1.
) » l `Imrân>
2.
» [Sourate l `Imrân (La famille d’Imrân), verset: (57) ]
3.
Remarque: changeons de prescription et peut-être trouverons-nous d’autres résultats (il existe une autre expression de u, donnée par L
4.
lié à l'amour et à l 'impression d'exister qui commence à se construire avec le regard de la
5.
connaissons actuellement de l" homme", c'est à dire les aspects matériels, et énergétiques,
6.
Ceci est lié à l'amour et à l 'impression d'exister qui commence à se construire avec le regard de la mère pour son enfant
7.
Direction Départementale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes de l ’Ariège Mme Brigitte Dubois
8.
Notes sur le complément aux ‘Fleurs du mal’, L
9.
l Afrique, nous pourrons avant peu contrôler les propres découvertes du docteur Fergusson dans cette immense contrée comprise entre les quatorzième et trente-troisième degrés de longitude
10.
Aucun pouvoir ne saurait y rien changer: telle est la théorie reçue (L)
11.
Finalement, après de nouveaux gémissements maternels, on tomba d’accord sur L
12.
Passant avec sa compagnie dans la grand-rue de L
13.
Des gens du voisinage donnaient un grand bal costumé où devait se rendre toute la brillante société de L
14.
À la suite de quelques frasques dépassant les dimensions ordinaires des frasques admises, le vieux comte de La Hurlotte avait invité son fils à contracter un engagement de cinq ans dans l’infanterie française, et voilà comment le jeune Guy se trouvait l’honneur et la joie du 145e de ligne à L
15.
D et L, mais T
16.
J’obtins ainsi les lettres : L, S et I
17.
Il grasseyait, ne prononçant ni les R, ni les L
18.
” On avait signé des deux initiales L
19.
Ah ! si nous découvrions qui est cette L
20.
« – Dans ce cas, pourriez-vous m’apprendre quelle est la femme dont le nom et le prénom commencent tous les deux par la lettre L ? »
21.
Un jour pourtant, nous apprîmes qu’on avait vu là-bas, au loin sur l’Atlantique, flotter entre deux lames l’étambot d’un navire portant les lettres L
22.
Supposons que les lettres A à L représentent des genres alliés qui vécurent pendant l'époque silurienne, et qui descendent d'une forme encore plus ancienne
23.
Les lettres A à L peuvent représenter onze genres de l'époque silurienne, dont quelques-uns ont produit des groupes importants de descendants modifiés; on peut supposer que chaque forme intermédiaire, dans chaque branche, est encore vivante et que ces formes intermédiaires ne sont pas plus écartées les unes des autres que le sont les variétés actuelles
24.
Il est complètement désabusé; il sait que la vie humaine, quoi qu'on fasse pour l'accoutrer et l'attifer, ne tarde pas à se montrer, dans toute sa misère, à travers ces oripeaux de foire; il sait que, quoi qu'on fasse pour la peindre et l'orner, elle est, en somme, toujours la même chose, c'est-à-dire une existence dont il faut estimer la valeur réelle par l'absence des douleurs et non par la présence des plaisirs et encore moins du faste (Horace, l
25.
Ayant reçu un jour une punition corporelle de la main de Mlle L
26.
Un jour cependant il s'attira malgré lui une nouvelle punition de la main de Mlle L
27.
À partir de l'âge de dix ans et jusqu'à quatorze ans, L
28.
Un de ses condisciples, fils d'un riche propriétaire, avait des bottes d'écuyer; L
29.
N'ayant encore que quatorze ans, L
30.
L'idée de se laisser piétiner par des dames bottées ou de pouvoir baiser ces bottines procure à L
31.
À l'âge de vingt ans, L
32.
Dans ce cas, L
33.
D'ailleurs, cette sorte d'écoulement constitue pour L
34.
Le récit de cette maladie que nous venons de reproduire, s'étend jusqu'à une période récente, pendant laquelle L
35.
Bill s’occupait maintenant à rechercher dans son registre les noms commençant par L, lorsque l’ascenseur remonta et il en jaillit un Jim fortement agité :
36.
Séduit par un autre garçon, L
37.
«D'une nature très facile à exciter, dit L
38.
Je lui demandai pour quelle raison il préférait un garçon à un autre; L
39.
, avec lequel L
40.
pratiquait la masturbation mutuelle, lui fit un jour la proposition suivante: ut L
41.
se débattrait autant que possible et essayerait d'en empêcher L
42.
Note 73: (retour) C'est ainsi une sorte de sadisme rudimentaire chez L
43.
Instruit par un ami des conséquences de ses pratiques, L
44.
Jusqu'à quel point va la prédilection de L
45.
connaissait une belle jeune femme, douée de tous les charmes; mais sa main était quelque peu trop grande et n'était peut-être pas toujours aussi propre que L
46.
