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    quand Beispielsätze

    quand


    1. Nous sommes quand même de sacrés polissons !


    2. Pour chasser son cafard car, en sortant, il faut quand même payer l’addition,


    3. A quoi cela sert-il d’avoir une famille, quand ensuite, ce sont ces mêmes fils, le sang de ton sang, les premiers à te piétiner


    4. J’ai fait exprès d’étudier ce livre de bateaux dans ce lieu inconfortable et humide, au lieu de le faire confortablement à la maison, pour une seule raison très simple : quand je suis en ville, ce dégoût qui me remplie, même seul à écouter son vacarme, m’empêche toute forme de poésie, toute bonté d’âme, toute tranquillité intérieure, me rendant névrotique et donc incapable d’assimiler ces enseignements même si simples


    5. Je travaillais avec passion, et je me revoyais petit, quand je jouais avec les boîtes d’assemblage que m’offrait ma mère ; combien de temps est passé, combien d’espoirs se sont évanouis, combien de vices et caprices ont disparu ! Désormais je suis un homme, et vieux aussi pour l’âge que j’ai ! Après le virure, il ne me restait plus que la fixation du safran, qui est la partie du bateau sur laquelle s’appuie le gouvernail ; le gouvernail lui-même, la vaigre qui est une hampe de bois qui entoure tout le bateau, et qui est fixée à l’intérieur perpendiculairement aux ordonnées ; puis les bancs, les tolets qui servent pour faire tourner les rames, les rames elles-mêmes et enfin les étagères pour maintenir les bancs


    6. Etonné, je continue quand même la lecture, et les yeux exorbités, je lis que je suis accepté à la banque


    7. Qu’elle est bonne, même, cette odeur de naphtaline que je flaire lorsque, monté sur une chaise, je dépoussière mes habits d’été, qu’une armoire garde jalousement ; vêtements qui eurent leurs anniversaires quand, il y a quelques années, je laissais libre cours à ma vitalité en discothèque et faisais des coups avec les filles par mon insouciance


    8. Aussi, avec quel système raffiné de persuasion prenait-on ces soldats modèles ! Ils les prenaient en prêt durant la soupe et les utilisaient, comme lime à ongle, en étant attentif de ne pas trop décolorer ce beau poix noir, leur orgueil et prestige, comme lame pour la barbe, toujours contrariée dans son expansion par quelques cicatrices, symbole de virilité et de chevalerie rustique, comme mouchoir, pour extirper poliment cette décoration verdâtre des cavités olfactives, et comme coton tige, quand ils ne voulaient pas entamer l’éclatante beauté de l’ongle kilométrique de l’auriculaire


    9. Après, je n’ai jamais compris pourquoi ces gens, même quand ils ne sont pas sur des chameaux, ont toujours un turban sur la tête ; moi, je dis, s’ils veulent avoir un élevage et ont comme passe-temps le dressage, quel besoin ont-ils de retirer l’aire d’école aux petits élèves et de les supporter eux-mêmes quand, contents d’avoir trouvé un terrain prolifique, leurs amis, comme des enfants à l’école, se font plaisir avec des sauts et des cabrioles ? Ce sont vraiment des gens étranges


    10. Ils sont tellement hystériques et anxieux, donc, qu’ils ne se laissent pousser que seize dents pour permettre un meilleur passage des nourritures qu’ils, étrange à dire, ingurgitent en même temps que les liquides qu’ils boivent : le temps, c’est de l’argent ! Qu’ils sont étranges quand ils récitent les prières que le Coran leur impose chaque soir

    11. Ce sont des locaux enfumés et sales, exprès, pour freiner l’excitation des spectateurs ; quel beau travail fait la poussière et la fumée quand elles viennent au contact des yeux écarquillés des spectateurs ! En effet, durant l’exhibition de la jeune contorsionniste, ils équiperaient bien leurs pupilles de véritables dents s’ils le pouvaient


