1.
Mais ce qui ameutait la foule, c'était, à la ganterie, un chalet suisse fait uniquement avec des gants: un chef-d'oeuvre de Mignot, qui avait exigé deux jours de travail
2.
Sa voisine, madame Vigouroux, la charbonnière, lui rendait son salut, une petite femme grasse, la face noire, les yeux luisants, fainéantant à rire avec des hommes, adossée contre sa devanture, que des bûches peintes sur un fond lie de vin décoraient d'un dessin compliqué de chalet rustique
3.
Ces élongis figuraient l'entablement des deux façades, et ce fut à leur extrémité que reposèrent les hautes fermes du toit, dont l'extrémité inférieure surplombait la muraille, comme la toiture d'un chalet
4.
Car Boisflambard ne fréquentait, dans la journée, que les brasseries de dames ; le soir, que le bal Bullier ou un petit concert énormément tumultueux, disparu depuis, qui s’appelait le Chalet
5.
Dans un sens particulier, dans le sens chalet, Paris est une véritable petite Suisse
6.
« C’est vous le premier qui m’avez annoncé que le chalet était habité ; je dus attendre, pour y aller, qu’il fît jour, mais l’état d’énervement dans lequel je me trouvais m’empêcha de dormir et alors je me glissai dehors, sans aucune crainte, sachant combien vous avez le sommeil dur
7.
Bien que l’histoire se passe dans un chalet, vous pouvez écarter de votre esprit toute idée d’Helvétie
8.
À tous les deux coins de rue, un poste d’essence cherchait à attirer les chalands par ses faux airs de chalet ou de mission californienne
9.
Eugène Sue logea d’abord chez lui ; puis, un petit chalet étant venu à vaquer sur les bords du lac, il le loua pour la modique somme de quatre cents francs par an
10.
Aussi son petit chalet, là-bas, à part le luxe de la nature, qui lui avait fait un paysage charmant, quoique un peu triste ; aussi, disons-nous
11.
, son petit chalet était-il de la plus grande simplicité
12.
La fin de sa vie avait été troublée par l’entrée d’une femme dans cet humble chalet et dans cette vie triste mais calme, douloureuse mais sereine
13.
Le vendredi, il était si bien portant, que ce fut lui qui réveilla Charras, lui proposant de faire avec lui son ascension favorite, sur la montagne qui domine son chalet
14.
Sur le bord se dressait un chalet du plus pur style norvégien, où des domestiques tenaient à la disposition des hôtes du prince Ormanoff des grogs chauds, du thé et des pâtisseries
15.
Quand elle revint à elle, elle se trouvait dans le chalet, étendue sur un divan
16.
Et, tournant les talons, le prince Ormanoff sortit du chalet
17.
Pour fuir le spectacle déprimant de ces malheureux qui, le crachoir à la main, s’épient les uns les autres et suivent sur le voisin les progrès de la mort, elle quitta le Palace hôpital et elle loua un chalet où elle était seule avec son petit malade
18.
Un soir qu’elle se tenait sur la galerie du chalet, à cette heure du crépuscule si cruelle pour les cœurs tourmentés, elle vit
19.
Il leva la tête et regarda le chalet
20.
Il s’était arrêté, adossé à la barrière d’un champ, près de la porte du chalet
21.
Son toit de chalet en tuiles rouges s’avançait au-delà des murailles blanches, coupé çà et là par de larges assises de briques qui contrastaient agréablement avec la couleur verte des persiennes du premier et du second étage
22.
Le chalet du concierge se nichait à droite de l’entrée, dans la verdure d’un bosquet
23.
D’un geste léger, elle désignait le concierge qui lisait son journal près de la porte du chalet
24.
Le joli salon du chalet était situé au rez-de-chaussée, et, la soirée étant tiède, on avait laissé la fenêtre ouverte
25.
Comme il contournait le chalet pour gagner la grande allée du parc :
26.
C’était une de ces maisons que Barincq avait choisie pour ses enfants, une des plus élégantes, sinon des plus riches, en forme de chalet avec des avant-corps enguirlandés de plantes grimpantes, au milieu d’un jardin aux arbres toujours verts, aux magnolias gigantesques, sur les pelouses duquel s’élançaient des touffes de gynerium d’une végétation extraordinaire, digne de celle des pampas
27.
