Use "prononciation" in a sentence
prononciation example sentences
prononciation
1. Il a ainsi pu démontrer que la prononciation du nom de Dieu pendant l’abattage désinfecte les bactéries de la viande de l’animal, diminue les douleurs de la bête et protège contre les maladies incurables comme la vache folle ou la grippe aviaire
2. Par conséquent le résultat était conforme à la parole de son Eminence Amin Sheikho « les virus et les bactéries restent dans la chair du bétail abattu sans la prononciation du nom de Dieu » cet information scientifique a était publiée par les radios, les télévisions, par le satellite les agences de presse, les journaux et les magazines pour avertir les gens de ne plus égorger les bestiaux sans prononcer le nom de Dieu
3. Il fait une étude sur les lettres à qui il va donner un sens et une valeur dans leur prononciation
4. Ce langage devrait être à la fois, Agréable ( grâce à une prononciation aisée et plaisante) , Affiné ( grâce à des dénominations adéquates et des acceptions spécifiques) et Facond ( du fait de l'abondance des termes et de la variété des formulations)
5. L’anglais sans doute deviendrait en peu d’années la langue mondiale, si la prononciation en était moins arbitraire
6. La prononciation anglaise est la pierre d’achoppement de notre langue
7. On dirait que l’orthographe anglaise a surtout pour but de travestir la prononciation
8. La correction de mes constructions, la pureté de ma prononciation étaient considérées à mon collège comme absolument remarquables
9. Votre prononciation est trop parfaite
10. Il me fallut abandonner la prononciation correcte et revenir au prix de nouveaux efforts à mon ancienne prononciation vicieuse
11. Je pense également qu’on ferait mieux d’enseigner la prononciation des langues étrangères sans demander à l’élève ces exploits d’acrobatie interne qui sont souvent impossibles et toujours sans profit
12. Sa prononciation rappelait celle des français qui s’expriment dans la langue du royaume-uni
13. —La peste soit de ces fats ridicules et prétentieux, avec leur grasseyement et leur manière de changer la prononciation
14. 1 La prononciation russe remplace l’h par le g, et le nom de Heine – bien prononcé à l’allemande, – devient, en russe, Gaïné
15. Champoune, jadis précepteur des enfants de Kâmychev, leur apprit les belles manières, la prononciation, et les danses ; puis, quand ils furent devenus grands, et officiers, il demeura chez leur père comme une sorte de bonne du sexe masculin
16. 1 Ainsi écrit dans le texte ; figuration de la prononciation russe du français
17. Elle parlait d’une voix basse, précipitée, avec un léger grasseyement dans sa prononciation
18. Son intelligence vive, une diction claire, élégante et un charme particulier dans la prononciation rendaient ses récits des plus attrayants
19. La largeur des souliers de Christophe, la laideur de ses habits, son chapeau mal brossé, sa prononciation provinciale, sa façon ridicule de saluer, la vulgarité de ses éclats de voix, rien n’était oublié de ce qui pouvait atteindre l’amour-propre de Minna : c’était une simple remarque, décochée en passant ; jamais cela ne prenait la forme d’un réquisitoire ; et quand Minna, irritée, se dressait sur ses ergots pour répliquer, Mme de Kerich, innocemment, était déjà occupée d’un autre sujet
20. On peut comparer les organes rudimentaires aux lettres qui; conservées dans l'orthographe d'un mot, bien qu'inutiles pour sa prononciation, servent à en retracer l'origine et la filiation
21. Au commencement de la leçon, elle était sur les premiers rangs ; mais pour quelque erreur de prononciation, ou pour ne s’être point arrêtée quand elle le devait, elle fut renvoyée au fond de la pièce
22. Heureusement que j’avais eu une maîtresse française, et comme j’avais toujours cherché à parler le plus possible avec Mme Pierrot, et que pendant les sept dernières années j’avais appris tous les jours un peu de français par cœur, en m’efforçant d’imiter aussi bien que possible la prononciation de ma maîtresse, j’étais arrivée à parler assez vite et assez correctement pour être sûre de me tirer d’affaire avec Mlle Adèle
23. Elle joua du piano ; son exécution était brillante ; elle chanta, sa voix était belle ; elle parla français avec sa mère, et je pus m’apercevoir qu’elle s’exprimait facilement et que sa prononciation était bonne
24. Ses nouveaux camarades ne l’aimaient pas, ne le comprenaient pas, ne voulaient pas le comprendre ; ils se moquaient de sa prononciation, quand il usait des quatre mots d’italien qu’il avait déjà réussi à apprendre, et, pour ne pas envenimer les choses, il se contraignait à dominer sa colère, à sourire de ces railleries stupides et vulgaires
25. – Ton bonnet de peau de chien proclame ton origine, comme la prononciation de Caphisias dénonce la sienne, dit en riant Panéus
26. Elle m’a bien dit le nom, mais avec sa prononciation allemande on n’y comprend rien
27. Archibald était allé s’asseoir à côté de Mlle Ambert, qui faisait d’étonnants progrès dans la prononciation de l’anglais ; Arabella avait accaparé Jacques, sur qui elle prétendait gravement avoir des droits d’antériorité, les deux mamans surveillaient de loin leur couvée, et Dora, placée près de son père et de M
28. – Rappelez-vous, mon cher fils, reprit le père d’Aigrigny, pâle et torturé par des angoisses croissantes, rappelez-vous que la veille du jour fixé pour la prononciation de vos vœux, je vous ai offert, selon la règle de notre compagnie, de renoncer à être des nôtres, vous laissant complètement libre, car nous n’acceptons que les vocations volontaires
29. Il est expressément recommandé par les Constitutions d’attendre ce moment décisif de l’épreuve pour hâter la prononciation des vœux
30. Cependant, l’importance relative de chaque matière, phonétique, lexique, morphologie et syntaxe, dépend du but qu’on se propose d’atteindre ; et à notre point de vue, qui est la correction générale du langage, ne paraît-il pas, sans que pour cela il y ait lieu d’attribuer à la phonétique une prépondérance absolue, ne paraît-il pas que nous devrions d’abord chercher la précision et l’exactitude de la prononciation ?
