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    Use "mais" in a sentence

    mais example sentences

    mais


    1. Mais pour terminer en apothéose :


    2. Mais, à vrai dire, je ne suis ni pour, ni contre les règles


    3. Parlez de guerre ! Mais toujours avec humour


    4. Mais, surtout, ne m’assassinez pas au plus proche carrefour,


    5. Mais j’espère que, comme moi tu aimes et, jamais avec haine !


    6. Mais bien que mon patronyme soit Alé Alexandre,


    7. Mais tellement ouvert à la vie,


    8. Mais la réalité d'un homme qui t'aime


    9. Mais est-ce que ces conseils tu les appliques à toi-même ?


    10. Pourtant le doute envahit non pas mes sens, mais mon esprit

    11. Mais on la représente toujours comme une beauté féminine


    12. Eh bien non ! Elles sont rares, mais elles existent !


    13. J'écris, trop peut-être, mais c'est parce que je n'ose te le dire à voix haute


    14. Mais, voyant les arbres en fleur,


    15. Grâce à toi j'ai presque oublié qu'une multitude de couples souffrent sur terre, mais c'est surtout qu'ils sont


    16. Maintenant,mon amour, si tu penses que ce n'est que de la littérature,il vaut mieux mettre un terme à nôtre merveilleuse mais courte aventure


    17. Me ronge lentement, mais sûrement


    18. mais ne pouvant faire quíl soit force dóbéir à la justice, on a fait quíl soit juste dóbéir à la


    19. William est officiellement détenu dans la prison de Kuala Lumpur, mais en réalité, il vit en toute liberté sous une fausse identité aux Etats-Unis, précisément à Little Rock, Arkansas


    20. Que nous a fait cette mer si bénigne, qui nous lave chaque été de nos sueurs fétides, pour être remboursée d’une telle manière ? Souvent je m’approche des gens pour écouter leurs discours : tous logiques et idéaux en apparence, mais en levant le regard, et en le croisant avec le leur, je m’aperçois de la perfidie que renferme ces yeux

    21. Ensuite, je me regarde moi-même et pense : pourquoi cette stupide viande a-t-elle besoin de nourritures et liquides si c’est pour tout expulser ensuite ! Il est donc inutile de lui donner si elle n’en fait pas bon usage ! Mais l’instinct de survie prévaut sur quelconque logique


    22. Je pensais à Hemingway et à son « vieil homme et la mer » et je m’identifiais à ce personnage fantastique, je m’imaginais vieux avec une copieuse barbe et inculte, mais avec l’esprit tranquille pendant que je goûtais à cette douce saveur de tabac en l’aspirant de ma pipe de bruyère


    23. Ici, au contraire, dans cette baraque si voisine géographiquement, mais si lointaine idéalement, je me transforme, je renais ! Ce pêcheur, qui m’avait prêté le livre, était disposé, moyennant une belle rétribution naturellement, à me fabriquer le bateau que je désirais


    24. J’ai toujours admiré les Vikings : un peuple dur et brut, mais juste


    25. Grands conquérants, mais surtout grands explorateurs ayant découverts, ceci étant désormais prouvé, l’Amérique bien avant notre Christophe Colomb


    26. Je mis à peu près quatre mois pour terminer cette opération, mais déjà, le plus gros était fait ; j’avais en fait monté le virure aussi bien intérieur, qu’extérieur, et j’avais même fixé les ordonnées, qui sont le véritable squelette du bateau


    27. Mais, réfléchissant peut-être avec un peu de masochisme, je pense qu’il vaut sans doute mieux que je passe un peu de temps en ville, loin de ma baraque et de ma bateau


    28. Truc de fou ! Comment est-ce possible, pensai-je, que mon oncle éloigné ait réussi à me faire ce « beau cadeau » ?! D’accord, ce travail est complètement contraire à mes exigences et à mes expectatives, mais tenter ne coûte rien


    29. Je me rends, donc, dans une agence de voyages où, parmi toutes les brochures, dont certaines suggéraient des destinations vraiment belles et fascinantes, mais pleines de milliardaires, qui en troupeaux, s’affûtent les canines pour, ensuite dans leur ville, mieux les planter dans la viande tendre des agnelets, aux toisons tondues et sans défense, m’a intéressé justement celle qui, inconsidérée par toutes les personnes présentes, promouvait le charme de ville comme Alger et Tripoli et du désert voisin du Sahara


