Verwenden Sie „vers“ in einem Satz
vers Beispielsätze
vers
1. Si ce soir j'ai levé mes yeux vers le firmament des cieux
2. Tu me pousses du Nadir vers le Zénith
3. Allons ensemble vers d’autres lieux, d’autres cieux
4. Quelle langue absurde l’Arabe ! Livres écrits de la droite vers la gauche, caractères cursifs qui n’existent pas, mots, qui pour les prononcer, doit faire saliver l’interlocuteur
5. Mais demain matin, en louant une jeep, je commencerai enfin mon voyage, vers le désert, qui me conduira jusqu’en Libye
6. Mais que se passe-t-il ? Les gardes américains toujours aux aguets dans cette ville si vivace, courent haletant vers moi
7. si seulement il avait voulu s’approcher des étoiles au lieu du soleil ! Comme je ressentais, dans ces moments de méditation, le manque d’une douce compagnie : oh faible lumière d’espoir dans tant de désolation, proche libératrice de chaque bien et d’amour, source incomparable de jeunesse spirituelle, pourquoi le destin, mon ennemi perfide, t’occlut à mon cœur ? Cette nuit-là, je regardais vers le haut, tellement si haut, et je pleurais : « prenez-moi étoiles » criais-je, « accueillez-moi dans vos majestueux bras, purifiez-moi de ces excréments qui m’étouffent »
8. Vers midi, je suis tombé sur cinq chameliers nomades
9. Ce sont des règles transmises durant les siècles qui permettent une meilleure adaptation comportementale au milieu : par exemple, l’interdiction de manger de la viande de porc est ici très hygiénique, où la peste porcine est très diffuse ; même l’obligation de manger avec la tête tournée vers la Mecque est une règle très fonctionnelle : il suffit de penser à la constante orientation recherchée par le nomade
10. Je la soulevais avec amour et l’asseyais sur mon blanc destrier ; et une fois monté moi aussi, je poussais mon fidèle compagnon au galop vers tant d’aventures
11. Eux, à ce point-là, veulent être invités, ils veulent participer directement à ces aventures, ils veulent vivre dans ce monde ; et, de telle façon, ils se tournent vers Merlin : il leur indique une voie à suivre ; les enfants se lèvent des rochers sur lesquels ils étaient assis et entreprennent le sentier heureux et joyeux
12. Mais à l’improviste, il voit une lumière lointaine, un feu menu qui éclaire la plage humide : il s’arrête, réfléchit ; il pense que c’est un espoir et il court vers cette faible lumière ; il court, il voulut presque oublier toutes les anxiétés, les douleurs, les amertumes que le monde, son monde est en train de vivre
13. Une crise se rapproche, il est hystérique, il tombe par terre, se relève, tape des poings sur le sable, il se tape aussi sur la tête, crie à tue-tête pendant que le soleil pointe, se lève, va vers les deux et s’exclame : « Putain, baisse mon pantalon et fais-moi jouir moi aussi
14. Rentrant fatigués vers leur village de montagne, ils discutent avec entrain pour établir qui des deux est le vainqueur ; Sfax affiche la proie la plus savoureuse, Reno la plus grosse
15. Le jeune baissa la tête en signe de remerciement et se rendit vers la pièce indiquée par Jean
16. Qu’est-ce que c’était ? D’où cela provenait-il ? Qu’est-ce que cela pouvait être ? Curieux, ils se dirigèrent vers la pièce du jeune et regardant par la serrure, ils l’aperçurent souriant pendant qu’il faisait l’amour avec une des nombreuses fissures que ces murs lui offraient
17. Ce fut Tony qui prit en premier la parole ; se tournant vers le vieux, il dit : « Dis-nous comment tu t’appelles, qui tu es, d’où tu viens ; ça nous ferait plaisir d’écouter ton histoire, si bien sûr tu en as une a raconter »
18. Madame Quinn était une pauvre vieille un peu sourde et boiteuse ; et quand, avec sa démarche lente et fatiguée, elle arriva à la porte et ouvrit, elle poussa un cri de stupeur et se tournant vers Mary hurla : « Qui est cet homme ? »
19. et ils allèrent ainsi vers cet endroit ; mais arrivé chez Tony, le vieux Mac Ollister mit une main dans sa poche, prit les 20 livres sterling et les 10 pence, les donna à Mary et lui dit : « Pourquoi vous les jeunes qui jouissez du fruit de la jeunesse, vous voulez aussi jouir du fruit de la vieillesse ? »
20. Notre particularité cellulaire est justement celle-là : grâce à notre organe pectoral, chaque atome est modifié, et il est capable de scinder l’énergie, qui afflue vers lui, en charge positive et négative, et, il est aussi capable de se reproduire en formant, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, de nouvelles cellules vivantes
