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    camus


    1. personnalités aussi: l'écrivain et éditeurMichel Camus, le physicien des particules élémentaires Basarab


    2. Il savait très bien que Vâria ne voudrait pas de ce maussade individu camus, mais cependant il l’invitait à l’épouser


    3. Et elle essuya soigneusement le museau camus de Monsieur, çà et là tacheté de jaune


    4. Est-il laid à faire peur, avec de grosses lèvres et un nez camus ?


    5. Ils échangèrent encore quelques politesses, et, tout à coup, à petits pas de flânerie, le penard se dirigea vers les huttes où, de leur groin camus soulevant le dessous des portes, hognonnaient les gorets


    6. M’avoir préféré l’autre ! Tout le monde s’accorde à dire que je suis assez bel homme, et l’autre il était affreux, un petit homme camus


    7. Sa figure était plate comme une tête de mort, ainsi que le dit le vulgaire ; son nez, camus et punais ; ses lèvres, si minces, si imperceptibles, que sa bouche semblait incisée dans sa face ; lorsqu’il souriait d’un air méchant et sinistre, on voyait le bout de ses dents, presque toutes noires et gâtées


    8. Il est venu me confier que le général Dumouriez a fait arrêter, il y a quelques jours, le ministre Beurnonville et les quatre représentants Quinette, Lamarque, Bancal et Camus, qui s’étaient rendus à son camp, devant Condé, pour lui intimer l’ordre de comparaître à la barre de la Convention afin de rendre compte de sa conduite


    9. — Elle m'en fait bien d'autres, disait-elle, et je ne suis occupée qu'à la rincer continuellement! Si vous aviez donc la complaisance de commander à Camus l'épicier, qu'il me laisse prendre un peu de savon lorsqu'il m'en faut? ce serait même plus commode pour vous, que je ne dérangerais pas


    10. »Les hommes étaient petits et camus, couverts de vieilles peaux dépoilues, armés de lances grossières et d'arcs sans beauté

    11. [294] Écrite à la fin du douzième siècle par le troubadour provençal Bernard Treviez, et traduite en espagnol par Félipe Camus, Tolède, 1526


    12. » Plusieurs députés parlèrent contre cette lettre, entre autres Camus


    13. Mais le lundi suivant, 1er juin, Rabaud de Saint-Étienne, un de nos commissaires, étant venu nous dire que le ministre Necker leur proposait d’accepter la vérification des pouvoirs par ordre, et de s’en remettre, pour tous les cas douteux, à la décision du conseil, il fallut bien reconnaître que Camus avait raison : – le roi lui-même était contre la vérification des pouvoirs en commun ; il voulait trois chambres séparées, au lieu d’une seule ; il tenait avec le clergé et la noblesse, contre le tiers état ! – Nous ne pouvions plus compter que sur nous-mêmes


    14. » Camus, Barnave, Sieyès parlèrent


    15. » Banant-Saint-Étienne, qui avait commencé son almanach de 1790 par ce mot: La révolution est finie; Quinette, un de ceux qui précipitèrent Louis XVI; le janséniste Camus, qui rédigeait la constitution civile du clergé, croyait aux miracles du diacre Paris, et se prosternait toutes les nuits devant un christ de sept pieds de haut cloué au mur de sa chambre; Fauchet, un prêtre qui, avec Camille Desmoulins, avait fait le 14 juillet; Isnard, qui commit le crime de dire: Paris sera détruit, au moment même où Brunswick disait: Paris sera brûlé; Jacob Dupont, le premier qui cria: Je suis athée, et à qui Robespierre répondit:L'athéisme est aristocratique; Lanjuinais, dure, sagace et vaillante tête bretonne, Ducos, l'Euryale de Boyer-Fonfrède; Rebecqui, le Pylade de Barbaroux, Rebecqui donnait sa démission parce qu'on n'avait pas encore guillotiné Robespierre; Richaud, qui combattait la permanence des sections; Lasource, qui avait émis cet apophtegme meurtrier: Malheur aux nations Reconnaissantes! et qui, au pied de l'échafaud, devait se contredire par cette fière parole jetée aux montagnards: Nous mourons parce que le peuple dort, et vous mourrez parce que le peuple se réveillera; Birotteau, qui fit décréter l'abolition de l'inviolabilité, fut ainsi, sans le savoir, le forgeron du couperet, et dressa l'échafaud pour lui-même; Charles Villette, qui abrita sa conscience sous cette protestation: Je ne veux pas voter sous les couteaux; Louvet, l'auteur de Faublas, qui devait finir libraire au Palais-Royal avec Lodoïska au comptoir; Mercier, l'auteur du Tableau de Paris, qui s'écriait: Tous les rois ont senti sur leur nuque le 21 janvier; Marec, qui avait pour souci «la faction des anciennes limites»; le journaliste Carra qui, au pied de l'échafaud, dit au bourreau: Ça m'ennuie de mourir