    30. Tout ce que je suis en train de manger ce soir me semble meilleur ; les plats savoureux que ma mère me prépare affectueusement chaque jour, ce soir, ils ont une autre saveur et ne seront pas indigestes comme d’habitude, mais ils remplieront pacifiquement mon estomac sans devoir lutter avec la terrible bile, ce liquide qui, avec le temps, s’est adapté à n’importe quel médicament et sédatif et qui, grâce à une puissante armure et un fouet d’épines, punit sans dérangement les visiteurs occasionnels de mon intestin

    31. Déjà, c’est beau d’être en haut ! Même lorsque j’étais soldat, j’insistais pour dormir dans le lit superposé supérieur, inconfortable à souhait, mais sans aucun doute moins odorante de la sous-jacente, que pets et masturbations du locataire du dessus rendaient plutôt dangereuse par manque total, à certains moments, d’azote, d’anhydride carbonique et d’oxygène


    32. Mais même là-haut, il n’y avait pas un parfum de rose : des effluves de gorgonzola détestable, dont semblaient être imprégnés les extrémités tellement ils haïssaient se salir d’eau, montaient comme des gaz invisibles jusqu’au plafond, en rendant la chambrée digne d’être mise en quarantaine


    33. Les chanceux, Nous étions peu nombreux, mais nous faisions le travail de beaucoup, en étant imbibés presque chaque soir d’urine et d’excréments de toutes dimensions et consistances, lorsque l’avertisseur qui sonnait le silence voulait nous régaler d’un peu de repos


    34. Mais je dis, quelle religion est-ce pour ne leur permettre de se laver que dans certaines périodes de l’année, c’est tout du moins comme cela qu’ils me l’ont dit, et qui fait qu’ils se pourvoient d’une grande quantité de parfum pour compenser ce manque de propreté ? Et puis, quelle odeur étrange a cette préparation ! Aux narines d’un profane, cela peut ressembler à une odeur de marijuana, mais pour celui qui, comme moi, regarde de plus près les incrustations de leurs pieds et de leurs bras, il est évident que c’est un mélange entre une odeur de lavande très parfumée et une puanteur insupportable


    35. Comme il aurait été content Matin Luther King ! Les Noirs se noircissaient encore plus, les Blancs, qui arpentaient les rues, sous entendu sans salaire, grappillant les ordures les plus sales et les plus noirs pour se les barbouiller dessus ; les femmes qui profitaient de l’occasion, après chaque rapport, pour utiliser toutes les sortes possibles et inimaginables de savons et détersifs que le riche marché américain propose : Quels milliardaires ces pharmaciens ! Et que dire des distributeurs automatiques, diaboliques dispositifs qui volent les clients des marchands de fruits et légumes, promettant, comme ils le font, de bonnes économies à qui achètent, seulement trois produits de la terre, avec une carte bancaire, pour prendre une commission ! Ils aiment quand même les traditions : quand ils doivent rejoindre une localité isolée, comme c’est le cas pour la cime des colossaux gratte-ciels, ils conservent le goût de mettre leur chapeau de cow-boy, mais qui s’envole régulièrement à cause du rapide galop


    36. Mais revenons aux boissons ; certainement boire en posant la bouche sur une boite n’est pas très hygiénique, mais ici à Alger, boire dans les verres serait une véritable aide aux lave-vaisselles ! Dommage, l’exhibition de la fille est déjà finie : je dois dire que ses voluptueuses contorsions ont visiblement secoué tous les spectateurs ; cela les a secoués à tel point que certains ont même perdu le contrôle de leur troisième soutien viril qui, véritable jambe aux réflexes prompts, se lève au déclenchement d’une moindre sollicitation menaçant la fermeture renforcée des pantalons


    37. Tant de gens dans les rues ! Quels beaux couples d’amoureux s’y rencontrent ! Affectueux et visiblement fou d’amour l’un pour l’autre, mais pressés car chaque minute est bonne pour produire la cinquantième grossesse


