Use "paf" in a sentence
paf example sentences
paf
1. — Pardi! murmura Augustine, dont la tête roulait sur les épaules, ils sont paf; ils ont chanté comme les grandes personnes
2. Un lundi soir, Coupeau rentra paf
3. Vous comprenez, on ne dit pas à tout le monde qu'on a de ces joujoux-là… Ah! mes pauvres petites, nous tirions dans un arbre et, chaque fois, paf! l'arbre était touché… Vous verrez, vous verrez; dans quelque temps, vous entendrez parler d'Anatole
4. De sorte que les enfants qui jouaient dans la cour accoururent voir ce beau feu, en criant « pif ! paf ! » tandis qu’à chacun de ses pétillements le pauvre sapin songeait à ses beaux jours d’été dans la forêt, et à ses belles nuits d’hiver éclairées par la lueur vacillante des étoiles ; il songeait aussi à la nuit de Noël, et à l’histoire de Bonardin, – la seule qu’il sût au monde, la seule par conséquent qu’il pût raconter
5. Pouf ! paf ! fit à ce moment quelque chose qui partit au-dessus de leurs têtes, et les deux jars sauvages tombèrent morts, tandis qu’en même temps l’eau se rougissait tout alentour de leur sang
6. On entendit encore pouf ! paf ! et des bandes entières d’oies sauvages s’envolèrent du milieu des herbes et des roseaux
7. Les voyez-vous, hein ? Les voyez-vous courir, se précipiter, haleter, s’essouffler et hurler, en s’installant dans leurs autres mécaniques ? On aurait tout désengrené à l’avance et pif, paf, pan, uitt, uitt, au moment où ils veulent s’installer dedans, le Rayon Ardent passe et l’homme a repris sa place
8. Ah ! il n’aurait pas fallu lever la tête, sans quoi, paf !
9. Et le petit ouvrier saisit avec la main le fer rougi à blanc, le porte sur l’enclume et avec son martelet, pif ! paf ! patati ! patata ! en un clin d’œil l’étire, l’aplatit, l’arrondit et l’étampe si bien qu’on le dirait moulé
10. Tenez ! j’ai servi de passe-boule, moi qui vous parle, un petit matin de l’été dernier, près de la porte Dauphine, en plein bois – un type et ses deux poules – des balles de tennis qu’ils disent – pif, paf, dans la gueule – ohé maman ! Vous aureriez ri ! J’avais les yeux plus gros que des pommes, je saignais du nez, de partout
11. Et si un gosse a seulement manqué l’Évangile, pif ! paf ! deux paires de claques
12. Suis la gradation : d’abord je t’attendris, tendresse : tu t’exaltes, ardeur ; puis tu arrives jusqu’à l’ivresse et quand tu es bien enivrée, je te fais tomber, paf ! sur la vulgaire amitié
13. »Pif, paf, pouf! Nous nous bûchons d'emblée, et, tout à coup, il roule sur le plancher, en beuglant:
14. »Il commença à taper sur la Camarde, pif, paf, pouf! comme s'il eût touché sur un matelas
15. Pif ! paf ! des claques, à propos de rien
16. Pif, paf, tout de suite
17. paf, en me levant de table
18. Et quand les petits tombaient, pif, paf !
19. Pif, paf, pif, paf
20. Quand aux coups de bâton, aux coups de pied, aux affronts de toutes sortes, c’était autre chose, ils ne vous les ménageaient pas, et, à la moindre observation : « Ça ne te convient pas », paf ! vous étiez sur le flanc
21. – J’ai découvert le secret, vous voyez ! Ainsi regardez-moi cette petite femme à coiffure de sphinx qui danse avec un postillon russe, c’est net, sec, arrêté, tout en méplats et en tons crus : de l’indigo sous les yeux, une plaque de cinabre à la joue, du bistre sur les tempes ; pif ! paf !
22. Puisque Varon-Bey est tombé d’un anévrisme, quand il l’a vue, paf !
23. Des éclats de roches volent de tous côtés, puis aussitôt, dans le lointain, des coups secs : paf !
24. Porte-le dans ton corsage, et quand les méchants te voudront contrarier, paf ! tu leur fendras le ventre
25. Zim-la-hi-tou, paf !
26. Tout à coup, paf, il se dresse avec des yeux flamboyants, d’un coup de pied, il envoie sa chaise à l’autre bout du salon, et il se précipite sur moi en hurlant : « On est venu ici, on a visité mes papiers, on a photographié la lettre que voici !
27. Pour une fois que je tombe sur une vraie affaire, paf ! mon criminel fait banqueroute
28. Paf ! le coup partit en me secouant terriblement le bras
29. Pif paf pan ! Ah ! je pense mourir
30. Ça allait superbement ; je crois que j’étais même à la veille de faire un beau rêve, lorsque tout à coup j’entends tic ! toc ! pif ! paf ! sur le toit de ma maison
31. Paf ! le coup part ; mais en me donnant une maîtresse tape qui me flanque à l’eau
32. Ce ne fut pas long ; je fais le signal, les nôtres courent : pif ! paf ! pif ! paf ! sous le couvert ; le postillon qui fouette ses chevaux et vient verser dans les graviers ; trois habits bleus étendus par terre ; et le fourgon était forcé, la caisse enlevée, tout le monde disparu à travers buis et chêneaux, avant que les soldats, en train de boire, eussent eu le temps de se demander ce que voulaient dire ces coups de feu