31. C’est par l’évolution des sons que se forment, et aussi que se déforment les langues ; d’autres influences y contribuent ; mais c’est la prononciation qui donne sa forme au mot, qui le modifie dans ses éléments matériels, qui le fait vivre et se développer ; elle peut, quand il se fait vieux, lui créer une nouvelle jeunesse ; il lui arrive aussi de l’altérer au point que, ne le reconnaissant plus, la langue littéraire le laisse tomber et mourir
32. Attirer, renouveler plutôt l’attention sur ce point, c’est le seul objet des quelques observations que je me propose de présenter sur notre prononciation
33. Un jour, il avait reçu une lettre où l’on sollicitait son avis sur un point de prononciation : fallait-il dire, en chantant le cantique de Noël : « Il est né, le divi-n’enfant », ou bien : « Il est né, le divin n’enfant » ? Par là, se trouvaient soulevées toutes les questions concernant l’émission des nasales à la fin des mots et celles qui touchent à la difficulté des liaisons
34. Si notre prononciation présente les symptômes de quelque malaise, il est opportun de les connaître, afin d’appliquer les remèdes convenables
35. On l’a fait, et les caractères de notre prononciation ont été plus d’une fois analysés ; mais il peut être utile d’en parler encore, et, sans examiner tous les phénomènes phonétiques qui nous sont propres, de signaler au moins quelques traits principaux
36. Mais d’abord, au point de vue qui nous intéresse en ce moment, que faut-il entendre par notre prononciation ?
37. Ce n’est pas la prononciation populaire que je propose à votre examen
38. Mais présentement notre objet est plus modeste : nous voulons seulement savoir si notre prononciation est bonne, afin de la pouvoir corriger si elle ne l’est point
39. Cela ne saurait concerner, du moins immédiatement, la prononciation populaire
40. À dire vrai, le peuple, en parlant, ne fait pas de fautes de prononciation ; il ne peut pas en faire, car la faute est un manquement aux règles établies, et aucune règle ne restreint, en matière de langage, la liberté populaire ; le rôle du peuple est précisément de mettre en œuvre la force révolutionnaire, sans quoi les mots ne vivraient pas
41. Le jour où la règle fixera la prononciation populaire, où par conséquent on pourra dire que le peuple fait vraiment des fautes de prononciation, ce jour-là, la langue commencera de mourir
42. Il s’en tient à la prononciation d’autrefois, ou s’efforce de préparer celle de l’avenir
43. Avez-vous entendu des paysans dire queu pour quel, par exemple : « Queu temps de chien » ? Ce n’est pas, sur leurs lèvres, une faute de prononciation : ils vocalisent tout simplement la consonne finale du vieux produit quél, sorti du latin qualis ; et c’est un procédé parfaitement régulier, appliqué dans un grand nombre de mots du français classique
44. Et, je le répète, ce n’est pas de sa prononciation que je veux parler
45. Mais il peut arriver, a dit quelqu’un, que l’usage soit un imbécile ; en ce cas, notre homme instruit pourra sans doute, mais avec discrétion, chercher à s’en écarter ; en général, cependant, s’il veut prétendre à quelque culture, il devra s’en tenir à la prononciation classique de son temps
46. L’arbitre suprême en fait de prononciation, c’est, non pas l’usage suivi par le plus grand nombre, mais l’usage adopté par ceux chez qui l’esprit de la langue est le mieux conservé
47. Nous donc, qui parlons la langue française, mais chez qui diverses influences peuvent en avoir amoindri ou altéré le génie premier, nous devons suivre ce que l’usage fait de changement dans la prononciation en France
48. Il se rencontre, espérons-le, de ces honnêtes gens en dehors de Paris ; et avec de l’attention et des soins, le nouveau venu dont je saluais tout à l’heure l’avènement dans les milieux cultivés pourra sans doute acquérir une assez bonne prononciation sans s’expatrier
49. Nous pouvons juger de sa prononciation
50. Ce serait un travail fastidieux que de relever les fautes de prononciation qui se commettent dans le langage courant