    16. Dambreuse, qui se brodait une paire de manchettes, le regardait, en dessous, avec ses prunelles d’un bleu pâle ; et miss John, l’institutrice à nez camus, en avait lâché sa tapisserie ; toutes deux paraissaient s’écrier intérieurement : « Qu’il est beau ! »


    17. Ce fut tout ce que put dire Camus, qui, les larmes aux yeux et les dents serrées, brandit un poing menaçant dans la direction de Velrans


    18. À un soulier, on mit de la ficelle de fouet, à l’autre de la ficelle de pain de sucre prise à une garde d’épée ; des morceaux de tresse serrèrent les bas aux jarrets ; on trouva une épingle de nourrice pour rejoindre et maintenir les deux ouvertures du pantalon ; Camus même, ivre de sacrifice, voulait défaire sa fronde à « lastique » pour en fabriquer une ceinture à son chef, mais l’autre noblement s’y opposa ; quelques épines bouchèrent les plus gros trous


    19. – Oui, répondit-on simplement, et Camus le lapidé vint lui serrer les mains en silence, pendant que la petite troupe, très vite, s’égrenait par les sentiers et les chemins qui conduisaient chacun à son domicile respectif


    20. – Y as-tu dit que c’était pour délivrer Camus et que si vous aviez été plus lestes, ils ne m’auraient pas chopé comme ça ?

    21. – C’est bon ! coupa Camus, clouant son adversaire par un argument péremptoire, toi ! on sait bien pourquoi tu n’oses pas te mettre tout nu


    22. – Non, non ! opinèrent certains guerriers qui, intrigués par les révélations de Camus et curieux de l’anatomie de leur camarade, voulaient, de visu, se rendre compte de ce que c’est qu’une envie et tenaient absolument à ce que Boulot se déshabillât comme tout le monde


    23. – Je sais, moi, déclara Camus


    24. Et il fut conclu illico que le lendemain, après avoir dépêché en éclaireurs Camus avec deux autres bons gaillards qui protégeraient le gros de l’armée, on viendrait s’installer là pour se mettre, si l’on peut dire, en tenue de campagne


    25. Le voeu de Lebrac fut exaucé, mais la chance qui le favorisa faillit bien, par contrecoup, être fatale à son cher Camus, et sans l’intervention aussi habile que discrète de La Crique, qui jouait des lèvres et des mains comme le plus pathétique des mimes, ça y était bien, Camus était bouclé pour le soir


    26. Camus, simulant une amnésie momentanée et partielle, le front plissé, les doigts énervés, semblait profondément réfléchir et ne perdait pas de vue La Crique, le sauveur, qui s’ingéniait


    27. Camus saisit qu’il ne fallait pas avoir tué ni volé ; il le proclama incontinent et les autres, par l’organe autorisé de La Crique, auquel ils mêlèrent leurs voix, généralisèrent la réponse en disant qu’il fallait jouir de ses droits civils


    28. Les yeux de Camus fixèrent La Crique, puis le plafond, puis le tableau, puis de nouveau La Crique ; ses sourcils se froncèrent comme si sa volonté impuissante brassait les eaux de sa mémoire


    29. Qu’est-ce que ça pouvait bien vouloir dire ? Non, ça ne disait rien à Camus ; alors le souffleur fronça le nez, ouvrit la bouche en serrant les dents, la langue sur les lèvres, et une syllabe parvint aux oreilles du naufragé :


    30. Il se trouva dans la salle un imbécile pour rire de la punition : Bacaillé, le boiteux, et cet acte stupide de mauvaise camaraderie eut pour conséquence immédiate de mettre en colère le maître d’école, lequel s’en prit violemment à Camus, qui risquait fort la retenue :

    31. – C’est Forbach ! Des Morbachs c’est l’artilleur de chez Camus qui en parlait aux Chantelots l’autre dimanche qu’il était en permission


    32. Quand quatre heures sonnèrent, qu’ils eurent filé à la maison prendre le chanteau de pain habituel et qu’ils se trouvèrent de nouveau rassemblés à la carrière à Pepiot, Camus, certain d’être en avance, partit avec Grangibus et Gambette pour surveiller la lisière, pendant que le reste de l’armée filait en toute hâte se mettre en tenue de bataille


