Use "nana" in a sentence
nana example sentences
nana
1. On l'appelait Nana, la caresse du nom d'Anna, que portait sa marraine
2. Le jour même où Nana prenait ses trois ans, Coupeau, en rentrant le soir, trouva Gervaise bouleversée
3. Mais au moment où la concierge s'éloignait, elle aperçut sur l'autre trottoir Gervaise, tenant Nana par la main
4. Elle se tut, cachant Nana dans sa jupe, craignant un cri de la petite
5. La blanchisseuse et la concierge demeurèrent sur le trottoir, causant du quartier, surveillant Nana, pour l'empêcher de barboter dans le ruisseau, où elle cherchait des petits poissons; et les deux femmes revenaient toujours à la toiture, avec des sourires, des hochements de tête, comme pour dire qu'elles ne s'impatientaient pas
6. Nana, amusée tout d'un coup par la vue de son père, tapait dans ses petites mains
7. Madame Boche, bouleversée, fléchissant sur les jambes, prit Nana entre les bras, pour lui cacher la tête et l'empêcher de voir
8. Madame Boche, après avoir emmené Nana chez elle, était revenue et racontait l'accident avec des détails interminables, toute secouée encore d'émotion
9. Je ne puis pas dire que c'était mérité, mais enfin la chose s'expliquait… Moi, j'étais à jeun, tranquille comme Baptiste, sans une goutte de liquide dans le corps, et voilà que je dégringole en voulant me tourner pour faire une risette à Nana!… Vous ne trouvez pas ça trop fort? S'il y a un bon Dieu, il arrange drôlement les choses
10. Le lit de Nana se trouvait dans la chambre de droite, un grand cabinet, qui recevait le jour par une lucarne ronde, près du plafond
11. Plus tard, mon Dieu! la Banban s'était montrée si douce, si hypocrite, qu'elle et son mari, par égard pour Coupeau, avaient consenti à être parrain et marraine de Nana; même que ça coûtait bon, un baptême comme celui-là
12. Quant à Nana, elle serait toujours bien reçue, si elle montait voir son parrain et sa marraine; la petite, n'est-ce pas? n'était point coupable des crimes de la mère
13. Cependant, Nana, vers la fin de l'été, bouleversa la maison
14. Dès la sortie de la classe, Nana se vengeait d'avoir été enfermée, en faisant une vie d'enfer sous le porche et dans la cour, ou les repasseuses, les oreilles cassées, lui disaient d'aller jouer
15. Nana régnait sur ce tas de crapauds; elle faisait sa mademoiselle jordonne avec des filles deux fois plus grandes qu'elle, et daignait seulement abandonner un peu de son pouvoir à Pauline et à Victor, des confidents intimes qui appuyaient ses volontés
16. Elle finit par fermer la porte des caves, parce qu'elle apprit par Pauline, à laquelle elle allongea une paire décalottes, que Nana avait imaginé de jouer au médecin, là-bas, dans l'obscurité; cette vicieuse donnait des remèdes aux autres, avec des bâtons
17. Elle mit son lit dans le grand cabinet où couchait Nana, et qui recevait le jour par une lucarne ronde, près du plafond
18. Il y avait là Étienne, Nana, Pauline et le petit Victor Fauconnier
19. — Maman! maman! s'écria brusquement Nana, c'est Augustine qui laisse tomber son pain dans la rôtissoire!
