c’est Loup Larsen dont la réputation est plutôt fâcheuse, paraît-il

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32. Loup Larsen est connu pour s’obstiner à donner exagérément de la toile

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33. Loup Larsen fit remplacer les mâts brisés par d’autres, beaucoup plus robustes, mais aussi plus lourds

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34. Ce Loup Larsen est un vrai démon et le Fantôme, depuis qu’il lui appartient, est un bateau d’enfer

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35. Loup Larsen s’est bagarré avec quatre de ses hommes, et il les a descendus

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36. Imagine-toi que le Gouverneur de l’île de Kura, flanqué du chef de la Police, deux mecs importants au Japon, c’est moi qui te le dis, avaient été invités par Loup Larsen à venir lui rendre visite sur le Fantôme

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37. La visite terminée, les maris étaient déjà redescendus dans leur sampan, voilà-t-il pas que, sous prétexte d’une manœuvre, Loup Larsen lève l’ancre et se tire ?

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38. « Tu veux savoir ce qu’est Loup Larsen ? C’est une bête, la grosse bête dont il est question dans l’Apocalypse

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39. « Loup Larsen n’est pas un homme

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40. C’est un loup

41. Mais, lorsque l’heure sera venue de couper les cartes et de faire le jeu, Loup Larsen se chargera de les dresser

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42. Mais, aussi vrai que les alouettes sont créées pour voler au ciel, il s’attirera sûrement des ennuis, avec Loup Larsen

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43. Il y aura bien un mouchard pour rapporter à Loup Larsen des propos désobligeants qui ne lui plairont pas

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44. Un jour où Loup Larsen l’appelait comme ça, il a répondu : « Mon nom est Johnson, capitaine ! Johnson, vous m’entendez bien

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45. La raison de son insolence provient de ce qu’il est dans les bonnes grâces de Loup Larsen

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46. Deux ou trois fois, aujourd’hui, Loup Larsen a passé sa tête dans l’entrebâillement de la porte de la cuisine et a fait des reproches amicaux au cuisinier

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47. Johansen, jouant au sérieux le rôle de second qui lui était échu, et, pour l’autorité, prenant modèle sur Loup Larsen, se répandit en jurons et malédictions

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48. – Dites donc, Loup Larsen, Harrison est mon rameur

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49. Mais il tourna le dos à Loup Larsen et alla s’asseoir sous un capot, le nez en l’air

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50. Mais Loup Larsen avait l’œil et il s’était hâté, histoire de s’amuser, de déjouer le coup

51. Mais l’œil rapide de Loup Larsen l’avait vu

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52. À table, Loup Larsen et les chasseurs de phoques plaisantaient sur des sujets variés

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53. Loup Larsen se dirigea vers l’escalier, pour remonter sur le pont

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54. C’était, sans erreur possible, celle de Loup Larsen, pleine, forte et large, mais dont le timbre était singulièrement adouci

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55. Et Loup Larsen me quitta, aussi soudainement qu’il était venu

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56. Ce bruit régulier me berçait comme un ronronnement, et j’en oubliai peu à peu la vision de Loup Larsen, s’exaltant aux plus hautes sphères de l’idéal

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57. Le déjeuner de midi était achevé et le coq était venu, comme il en avait pris l’habitude, rejoindre Loup Larsen, qui lui demanda :

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58. – Hump, allez chercher les cartes ! m’ordonna Loup Larsen, en s’asseyant devant la table

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59. Je revins dans la cabine avec les cartes, la bouteille et la boîte à cigares, juste à temps pour entendre le coq suggérer confidentiellement à Loup Larsen qu’un mystère entourait sa naissance, qu’il était probablement le fils naturel d’un gentleman authentique, qui avait eu un caprice inavouable, et qu’on lui faisait parvenir une rente secrète, en échange de quoi il consentait à se tenir éloigné de l’Angleterre

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60. En les voyant, Loup Larsen fronça les sourcils, secoua la tête et, réunissant en creux ses deux mains, me fit signe d’aller chercher des gobelets

61. En préambule à l’un de ses voyages, il pointa son index graisseux sur une des boutonnières de la veste de Loup Larsen et, d’un air fanfaron, il proclamait et répétait :

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62. La boisson n’avait aucune prise sur Loup Larsen

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63. Loup Larsen le regarda d’un œil curieux, et je pensais qu’il allait, en le faisant parler, entamer une étude psychologique et le mettre à nu

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64. Il était certain que Loup Larsen avait épluché dans Spencer ce qui lui convenait et rejeté le reste

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65. Ce soir-là, en effet, je m’assis à la même table que Loup Larsen et que les chasseurs de phoques, honneur que je n’aurais jamais espéré