Bellerive, devant habiter la spacieuse et confortable maison de son beau-père, avait eu la pensée de construire un simple et joli chalet pour Mme de Verneuil qui, avec sa sœur, lui avait en réalité sauvé la vie par ses soins dévoués
28.
Ce chalet, vraiment digne de son nom par sa construction pittoresque, s’élevait gracieux et coquet sur les fondements du château des rats, et attenait à cette partie de la propriété si agréablement boisée
29.
Il demeura trois mois à Laitzen, dans le petit chalet loué à son arrivée
30.
Il fit prendre à sa voiture le plus long chemin, celui qui passait devant le Chalet rose
31.
Au détour du chemin, le chalet se dressa
32.
Tout autour du chalet, d’énormes lanternes aux verres teintés de rose, suspendues à des potences délicatement forgées, répandaient leur puissante clarté sur la route et sur le magnifique jardin qui s’étendait derrière l’habitation
33.
Elle prit le chemin qui passait devant le chalet
34.
Au détour du chemin, le chalet apparut, baigné de soleil, couvert d’un manteau de vigne vierge aux tons de pourpre pâle
35.
Quelques secondes, Wilma s’arrêta pour admirer les fines sculptures des balcons de bois et la merveilleuse collection des bégonias, de tous les tons de rose, qui ornait le devant du chalet
36.
Le comte eut un léger mouvement d’impatience, son front se creusa soudain, et, détournant la tête, il entra dans le merveilleux hall du chalet
37.
– La vieille princesse du chalet qui te faisait tant peur l’année dernière encore ?
38.
– Oui, nous venons de rencontrer près du chalet le comte et sa tante arrêtés avec mademoiselle Wilma, dit Heinrich
39.
Toutefois, Wilma se demandait pourquoi il avait pris cette attitude seulement après leur rencontre près du chalet, alors que ce matin-là, il s’était montré absolument à son ordinaire
40.
– En temps ordinaire, oui, mais on a signalé hier à mon neveu la présence d’un individu de fort mauvaise mine qui rôde surtout aux environs de Runsdorf et du Chalet rose
41.
Ils retournèrent vers le chalet, en glissant sur la surface étincelante du lac
42.
Wilma se dirigea vers le chalet
43.
Sur la demande de ceux-ci, elle s’engagea sur la route qui passait devant le chalet
44.
En tournant machinalement la tête vers sa gauche, elle vit tout à coup, à quelques pas d’elle, un homme appuyé au tronc d’un arbre, le visage tourné vers le chalet rose dont on apercevait d’ici la silhouette claire
45.
Elle voulut m’avoir à son service : mes parents, ravis, s’empressèrent d’accepter, et je partis pour le chalet
46.
Je me sauvai du chalet, mes parents me gardèrent, mais ils n’osèrent se plaindre
47.
Et si j’ai été pendant tant d’années un misérable, un vagabond, c’est à elle que je le dois, dit-il avec une sourde colère, en tendant son poing vers le chalet
48.
Néanmoins, bien que la princesse Olgoff lui eût offert un asile au chalet, il demeurait à Runsdorf
49.
Un quart d’heure plus tard, la chanoinesse, appuyée au bras de sa demoiselle de compagnie, sortait du chalet et prenait la route de Runsdorf
50.
Marie, retournez au chalet, faites emballer ce qui m’appartient, je l’enverrai chercher plus tard, venez ensuite me retrouver à Runsdorf
51.
– Je vous approuve, mes enfants, et c’est pourquoi me voici hors du chalet, dont désormais je ne dois plus franchir le seuil
52.
– Il y en avait un second, celui que possédait la princesse Olgoff ; il fut brûlé par Hans Muller, lorsqu’il était domestique, au chalet
53.
Je voudrais qu’il plût ce soir à ne pas mettre un chien dehors, et être dans un drôle de petit chalet à l’ancienne mode, à entendre un beau feu de bois
54.
– Il y a quelque temps, quand mon chalet des Avants a été haché, tu as voulu que je le recommence, et tu m’as proposé de retourner en Suisse pour le peindre
55.