    12. Comme il aurait été content Matin Luther King ! Les Noirs se noircissaient encore plus, les Blancs, qui arpentaient les rues, sous entendu sans salaire, grappillant les ordures les plus sales et les plus noirs pour se les barbouiller dessus ; les femmes qui profitaient de l’occasion, après chaque rapport, pour utiliser toutes les sortes possibles et inimaginables de savons et détersifs que le riche marché américain propose : Quels milliardaires ces pharmaciens ! Et que dire des distributeurs automatiques, diaboliques dispositifs qui volent les clients des marchands de fruits et légumes, promettant, comme ils le font, de bonnes économies à qui achètent, seulement trois produits de la terre, avec une carte bancaire, pour prendre une commission ! Ils aiment quand même les traditions : quand ils doivent rejoindre une localité isolée, comme c’est le cas pour la cime des colossaux gratte-ciels, ils conservent le goût de mettre leur chapeau de cow-boy, mais qui s’envole régulièrement à cause du rapide galop


    13. Quel goût délicieux pour l’habillement ! Et quel stupidité de Rodolphe Valentino quand, s’illusionnant d’être un playboy, il s’habillait en queue-de-pie ! Qui est le plus considéré par les femmes ? Qui habille de deux couleurs seulement, ou qui utilise toutes celles de l’iris ? Et New York, quel ville cosmopolite ! Tant de braves portoricains par exemple ! Imaginez, ils sont féministes et tellement adroits qu’ils réussissent même à trouver un travail à leur femme ; quel service social utile rendent, à la ville, toutes ces « ménagères » diligentes, et si ensuite, quelque usufruitier s’infecte d’une des maladies de l’ancienne déesse grecque, quelle importance ça a ! Sert à le transmettre, le nouveau Papa Noël, même de qui a fait de la morale, son modus vivendi


    14. Mais à chacun son métier, et ainsi je me retrouve employé, heureux oui, mais quand j’urine volontairement sur les murs des toilettes du bureau


    15. A combien de choses pensais-je quand elle léchait la glace, compagne quotidienne de nos longues promenades ! Et comme elle hésitait, cette fille naïve, quand je lui offrais une banane : elle était si chaste et aimante de la nature, que dévorer ce fruit était un péché ; elle me regardait et en léchait le sommet, puis se l’enfilait en bouche sans la mordre, en fait, elle la titillait avec la pointe de la langue ; elle s’attristait lorsque je la poussais à la manger ! Je me souviens du dernier jour, lorsque, la bouche parfumée d’ail, je voulus éprouver son amour ; Quel libertin je fus de lui souffler mon haleine à la figure ! A propos, je dois encore lui rendre ses pantoufles


    16. Deux heures sont déjà passées et je suis vraiment fatigué mais gai : qu’est-ce que l’on a pu jouer aux gendarmes et aux voleurs, moi et le sympathique serpent à sonnettes rapide ! Mais il ne faut pas être abattu par la fatigue : et puis, je suis ou je ne suis pas un sportif ? Je me souviens, il y a quelque temps, que je m’entrainais au jogging parcourant, intrépide, les rues citadines : quels plaisantins ces automobilistes, quand ils s’amusaient à me prendre pour cible et à s’arrêter à quelques centimètres de mon corps suant ! Mais ils avaient confiance en moi : ils descendaient des voitures et s’exclamaient en riant : « Vas-y t’es tout seul ! » Et je continuais enorgueilli de tant d’incitations


    17. A l’époque, j’étais courageux ! J’affrontais n’importe quelle intempérie, je courais sans me préoccuper de la boue et de la pluie et j’étais content quand mes si nombreux fans motorisés me rafraichissaient en m’éclaboussant avec la boue de la route !