20. Dans la pièce voisine, à la table des enfants, Nana faisait la maîtresse de maison
21. D'abord, Nana avait servi ses invités très gentiment, avec des mines souriantes de grande personne; mais elle venait de céder à son amour des lardons, elle les avait tous gardés pour elle
22. Nana, furieuse, la mordit au poignet
23. Et il y eut une rentrée triomphale: Gervaise portait l'oie, les bras raidis, la face suante, épanouie dans un large rire silencieux; les femmes marchaient derrière elle, riaient comme elle; tandis que Nana, tout au bout, les yeux démesurément ouverts, se haussait pourvoir
24. Dans la pièce du fond, il venait d'y avoir une bataille furieuse entre Nana et Augustine, à propos de la rôtissoire, que toutes les deux voulaient torcher
25. Maintenant, Nana soignait le petit Victor, qui avait un os d'oie dans le gosier; elle lui fourrait les doigts sous le menton, en le forçant à avaler de gros morceaux de sucre, comme médicament
26. Nana se trouvait assise sur la descente de lit, auprès de Victor, qu'elle tenait contre elle, un bras passé autour de son cou; et, ensommeillée, les yeux fermés, elle répétait d'une voix faible et continue:
27. Maman Coupeau et Nana venaient de se coucher
28. C'était comme Nana: on l'élevait joliment mal, à son avis
29. Nana, ravie de voir ses parents se manger, se sentant excusée à l'avance, commettait les cent dix-neuf coups
30. En partant au bras du chapelier, à huit heures, Gervaise pria maman Coupeau et Nana de se mettre au lit tout de suite
31. Et elle écouta, l'oreille tendue vers le cabinet où couchaient Nana et maman Coupeau
32. Il faut dire que le cabinet où elle couchait avec Nana n'avait rien de gai
33. — Ce qu'il y a de plus dégoûtant, c'est que Nana aurait pu entendre, continua-t-elle
34. Et les Lorilleux, comme parrain et marraine, attiraient Nana chez eux pour avoir des détails
35. Nana restait sa préférée, parce qu'il aimait les petites filles gentilles
36. Elle ne parlait plus, tant elle suffoquait; mais, de son oeil resté bon, vivant et clair, elle regardait fixement les personnes; et il y avait bien des choses dans cet oeil-là, des regrets du bel âge, des tristesses à voir les siens si pressés de se débarrasser d'elle, des colères contre cette vicieuse de Nana qui ne se gênait plus, la nuit, pour aller guetter en chemise par la porte vitrée
37. D'ailleurs, Nana se montrait très brave, couchait toujours auprès de la vieille, en disant que, si elle l'entendait mourir, elle avertirait bien tout le monde
38. Nana, étalée sur le dos, avait un petit souffle, entre ses lèvres gonflées
39. Comme elle retournait auprès du corps, elle trouva Nana sur son séant, qui se frottait les yeux
40. Nana leva sur sa mère et sur Lantier ses grands yeux clairs, en prenant son air bête, son air du jour de l'an, quand on lui donnait des pastilles de chocolat
41. Mais la première, quand elle eut jeté un coup d'oeil rapide autour de la morte, haussa brusquement la voix pour dire que ça n'avait pas de bon sens, que jamais on ne laissait auprès d'un corps une lampe allumée; il fallait de la chandelle, et l'on envoya Nana acheter un paquet de chandelles, des grandes
42. Ensuite, on chercha de l'eau bénite; mais personne n'en avait, ce fut Nana qui courut de nouveau jusqu'à l'église en prendre une bouteille
43. Tout à coup, on entendit Nana, qui s'était échappée de chez les Boche, où on l'avait envoyée
44. Faites-les donc taire, et reconduisez Nana chez la concierge à coups de pied quelque part!
45. Lorsqu'on envoya Nana coucher chez les Boche, elle pleura; elle se régalait depuis le matin, à l'espoir d'avoir bien chaud dans le grand lit de son bon ami Lantier
46. Elle confia Nana à madame Boche, et elle rejoignit le convoi en courant, pendant que la petite, tenue par la concierge, sous le perche, regardait d'un oeil profondément intéressé sa grand'mère disparaître au fond de la rue, dans cette belle voiture
47. Dans le cabinet, le lit de Nana tenait juste; elle devait se déshabiller chez son père et sa mère, et on laissait la porte ouverte, la nuit, pour qu'elle n'étouffât pas
48. Ce fut cette année-là, en juin, que Nana fit sa première communion
49. Nana dansait de joie en pensant à la robe blanche
50. Justement, la veille, au moment où Nana émerveillée regardait les cadeaux étalés sur la commode, Coupeau rentra dans un état abominable