Mais ils étaient déjà arrivés dans le bois, et la voiture avait dépassé le chalet de la Porte-Jaune qu’il n’avait encore rien obtenu
56.
– Mon oncle, dit-il, je quitte cette maison, je quitte la France pour aller me cacher en Suisse, dans un chalet où j’ai été heureux avec elle
57.
Après un intervalle plus long qu’à l’ordinaire, elle fit savoir à son amie que son mari avait loué à Passy une sorte de chalet qui leur permettrait de vivre plus économiquement qu’à Paris, de cultiver un joli jardin et de respirer l’air pur du bois ; mais, aucune allusion à la publication du nouveau journal
58.
Le chalet avait ce je ne sais quoi de français, de coquet, de riant, d’où se dégage la gaieté : rideaux relevés par des rubans roses ; jalousies peintes en vert ; jardin tout en fleurs ; Montjoie sonne ; Fanny Mire lui ouvre la porte
59.
Le lendemain matin, le facteur remit deux lettres au chalet de Passy ; l’une, adressée à lady Harry, portant le timbre de Londres, était de Mme Vimpany ; quelques lignes de Hugues s’y trouvaient annexées, les voici :
60.
L’une des occupations favorites du docteur, c’était la photographie, il prenait des instantanés tantôt dans l’intérieur, tantôt à l’extérieur du chalet
61.
À midi, elle arriva au chalet, comme c’était convenu ; le docteur l’avait introduite dans la chambre du malade, qui dormait d’un sommeil paisible, couché sur un sofa, le lit n’ayant pas encore été refait ; après avoir indiqué les drogues à faire prendre au patient qui dormait profondément, le docteur avait quitté la pièce
62.
– Figurez-vous un grand chalet qui abrite tout le clan et le protège contre la grosse chaleur, contre la pluie, contre le vent
63.
Moi, quitter le chalet où est né mon enfant ! Ne plus m’asseoir à la place où je l’ai bercé sur mes genoux ! C’est impossible, monsieur
64.
On bâtit pour ta bonne mère un joli chalet ; elle aura tout ce qu’il lui faut
65.
Ne voyait-elle pas chaque jour des hommes entreprendre des ascensions et revenir au chalet ? Puis, passant à d’autres sentiments, elle se disait avec un certain orgueil : « Ah ! je comprends bien qu’une étrangère ait voulu l’adopter : il est si beau mon Franz ! Quel front ! quel regard ! Oh ! mon fils ! »
66.
Il n’en revenait pas : les grandes fenêtres du salon, ornées de lourds rideaux de soie rouge, si différentes des petites fenêtres d’un chalet, ces fauteuils symétriquement rangés, ces coussins, ces beaux flambeaux et mille riens dont Franz ne pouvait deviner l’usage !
67.
Je ne comprends pas, monsieur, comment je peux rester loin de ma mère et du pays ! J’aime bien Mme Saint-Victor ; mais le soir, quand je suis seul dans ma chambre, je me figure être à Schwytz dans notre chalet
68.
Il n’y a rien de si joli qu’un chalet, monsieur ! Figurez-vous une petite maison en bois, jaunie par le temps, plantée dans la montagne, au milieu des fleurs
69.
Sans doute, sa mère tenait toujours la première place dans son cœur ; mais le chalet et le Hacken étaient moins présents à son esprit
70.
Tu verras ma mère ; il y aura de la place pour toi dans notre chalet
71.
Mais il reste fidèle à la pensée de son pays : « Oh ! comme je courrai dans notre Suisse, le sac sur le dos, le bâton à la main ! Mais de tout ce que verront mes yeux rien ne les réjouira autant que ma mère ! Comme elle sera heureuse dans son beau chalet, avec son petit Franz devenu un monsieur riche ! »
72.
Il sourit à tous ceux qui le regardent avec bienveillance, et se dirige vers le chalet dont la vue redouble les battements de son cœur
73.
Le facteur se présentait souvent au chalet avec des lettres de Paris pour Franz Müller
74.
Je n’ai pas voulu quitter notre petit chalet où j’ai vécu avec ton père, où tu es né, mon Franz, où nous avons prié ensemble devant le vieux crucifix ! »
75.
