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sylvain Beispielsätze
sylvain
1. 20 Le faune, le satyre et le jeune Sylvain,
2. « Ce n’est pas le talent qui manque à votre art, disait Christophe à Sylvain Kohn ; c’est le caractère
3. – Si nous avions un Boileau, dit Sylvain Kohn, on ne l’écouterait pas
4. – La France, c’est nous », fit Sylvain Kohn, en s’esclaffant
5. Christophe observait curieusement les Parisiennes, dans les salons où la présentation de Sylvain Kohn et son talent de virtuose l’avaient fait accueillir
6. Sylvain Kohn l’avait introduit dans quelques salons israélites, où il avait été reçu avec l’intelligence habituelle de cette race, qui aime l’intelligence
7. Christophe l’avait rencontré déjà, au premier dîner d’hommes de lettres, où Sylvain Kohn l’avait introduit ; et bien qu’ils ne se fussent point parlé, il lui avait suffi d’entendre le son de sa voix pour éprouver à son égard une aversion, qu’il ne s’expliquait pas, et dont il ne devait comprendre que plus tard les profondes raisons
8. Sans qu’il l’eût cherché, Christophe avait acquis une petite notoriété dans les milieux parisiens où Sylvain Kohn et Goujart l’avaient introduit
9. L’originalité de sa figure, qu’on apercevait toujours, avec l’un ou l’autre de ses deux amis, aux premières des théâtres et aux concerts, sa laideur puissante, les ridicules même de sa personne, de sa tenue, de ses manières brusques et gauches, les boutades paradoxales qui parfois lui échappaient, son intelligence mal dégrossie, mais large et robuste, et les récits romanesques que Sylvain Kohn avait colportés sur ses escapades en Allemagne, sur ses démêlés avec la police et sur sa fuite en France, l’avaient désigné à la curiosité oisive et affairée de ce grand salon d’hôtel cosmopolite, qu’est devenu le Tout-Paris
10. Surtout, les musiciens français étaient touchés comme d’un hommage qui leur était rendu, de l’injustice des jugements de Christophe sur la musique allemande : (il s’agissait, à la vérité, de jugements déjà anciens, à la plupart desquels il n’eût plus souscrit aujourd’hui : quelques articles publiés naguère dans une Revue allemande, et dont les paradoxes avaient été répandus et amplifiés par Sylvain Kohn)
11. Lévy-Cœur n’eut pas de peine à détacher de Christophe Sylvain Kohn et Goujart, comme il l’avait peu à peu évincé du salon des Stevens
12. Il fut bien plus étonné encore, quand il vit, quelques jours après, que Roussin prenait la chose au sérieux ; et son étonnement toucha à la stupeur, lorsqu’il apprit que Sylvain Kohn, Goujart et Lucien Lévy-Cœur lui-même s’y intéressaient
13. Mais Roussin fut si insistant, Sylvain Kohn si persuasif, et Goujart si affirmatif, que Christophe se laissa tenter
14. – Cela ne nuit pourtant pas, fit Sylvain Kohn, en riant
15. Il écoutait Sylvain Kohn qui lui contait l’histoire de la Sainte-Ygraine : une divette de music-hall, qui, après s’être exhibée avec succès dans des petits théâtres de genre, avait été prise de l’ambition, commune à beaucoup de ses pareilles, de se faire entendre sur une scène plus digne de son talent
16. Il revenait chez lui, bredouille, quand, passant près du magasin de musique où il avait été présenté naguère par Sylvain Kohn à Daniel Hecht, il entra, sans se rappeler qu’il y était déjà venu dans des circonstances peu agréables
17. Le villageois s’endormit heureux après cette journée de fatigue, d’émotions et de tortures ; il vit en rêve le presbytère, la treille au-dessus de la porte, et le bon curé qui lui souriait avec indulgence ; puis Sylvain qui sautait en signe d’allégresse, et la jolie Francine, dont la petite bouche s’entrouvrait dans un frais éclat de rire en tendant ses bras à l’élu de son cœur
18. – Il n’écrit pas, mais Sylvain fait des menteries à la pauvre désolée pour lui donner de la confiance, il lui dit souvent : « Jean reviendra