    18. Quelles têtes tristes firent ces savants quand, après une heure avec un pied dans la fosse, je repris connaissance !


    19. Quelle beauté la vie de cirque et quel charme aussi ! Que c’est sympathique de voir circuler dans la ville les échassiers faisant la publicité du spectacle du cirque ! Je leur courais toujours après, heureux que j’étais ; mais quel douleur quand ces échasses me montaient sur les pieds ! et quelle tendresse de voir les nains ; et même s’ils me volaient dans mes poches le peu d’argent que j’avais, ils me récompensaient ensuite par un sourire désarmant


    20. Qui sait comment ils seront enviés par leurs amis quand ils leur raconteront tout cela ! Le sentier arrive à sa fin, il est même fini et ils traversent une porte décorée de fleurs : ils commencent à tourner sur eux-mêmes

    21. Six corps sans défense flottent, macabrement ballotés avec violence par le courant ! Un des deux hommes se tourne, regarde l’autre, lui sourit et s’exclame : « T’as vu, j’avais raison quand je maintenais qu’à 13 ans les gamins ne peuvent pas supporter cette mixture de marijuana et de LSD ! »


    22. La discussion se fait de plus en plus haletante et atteint son paroxysme quand ils arrivent au village


    23. Il se rappelle de cet été d’il y a plusieurs années, quand heureux et insouciant, il courait libre dans les prés, il se roulait dans la verte prairie et regardait en l’air à la recherche, entre les branches des arbres, de nids d’oiseaux


    24. Il aimait se sentir heureux et regarder la ville au loin avec détachement, comme s’il fut sur une ile ; et la société, tumultueuse et chaotique, angoissée d’avoir un sou de plus, triste quand elle en a un en moins, lui semblait un souvenir lointain, presque effacé de son esprit


    25. Il aimait se souvenir de sa jeunesse quand, impatient se sentir l’encens enivrant, il se pressait de monter les marches de l’église


    26. Il est effrayé quand il met la tête sous le coussin ; mais on entend un klaxon de la rue ; il se réveille ; il prend une bouteille de whisky et en boit un, deux, trois, quatre verres


    27. Jim et Clark pensent souvent avec nostalgie à cette époque et quand ils ont un peu de temps libre ils écoutent toujours avec plaisir les « Michelle » et « All you need is love » et ils se revoient jeunes, enlacés à leurs copines, en interposant aux baisers chaleureux et passionnés de délicats « I love you »


    28. Madame Quinn était une pauvre vieille un peu sourde et boiteuse ; et quand, avec sa démarche lente et fatiguée, elle arriva à la porte et ouvrit, elle poussa un cri de stupeur et se tournant vers Mary hurla : « Qui est cet homme ? »


    29. « Quand le soleil est haut, les petits oiseaux chantent dans les bois et la rivière argentée argenté forme avec ses ruisseaux d’eaux des petits remous ; cela semble de petits baisers, donnés à celui qui, de sa berge, se reflète dans l’eau


    30. Ils se sentent comme les enfants des fleurs ; et quand ils remarquent des abeilles sucer le nectar des boutons de fleurs, il surgit impérieusement de leur esprit une pensée : ils se dénudent ensemble et après un bon lavage de dents, ils suivent à la lettre les enseignements des petits insectes

    31. Souvent, Mireille fait les rues du centre, elle est étonnée quand elle observe ces boutiques pleines de fanfreluche, ces parfumeries qui ne trouvent plus de place en vitrine pour exposer toutes les variétés de parfum qu’elles vendent ; elle ne comprend pas toutes les femmes qu’elle rencontre sont très maquillées : elles ressemblent à des mannequins si humbles pour elle


    32. Gaston se sent mal quand ils voient ses amis vêtus d’habits très chers, de marques qui en garantissent l’authenticité


    33. Mais Mireille et Gaston n’ont pas besoin d’être complexes pour être heureux : il ne leur suffit que leur simplicité ! En fait, quand ils font l’amour, ils n’ont pas besoin de vibromasseurs, ni de pilules excitantes, tellement en vogue dans la capitale française


    34. C’est beau d’observer la mousse qui se forme autour de la quille et dans le sillage que je laisse derrière moi ; c’est beau de ne pas avoir une destination et un horizon à atteindre : même ça c’est de la liberté ! Quand mes muscles se seront fatigués, alors je m’arrêterais et cet endroit me semblera un paradis