Lhena comprit la pensée de son fils, et un matin on vit une voiture s’arrêter devant le chalet des Müller ; la mère et le fils y prirent place en compagnie du vieillard qui avait ramené Franz
76.
Hélas ! il n’a pas changé pour ce qui est de courir les montagnes, rentrer et fumer une pipe devant le chalet
77.
Une enseigne apprend aux promeneurs que le beau chalet qu’ils voient est une auberge
78.
Sa mère, son pauvre chalet, voilà ce qu’il désirait
79.
Si en se séparant de son fils, Lhena avait voulu rester dans le pauvre chalet où était né Franz, maintenant qu’il allait revenir, elle n’avait plus d’objection à habiter l’autre
80.
Un mois à l’avance, elle alla habiter le beau chalet qui lui avait été donné huit ans auparavant
81.
Il était satisfait aussi de voir que sa mère avait quitté le petit chalet pour mieux recevoir Mme Saint-Victor et ses amis
82.
Ils s’esquivèrent du chalet pour sauver les apparences, et ne rentrèrent qu’à l’heure du déjeuner
83.
À partir de ce moment, la joie régna au chalet, et Mme Saint-Victor commença une vie nouvelle
84.
Les adieux furent adoucis par la promesse de se revoir, car il fut arrêté, et bien arrêté, quoique sans notaire, que la famille Hallouin et Hippolyte passeraient, chaque année, une partie de leurs vacances à Schwytz, dans le beau chalet de Lhena Müller
85.
Il acheta donc un beau verre pour sa mère et un joli chalet pour sa sœur
86.
Au prix d’effroyables luttes contre les éléments, ils étaient parvenus à atteindre un modeste chalet qui se trouvait providentiellement sur leur route et à s’y engouffrer au moment où la situation devenait intenable, car ils étaient obligés de progresser presque à plat ventre
87.
Autour du chalet, la tempête faisait rage, soulevant des nuages de neige poudreuse qu’elle plaquait contre les vitres
88.
Le chalet va-t-il être soulevé et emporté dans une folle course à l’abîme ?
89.
Sur le toit du chalet, la neige chuchotait toujours ses secrets
90.
Sa première pensée avait été d’expédier ses sauveteurs au chalet
91.
Que de souvenirs s’éveillèrent alors dans l’esprit de Mlle Brou ! Les courses qu’elle avait faites encore enfant avec son père, ses journées chez la baronne ! À la vue du chalet, elle détourna les yeux, mais lorsque arrivée à un endroit où la mer apparaît et laisse voir Trouville, l’émotion de la pauvre fille fut à son comble
92.
Il fut heureux de retrouver son chalet
93.
Le chalet que nous habitions, à Saint-Ours, se trouvait dans un bosquet, à plusieurs arpents de la rue principale
94.
Si le nord s’était sûrement assoupi, au dehors, le chalet de fin de semaine n’en trépidait pas moins
95.
Lorsque les congénères de Joë répondirent enfin à ses hurlements, ils le trouvèrent se roulant d’angoisse sur le lit de sangle, dans la chambre du chalet à l’endroit même où ils l’avaient déposé, ivre-mort, quelques heures auparavant
96.
Jusqu’à l’âge de quarante ans, et que j’eusse passé une nuit dans le chalet À l’orée du bois, en face de la montagne, jamais la solitude nordique, et l’ombre d’une montagne, n’avaient occupé, à mon sens, une de mes nuits blanches avec autant d’appréhension morbide
97.
Avant que j’eusse passé une nuit blanche, dans ce fameux chalet à louer, avec l’ombre de la montagne, toutes les manifestations de la nuit n’étaient que pure matière à la littérature
98.
Pourquoi, à l’âge de quarante ans, dans ce chalet au cours de mes dernières vacances, autant d’appréhensions morbides m’avaient-elles assailli de connivence avec les ombres de la montagne ?
99.
– Depuis le début de la saison, j’avais constaté que les locataires de ce chalet n’y passaient guère plus d’une nuit
100.
C’est un beau chalet, à l’eau courante, et dont les fenêtres sont garnies de moustiquaires de cuivre