Par suite de cette circonstance, il était non seulement impossible à L
47.
D'ailleurs, pendant les années précédentes, L
48.
Mais quand L
49.
L'écoulement du sperme qui a lieu dans ce cas procure à L
50.
Quand, par exemple, le professeur dictait un devoir et que L
51.
La lettre L, par exemple, était au coin d’une petite vignette représentant un lapin
52.
Car c’était sa grande vanité et sa gloire suprême, au capitaine de Boisguignard, de posséder toutes les femmes de L
53.
Il s’agissait, cette fois-ci, d’une chanteuse de café-concert, nouvellement débarquée à L
54.
Tout l’élément joyeux de L
55.
Le père de L
56.
était un aliéné, le frère de L
57.
Pendant son service militaire, L
58.
terrassa la petite L
59.
On a constaté que L
60.
Après son arrestation, on constata que, depuis 1870, L
61.
Quand par hasard L
62.
On décrit L
63.
Note 274: (retour) Nouvelle L
64.
Pourquoi, si ce n’est par suite d’une habitude mauvaise, doublons-nous souvent la consonne l quand elle est simple, comme dans je l’l’ai vu (pour je l’ai vu), nous l’l’avons (pour nous l’avons) ? Et devons-nous nous résigner à garder toujours nos d et nos t sifflants ?
65.
Rodolphe s’approcha d’une des étroites fenêtres qui éclairaient le carré et examina ce mouchoir, magnifiquement garni de dentelles ; il portait brodés, dans un de ses angles, un L et un N surmontés d’une couronne ducale
66.
On se souvient que, dans sa visite à la maison de la rue du Temple, Rodolphe avait trouvé, sur le pallier même de l’appartement du charlatan, César Bradamanti, un mouchoir trempé de larmes, richement garni de dentelles, et dans l’angle duquel il avait remarqué les lettres N et L surmontées d’une couronne ducale
67.
un N et un L
68.
Les francs-maçons ont changé l'ordre des lettres, et en l'écrivant L
69.
Rassi appela cela conspirer ; il les fit condamner à mort, et l’exécution de l’un d’eux, le comte L
70.
Cette liste est imprimée à la page 234 du livre de l’honorable L
71.
Mais quoi ! toujours le roman ! Hélas ! l’on doit pardonner ces folies à une pauvre femme dont le sort réel est si triste ! Le vrai de tout ceci, c’est que le prince ne m’enverra point à la mort ; mais rien de plus facile que de me jeter en prison et de m’y retenir ; il fera cacher dans un coin de mon palais toutes sortes de papiers suspects comme on a fait pour ce pauvre L
72.
Rodolphe s'approcha d'une des étroites fenêtres qui éclairaient le carré et examina ce mouchoir, magnifiquement garni de dentelles; il portait brodés, dans un de ses angles, un L et un N surmontés d'une couronne ducale
73.
—La seule duchesse au nom de laquelle puissent se rapporter les initiales N et L est Mme la duchesse de Lucenay, née de Noirmont, dit le baron, elle n'est pas ici ce soir
74.
On se souvient que, dans sa visite à la maison de la rue du Temple, Rodolphe avait trouvé, sur le pallier même de l'appartement du charlatan, César Bradamanti, un mouchoir trempé de larmes, richement garni de dentelles, et dans l'angle duquel il avait remarqué les lettres N et L surmontées d'une couronne ducale
75.
F la sacristie, communiquant au cloître L et aux dépendances
76.
E des stalles pour les religieux, les deux ambons pour lire l'épître et l'évangile; F divers autels; G les fonts baptismaux; H un second choeur à l'occident; I un second exèdre pour les religieux; K l'école, avec ses cours disposées comme les impluvium romains, et des salles alentour; des latrines isolées communiquent au bâtiment par un passage; à l'ouest de ce bâtiment, des celliers, une boulangerie et une cuisine pour les hôtes; L la sacristie à la droite du choeur oriental; M une salle pour les scribes à la gauche du choeur, avec bibliothèque au-dessus; NN deux escaliers à vis, montant dans deux salles circulaires où se trouvent placés des autels dédiés aux archanges saints Michel et Gabriel; O l'entrée de l'église réservée au peuple, avec narthex; autour du sanctuaire I un double collatéral pour les fidèles; P le vestibule des familiers du couvent; R le vestibule des hôtes et des écoliers
77.