    35. Ne pas être surpris! Nous quand nous sommes dans l'eau, soyons de la ceinture en bas comme poissons, mais dehors de l'eau notre queue ou nageoire comme tu veux l'appeler, se transforme immédiatement en jambes et le bassin comme n'importe quelle autre femme sur la terre! Mais en contact avec de l'eau, nous devenons immédiatement sirènes, grâce à un amphibien organe sensible situé dans notre vulve


    36. « Tu vois » - continue-t-elle – « notre corps, même s’il est similaire à celui des terriens, est modifié au niveau cellulaire ; notre système vasculaire produit constamment, quand nous sommes dans l’eau, une espèce d’aura invisible qui nous protège de l’énorme pression à laquelle nous sommes soumis, et qui autrement nous écraseraient instantanément dans ces profondeurs marines ; sache que sans cette aura, notre corps aurait à supporter l’équivalent de plusieurs milliards de kilogramme ! Et en plus nous avons été dotés, par dame nature, d’un organe supplémentaire en pleine poitrine, sous les côtes, entre les poumons et le cœur, qui nous permet en même temps de respirer l’eau et d’en tirer toute l’énergie dont nous avons besoin


    37. C’est comme quand, tout petit, ma mère me mettait une main sur la poitrine pour que je ne me noie pas pendant que je prenais le bain


    38. Plusieurs milles me séparent désormais de la splendide construction de laquelle je suis parti, quand mon sonar m’avertit de quelque chose d’anormale au fond de la mer


    39. Je suis à une dizaine de mètres de lui, maintenant, quand j’aperçois un vieux galion espagnol à moitié recouvert par des algues et encastré entre deux énormes roches


    40. Le manque de fatigue fait en sorte que ce mouvement ondulatoire me donne une sensation semblable à quand, dans la grande fête foraine de ma ville, je montais sur les montagnes russes désireux de ressentir la sensation du vide dans les descentes, de suite compensée par les soudaines remontées

    41. « Nous ne faisons de mal à personne » - me fait-elle comprendre – « et quand nous assommons quelques petits poissons, nous ne le faisons exclusivement que pour se nourrir


    42. Il me répond tout simplement qu’en eux la peur de la mort n’existe pas et que, quand ils paraissent effrayer pour qui les observe, en réalité ils ne le sont pas du tout


    43. Faisant preuve d’une sagesse insoupçonnable, il m’en explique la raison ; les ondes cérébrales que je capte se transforment en mots d’un contenu hautement philosophique à mes oreilles : « Tu vois, la mer est une énorme masse d’eau, et de ce point de vue, en plusieurs millénaires, toute l’eau passée qui compose notre merveilleux continent ; nous, quand nous feignons de nous échapper, nous ne faisons autre que de suivre l’eau, notre source inépuisable de vie et de nourriture


    44. « Certainement » - répondis-je – « je suis toujours prêt quand il s’agit de fureter et d’apprendre »


    45. Pour Saint Augustin, par exemple, il y a trois formes de mal : le métaphysique, qui se place aux côtés de la contingence de chaque être créé ; le moral, qui se révèle lorsqu’il y a une déviance de la volonté humaine pour la droite règle morale et qui, donc, trouve un large champ quand une grande liberté est accordée à l’individu ; et enfin le physique, qui comprend toute insuffisance du corps, et qui est l’effet de la volonté divine


    46. « Je me souviens qu’une fois » - me dit-elle – « quand, désireuse de nouvelles découvertes et émotions, je m’éloignai durant des mois entiers, vers des eaux inconnues très lointaines d’ici ; cela faisait des semaines que je nageais et ma vitesse m’avait conduit à l’autre bout du monde, où le fond des mers se déchire pour former de profonds abysses où l’obscurité la plus totale règne incontestablement


    47. Mais quand même, sale misère, je dois aller travailler comme chaque jour


    48. quelqu'un, dans la conversation, verbalement quand on


    49. Le visiteur écoute, le temps passe et, quand après


    50. Quand la violence que leur a laissé se gaver la société,














































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    quand in English

    when once

    Synonyme für "quand"

    même si lorsque chaque fois que