21. La période pendant laquelle nous restons, par exemple, sans un bras ou sans une jambe dure peu de temps, très peu de temps, parce qu’automatiquement une énorme quantité d’énergie est soustraite de la mer vers notre organe et ensuite redistribuée aux cellules les plus proches de la partie manquante ; elles se reproduisent et, en un rien de temps, nous avons un nouveau bras ou une nouvelle jambe »
22. Aussitôt dit aussitôt fait, elle me prend par la main et sans dire un mot elle me guide vers une petite porte située derrière la grande pièce
23. Je ralentis ma vitesse et je me dirige lentement vers le fond
24. L’acte terminé, qui m’a délicieusement et complètement assouvi, je décide de reprendre la voie de la mer vers de nouvelles aventures
25. Je décide alors de détourner mon attention vers le fond que, outre les coraux et les éponges, de touffues posidonies colorent de vert
26. Dans le même temps, ma langue continue son œuvre de dégustation sur son nez, sur ces sourcils, sur sa tête ; elle revient alors sur ces tendres lobes, pour ensuite descendre vers son cou
27. « Cette sortie » - me dit-elle – « est consentie uniquement pour la reine et à celui dont elle veut ; c’est un fort champ magnétique qui enveloppe le corps et qui le pousse vers le haut par la force d’un électro-aimant, particulier et sophistiqué, appliqué sur la statue, lequel, en même temps, dans sa partie externe, sert de barrière aux eaux, empêchant ainsi qu’elles déferlent dans la salle »
28. De grands magasins, laboratoires et ateliers entouraient leurs maisons convergentes vers une construction centrale, où assurément habitait le régnant
29. « Je me souviens qu’une fois » - me dit-elle – « quand, désireuse de nouvelles découvertes et émotions, je m’éloignai durant des mois entiers, vers des eaux inconnues très lointaines d’ici ; cela faisait des semaines que je nageais et ma vitesse m’avait conduit à l’autre bout du monde, où le fond des mers se déchire pour former de profonds abysses où l’obscurité la plus totale règne incontestablement
30. L’humanoïde, arrivés que nous fûmes aux premières cabanes, s’éloigna et se dirigea en courant vers la cabane la plus grande
31. Et disant cela, il appuie sur un bouton et immédiatement cela actionne l’ouverture d’une cloison qui permet le passage vers la mer
32. Tout à coup, l’un d’entre eux se détache du groupe et se rapprochant lentement me dit : « Merci, nous t’en sommes reconnaissants et pour te récompenser nous t’offrons ces pierres » - et il nage rapidement vers un côté du mur qui entoure le petit lac ; il fait usage de sa force avec son museau à un certain point, et, aidés par ses compagnons, il réussit à décrocher la mousse superficielle
33. Cette idée me donne un nouvel enthousiasme et je nage vers le haut pendant que mon imagination, elle, navigue vers les richesses, femmes et banquets
34. Je me retourne de l’autre côté, vers le Sud, et même de ce côté-là ces montagnes blanches se rapprochent de moi menaçantes ; maintenant, d’implacables plaques de glace m’entourent complètement
35. faute de place, de lever les yeux vers le ciel au lieu de les
36. baisser humblement vers la terre
37. pensées, ses désirs vers les personnes que l'on veut
38. Et les cordes, simplement en libres vers
39. Vers les pas perdus
40. Vers le monde de ceux que l’obscurité absorbe
41. De fait, elle n’avait pas eu le courage de repousser ces bras velus tendus vers elle
42. Elle se créait un monde à elle seule à travers les ronces vers les étoiles !
43. Se tournant vers un écran montrant le déroulement de la bataille entre les unités lourdes morgs et la flotte principale de l’Amiral Garth, il ne put s’empêcher de faire la grimace : Garth ne disposait plus que de 43 cuirassés et de l’INVINCIBLE, tandis que les Morgs l’acculaient encore avec plus de 300 navires de premier rang
44. Mreg-Hel se tourna finalement vers son officier des opérations
45. La décharge d’énergie, s’étendant constamment comme elle se dirigeait vers la flottille du MARCO POLO, fut suivie par l’explosion du croiseur expérimental morg
46. ‘’Dans ce cas, recalculez le cap vers la Terre et transmettez aux autres navires notre nouvelle route
47. Passez la consigne suivante à toute la flotte : nous allons faire route ensemble à vitesse maximum vers la Terre
48. Sur ce, Montoya se dirigea d’un pas fatigué vers sa cabine, laissant une Lieutenant Bosango se demander nerveusement quelle serait la première tuile à lui tomber sur la tête
49. Après les politesses d’usage, il se tourna vers Lynn Tsu
50. Busson pointa le nez de son appareil vers la côte est de l’Amérique du nord, son premier objectif