Le long du bas côté nord sont disposées diverses salles destinées aux maîtres des écoles, à ceux qui demandent asile, des dortoirs; S le réfectoire avec vestiaire au-dessus; T le cellier avec salle au-dessus pour conserver des provisions de bouche; U des bains; V le dortoir avec chauffoir au-dessous; le tuyau de la cheminée est isolé; X des latrines isolées et réunies au dortoir par un passage étroit et coudé; Y la cuisine avec passage étroit et coudé communiquant au réfectoire; ces passages sont évidemment disposés ainsi afin d'empêcher les odeurs de se répandre, soit dans le dortoir, soit dans le réfectoire; Z l'officine pour faire le pain sacré; b le jardin potager, chaque plate-bande est indiquée avec le nom des légumes qui doivent y être cultivés; b' la maison du jardinier; d le verger avec l'indication des arbres à fruits et leur nom; e un bâtiment réservé aux novices d'un côté et aux infirmes de l'autre avec chapelle double, chacun de ces bâtiments contient un cloître avec salles alentour, des chauffoirs, des latrines isolées; f les poulaillers et le logement du chef de la basse-cour; g le logement du médecin; h un petit jardin pour cultiver des plantes médicinales; h' la pharmacie; i le logement de l'abbé; j la cuisine de l'abbé, un cellier, des bains, et les chambres de ses familiers; l le logement des hôtes avec écurie, chambres pour les serviteurs, réfectoire au centre, chauffoir et latrines isolées; m des logements avec écuries et étables pour les palefreniers, les bergers, porchers, les familiers, les serviteurs, etc
78.
--K, L, étaient les deux abbatiales reconstruites à la fin du XVe siècle et au commencement du XVIe; M une boulangerie qui subsiste encore; S, N, les bâtiments rebâtis au commencement du siècle dernier sur l'emplacement des constructions primitives; P la paroisse; T la rue longeant la clôture de l'abbaye; V les jardins avec de grands viviers
79.
L, des logements et ateliers d'artisans
80.
L, le noviciat
81.
B le grand cloître; K le réfectoire; I la cuisine; M les dortoirs et leur escalier L; C le petit cloître, et P les cellules des copistes, comme à Clairvaux, avec la bibliothèque au-dessus; R la grande infirmerie, pour les vieillards incapables de se livrer aux travaux actifs, et les malades
82.
B est l'oratoire primitif qui avait été conservé; D la salle du chapitre; E le grand réfectoire; F la cuisine et ses dépendances avec sa petite cour séparée sur le cours d'eau; G le chauffoir; H le noviciat; I les pressoirs; K la sacristie; L des granges avec les logements des frères convers à proximité, en dehors de la clôture des religieux, comme à Cîteaux et à Clairvaux
83.
Le frère portier était probablement logé dans une cellule en L
84.
En B le cloître; en C le réfectoire; en D le pensionnat; en E le parloir, et le logement des tourières; en F les cuisines; G, les latrines disposées des deux côtés d'un cours d'eau; H, est le logis de l'abbesse; I des fours et écuries; K l'apothicairerie; L, l'habitation réservée pour le roi saint Louis, lorsqu'il se rendait à Maubuisson avec sa mère
85.
En B est le cloître; en A l'église qui est érigée sur le point culminant de la montagne; les espaces G, disposés en espaliers du côté sud, étaient les jardins de l'abbaye; sous l'église est une citerne; H un chemin de ronde auquel on accédait par un immense escalier fort roide L K, et qui était destiné, en cas de siége, à permettre l'introduction de secours du côté de la pleine mer; L est une fontaine d'eau saumâtre, mais bonne pour les usages ordinaires; M un oratoire sur un rocher isolé, dédié à saint Hubert; P une entrée fortifiée donnant accès dans une cour où les magasins de l'abbaye sont placés en Q; V et S sont des citernes et R un moulin à vent posé sur une tour; I une grande trémie en maçonnerie et charpente, par laquelle, au moyen d'un treuil, on faisait monter les provisions du monastère; 0 est la paroisse de la ville, et T le cimetière
86.
Du côté du midi, en I, sont placées les caves du logement de l'abbé et des hôtes, en L et en K des prisons et défenses
87.
Sous le clocher E était l'entrée de l'église pour les fidèles; I les dortoirs; K le réfectoire et L la cuisine; H la bibliothèque; N les pressoirs; 0 l'infirmerie; M les logements des hôtes et de l'abbé; X des granges et celliers
88.
A est l'église sans transsept et sans tours, conformément aux usages admis dans les couvents augustins; B la bibliothèque, longue galerie au-dessus du cloître; C les dortoirs des religieux; D le dortoir des laïques; E le grand cloître des religieux; F le cloître des laïques; G, le réfectoire; H l'infirmerie; I la cuisine, communiquant au réfectoire par un petit pont couvert; K des logements pour les hommes (hôtes), L et pour les femmes; M des maisons d'artisans; N, le logis de l'empereur (Charles-Quint); 0 chêne, dit la légende, sous lequel se trouvèrent réunies sept têtes couronnées; P la porte principale du monastère; R des vacheries et greniers à fourrages; S des jardins avec un labyrinthe, allées plantées d'arbres, chapelles, etc
89.