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66. Ce traitement de faveur dura trois jours, trois jours d’un repos béni, où je pris tous mes repas en société de Loup Larsen, débattant avec lui les plus graves problèmes de la vie, tandis que Thomas Mugridge, au comble de la rage, assumait mon propre travail en plus du sien

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67. me conseilla Louis, que je rencontrai sur le pont, pendant que Loup Larsen, abandonnant un instant Spencer, était occupé à régler une querelle qui s’était élevée entre les chasseurs de phoques

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68. Sais-tu de quoi demain sera fait ? En ce moment, Loup Larsen ne jure que par toi

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69. Je venais d’avoir, avec Loup Larsen, une chaude discussion, toute spéculative, quand, passant à des considérations plus objectives, je mis directement sur la sellette, imprudemment je l’avoue, mon redoutable interlocuteur

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70. Je me montrai, sans ménagements, sévère et juste, et je m’emballai si bien que Loup Larsen s’exaspéra

71. Le loup reparaissait

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72. Le loup enragé

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73. En me voyant tomber, Loup Larsen sembla se ressaisir

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74. Mes muscles se refusèrent à jouer et, incapable de me redresser, je roulai sur le sol, où je demeurai prostré pendant que Loup Larsen s’asseyait tranquillement sur une chaise, allumait un cigare et me guettait

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75. Tout en me tordant sur le plancher, j’apercevais, dans les yeux incisifs de Loup Larsen, cette curiosité amusée que j’avais si souvent remarquée et dont, pour l’instant, je me serais fort bien passé

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76. Encore Loup Larsen n’avait-il exercé, sur mon biceps, qu’une pression modérée, si l’on peut dire

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77. En revanche, ces trois jours d’intimité avec Loup Larsen ne tardèrent pas à m’apporter les désagréments escomptés

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78. Or il se trouvait que Leach était un des matelots qui avaient douché Mugridge, après sa partie de cartes avec Loup Larsen

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79. Parfois, je pensais à aller tout raconter à Loup Larsen et à réclamer sa protection

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80. Il était évident, après cette conversation, que je n’avais rien à attendre de Loup Larsen

81. L’infirmerie, où ces articles étaient rangés, prenait accès sur la cabine de Loup Larsen

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82. Leach, tout en me montrant son bras entouré d’un bandage, me supplia de le laisser achever le coq, et Loup Larsen s’arrêta, une ou deux fois, afin de jeter un regard curieux sur ce qui devait être pour lui une fermentation plus prononcée de la levure qu’il appelait la vie

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83. Le coq devenait envers moi plus humble et plus servile qu’envers Loup Larsen lui-même

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84. Je comprends mieux, maintenant, connaissant Loup Larsen, les vieux mythes de la religion d’Odin

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85. L’insouciante gaieté des Latins est inconnue de Loup Larsen

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86. Loup Larsen était presque aveugle

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87. La voix de Loup Larsen était toute joyeuse et ses yeux étincelaient, aussi bleus que la mer

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88. Loup Larsen, de son côté, se remit à reporter sur la grande feuille ses traits et ses mesures, avec une attention studieuse et une délicatesse de main que je ne pouvais m’empêcher d’admirer, et qui formait un curieux contraste avec sa brutalité coutumière

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89. La conscience de Loup Larsen était en repos, pour cette excellente raison qu’il n’avait pas de conscience

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90. Loup Larsen m’avait complaisamment écouté jusqu’à la fin de mon discours

91. Lorsque j’ouvris la porte pour sortir, Loup Larsen me retint

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92. Les matelots se sont mouchardés entre eux, et ceux qui sont soupçonnés d’avoir dénoncé les irrégularités du service à Loup Larsen ont reçu de leurs camarades une correction peu ordinaire, qu’ils aspirent naturellement à leur rendre

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93. Johnson s’obstine à émettre son opinion sur tout, à reprendre Loup Larsen lorsqu’il l’appelle « Yonson », et le capitaine commence à l’avoir sérieusement dans le nez

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94. Mais, comme Johnson ne peut évidemment appliquer le même traitement à Loup Larsen, la situation, de ce côté, demeure tendue

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95. Et Loup Larsen déclare, d’une façon formelle, qu’il tuera le survivant

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96. La raideur disparaît aussi, peu à peu, du bras que Loup Larsen m’a si cruellement étreint

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97. Hier, j’ai surpris Loup Larsen dans sa cabine, en train de feuilleter une Bible, dont un exemplaire avait été découvert dans la cantine de l’ancien second, après que son corps eut été jeté à la mer

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98. Loup Larsen, le hasard n’ayant jamais fait tomber le livre entre ses mains, ignorait totalement le Rubaiyat, que je connaissais à fond

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99. Je les récitai successivement à Loup Larsen, qui s’enthousiasma

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100. Loup Larsen fit comme il disait