    33. Camus, arrivé, monta sur son arbre et regarda


    34. Camus, juste à ce moment, engageait les hostilités et « ciblait » Migue la Lune à qui il voulait absolument, disait-il, casser la gueule


    35. Les Velrans, prévenus par Touegueule, émule et rival de Camus, de la seule présence de quelques ennemis, et enfiévrés encore au souvenir de leur victoire de l’avant-veille


    36. Touegueule, qui était descendu pour prendre part à la curée, regrimpa sur son foyard pour voir si, d’aventure, des renforts n’étaient pas arrivés au Gros Buisson ; mais il s’aperçut tout simplement que Camus était redescendu de son arbre et, la fronde bandée, se tenait près de Grangibus et de Gambette, ces derniers aussi sur la défensive


    37. Il décida donc, immédiatement approuvé par les grands conseillers, enthousiastes encore au souvenir de la prise de Lebrac, qu’il serait bon aussi de piger Camus qui justement remontait sur son chêne


    38. Lebrac au centre, au pied du chêne de Camus, debout, le corps entièrement dissimulé par le fût du gros arbre, tendait en avant sa tête farouche, dardant sous ses sourcils froncés ses yeux fixes et flamboyants, le poing gauche nerveusement serrant son sabre de chef à garde de ficelle de fouet


    39. Camus qui, au moment de l’assaut, était redescendu de l’arbre, et avait, on s’en souvient, gardé ses vêtements, s’avança prudemment jusqu’au contour du chemin pour explorer les alentours


    40. Le père Bédouin vit Camus en même temps que l’aperçut celui-ci, mais si le gosse avait parfaitement reconnu le vieux du premier coup, la réciproque n’était heureusement pas vraie

    41. Camus, lui, comme bien on pense, ne perdit pas son temps à attendre le garde champêtre


    42. Zéphirin, voyant s’enfuir Camus, ne douta pas un seul instant que ces sales morveux étaient encore en train « de lui en jouer une » ; il se souvint du coup de l’avant-veille où l’autre lui avait montré son derrière sans voiles et, comme il se sentait d’attaque ce soir-là, il piqua un pas de gymnastique pour rattraper le galopin


    43. Camus, Grangibus et La Crique, tous trois vêtus, pour protéger le retour et la mise en tenue de leurs camarades, avaient réalisé ce que Boulot avait eu un instant l’intention de faire et attiré Zéphirin par les pâtures de Chasalans, loin, loin, du côté de Velrans, afin aussi de lui donner le change et lui laisser croire, sa faible vue aidant, que c’étaient les gamins du village ennemi qui étaient les seuls coupables de cet attentat à sa dignité de vieux défenseur de la « Pâtrie » et de représentant de la « loâ »


    44. Tous les signaux de méfiance et de ralliement étant convenus d’avance, le bois ennemi étant désert, Camus et ses deux acolytes, quand ils jugèrent le moment venu, cessèrent de crier des injures à Bédouin, firent un brusque crochet dans les champs, longèrent en rampant le mur de la pâture à Fricot, rentrèrent dans le bois et, par la tranchée du haut, vinrent déboucher dans les buissons du communal, à une centaine de mètres au-dessus du coude du chemin, c’est-à-dire du champ de bataille


    45. Toi, Camus, tu grimperas aux arbres pour la détacher, tu monteras haut, il en faut de longs bouts


    46. Quelque gros que fût l’arbre, Camus, comme un lutteur antique, l’attaquait à bras le corps, franchement ; souvent même ses bras trop courts n’arrivaient pas à en étreindre complètement le tronc


    47. – Frotte, mon vieux ! ricanait Camus qui les avait toutes trempées dans l’eau


    48. Il conféra à Tétas les pouvoirs de chef et lui dit : « Dedans » un quart d’heure, quand on sifflera, si t’as rien vu, tu monteras sur le chêne à Camus et si tu ne vois rien encore, c’est qu’ils ne viendront sûrement pas ; alors vous reviendrez nous rejoindre au camp


    49. Les autres, dociles, acquiescèrent, et, pendant qu’ils allaient prendre leur quart de garde, le reste de la colonne monta au repaire de Camus, où l’on s’était déshabillé la veille


    50. On était vraiment bien dans la cachette à Camus ; du côté de Velrans, au couchant et au midi et du côté du bas, la carrière à ciel ouvert formait un rempart naturel qui mettait à l’abri des vents de pluie et de neige ; des autres côtés, de grands arbres, laissant entre eux et les buissons quelques passages étroits, arrêtaient les vents du nord et d’est pas chauds pour un liard ce soir-là














































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