19. – Sylvain va venir dans un moment couper le blé du père Bouriot, faudra lui en demander des nouvelles
20. Quelques minutes avant cette nouvelle dont le hasard l’avait fait dépositaire, il brûlait de savoir la vérité ; maintenant, il était sans force et cachait sa tête dans ses mains, épiant avec impatience le passage de son ami Sylvain
21. Tout-à-coup il tressaillit, son ami passait, la faucille sur l’épaule, mais la gaieté qui brillait autrefois sur sa bonne figure avait fait place à la tristesse : Sylvain Fauchat, le diseur de drôleries avait perdu son gros rire, et les commères du village prétendaient qu’il était amoureux
22. Jean, Sylvain t’attend, je crois
23. – Ce n’est pas bien, Sylvain, de te gausser de moi
24. Derrière la haie qui défendait le verger de Sylvain, des notes joyeuses et sonores s’élevèrent en cadence vers le ciel
25. – Jean, faites-vous voir, dit Francine éperdue, que Sylvain retenait par la taille
26. La jeune fille obéit à Sylvain et le bruit de deux baisers sonores annonça au gros garçon la clémence de Francine et une franche réconciliation
27. – C’est un amas de maisons, de palais et de monuments, mon bon Sylvain
28. – D’ailleurs, dit Sylvain, tu me prêteras le costume que tu portais là-bas et, en carnaval, j’veux courir les rues du village déguisé en Monsieur, ce sera une souvenance de ton infidélité
29. – Sylvain, tais-toi, fit Francine d’un air sévère, en le menaçant du doigt
30. le curé retentit, le dimanche, forte et vibrante comme par le passé ; Sylvain Fauchat, le jour du mardi-gras, parcourt le village, revêtu de l’ancien costume de son ami, qui a le bon esprit de sourire devant cette exhibition satirique, et le savant du village, guéri pour toujours de ses velléités vaniteuses, voit avec plaisir sa Francine s’abandonner à sa gaieté des anciens jours, et il constate que le rire est aussi facile que naturel depuis qu’il a autour de lui le bonheur sans les folles ivresses de l’ambition et le nécessaire sans les soucis d’une tyrannique richesse
31. Et si ç’aurait été un type comme Sylvain, mettons, qu’est-ce que t’aurais fait, toi
32. Toute cette conversation, qui ne tendait qu’à faire reconnaître la vigueur exceptionnelle de Sylvain, irritait le douanier
33. Il ne soupçonnait pas le rôle de Sylvain dans l’affaire de l’autre jour, mais il eût aimé voir l’homme s’enorgueillir, faire montre de sa force, afin de lui rabattre rudement le caquet
34. Malheureusement, Sylvain ne bougeait pas, restait indifférent à la controverse, et paraissait seulement blâmer par son attitude le camarade qui avait amené la conversation sur ce terrain périlleux
35. Malgré lui, il regardait Sylvain, et son regard devenait plus dur
36. Et il montrait Sylvain dans son coin
37. C’était loin d’être la première fois qu’elle voyait Sylvain se battre, en combat amical, ou même pour de bon
38. Il savait que s’il pouvait étreindre Sylvain sous les côtes, il avait gagné
39. « Sans rancune », dit Sylvain à Lourges, avant de s’en aller
40. César et Sylvain sortirent, prirent leur vélo dans le couloir, derrière le café
41. Sylvain, lui, se taisait, soucieux
42. La seconde fois que Sylvain aida César à monter Tom en Belgique, ce fut encore un mardi
43. Sylvain en fut content
44. Une fois Tom enfermé dans le chenil du marchand de tabac, Sylvain reprit donc le chemin qui rejoignait le canal de Dunkerque
45. Sylvain fit encore deux ou trois cents mètres vers Dunkerque
46. Sylvain s’en approcha, vit qu’elle n’était fermée que par un loquet
47. Sylvain continua sa route
48. Sylvain ne se retournait pas, attendait
49. – Nous nous sommes bien amusés avec cette histoire, monsieur, dit-elle en revenant auprès de Sylvain
50. Il se rua vers Sylvain, aveuglément