    38. Mais il n’y a pas danger ! Seuls deux ou trois cornichons, par jour, aident les nombreux habitants de ce quartier à le débarrasser d’un peu de gens


    39. Mais oui, Monsieur Dracula ! Peur de tant de jeunes femmes, ennemi juré de tous les anémiques ; et cela devient ainsi, malheureusement, en se servant chez des bouchers, richissimes magnats, qui trouvent plus avantageux pour leur business d’acheter des viandes chimiquement gonflées


    40. Les si nombreux petits trous dans les murs de ces ruelles ne peuvent certes pas être définis comme boutiques, mais c’est dans ces petits trous que l’on peut acheter tout type de marchandise : de riches étoffes aux armes les plus sophistiqués, de drogues légères à celles les plus dures et dangereuses

    41. Le sourire des vendeurs est tentant : comment résister à cette bouche ornée de seulement seize dents, fabuleusement recouvertes d’une patine jaune noirâtre ? C’est vrai, certains objets sont de contrebande, mais c’est sans doute pour se soumettre aux taxes gouvernementales qui, devant être payées rubis sur l’ongle, saliraient ce commerce irrémédiablement ? Quel malice chez ces incantateurs de serpents à sonnette et cobra ! Et quel danger courent-ils, s’il est vrai que le monde n’a pas changé depuis l’époque de Caïn et Abel ! Le dallage des ruelles est géométrique et de bon goût ; d’anciennes traditions l’on conçu ainsi et rien n’a changé avec le temps


    42. Je suis épuisé mais content : j’ai acheté une belle et puante gourde


    43. Mais demain matin, en louant une jeep, je commencerai enfin mon voyage, vers le désert, qui me conduira jusqu’en Libye


    44. Entre autre, je faisais coïncider ces rares moments avec des journées où les professeurs devaient nous expliquer des leçons ; et bien je ne sais pas pourquoi, mais ils changeaient d’avis


    45. Mais comble de malchance, justement ces jours-là, ils étaient eux aussi tout aussi ignorants, et ce qu’ils me susurraient, et que je répétais comme un perroquet, était toujours le contraire de ce que me demandait le malicieux et sadique professeur


    46. Mais à chacun son métier, et ainsi je me retrouve employé, heureux oui, mais quand j’urine volontairement sur les murs des toilettes du bureau


    47. La négociation pour la location de la jeep a été longue et fatigante, mais je me suis fait respecter ! En somme, j’ai peu payé pour la carrosserie ! Mais il est clair que le carburateur, les roues, les pistons, le radiateur et les autres composants du moteur m’ont coûté les yeux de la tête ! Grande fête chez le propriétaire complaisant du véhicule ! Imaginez que ses si nombreux enfants, au courant de l’habileté avec laquelle j’avais conduit l’affaire, se mirent en quatre pour réussir à me divertir : de vrais saltimbanques égayèrent ma vue avec des galipettes et des jeux ; ils restèrent même à terre en riant à tue-tête et en se grattant la panse


    48. Mais à quoi m’attendais-je pour le peu de centaines de milliers de lires déboursées ? Le garage, où j’étais allé, était assez propre et équipé, et l’employé, étrangement honnête, ne m’avait pas fait un devis trop exorbitant, en me parlant de dessous une voiture ; mais clairement en me voyant, il m’a suggéré d’apporter quelques modifications et le devis a doublé ! Je peux enfin partir !


    49. Mais que se passe-t-il ? Les gardes américains toujours aux aguets dans cette ville si vivace, courent haletant vers moi


    50. Prés herbeux et arbres séculaires écoutaient, silencieux, mes demandes suppliantes : ils avaient vaincus tant d’automne et jouis de tant de printemps ! tant de chlorophylle produite par leur laboratoire ! Et quelle grande fonction d’embellissement et d’oxygénation du milieu ont-ils, et si peu de considération et respect reçoivent-ils ! Mais ils continuent, ils ne tombent pas, ils ne se rendent pas, mais continuent, protégés par tant d’infatigables lumières stellaires, notre toit éternel à nous tous














































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    mais in English

    but yet still however except that only

    Synonyms for "mais"

    pourtant cependant néanmoins toutefois en revanche par contre