B est l'entrée du monastère, également destinée aux fidèles se rendant à l'église; A est le choeur réservé aux religieux; D la nef pour le public; C la porte des religieux; X la cellule du portier; V la procure; E le cloître; L la sacristie prise aux dépens d'une salle qui n'était pas destinée à cet usage; M des magasins; N les prisons; F le réfectoire et la cuisine G; K une chambre pour les visiteurs (parloir); le dortoir était au-dessus de la grande salle dans le prolongement du transsept, suivant l'ancien usage; Z des caves; au-dessus, des chambres à provisions; I la boulangerie; H une infirmerie et sa cuisine G; à côté, des écuries; R le logis de l'aumônier et son jardin; T le jardin des religieux; P le palais abbatial avec sa cour, son entrée particulière, ses écuries et communs 0, et son jardin à l'est; S la chapelle de la Sainte-Trinité
90.
G le petit cloître; autour, l'infirmerie et sa cuisine, des appartements pour les étrangers, et L une chapelle dédiée à saint Jean; O des ateliers pour des menuisiers et une cuisine; M la chapelle dédiée à saint Dominique; autour, les appartements des princesses avec dépendances et cuisines; près des cuisines maigres le logement de la prieure; à la suite, à l'est, le bâtiment des étrangers; à la suite du petit cloître, au sud, des granges, des celliers, des dépendances pour les princesses du sang royal, qui venaient souvent résider à l'abbaye de Poissy; puis de beaux jardins, viviers, etc
91.
C est une petite cour relevée, avec fontaine, réservée au prieur; G le logis du prieur; B est le choeur des frères et A le sanctuaire; L la sacristie; M des chapelles; K la chapelle de Pontgibaud; E la salle capitulaire; S un petit cloître intérieur; X le réfectoire, et V la cuisine avec ses dépendances; a la cellule du sous-supérieur avec son petit jardin b
92.
A est la galerie du cloître; B un premier couloir qui isole le religieux du bruit ou du mouvement du cloître; K un petit portique qui permet au prieur de voir l'intérieur du jardin, et d'approvisionner le chartreux de bois ou d'autres objets nécessaires déposés en L, sans entrer dans la cellule; C une première salle chauffée; D la cellule avec son lit et trois meubles: un banc, une table et une bibliothèque; F le promenoir couvert, avec des latrines à l'extrémité; H le jardin; I le tour dans lequel on dépose la nourriture; ce tour est construit de manière que le religieux ne peut voir ce qui se passe dans la galerie du cloître
93.
Ces rampes sont disposées de manière à être commandées par les défenses extérieures du château; ce n'est qu'après avoir traversé plusieurs portes et suivi de nombreux détours que l'assaillant (admettant qu'il se fût emparé de la barbacane) pouvait arriver à la porte L, et là il lui fallait, dans un espace étroit et complétement battu par des tours et murailles fort élevées, faire le siége en règle du château, ayant derrière lui un escarpement qui interdisait l'emploi des engins et leur approche
94.
Se fût-on emparé de cette porte, qu'on se trouvait à 7 mètres en contre-bas de la cour intérieure L du château, à laquelle on n'arrivait que par des rampes étroites, et en passant à travers plusieurs portes en K
95.
En L est l'hôtel des ducs de Bretagne
96.
Derrière le mur C on établissait des coursières de bois L, qui remplaçaient les chemins E des hourds de bois (fig
97.
Mais, dans les châteaux particulièrement, à cause du peu d'espace réservé entre leurs enceintes, les courtines devenaient murs goutterots des bâtiments rangés entre les tours le long de ces enceintes, de sorte que le chemin de ronde donnait accès dans des salles qui remplaçaient l'appentis de bois L, indiqué dans la figure 33 (voy
98.
Soit l'angle R H L de l'exagône sur lequel il faut faire un bastion
99.
On divisera un des côtés H L en trois parties égales, et chacune d'elles en deux, qui soient H F et H Q de l'autre
100.
H I sera fait de quatre pieds, et G L sera de cinq pas l'époisseur du parapet, K L sera tracé verticalement, mais K doit estre deux pas plus haussé que la ligne C V; après sera mené K N, le talus du parapet, N Y le chemin des rondes sera d'environ deux pas, et M moins de demi pas d'epesseur dont sa hauteur M Y sera de sept ou huit pieds; par après M P soit menée perpendiculaire sur C V, de façon qu'elle soit de cinq pas au-dessous de O; c'est-à-dire au-dessous du niveau de la campagne, qui est la profondeur du fossé